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La Nouvelle Athènes

Chapitre 3

Rencontre de Garçons de salle

Gay
Ce mercredi, mon patron est parti en voyage et avec Fifine, ma comptable, je termine la déclaration de Chiffre d’affaires.En milieu de matinée le téléphone sonne :
— Allo ! Société Lebauby à votre service... Bonjour... Janot ?.... Ah ! oui bien sûr, excuse-moi. Comment vas-tu ?... Me revoir... Bien sûr avec plaisir... Aujourd’hui !!! Tu n’as pas cours ?... Ouais mais moi je bosse... Ben d’accord. Écoute je termine un boulot, si tu veux on se retrouve pour déjeuner... A 13 heures devant l’hôtel Terminus Saint Lazare, à tout à l’heure.
Je termine ma déclaration et après avoir prévenu le big boss, je salue Fifine en lui disant que je ne serai pas là cette après-midi.
A 13 heure je retrouve Janot. Il est tout mignon avec son visage enfantin dans sa parka qui semble trop grande... Enfantin ? pas tant que ça puisqu’il a au moins 18 ans comme Garçon de salle à "la Nouvelle Athènes". Un sourire, un regard d’ange, une poignée de main très douce, puis son baiser sur la joue. Troublé je l’embrasse à mon tour.
— Allons déjeuner Janot et faisons plus ample connaissance.

Juste en face il y a la Brasserie Mollard où, vu l’heure tardive, on nous place à l’arrière dans un coin tranquille. Il se défait et reste en pull ras du cou alors que je quitte mon manteau et suis en costume-cravate
— Waouh, John ! Tu passes de l’autre côté du comptoir... Que puis-je vous servir monsieur ?
On rigole franchement
— Non mais je suis l’administratif de la boîte de Yanis.— Ton parrain ? — Ouais, c’est aussi mon patron... et le tien, de parrain ?— C’est Robert, Bob !— La fine lame ! On rigole ensemble. Tu es tout jeune !, tu es à l’école !, comment es-tu arrivé à "la Nouvelle Athènes" ?— Comment ? Je suis au lycée et Bob y est prof... Il est mon ’’ami’’ depuis le collège. Je suis entré au Club le même jour que toi et j’ai subi le jour même l’assaut de trois hommes beaucoup mieux montés que Bob.— Ah oui ! Entre autre Jean épais et court et Nike un sacré morceau d’ébène !
— C’est lui qui m’a déchiré, ton parrain également m’a pris, bien membré aussi mais la porte avait été largement ouverte.
Le garçon nous prend la commande, les deux entrecôtes frites, nous sont servies rapidement.
— Mais Janot explique-moi, avant Bob ? et ton entrée à "la Nouvelle Athènes" ?— Avant... Je dois dire que j’ai toujours été porté sur le sexe, je regardais des revues porno. Au collège Robert était mon prof de français, un jour il m’a vu me toucher aux toilettes puis a trouvé des revues dans mon cartable. Ensuite il m’a en quelque sorte fait chanter, ’’Le suivre en contre-partie de son silence’’, je l’ai suivi jusqu’au bout... jusqu’à "la Nouvelle Athènes".— Tu es homo ? — Je ne sais pas… Comme toi !— Moi... NON !, je suis Bi, j’aime faire l’amour autant avec les hommes qu’avec les femmes. Avec les hommes, je suis passif, je suce, ils me prennent... et généralement je n’embrasse pas avec la langue. Mais toi... Exclusivement avec des hommes ? — Oui ! Malheureusement les femmes ne s’intéressent pas à moi ! Il est vrai que je suis timide, je ne sais pas draguer.
Nous sommes à une petite table carrée, l’un à côté de l’autre. On parle encore longtemps de sexe. C’est moi qui pose ma main sur la sienne, qui le regarde intensément. On se sourit. A sa demande je lui parle de moi, de mon cousin, de ma tante, de mon goût pour le travestissement, de mes orgies, de ma vie de couple. Depuis un moment nous avons pris notre café, on ne cesse de se regarder, sa main étreint la mienne, il me demande :
— Que fais-tu cette après-midi ?— Je reste avec toi si tu veux. En guise de réponse il me sourit, j’ajoute : Que veux-tu faire ? Se promener, trouver un coin tranquille ?— Un coin tranquille ! qu’il répond en murmurant.— Au cinéma ?... j’en connais un où on pourra...— Allons-y !
Je règle l’addition, on se lève et on quitte le restaurant. Il me prend par la main, on accélère le pas, c’est la fin de l’hiver mais il fait encore froid, je le guide. On monte la rue Pigalle, on passe devant la porte cochère où une nuit j’ai sucé Gaby. Je lui raconte toute l’histoire (voir John et Jane chapitre 1) qui le fait rire, on devient de plus en plus complice.
Il y a trois ans un homme me conduisait dans cette salle de cinéma, aujourd’hui c’est moi qui guide les pas de ce lycéen. Nous montons les quelques marches qui nous conduisent au milieu de la salle. Immédiatement nous sommes dans l’ambiance, à l’écran un énorme sexe noir copule une vulve blanche épilée. Janot est collé à mon dos, je reste 30 secondes immobile pour m’habituer à l’obscurité. Par expérience je sais que le devant de la salle est quasiment vide, je souhaite faire mieux connaissance de mon p’tit copain et m’engage dans une rangée déserte au milieu de laquelle nous nous asseyons. J’enlève d’un coup veste et manteau que je pose à côté de moi, puis défait ma cravate :
— Mets-toi à l’aise, ici il fait chaud !
Les images changent sans vraiment changer, ce sont toujours des seins, des bites, des chattes,des couples qui baisent, des trios, des groupes qui se mélangent
— Je te préviens Janot, ici que de l’hétéro !— Au contraire j’aime bien.
Il a gardé son pull trop ample, je le prends par les épaules, il me regarde avec beaucoup de douceur, pose sa main sur ma cuisse. Après un instant d’immobilité ma main libre file sous son pull, il a juste un débardeur très fin en coton. Je caresse sa peau nue d’enfant, son corps d’ado aux côtes apparentes. Il a sa tête sur mon épaule, je sens sa respiration s’accélérer, je le regarde, ses yeux sont mi-clos, ses lèvres entrouvertes. Je ne sais pourquoi, elles sont irrésistibles, pour la première fois j’embrasse délibérement un garçon.
Notre baiser est aussi tendre que profond, nos langues ne cessent de jouer. Sa main sur ma cuisse remonte sur l’entrejambe, son torse se tourne vers moi, son autre main me caresse l’oreille se perd dans mes cheveux, je suis surpris de son expérience. Il déboutonne mon pantalon, je l’aide en défaisant ma ceinture et rabattant les côtés. Il découvre mon shorty de soie, mon serre-taille. Pour l’encourager je baisse mon pantalon sur mes chevilles, découvre les jarretelles et les bas et ouvre largement mes cuisses. Il répond de suite avec audace en descendant son pantalon, et dévoilant son pagne noir de "la Nouvelle Athènes". Avec la même audace en pouffant de rire il m’interpelle à voix basse :
— Tu es toute mignonne, j’adore !— Je t’avais dit... J’aime le travestissement et je ne porte que des sous-vêtements féminins.— Sauf quand tu as le pagne ! Il a à nouveau un rire étouffé et sa main abaisse mon shorty . Dis-moi tu n’as rien à envier à ton parrain.
Il ne regarde plus l’écran mais s’active sur ma verge... Incroyable comme il suce bien, comme il caresse avec sensualité, ses ongles me griffent là où c’est bon, se plantent là où j’en ai envie. Son va-et-vient est puissant, bruyant, ça ne gêne personne bien que deux couples viennent vers nous. Il me fait une gorge profonde, régurgite une grande quantité de salive, mes couilles se couvrent de bave, de ma main libre, je le calme, le redresse :
— Doucement tu vas me faire jouir, tout à l’heure on montera au fond de la salle... tu verras c’est beaucoup plus hot !
Je profite qu’il se soit redressé pour écarter le pagne et découvrir un ventre glabre, une énorme asperge blanche à la pointe cachée d’une peau, un sexe qui ferait envie à bien des hommes. Un sexe tout neuf... pas tant que ça quand je vois comme il se décalotte facilement, le frein est très souple, le gland est rose tout en pointe, sa base est à peine plus épaisse que la tige. Comme ses lèvres, sa verge est irrésistible. Je plonge sur son ventre, la prends en bouche, mes lèvres glissent sur le membre à peine veiné seule l’urètre se distingue sur cette tige. Je lui p’lote les couilles pas très grosses, pas complètement développées, Je le suce avec force, sa main dans mes cheveux accompagne mes aller-retours et me pousse jusqu’à avoir son gland sur ma glotte. Il semble bien résister et maîtrise parfaitement sa jouissance.
Cette queue paraît tellement singulière sur ce corps fragile. Je me rassois, Janot pose à nouveau sa tête sur mon épaule, je sens son souffle, on se branle l’un l’autre doucement on veut faire durer le plaisir. Notre spectacle vaut mieux que le film, depuis un moment deux couples nous observent et tentent de participer. Leurs mains sur nos genoux, ça devient chaud et je ne veux pas créer d’attroupement ici. D’un murmure je propose d’aller en arrière, il se lève :
— Tu n’as pas besoin de renfiler ton pantalon, mets juste ta parka c’est plus simple, regarde comme moi...
Je mets mon manteau. J’ouvre le passage, monte le 15/20 marches jusqu’au dernier rang. Les premiers fauteuils sont occupés mais le passage est suffisamment large pour passer sans déranger les spectateurs ou les acteurs. Un couple se fait du bien manuellement, un autre baise l’un assis sur l’autre à la surprise de Janot. On s’installe au milieu de la rangée, loin des autres, je retire ma chemise pour rester en nuisette, bas et serre-taille bleu-nuit.
— Enlève ton pull, ça sera plus pratique.
Il est en pagne ’’Nouvelle Athènes’’ et débardeur noir. On place nos vêtements sous nos sièges. Les deux couples nous ont suivi comme nos ombres, l’un reprend sa place devant nous, l’autre à mon côté. Ceux de devant sont des maghrébins, en se branlant ils nous présentent leur noeuds circoncis,
— Ça te dit Janot ?
Pour toute réponse il avance jusqu’au siège et avale la queue devant lui, je fais de même avec celui devant moi. Les deux autres se placent derrière nous. Après quelques attentions à nos fessiers, ils se protègent et prennent position. Janot me regarde affolé, d’un sourire, la langue sur les lèvres, je lui réponds. Il se calme et laisse faire. Celui qui me sodomise est brutal et manque de discrétion, il attire l’attention et les spectateurs viennent de toutes parts.
Les places d’avant scène sont chères, six mecs s’offrent à nos mains et à nos bouches, en plus j’ai au moins deux types à mes côtés en train de me caresser, de relever ma lingerie, me triturer les tétons. On entend des murmures « T’as vu comme elle est sapée c’est une bourge... Une pute tu veux dire et elle aime ça... Le minet a l’habitude de se faire défoncer, un vrai sac à jute ! »
Le Brutus m’a déjà arrosé le cul et un autre a pris la relève pour me fourrager plus calmement, ça s’entend, il bat le beurre que j’ai dans les intestins. Un gus s’assoit par terre sous mon ventre et me suce comme un affamé.
La partie dure au moins une demie-heure, un troisième type vient de me juter sur les fesses tandis qu’un deuxième me gicle au visage. Je ne sais trop ce qui se passe du côté de Janot, ça se bouscule. Il écarte les types qui l’entourent, j’entends deux fois « NON ! » avant qu’il s’asseye. Je le rejoins j’écarte encore un type qui veut se faire sucer :
— Putain John, c’est pire qu’à la Nouvelle Athènes, j’en ai eu deux dans le cul et trois sur le visage en un peu plus d’une demi-heure.— Rhabillons-nous on va sortir ! Fais voir que je t’essuie.
Le simple fait de se lever deux mecs sont déjà à nous peloter tout en nous montrant leur sexe en érection. Déçus ils nous quittent quand on se rhabillent. Une fois dehors, comme il y a quatre ans il fait nuit. Les enseignes lumineuses des boîtes de srip-tease, des sex-shops et des peep-shows illuminent la place.
— Ben dis donc John, qu’est-ce qu’on s’est pris.— Viens prendre une bière, ça va nous requinquer !
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