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Nouvelle arrivée en ville

Chapitre 2

Un appart bien équipé

Lesbienne
L’ascenseur aurait pu tomber en panne. Elle aurait pu me plaquer contre un mur. Prendre ma gorge à pleine main, me contrôler complètement tandis que sa main perverse serait venue frotter mon sexe ; jouant contre mes grandes lèvres, glissant sur mon clito et mon con.
Mais il n’y avait pas d’ascenseur. Je suis désolé pour vous, lectrices et lecteurs ; pas encore de fantasmes assouvis dans un ascenseur.
Mais j’ose essayer. Si vous me croisez un jour dans une cabine d’ascenseur dans mon petit tailleur noir, une boucle d’oreille en X à droite et deux anneaux créoles à gauche n’hésitez pas.
Mais retournons à mon histoire. Je la suivais dans un escalier tortueux. La lumière était blafarde et clignotante, l’escalier fatigué par les âges et les murs défraîchis. Mais je n’y pensais pas. Je sentais mon appétit dans mon bas-ventre gonfler. Mon string était trempé, dégoulinant. J’avais envie de sentir cette femme se serrer contre moi à nouveau, me serrer dans ses bras.Je n’avais pas l’habitude des expériences lesbiennes. J’étais plus habitué au sexe masculin. A la puissance de leur bras soulevant mon petit corps et me baisant sauvagement.
Mais là ce serait différent. J’allais goûter à la délicatesse vicieuse d’une femme inventive qui comptait jouer avec moi.

Son appart était petit, mais mignon. Une petite mansarde sous les toits, un petit duplex en dehors du temps. Elle ne me laissa pas m’extasier devant sa déco. Elle me guida jusqu’à sa chambre où trônait un grand matelas posé sur le sol. Des piles de livres traînaient autour comme les colonnes du futur temple de l’amour que nous allions bâtir toutes deux en ce lieu.Un tableau était accroché au-dessus du lit. Un prénom y était inscrit en lettre manuscrite en une magnifique calligraphie. Léa
Ce n’était peut-être pas son nom mais cela me permettait de mettre un pseudo sur un visage.

Léa fit glisser mon futal sur mes cuisses. Ses mains glissaient sur mes cuisses, jouaient déjà avec l’élastique de mon string. Elles passèrent sous mon t-shirt, remontèrent sur mon ventre, attrapèrent mes hanches et me plaquèrent contre elle. Elle était dans mon dos, m’obligeant à cambrer mon petit fessier contre elle. J’adorais ça.Ses mains caressèrent le galbe de mes seins, glissèrent sur ma gorge.
— Je vais te faire couiner ma chérie. Et tu vas adorer ça.

Je haletais. J’avais envie de tout, de sa langue, de son sexe, de ses seins. J’avais envie de continuer à sentir ses caresses sur mon corps, de sentir sa chaleur, la douceur de sa peau.Elle me poussa délicatement sur son lit. J’étais à quatre pattes, croupe tendue.
— Cela t’embête si j’invite des amis ? Me demanda-t-elle me montrant un délicieux gode violet. Il devait faire une vingtaine de centimètres pour trois de marge. La parfaite taille pour me faire couiner et hurler de plaisir.
Ma manière de me cambrer de plus belle en soupirant dut sembler être une réponse car je sentis presque aussitôt le bout du gland factice appuyer sur l’entrée de mon puits d’amour.Sa langue habile eut tôt fait de me faire ruisseler. Le gode me pénétra, m’arrachant un petit cri aigu. Je me tendais vers sa main tenant le gode pour le sentir s’enfoncer plus profondément dans mon con brûlant.
Je me sentais si bien, si adorer dans cette situation délicieuse où sa langue et son gode me comblaient. Je sentis venir une profonde chaleur en moi et mes cuisses devinrent trempées. Un jet de cyprine coulait sur mes jambes et sur le matelas. Cela faisait longtemps que je n’avais pas été femme fontaine, mais Léa avait su raviver ce réflexe délicieux.
Elle se jeta sur mon jus, se délectant de mon sexe. Je n’en pouvais plus, mes poils de con étaient poisseux, mon vagin totalement ouvert et pénétré par un gode.
Je me retournais brusquement. Léa n’eut pas le temps d’enlever son gode, et lorsque je la plaquais sur son matelas, je l’avais toujours en moi.
Léa riait aux éclats. Je lui arrachais un baiser, découvrant le goût de mon sexe sur ses lèvres.Je laissais ma bouche descendre sur sa gorge. Je sentais sa peau vibrer de plaisir et de frustration sous mes baisers.Je déboutonnais sa chemise, jouant à laisser traîner la tension. Mes doigts effleuraient ses seins sans jamais toucher à ses mamelons.
Son ventre était nu, à l’invite de toutes mes caresses.
Je voulais faire durer le plaisir, mais Léa fut plus impatiente que moi. D’une secousse elle arriva à attraper son bas et d’un coup de reins se retrouva totalement nu face à moi.
Je voulais prendre le gode en moi, le plonger en elle. Jouer avec son sexe, son clito. Sentir sa respiration monter et descendre, la conduisant jusqu’aux portes de l’orgasme. Je voulais la faire languir. Faire en sorte qu’elle me demande d’aller plus vite, plus loin, plus fort. Je voulais qu’elle me supplie de continuer tandis que je sentirais son, sexe se contracter au rythme de ses sanglots orgasmiques.

— A droite, murmura-t-elle.— Comment ? Demandai-je.— Prends le gode à ta droite.
Je laissais son corps tremblant de plaisir un instant pour laisser mon regard s’égarer sur ma droite. Sur le côté du lit se trouvait une petite boîte de cuir mal fermée. Je l’ouvrais, découvrant une délicieuse culotte harnais à laquelle était déjà associé un petit sex-toy.
— Mets-le s’il te plaît
L’alcool et l’excitation aidants je ne me posais pas trop de questions. Je n’avais jamais testé ce genre d’ustensile mais à voir Léa se trémousser à l’idée que je la prenne avec ce harnais je me disais que j’allais passer un instant divin.
Elle m’aida à l’enfiler. Je dressais l’extrémité du gode vers elle. Elle le prit en bouche, me lançant un petit regard coquin. La suite allait être prometteuse.
Mais cela sera pour la prochaine fois. Pour les curieux sachez qu’un invité inconnu allait s’inviter et que j’allais enfin découvrir la double pénétration avec ce petit couple.
Bisous les assoiffés de sexe
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