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Nouvelle ange

Chapitre 11

Abstinence encore

SM / Fétichisme
Je monte encore deux étages et je frappe doucement à la porte de mon vieux voisin. Il est encore endormi quand il m’ouvre, il me fait entrer. Je lui explique mon malheur, il me propose de dormir sur son canapé et d’appeler un serrurier demain, je le remercie. Maintenant qu’il est réveillé, il me regarde et visiblement peine à comprendre mon allure défraîchie.
— Tu as eu une dure soirée ?— Non, je me suis juste fait prendre sous la pluie, toute à l’heure.
En formulant je réalise que ma phrase est plutôt ambiguë, il me sourit d’un air entendu.
— Soirée coquine.
Je ne démens pas et lui sourit pleine de promesses, prête à lui en faire la démonstration. Au lieu de ça il m’apporte une couverture.
— Je te laisse, je dois dormir, on se voit demain matin, fais comme chez toi.
Il referme la porte de la chambre derrière lui. Fuck ! Même pas un petit coup. Pas eu le temps de lui proposer quoi que se soit. Visiblement le sommeil passe avant la baise. Moi par contre je ne trouverai pas le sommeil, j’ai décidé de mettre fin à mon abstinence, pas demain, maintenant. Pas besoin de préliminaires,n’importe qui fera l’affaire tant qu’il a une queue en état de bander. Un homme, un chien, un cheval. Le chien ? Je regarde dans toutes les pièces discrètement, dans la chambre ou mon hôte est déjà rendormit, mais nul trace de l’animal. Décidément...
Dans la salle de bain je me débarrasse de ma robe et des restes de mon maquillage. Je me toilette des pieds à la tête, en tachant de ne pas faire de bruit. Je plaque mes cheveux en arrière avec un reste de Gomina. j’ai meilleur allure. J’observe la rue depuis la fenêtre du salon. Je suis nue, il est 00h40 et la rue est déserte. Il y a un imper accroché près de la porte, je l’essai, en retroussant les manches, boutonné jusqu’en haut, cintré par la ceinture il ne ma va pas mal du tout. Je sors sans faire de bruit. Je me dirige vers un bar que j’ai vu encore ouvert, en rentrant tout à l’heure. En moins de 5 minutes je pousse la porte.
— On ferme mademoiselle.
Les chaises sont sur les tables et le gros patron derrière le bar étend ses torchons sur le percolateur. Deux piliers de bar sont encore au comptoir et me dévisagent de leurs yeux vitreux.
— Je suis désolé de vous déranger, je peux utiliser vos toilettes 30 secondes ? je vais me faire pipi dessus.
Les deux poivrots au ralentis me sourient grivois. Le patron résigné me désigne les commodités du menton, je lui souris en retour. Je traverse la petite salle, je referme la porte derrière moi. Qu’est-ce que je fais ici qu’est ce que j’espère ? Devant le miroir je m’arrange un décolleter, je déboutonne un premier bouton, ce n’est pas assez, un deuxième, c’est trop, tant pis va pour deux, on verra bien ce qui arrivera. Je retourne au bar remercier le tenancier. Les trois se figent, aspirés par le précipice entre mes seins.
— Jacques, tu vas nous faire une dernière tournée pas vrai, tu vas trinquer avec nous beauté.— Je meurs de soif.— Ok mais je baisse le rideau, je n’ai plus le droit d’être ouvert à cette heure.— Oui, comme ça se sera plus intime.— Et on pourra fumer.
Le patron dans un grand fracas fait descendre le rideau de fer et nous sert 4 pressions, les regards se croissent, la tension à monté de plusieurs crans.
— Chaud ce soir.— Oui on étouffe.— Tu dois avoir chaud avec cet imper ?— Oui mais je n’ai rien en dessous.
Rire des mâles.
— Tu nous charries.— Pas du tout, je dis toujours la vérité.
Comme ils semblent incrédules, j’ouvre rapidement un coté de l’imper et leur dévoile une demi seconde un téton étincelant.
— Hummm c’est mignon ça.
les deux autres sortent le nez de leur bière et tendent le cou. Je glousse, et j’entreprends de boire toute ma bière d’un coup, ça prend un certain temps, ça déborde et la mousse coule entre mes seins comme le sperme il n’y a pas si longtemps.
— Je te paie une autre bière et tu nous fait voir l’autre.— Je vais être saoule, vous allez profiter de moi.
Le patron qui ne dit rien pose un autre demi devant moi. Tous les trois me regardent en silence. Je fais une moue faussement médusée, Je déboutonne jusqu’à la taille, je fais glisser l’imper par dessus mes épaules et leur expose ma poitrine.
— Tu es une sacrée toi.— Une sacrée quoi ?— Une sacrée jolie salope.
Deux sur les trois se mettent à rire fiévreusement, le troisième reste tétanisé, ce mot doux me va droit au cœur, je me redresse un peu plus et leur laisse un peu plus de temps pour se rincer les yeux, puis je referme l’imper.
— Bin ça alors on en voit pas souvent des paroissiennes comme toi.— Y avait Sabine qui montrait ses seins quand elle était bourrée.— Oui c’est vrai, ça fait une paie qu’on la voit plus celle là.— Elle a déménager.— Mais ils étaient pas aussi beaux que ceux là.— Ma belle je ne sais pas ce que tu cherches, mais moi je suis trop bourré pour te faire un enfant ce soir.— Pareil.
Les deux poivrots déclarent forfait avant même les préliminaires.
— Tes anneaux là, c’est des trucs de sado-maso ?— En quelque sorte oui.— Plutôt sado ou plutôt maso ?— À vous de voir.
C’est le patron planté en face de moi derrière son bar qui reprend la conversation à son compte. Son visage est rouge sur le col ouvert de sa chemisette à carreaux, son œil s’aiguise, il marque un temps à me dévisager puis il lance.
— Bon les gars, il est temps de fermer le bouclar et je raccompagne la demoiselle pour qu’elle fasse pas de mauvaise rencontre.— Oui c’est ça, t’inquiète on dira rien à ta femme.— Les deux goguenards vident leur bière.— Bonsoir mademoiselle, j’espère vous revoir bientôt, allez viens Marco, on veut plus de nous ici.
Les deux dans un équilibre précaire se plient pour passer sous le rideau et disparaître, le patron ferme derrière eux, retourne derrière le bar et éteint les lumières de la salle.
— Tu es venue ici pour trouver de la compagnie pas vrai ?
J’approuve du regard.
— J’ai envie de baiser, cette chaleur me rend dingue, ça vous choque ?— Refais voir tes seins.
J’ouvre à nouveau l’imper en bombant le torse, en baissant les yeux.
— Tu es une belle petite salope.
Il est gras et transpirant, absolument rien d’un Apollon, il me dévore du regard et je mouille comme une folle.
— Oui.— Sois gentille avec moi et je te présente quelqu’un qui te baisera comme tu le mérite.— Gentille ?
Il sort de derrière le bar et se place devant moi
— Suce moi.
Toi,baise moi, je ne comprend pas trop ou il veut en venir. Je descend malgré tout de mon tabouret et glisse sous son ventre, il n’a eu qu’a me demander pour que j’obéisse, j’attends devant sa braguette. Nous n’avons plus de contact visuel, masqué par son gros ventre, il marque un temps, il semble hésiter, puis il ouvre son pantalon, le laisse tomber sur ses chevilles et baisse son slip.
— Tu vois, j’ai pas été très gâté.
Son sexe se résume à un gland qui sort à peine de son pubis joufflu, pas de couille en vue, impossible de l’attraper à la main. C’est en effet un très petit modèle qui malgré tout dégage une forte odeur de fin de journée. C’est sur que ce n’est pas avec ça qu’il va me passer l’envie. Peu m’importe, je vais à sa rencontre du bout de la langue, puis je le branle délicatement entre mes lèvres en enfonçant mon visage dans son gras. Une chaleur tropicale, une odeur de marécage. Une fois décalotté, je joue de ma langue autour de son nœud tout dur, il doit être à son top de l’érection, je croirais sucer un gros clitoris. J’avance mon visage dans son bas ventre poilu et il entre un peu plus loin dans ma bouche, je le pompe à genoux les mains sur ses grosses cuisses, il transpire à grosses gouttes qui me tombe sur la tête, je transpire moi aussi, je glisse et m’enfonce dans sa graisse, mon visage rebondi sur son pubis, j’accélère le mouvement ma bouche épouse son gland parfaitement.
Je le pompe consciencieusement comme une bonne petite gagneuse. Il se met à geindre, se tend et me gratifie d’abondantes giclées qui me remplissent les joues, j’ai un haut le cœur, je tiens bon, son foutre déborde de ma bouche et coulent sur moi, il n’en finit pas de juter, c’est une cascade de sperme qui s’écoule encore jusque entre mes cuisses, il est pris de contraction, je continue à rebondir comme un ballon sur son gland. Sa queue se rétracte, il a les larmes aux yeux, il met un temps à retrouver ses esprits, assez pour que son nœud disparaisse à jamais.
— Merci c’était délicieux.
Il a changé de tête, son visage s’est détendu, il me sourit béat. il me tend une poignée de serviette en papier. Je le regarde silencieuse en m’essuyant la bouche et la poitrine. Puis il semble se souvenir de sa promesse.
— Suis moi.
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