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La Nouvelle Athènes

Chapitre 2

Soirée au Club

Gay
Yanis, mon patron m’amène aujourd’hui dans un Club privé où de jeunes garçons comme moi servent des hommes d’affaires comme lui.

Je cède ma place au nouvel arrivé auprès d’Eric, le Président du Club. J’ajuste mon pagne et mon nœud pap. En jetant un coup d’œil à la salle, je vois Jean me faire signe. Il est accoudé au bar en conversation avec un Africain :

— Bravo John ! tout de suite repéré par le patron. Tiens je te présente Nike.
— Bonsoir monsieur...

L’Africain me fait un grand sourire carnassier, il me prend gentiment par l’épaule. Il me domine de presque une demi-tête. Il m’observe d’un regard concupiscent et commence de l’autre main à me caresser doucement la poitrine, sa main ouverte me couvre presque tout le ventre jusqu’au pubis. Je n’aime pas comme il m’embrasse du bout de ses lèvres épaisses, sa langue glisse sur mes lèvres, pour détourner son attention je caresse son pantalon :

— Ah tu préfères le bâton... Tiens suce !

Appuyé dos au bar et sous l’œil attentif de Jean, il me met à genoux sa main sur mon épaule, ouvre un ou deux boutons de sa braguette et sort juste le bout de sa queue pas vraiment en érection. Sans avoir le temps de regarder la pointe, sa main sur mon crane m’oblige à emboucher l’énorme prune noire. J’ouvre alors mieux la braguette et dégage complètement le membre qui se développe au fur et à mesure que je le sors, enfin j’extrais les testicules qui recouvrent en partie le pantalon.

Le bâton est devenu matraque, ma main n’en fait pas le tour. En grognant le monsieur ouvre et baisse son pantalon jusqu’aux genoux, défait sa cravate et déboutonne sa chemise. J’admire son torse d’athlète presque imberbe, ses abdominaux d’un noir intense, sa broussaille crépue d’où s’élève sa colonne de chair, il sent fort, d’une odeur acide et tellement puissante. Appuyé à ses hanches je le suce lentement.

A ce moment Jean me doigte les fesses et me relève, il me bave dessus, je sens sa salive couler sur mes couilles. Ses doigts s’activent sur ma rosace puis son gland se positionne. Il paraît tout rond, il pousse, relâche la pression, se frotte dans mon sillon, glisse du périnée vers le petit trou. Je bombe les reins pour mieux le recevoir et l’accompagne dans sa poussée. Mon anneau se dilate, s’ouvre et l’avale d’un coup, le membre est gros mais pas trop long. Les deux hommes coordonnent alors leur action :

— Alors Jean comment il est ce jeune homme ? Demande le noir.
— Il mouille bien et j’aime ses courbes de gonzesse. Ses mains sont à ma taille et me font aller d’avant en arrière.
— Tu le préfères au jeune puceau d’avant?
— Putain Nike qu’est-ce qu’il était étroit celui-là, il devait être vierge !
— Ouais mon salaud, je dirais plutôt qu’il n’a jamais été défoncé par un braquemart comme le tien, il en avait les larmes aux yeux !
— C’est l’hôpital qui se fout de la charité, répond Jean en éclatant de rire, il faudra le façonner pour qu’il s’élargisse tout de même.
— Ouais, rajoute l’Africain, je m’en occuperai tout à l’heure.

Je plains de tout cœur le p’tit jeune qui va recevoir le morceau que j’ai en bouche. A ce moment-là un troisième homme vient à mon côté, il me paraît encore plus grand que le black, il me caresse le dos et commence à me peloter avec beaucoup de douceur au travers du pagne :

— Alors Bob tu viens goûter la chair fraîche ? demande Jean.
— Autant que toi... avec mon filleul !

L’homme me flatte le ventre puis découvre mes tétons qu’il roule en les pressant de plus en plus fort, il me fait mal, j’étouffe un cri de douleur. J’y concentre toute mon attention au point d’en oublier les deux sexes qui me labourent :

— Il est mignon avec sa peau de bébé et ses nénés de fillette ! Commente Bob.
— Tiens prends la place, elle est chaude... et humide ! dit Jean en "déculant".

Bob le remplace et s’enfile facilement, c’est une fine lame mais beaucoup plus longue. Ses coups de reins sont lents, puissants et saccadés. Il est couché sur mon dos, je sens sa barbe et son souffle alors que d’une main il me tripote la poitrine et de l’autre m’astique le manche sorti du pagne.

Il se redresse, me prend la cuisse et la plaque contre son ventre, j’ai l’impression de grandir, je perds pied en même temps que mon entrejambe s’ouvre en grand écart. Je suis en total déséquilibre, ma tête part contre Nike, il me rattrape en me prenant par les aisselles. Les deux me portent, seul mes orteils d’un pied touchent le sol. Les deux me bousculent, l’un me baise la bouche, frappe régulièrement le palais ou touche la glotte, l’autre se glisse centimètre par centimètre jusqu’au fond de mes entrailles. Les deux accélèrent progressivement leur va-et-vient.

C’est incroyable comme je me sens ballotté et labouré. Les gémissements et les râles s’amplifient jusqu’à ce que Nike rugisse et me lance dans la gorge quatre ou cinq giclées de sperme dont la moitié s’étale sur le parquet, il est suivi par Bob qui à son tour s’immobilise et se vide dans mes tripes. Les deux larrons s’arrachent de moi en rigolant et me redéposent au sol, un garçon vient nettoyer nos saletés, le noir m’embrasse dans le cou et Bob m’amène dans une toilette équipée d’un bidet et d’un lavabo :

— Ça t’a plu, mon garçon ?
— Euh, je n’ai jamais été pris comme ça monsieur !
— Tu découvriras bien d’autres plaisirs au Club ! Les papas que nous sommes avons beaucoup à offrir.

Après une toilette soignée sur le bidet, je me rajuste et reviens dans le salon. Eric est toujours dans son fauteuil avec deux minets à ses côtés, tous les autres messieurs, y compris Nike et Bob sont dans les canapés, ils discutent, rigolent. On leur sert champagne, gin, vodka, whisky. Un garçon apporte des plateaux de canapés, sandwiches, petits fours.Tous se restaurent, on se croirait dans un club très british mis à part nos tenues et les tapes et caresses dont nous sommes gratifiés.
Les discussions se poursuivent quand Yanis et Nike retiennent le plus jeune garçon, le puceau comme ils l’appellent et le conduisent à une table de jeu près du pianiste. Je propose à un membre aux cheveux grisonnants et barbu de renouveler sa consommation, il me regarde avec insistance. Son bras me tient serré contre son genou et sa main sonde mon arrière-train. Il me sourit, fait une petite moue puis se lève. Il m’embrasse du bout des lèvres et me conduit à l’autre table de jeu :

— ALLONGE-TOI ! dit-il d’un ton sec.

L’ordre est précis, j’obéis. Il se déshabille complètement pendant que je m’installe. Il est musclé pas vraiment poilu. Je me rends compte que la table carrée n’est pas très grande, avec mes fesses à un bord et ma tête à l’autre. Par confort je n’ai d’autre moyen que de ramener les genoux à ma poitrine et de m’offrir indécent. Tout de suite, sans précaution l’homme me doigte le sphincter et me branle la prostate. Eric arrive à mon côté, il me sourit et me caresse le visage :

— On nous a dérangé avant... Tu es mignon, j’aime comme ta peau est douce et tu me parais bien doté.

Il écarte mon pagne sur le côté avant de le retirer puis abaisse mon genou droit sur la table. Mon entrejambe s’ouvre à 90°, je bande comme un âne n’ayant pas encore éjaculé de la soirée. Appuyé sur ma cuisse il commence à me sucer goulument. Un troisième homme vient nous rejoindre, je suis au centre de leurs attentions, le patron en chemise et pantalon dirige les actions s’adressant à celui qui me doigte les fesses :

— Allez Christophe prends-le bien à fond, puis regardant à côté, Gilbert, viens avec nous ! Alors que le nouvel arrivé se plante dans ma bouche, il ajoute : Ouais, crache-lui toute ta sauce !

Après un instant Christophe s’exclame :

— Putain p’tit frère, j’espère qu’elle te suce aussi bien qu’elle me masse le jonc !
— On fera un ’’swap’’ tout à l’heure.

Les deux frères chacun à leur manière, me forcent, l’un tapant régulièrement la glotte, l’autre, crispé à mes hanches, me pilonne en gardant un instant ses couilles contre mon popotin à chaque coup. Pendant ce temps Eric passe de mon ventre à ma poitrine, me mord le téton en me branlant ou le gland en me triturant le sein. Il me fait mal et ne tient pas compte de mes gémissements de douleur.
A côté j’entends le jeune puceau râler sous les coups de Yanis et Nike, dans le salon je vois Jean, Bob et deux inconnus s’amuser avec quatre garçons en changeant régulièrement de partenaire. Une véritable ambiance de bordel... Neuf hommes et six garçons, quelle orgie !
Eric revient à ma queue tout en martyrisant mes tétons. Sa tête couchée sur mon ventre reçoit les assauts réguliers de Christophe et Gilbert. Il me suce avec force et m’arrache toute ma moelle sans que je ne puisse rien contrôler, il avale tout et il fignole son affaire en me rendant tout propre.

— T’es une bonne toi ! dit-il en me quittant.

Alors les deux frères profitent de l’intermède pour faire l’échange. Gilbert met son pied sur la table, en enjambant mon genoux droit couché sur la table, il a son ventre contre ma cuisse relevée. Instinctivement mon bassin pivote pour mieux se positionner. Il me pénètre et me besogne violemment, je sens ses couilles aller et venir sur ma cuisse droite.

En même temps Christophe me dévaste la bouche de son mandrin. Je suis à nouveau pris par les deux frères. J’ai l’impression que le "Clap ! Clap !" du pubis sur ma cuisse et mes "Beuargh !" de régurgitation, résonnent dans la salle, que tous les entendent, que tous nous observent. Les deux hommes continuent de me forniquer. C’est Gilbert qui le premier rend les armes, je le sens vibrer puis en longues giclées m’arroser. Il reste en place encore avant que Christophe en me tirant à lui le fasse "déculer". Ma tête part complètement à la renverse, face contre son pubis, tout est cul par-dessus tête. Son tronc s’impose entre mes lèvres, ses couilles se balancent et me frappent le nez. Enfin il gicle, au moins trois fois, au rythme de ses coups de reins. Je déglutis et avale toute la semence.

Notre groupe se disloque. En me levant la tête me tourne un peu, je suis surpris de découvrir à nouveau tous ces messieurs assis confortablement dans les canapés à discuter et quatre garçons en train de les servir. Je n’ai que le temps de passer aux toilettes.

J’y retrouve Janot, le plus jeune d’entre nous, assis un papier sanguinolent à la main. Il me regarde les yeux plein de larmes, m’explique qu’il vient de se faire défoncer par le grand black. Je le prends dans mes bras comme un petit frère, je le console comme je peux, on s’échange nos adresse en se promettant de se revoir. Je l’encourage à me suivre, on se lave soigneusement chacun son tour au bidet puis on se donne un coup de peigne et nous rejoignons tout le monde pour leur servir un dernier verre. Chacun est à sa place, les hommes bien habillés assis, les garçons en tenue servant.

La soirée se termine tard. La Mercedes est amené par le voiturier devant l’hôtel particulier, Yanis met mes habits dans un sac. Je sors de l’immeuble quasiment nu, il fait un froid glacial, les trottoirs sont déserts.

— Je te ramène à la maison.

Dans la voiture j’ai froid, il me caresse la cuisse, sent ma chair-de-poule :

— Tu as froid ?... il faudra prévoir une cape, ça sera plus pratique pour la prochaine fois. Tu reviendras ?
— …
— Tu as aimé ?
— J’ai été pris en double à deux reprises comme jamais et j’ai fait la connaissance de Janot.
— Le puceau ?
— Il est gentil.

Nous arrivons, il me dépose devant mon immeuble.
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