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Nouvelle arrivée en ville

Chapitre 3

Avec plusieurs femmes
Elle prit ce sexe de plastique en bouche, faisant glisser sa langue sur toute la surface et donnant des petits coups qui venaient se répercuter sur mon sexe trempé.Elle se redressa, m’embrassa avec vigueur et fougue.Elle se retourna à quatre pattes tendant son petit cul vers son sexe dressé. Je ne pus résister à claquer son cul, la fessant avec force, mais douceur, lui passant les doigts le long de la raie, les sentir trempés de jus et les apporter à mes lèvres.
Quel délice mmmmmJe la doigtais vigoureusement afin de la préparer à la pénétration. J’étais devenu une bête sauvage assoiffée de sexe, une faune lubrique et elle était ma louve déchaînée. J’attrapais ses hanches délicieuses et la tirai à moi, m’enfonçant en elle en une seule poussée. Elle hurla de plaisir en se cambrant encore plus. Le peu de résistance de son con avait exercé une pression délicieuse sur mon sexe. Je faisais quelques aller-retour en elle, savourant chaque coup, chaque soupir de sa part. mes mains glissèrent sur son ventre, ses seins, sa gorge.
Elle était toute à moi.Je n’avais plus besoin de lui donner des coups de reins. Elle venait d’elle-même s’empaler contre moi en ondulant férocement.Une de mes mains resta sur sa gorge tandis que de l’autre je venais lui titiller le clitoris, le pressant, le frottant, le pinçant légèrement. Elle se cambra une fois de plus en émettant un son étouffé tandis que je sentais sa mouille couler généreusement le long de ses cuisses. Elle devait prendre tellement son pied.Je fus rapidement troublé par un bruit de clef dans la serrure, une porte qui s’ouvre, un homme qui rentre.Je ralentis en rythme, j’essaye même d’arrêter, mais Léa continuait ses coups de reins, ce clapotis délicieux de sa mouille, de ce gode-ceinture qui la pénétrait inlassablement.
— Je vois qu’on s’amuse, dit une voix grave et rocailleuse.
Je ne pus refréner un petit cri en me dégageant rapidement de Léa.Cette personne ne semblait absolument pas choquée par l’apparition de cet homme aux épaules carrées, barbe taillé à la serpe et regard bleuté chaleureux.
— Je te présente Mathéo, me dit Léa. C’est mon mec. Il aime bien quand je ramène un peu de monde à la maison. Ca ne te dérange pas ?
J’étais un peu perturbé. J’étais nu devant ce couple qui me semblait de plus en plus dépravé.
— Nous pourrions continuer à nous amuser tous les trois, continua-t-elle.
Elle était toujours à 4 pattes, mais face à moi. Elle décrochait les lanières du gode-ceinture. Sa langue s’aventura dans les plis de son aine, dans ma toison pubienne humide de cyprine. Elle se mit à dévorer mes grandes lèvres, ma fente, l’entrée de mon antre, et ce jusqu’à mon clitoris dressé.

Mathéo s’était glissé dans mon dos après que je lui ai fait un petit signe de tête. Il était le bienvenu. J’avais hâte de savoir à quoi est-ce qu’il pouvait ressembler sans tous ses habits.De lourdes mains masculines vinrent glisser sur mon ventre, mes seins, parcourant chaque courbe, chaque creux avec tendresse et gourmandise... Il jouait avec mes tétons, m’embrassait dans le cou, me mordant presque à certaines occasions. Je me sentais défaillir et je ne retenais plus mes gémissements.
Je laissais traîner mes mains dans mon dos pour glisser sur le corps de Mathéo. Il avait déjà enlevé son haut et son jeans et je pus rapidement faire glisser mes mains sur son sexe déjà dressé.Je branlais doucement cette hampe de désir qui tentait de se glisser entre mes fesses. Je dirigeais cette queue entre mes cuisses, à la surface de ma fente. Je le sentais chaud et brûlant. Je faisais de petits allers-retours sur sa virilité, la recouvrant de ma mouille. Son gland écartait mes lèvres presque jusqu’au clitoris tandis que Léa s’amusait à y donner de petits coups de langue.
Je sentais Mathéo frémir derrière moi. Ce traitement devait lui être insupportable.Léa installa le gode-ceinture autour de sa taille. Je me jetais sur elle, la renversant sur le dos. Je dirigeais son sexe factice sur ma fente et je m’empalais sur elle. J’étais prise d’une transe délicieuse où mon corps ondulait pour moi. J’allais et venais pour le plus grand plaisir de sentir ce gode au fond de moi.
Mathéo n’était pas en reste non plus. Il passait ses mains sur mon dos, mes fesses, mes seins. Sa langue vint rapidement glisser le long de mon fessier, jusqu’à mon œillé frémissant. Cette langue chaude et pointue qui tentait tout doucement de me sodomiser était enivrante et coquine. Un doigt vint rapidement me prendre, massant la fine membrane de chair entre son anus et mon vagin. Je fus électrisé par un premier orgasme haletant.
Il tourna autour de Léa et moi, faisant toujours des petits allers-retours avec son doigt. Son sexe était à ma hauteur et je le pris en bouche sans même faire glisser ma langue le long de la hampe, sans même faire durer le plaisir ou le frustrer un peu.
Je jouais à ne prendre que son gland en bouche, à m’arrêter juste au niveau de la couronne, à l’aspirer en m’enivrant de son odeur de mâle, d’homme. Je venais masser doucement ses bourses fermes. Je le sentais se tendre dans ma bouche, tressauter de plaisir tandis que je me délectais de son pré-sperme.
Il délaissa ma bouche avide pour se remettre derrière moi tandis que je chevauchais sa belle. Son doigt dans l’anus m’abandonna bien vite avant d’être remplacé par sa virilité dressée. IL y alla tout doucement, en me titillant le clitoris et le bout des seins en même temps pour que la douleur se mêle au plaisir.
J’étais emplie. Je sentais mon petit couple de vice et de luxure aller et venir en moi, se frottant l’un contre l’autre. Léa prit mes tétons en bouche. Je n’en pouvais plus. Je me laissais faire et aller. Je fus tétanisée lorsque le deuxième orgasme arriva.J’aurais encore eu le sexe de Mathéo en bouche, j’aurais eu bien du mal à ne pas lui faire mal en hurlant.Je sentis Mathéo venir au fond de mes entrailles tandis que Léa me mordait une dernière fois vigoureusement l’épaule pour s’empêcher de crier.Mathéo m’embrassa dans le cou, se retira doucement. Léa fit de même, tandis que je m’écroulais sur le côté, la serrant dans mes bras. Math revint, une grosse couverture dans ses bras qu’il étala sur nous avant de nous rejoindre.
— Bonne nuit mesdames.
Fin de cette nuit de folie.A bientôt pour de nouvelles aventures
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