Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 179 J'aime
  • 4 Commentaires

Nouvelle arrivée en ville

Chapitre 1

Découverte du bar du coin en chaleur

Lesbienne
Petite histoire vraie légèrement fantasmée. Un début simplement érotique, promesse d’une conclusion chaude et ruisselante de mouille et de sperme.
Je m’étais aventurée un soir dans le petit troquet au coin de la rue de mon nouvel appartement. Il y avait un petit concert, une bonne bière à la pression. Je m’étais assis un de ces grands tabourets, accoudée au comptoir je pouvais voir toute la salle à travers le miroir derrière le bar. Le monde semblait être pris d’une joyeuse frénésie. Une femme au milieu de la salle dansait. Elle semblait avoir le feu au corps à sautiller ainsi sur place, à laisser son corps onduler au rythme de la musique. Je laissais mon regard glisser sur elle. Sur ses hanches bien pleines que je m’imaginais déjà pétrir de mes mains ; un ventre que j’aurais aimé coller contre le mien, peau contre peau, un sourire et des lèvres que je voulais embrasser.
Je posais ma n-ième bière sur le comptoir et la rejoignais sur la piste de danse. Je l’accrochais du regard et m’approchais d’elle. Elle sembla m’observer, me jucher, et elle s’avança contre moi.
La musique reprit, plus forte, plus vibrante encoreOn se rapprochait. Rien de très sensuel, juste du jeu de regard, de feintes, de corps qui s’estime. Une danse passe, puis encore une autre, et ainsi s’en va la soirée. L’horloge des minutes dépasse plusieurs fois celle des heures, jusqu’à ce que le garçon de comptoir annonce d’une voix rauque :— On ferme dans une heure. Venez commander, abreuvez-vous et allez cuver !
La foule se dirige vers le bar ; mais moi je reste face à elle.— Tu es nouvelle ici ma belle ?
Elle souriait. Un sourire franc, magnifique et mystérieux. Un hameçon, un appât auquel je me laissais attraper, ferrer.— J’ai emménagé il y a peu, répondis-je.— Et tu te plais ?— J’habite un petit deux-pièces entre la médiathèque et un salon de tatoueur. Heureuse !— Tu es tatouée ? Me demanda-t-elle en m’attrapant par les hanches. Son corps était collé contre le mien, ventre contre ventre, cuisse contre cuisses, poitrine contre seins.— Il se pourrait bien, répondis-je en espérant attiser sa curiosité.— Je pourrais voir ?— Il faudrait pour ça que je sois un peu plus déshabillée, tu sais ? Ce serait un peu plus intime, mais je serais presque nue.— Ce serait dérangeant ?— Non
Ma réponse avait fusé, rapide, trop rapide. J’eus peur qu’elle ne me prenne pour un chasseur, quelqu’un qui depuis le début l’aurait perçu comme une proie. Mais son ‘’langage’’ me fit comprendre que si l’idée lui était venue, cela ne la dérangeait pas. Elle se colla encore plus contre moi en glissant adroitement sa main sur mon sexe. Elle se jeta presque sur moi et m’embrassa goulûment. Elle semblait affamée.


En moi s’était allumée une fournaise ; mes mains se posèrent sur son petit cul, le claquant presque. Elle laissa échapper un petit gémissement. Elle se sépara de moi, relâchant la pression sur mon sexe.— Suis-moi !Sa voix était tremblante, mais enjouée ; comme si elle avait trouvé un nouveau jouet.
Elle me tira derrière le bar, lançant un petit sourire au barman. Elle poussa un portillon, me guida dans un couloir sombre, bifurqua et après une succession de porte, on fut à l’extérieur.
La ruelle était sombre, déserte, silencieuse. Elle me plaqua contre un mur. Il était glacial et je me cambrais pour me soustraire au contact avec ce dernier. Cela ne fit que me presser plus contre elle. Je l’entendis gémir, ce qui me rendit folle.
J’attrapais sa nuque, l’embrassant, laissant nos langues s’entremêler. Sans que j’aie à forcer, elle se laissa glisser contre moi. Sa bouche trouva mon ventre, continua de descendre jusqu’à mon ceinturon, passa sur le tissu jeans recouvrant ma fente que je devinais trempé.— Je peux ? Demanda me demanda-t-elle en souriant. J’attrapais ses cheveux et plaquais son visage contre mon pubis comme toute forme de réponse. Je la voulais. Je désirai sa langue sur mon sexe, jouant avec mes lèvres et mon clito. Je voulais ses doigts dans mon con et dans mon cul. Je voulais voir son visage barbouillé de ma mouille.
Elle ouvrit ma ceinture, déboutonna mon jeans, le baissa sur mes cuisses. Elle colla son nez contre mon tanga, s’enivrant de mon odeur. J’étais ruisselante, et je tentais tant bien que mal de refréner mes petits cris de désir. Elle fit glisser sa langue le long de l’élastique, s’amusant à faire passer sa pointe sous le tissu. Je me cambrais en laissant échapper un cri. Plus vite !!! Plus vite !!!Elle baissa le tanga et se jeta sur mon minou. Je fus foudroyé d’un premier orgasme lorsqu’elle se mit à laper mon sexe. Une main s’était glissée sous mon haut pour venir me pétrir le sein et me pincer le téton. Je sentis ses doigts glisser le long de ma fente en feu. Un premier doigt vint en moi me caresser de l’intérieur. Il fut rapidement suivi par un deuxième.
Un deuxième orgasme me prit aux tripes. Je criais de jouissance en tombant à genoux. Elle m’embrassa fougueusement, me faisant partager avec elle le goût de ma mouille. Je ne pus m’empêcher d’en profiter pour glisser mes doigts le long de la courbe de ses reins, de passer sous son jeans et atteindre son cul. Il était rond, ferme, souple ; il était une réelle invitation à la fessée. Je descendais mes doigts jusqu’à sa rondelle qui était étonnamment souple.
Elle me sourit en couinant légèrement. Elle devait aimer ça autant que moi. J’avais envie de la ramener chez moi, mais mon appart était dans un tel état que je n’arrivais pas à l’inviter. Partagée entre mon envie de la baiser, de la prendre en bouche, de jouer avec son cul et son clito ; et la peur qu’elle parte en voyant le capharnaüm me servant de logement. Mais elle sut lire dans mon esprit.
— Tu es délicieuse chérie. Je te proposerai bien de venir chez moi. J’ai de quoi jouer. Et puis, tu me dois quelques orgasmes.
La soirée s’annonçait merveilleuse. Je lui pris la main, sentant encore mon humidité sur ses doigts.
— Avec grand plaisir

A suivre rapidement
Diffuse en direct !
Regarder son live