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Nouvelle ange

Chapitre 12

Abandon

Trash
Cet épisode conclut les 2 précédents chapitres
...Il m’invite à passer derrière le bar et par une trappe nous descendons à la cave. Une seule ampoule éclaire un foutoir de caisses et de fûts, puis on entre dans une seconde pièce encore plus bas de plafond. Une petite table, une chaise et un lit d’une personne occupé par un corps rabougri qui reprend vie en nous entendant entrer.
— Réveille toi, je t’amène de la visite. Une petite femme qui cherche de la compagnie.
L’homme nous regarde, l’air abruti de sommeil, mais pas que. Je reste impassible, sourde à mon envie et mon dégoût. On me mène à la saillie, c’est tout ce que je demande.
— Je te présente Xavier, il va s’occuper de toi. Pas vrai Xavier ? Tu reviens quand tu veux, tu seras mon invitée mon chou. Je vous laisse.
Un clin d’œil complice à son ami et il sort en refermant derrière lui la porte branlante. Son pas ne va pas plus loin, il nous regarde sans doute.L’homme s’est assis au bord du lit et me sourit des dents jaunes qui lui reste, un spécimen de vieux avant l’age, maigre et tanné par l’alcool. Il émerge doucement, il allume une cigarette et se gratte la tête. Sans un mot il passe la main sous mon imper, droit entre mes cuisses et remonte lentement jusqu’à me découvrir sans culotte, il sourit d’avantage. Il se lève, défait ma ceinture et fait tomber mon imper. Oui je suis nue dessous.
Il me tourne autour, il m’examine des pieds à la tête, ma tête regarde mes pieds. Alors qu’il est derrière moi, il m’enlace, attrape mes seins et les presse à pleines mains puis il se concentre sur leurs pointes et leurs anneaux qu’il manipule du bout de ses doigts aux ongles noirs. Le foyer de sa cigarette frôle ma nuque. Je suis une poupée qu’on déshabille pour mater son cul. Il fait tomber le bas crasseux qui lui sert de pyjama, une forte odeur de queue me monte au nez et pique mes sens. Maintenant qu’il a écraser sa cigarette il embrasse mon cou. Il pèse sur mon dos, me fait me basculer le buste, je prend appuie contre le mur. Ses mains filent sous mon ventre, il me fourre un doigt droit dans la chatte, je mouille comme une chienne, je suis prête à l’emploi. Soudain il s’agite, il y a urgence, il glisse sa queue raide entre mes fesses, puis sur ma fente, se trempe à ma mouille et me pénètre. Très vite il rebondit contre mes fesses agrippé à mes hanches, mais trop vite il s’arrête.
Il me fait retourner et me regarde ahuri. Oui je suis bien réelle, oui tu peux me baiser, faire de moi ce que tu veux. Plus tu seras affreux, plus je serai tendre et docile. Il approche son visage du miens, je dois encore sentir la bière et le sperme, il s’en fout, il plante sa langue dans ma bouche, son goût dégueulasse m’envahit, je veux tout supporter. On échange nos salives et ma langue se mêle à la sienne.
Il me couche sur son lit, écarte mes jambes, monte sur moi et me pénètre d’un coup de reins. Cette fois mon corps s’enflamme, je me présente le mieux possible pour qu’il m’enfile de toute sa longueur. Il me recouvre, m’embrasse à pleine bouche, ma vulve avale sa queue. De mes mains sur son maigre cul je l’encourage à me fourrer plus vite et plus fort, il glisse sur moi de nos sueurs mêlées. Nous sommes tous les deux au fond du trou. Baise-moi. Le plaisir me prend, je couine au même rythme que le lit. je suis au bord de jouir quand il m’inonde le vagin. Il continue à me besogner mais noyer dans sa jute je ne le sens plus assez pour basculer dans le vide et je reste haletante au bord du précipice. Il se retire, s’assoie sur le bord du lit, il tire une cigarette de son paquet poser sur la table et l’allume. Je me redresse sans refermer les cuisses, son sperme épais dégouline de mon conduit. Je pue nos sueurs mêlées, la queue, le sperme et l’odeur de ce lit crasseux.
— Tu peux dormir avec moi et on remet ça dès demain, mais là, faut que je dorme.
Je lui rend sa la place sur le lit. Il baille, s’allonge et s’endort immédiatement. Si tu avais pris le temps de m’attacher peut être, mais non je ne vais pas rester là. Je remet l’imper et quitte la scène du crime. Je trouve une sortie qui donne sur une petite cour, puis par le porche je rejoins la rue. L’air est toujours étouffant. J’ai la chatte qui fourmille et du jus sur les cuisses. Il fait nuit noire, les rues sont désertes. Je ne suis pas rassasié mais machinalement je me dirige vers chez moi.
Je passe un coin de mur et dans un renfoncement un corps est recroquevillé, immobile à même le trottoir. Un sdf gît sur un matelas, je m’arrête, je m’efforce à comprendre ce que je vois. Je m’approche, une puissante odeur me monte au nez, c’est la mienne, celle qui suinte de mon imper, possible que je sente plus fort que lui. C’est un homme peut être la trentaine qui dort ici, certainement ivre vu les cannettes de bière tordues à coté de lui. C’est le dernier homme sur terre, ma dernière chance de baiser cette nuit. Je m’accroupis et pose ma main sur sa cuisse, il se tourne mollement, il me regarde médusé. Je viens en paix, pour lui faire part de mes intentions je défais le nœud de la ceinture et lui montre si il peut le voir le contenu de mon imper. Je monte ma mains sur son entre-jambes. Je lis mal son expression mais il se laisse faire, alors je monte encore et masse son paquet, il se tourne complètement, pour moi c’est un bon pour accord.
Je défais sa braguette et plonge ma main à la rencontre de la bête dans sa tanière, je sors une lourde queue bien chaude et très molle. Je la caresse, elle se gonfle péniblement, elle pulse dans ma main, je la veux. Je ne suis pas sur qu’il réalise ce qu’il lui arrive, mais dans son rêve éveillé il consent. Mes yeux se sont fait à l’obscurité. Je le décalotte, je ne résiste pas à l’envie d’’engloutir dans ma bouche son gland encore mou et le sentir durcir à mesure que je le travaille. Son goût est aussi fort que son odeur. Depuis combien de temps ne s’est il pas laver  ? Je le lèche sans rechigner, je fais glisser ma langue et mes lèvres de ses couilles au sommet du gland. Je suis une ombre de la nuit et je suce ma proie. Après quelques minutes, sa queue est nettoyée, la masse informe s’est transformée en un pieu bien raide. Je le chevauche, je m’empale jusqu’à ce que ma fourrure se mêle à son paillasson.
Je suis pleine enfin, il caresse mes cuisses, je balance doucement mon bassin, je me baise en profondeur, il attrape mes seins et mon rythme, mon clitoris frotte son pubis, je roule mes hanches de plus en plus vite et je décolle. Je vais jouir, là sur le trottoir, dans la rue, fourrée par un clodo. Je me sens partir, je jouis avec tous les hommes qui mon baisée ce soir. Soudain j’ameute le quartier d’une série de oui explosifs et je bascule dans l’extase. Je plonge dans le ciel étoilé propulsée par le cul.
Je me lève sans terminer le pauvre homme. Tant pis pour toi tu n’avais qu’a jouir plus vite, mais je dois disparaître avant que quelqu’un envoie des secours ou que le jour se lève et que le soleil ne me brûle.
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