Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 49 J'aime
  • 6 Commentaires

Nouvelle aventure de Maeva, hôtesse de l’air

Chapitre unique

Avec plusieurs hommes
Préambule : cette aventure fantasmée fait suite à celle intitulée « Maeva, Hôtesse de l’air », écrite par un ami du site : STILETTO, où il s’est librement inspiré de moi, de mon attitude et caractère pour l’écrire. Même si ce n’est pas indispensable, je vous invite à la lire avant de passer à ce nouveau récit.

Malgré mon écart de conduite l’année dernière où j’ai été surprise par le commandant de bord à faire une gâterie au steward, j’ai su user de mes talents pour renverser la situation et ne pas me faire licencier. Bien au contraire, après cela, je pense qu’il a dû jouer de ses relations, et je suis vite passée de simple à hôtesse à chef de cabine. Un peu de responsabilités en plus, c’est gratifiant, mais le plus dur, c’est de subir la jalousie des autres hôtesses qui sont pour la plupart plus âgées et avec plus d’expérience que moi... Et désormais, je vole sur de longs courriers internationaux.
Justement ce vol-ci je navigue avec Stéphane, ce même commandant, ainsi qu’un tout jeune copilote fraîchement sorti de l’école de pilotage je crois. Malheureusement, j’ai du mal à me faire à tous ces décalages horaires... Et aujourd’hui on décolle à 22h... De plus, je me suis mise en retard, car ma sieste a duré... Moi qui voulais prendre un bon bain et me faire un peu du bien toute seule dans cette grande chambre d’hôtel, je vais juste prendre une douche du coup.
Après m’être apprêtée et fait ma valise. Je suis sur le point de quitter ma chambre et je me dis et puis zut je suis déjà en retard de toute façon, je ne ferais pas l’accueil des passagers et j’aurais de toute façon encore des remarques de mes collègues...
Je remets ma valise au sol et l’ouvre, je plonge ma main à l’aveugle et... ça y est je l’ai. J’en sors mon petit plug bijoux. Je bave un peu dessus, pas le temps de chercher le lubrifiant. Toujours accroupie à côté de ma valise, d’une main je décale un peu mon tanga et de l’autre je m’insère le jouet dans ma petite porte. Houla c’est froid j’aurais dû le frotter un peu dans mes mains avant, mais bonne il va vite se mettre à ma température, je me demande à ce moment quand est-ce la dernière fois qu’un homme a pris la place de ce plug...? Waaah je crois que ça remonte un peu d’ailleurs...
Bref je me relève et jette un dernier coup d’œil à cette chambre trois étoiles avant de tourner les talons et de quitter cet hôtel.
Comme prévu, le taxi m’attend au pied du bâtiment. Je lui confirme l’aéroport bien qu’il le sait déjà. J’ai vraiment du mal avec son fort accent et je n’arrive pas à deviner ses origines. Très dur de tenir une conversation et ça me soule un peu. Heureusement qu’on n’est pas loin de l’aéroport...
Je descends du taxi un peu vite et oups, j’avais presque oublié cet objet en moi. Marcher avec me donne de bonnes sensations en général, mais là je suis pressée et je dois me dépêcher. J’ai l’air d’une gamine qui essaie des escarpins pour la première fois...
J’arrive quasiment au hall d’embarquement.
— MAEVA !
Je me retourne et je vois Stéphane qui se relève d’une table d’un café. Je ne dois pas être si en retard que ça.
— Ho bonjour commandant, ai-je le temps de prendre un café moi aussi ?— Maeva, pas de commandant entre nous voyons, plus maintenant. Non on a plus le temps, finis le mien je l’ai à peine entamé. — Merci Stéphane.
Je le bois d’une traître, un peu froid, mais ça ira.
— Allez, on y va. — Bien chef.
On arrive sur le tarmac et la nuit va bientôt tomber... Je n’aime pas ces petits aéroports où l’on est obligé de marcher jusqu’à l’escalier mobile.
— Est-ce que tu veux bien prendre ma valise juste pour l’escalier s’il te plaît ?— Oui pas de problème.
On arrive en haut et je reprends ma valise et jette un coup d’œil à droite, les passagers sont déjà presque tous à leur place sauf quelques-uns vers le fond qui installent leur valise cabine au-dessus des sièges. Mon regard croise celui d’une collègue qui me fusille avec le sien... Génial...
Vu que c’est un vol de nuit, ça ne devrait être pas trop mouvementé, ça va aller. Je range mes affaires juste avant le cockpit et j’y accompagne Stéphane pour le décollage. Un des avantages de chef de cabine.
Il me présente au copilote, Nolan, jeune, mais bien mignon, le teint mat. Je déplie le strapontin, m’installe et m’attache. Houla une image me traverse : moi qui me fais attacher par deux beaux mecs ! J’essaye de reprendre mes esprits, c’est sûrement ces deux pilotes qui dégagent leurs hormones de mâles et qui me donnent des idées salaces.
Après l’annonce du pilote et de l’hôtesse de l’air pour donner les consignes de sécurité (ce n’est plus à moi de faire la ridicule avec toute cette gestuelle protocolaire), l’avion prend la piste principale et accélère progressivement. Le tarmac de cette piste est un peu vieux et irrégulier ce qui, accompagné de mon petit accessoire, me donne de bons petits effets en moi, je me mordille un peu la lèvre.
Enfin les roues ne touchent plus sol, je ne vois plus l’horizon et l’appareil prend progressivement de la hauteur.
On arrive quasiment à l’altitude de croisière, Stéphane me fait signe que je peux me détacher et d’un signe de main me fait comprendre de s’approcher de lui. Je me mets entre les deux sièges et me penche en avant avec les mains sur les genoux.
— Dites-moi Maeva, pouvez m’apporter un café s’il vous plaît ?
Tiens, il me vouvoie à nouveau ?!Je lui réponds alors avec un ton très professionnel, pour respecter la hiérarchie :
— Oui bien entendu.
Pas le temps de me redresser totalement qu’une turbulence inattendue traverse l’appareil, évidemment je suis déséquilibrée et je trébuche telle une débutante. Les bons réflexes de notre commandant lui font mettre une main sur ma jambe pour tenter de me retenir et pince (in-?)volontairement le haut de ma cuisse juste sous la fesse à travers ma jupe. Avec mon jouet en moi ça a fait sensation, mais je me crispe et évidemment je bascule aussitôt de l’autre côté sur le jeune copilote. Ma poitrine arrive au niveau de sa tête. Il met sa main gauche sur moi au niveau de la hanche et une nouvelle vision sensuelle me traverse : ça fait combien de temps que deux hommes ne m’ont pas touchée en même temps...? J’essaye de reprendre très vite mes esprits, me relève et m’excuse, je dois être rouge de honte alors je quitte le cockpit précipitamment. A peine je referme la porte que j’entends Nolan :
— Hé bien on a pas encore traversé les nuages, mais la vue est déjà belle.
Cela m’excite un peu, mais je dois rester opérationnelle et concentrée. Je n’ai plus les mêmes responsabilités qu’avant. Je me rends aussitôt aux toilettes et décide d’enlever le plug, et de me focaliser sur mes directives. En relevant ma jupe, je m’aperçois que je suis déjà bien trempée... Je saisis la base du bijou et je n’ai aucun mal à faire passer la partie la plus large hors de moi. Je suis déjà si détendue que ça ?! Je prépare le café pour notre cher commandant de bord et lui apporte. Je rentre dans le cockpit et Stéphane me demande de refermer la porte.
— Ah merci bien Maeva, vous êtes un ange, vous savez ?— Ho je ne fais que mon travail monsieur le commandant. — Ne te sous-estime pas Maeva, nous savons tous deux que tu fais bien plus que ton simple travail.
Ho mon Dieu, il va vraiment me mettre mal à l’aise avec ses réflexions.
— Nolan, tu n’as jamais volé avec elle encore ?— Non commandant c’est la première fois. — Tu vas voir elle est vraiment très serviable et se donne à fond.
Putain il abuse là.
— Arrêtez commandant vous me gênez. — Ne le sois pas, il faut toujours prendre soin des bons éléments et tu en es un.
Il boit une gorgée de son café et pose la tasse.
Il bascule deux trois boutons, quelques voyants s’allument tandis que d’autres s’éteignent.
— Tu vois Maeva, l’avantage de l’avionique moderne, c’est que tout se commande presque tout seul.
Il se lève et me prend par les épaules, il me dirige pour que je m’installe à son siège. Houla, qu’est-ce qu’il va me faire ?
Installe-toi belle Maeva. Je vais te masser les épaules pour te détendre.
— C’est mon nouvel avantage de chef de cabine, commandant ?— Oui, on peut voir ça comme ça. Mais je n’offre pas ce privilège à toutes.— Ah oui ? Étonnant !
Je me laisse installer sur son siège et scrute l’horizon. Stéphane reste derrière le siège et repose à nouveau ses mains sur mes épaules et commence son délicat massage. Je suis à la fois autant gênée qu’excitée, et le jeune copilote doit aussi partager ce sentiment en nous regardant du coin de l’œil à intervalles réguliers.
Les mains fermes de Stéphane tombent subitement dans mon chemisier et palpent ma poitrine, un sein dans chaque main. Il fait pivoter le siège sur la gauche et Nolan se trouve donc en face de moi. Je sens bien qu’à ce moment tout dérapage est désormais inévitable. Mais en même temps, j’adore ça...
— Qu’en penses-tu Nolan ? Comment tu la trouves ? N’est-elle pas superbe notre chef de cabine ?
Nolan tourne timidement son fauteuil vers moi.
— Oui commandant, elle est très belle.
Je remarque une bosse sur son pantalon. Je me demande si Stéphane bande aussi. Il est plus âgé et expérimenté, il lui en faut sûrement plus que ça pour être au garde à vous. Je me dis que c’est le moment d’arrêter de faire la timide, Stéphane m’a connue beaucoup plus entreprenante.
— Et toi Maeva, comment trouves-tu mon jeune copilote du jour ?— Oui il est plutôt mignon.
En pressant les bouts de mes talons sur le sol, je me déchausse, je pose un pied sur l’entrejambe de Nolan, puis le deuxième sur l’accoudoir. Je suis légèrement jambes écartées, je tiens ma jupe par le bas, légèrement relevée, il a sûrement un beau champ de vision. Je sens bien même par-dessus son pantalon que son membre est légèrement bandé.
— Sors-lui ta queue Nolan.
Cela sort comme un ordre de la bouche de notre commandant. Alors le jeune second ne le fait pas attendre plus longtemps. Il déboutonne son pantalon et le fait descendre en partie tout en le gardant sur les cuisses. Puis il fait de même avec son boxer à motifs fantaisies. Il nous dévoile son sexe qui se dresse une fois libéré de sous vêtements. Sa queue est plutôt fine, mais assez longue. Plus encore que celle de Stéphane si je me souviens bien. Il est également vierge de tout poil, verge ainsi que testicules, tout est bien entretenu.
C’est là aussi qu’on voit la différence de génération avec Stéphane, lui c’est plus la vieille école. A l’aide de mes pieds, je prends son sexe en sandwich, la chaleur de son membre traverse sans problème le nylon de mes bas. Il faudra y aller molo avec ce jeune étalon. Je fais de très légers va-et-vient et guette ses réactions. Il prend enfin une timide initiative en mettant ses mains sur mes pieds et presse dessus pour bien serrer son sexe et ainsi le décalotter. Il en profite également pour accélérer le mouvement par rapport à ce que je lui faisais.
Stéphane a désormais délaissé mes seins et se tient debout à mes côtés. J’entends qu’il défait son pantalon, je tourne la tête pour voir ce qu’il me présente et vu qu’il a descendu son caleçon du même geste jusqu’à ses chevilles, je ne suis pas très loin de son sexe.
Comme je me l’imaginais, il faut le titiller pour qu’il soit dressé. Il retire sa jambe gauche de ses vêtements et pose le pied sur l’accoudoir de son trône que j’occupe. Etant circoncis, son gland large ballote au bout de sa grosse verge tout près de mon visage tel une boule que l’on tient au bout d’une corde. Je me tords pour pivoter sur le côté afin de lui faire face et je saisis son outil de virilité dans la main droite. Je sens trois spasmes en lui, à chaque fois son sexe se dresse de plus en plus, mes doigts s’écartent donc en même temps. Je pose ma langue à la base de son sexe et remonte lentement le long de sa verge pour enfin venir gober son gland. Il est très sec, je passe alors ma langue autour. Je lui ressors sa queue de ma bouche et je crache deux fois dessus. Une fois sur son gland et la seconde sur la verge. Et je saisis ce coup-ci sa bite à deux mains et le branle énergiquement.
— Wahoo quelle cochonne !— Attend mon gars ce n’est que le début.
Suite à ça, il décide de monter sur le siège debout, un pied de chaque côté de moi. Je me redresse pour être au niveau de sa queue, en délaissant par l’occasion Nolan de mes caresses pédestres. Stéphane debout devant moi s’appuyant d’une main sur le plafond de la cabine. L’autre main tient sa queue. Les miennes remontent de ses cuisses jusqu’à ses testicules et je les malaxe avec attention.
— Gobe-moi les couilles Maeva !
Elles sont un peu trop poilues à mon goût, mais c’est dit sur un ton très autoritaire et je prends cela comme un ordre professionnel.
Je lui en prends une bouche, trop grosses pour y mettre les deux d’un coup. Puis je m’occupe vite fait de la deuxième. Il me tapote un peu le haut du visage avec sa verge qui est désormais bien dure et me la renfourne dans ma bouche. Avec son autre main qu’il met derrière ma tête, les doigts bien écartés pris dans mes cheveux, il me dirige de mouvements puissants et rapides. Je gémis sous ses coups de reins et je me mets vite à déglutir. Je le repousse en appuyant sur ses cuisses et je bave pas mal quand sa queue ressort de ma bouche. Je reprends mon souffle et lui redescends du siège.
— Oula, fais très chaud là.
J’enlève mon chemisier par le haut comme un pull sans le déboutonner.
— Tu t’occupes un peu de Nolan maintenant, OK ?
Je ne réponds pas et je m’exécute. Je descends du fauteuil et me positionne à genoux devant le copilote. Le pauvre doit être tellement excité de m’avoir vue me faire baiser la bouche par son supérieur et je ne vais pas faire durer son supplice plus longtemps. Je m’empresse donc de prendre soin de cette jeune sucette toute neuve, je commence cette fois par ses bourses toutes lisses, une en bouche et ma langue joue tout autour sans peine. Je tente les deux d’un coup. Yes ça passe, j’imagine que cela doit rendre jaloux le patron. Je fais bien exprès de le faire remarquer en les faisant ressortir en maintenant une légère pression avec mes lèvres : PLOP !
— Ca te plaît que je te gobe les couilles ?— Ho putain ouais c’est trop bon. — Suce-le maintenant !— Très bien commandant !
Je m’exécute sans délai en descendant lentement sa longue verge entre mes lèvres sur le côté. Lui était déjà bien dur, pas besoin de le chauffer longuement. J’en profite également pour descendre boxer et pantalon en tirant tout cela juste en dessous de ses genoux. Il se dandine pour finir le travail et fait tomber le tout sur ses chevilles.
— Suce-le bien Maeva !
Je le prends donc en bouche et commence de petits mouvements. Le chef lui a apparemment besoin plus d’action. Alors il s’agenouille à côté de moi. Une main sur ma tête comme plus tôt et il me fait sucer Nolan avec plus de fougue. Son autre main me remonte ma jupe et il me caresse l’entrejambe déjà bien mouillé. Il décale mon tanga et m’y insère deux doigts et se balade vigoureusement dans ma fente. Il continue en même temps de me guider la tête sur la queue de Nolan sur une cadence tout aussi rapide.
Il retire sa main de ma tête et vient s’installer derrière moi lui aussi à genoux. Nolan en profite pour mettre ses mains à son tour de part et d’autre de ma tête. Son rythme est plus mesuré que le tempo imposé par Stéphane. Non pas pour me ménager moi, mais plus pour son plaisir ainsi que pour son endurance à lui je pense. Quant au Patron, il me tapote les lèvres humides et gonflées d’excitation puis s’insère en moi sans difficulté malgré son imposant sexe. Ses mains atterrissent sur mes hanches qu’il empoigne assez fermement et commence à me baiser en rentrant fort d’un coup et en se retirant lentement. Chaque coup de reins me fait bien bousculer. J’ai du mal à m’appliquer à ma sucette... Il se retire et m’enlève ma jupe pour plus d’aisance.
Je profite de cette accalmie pour dégrafer mon soutif. Toujours à genoux, j’avance légèrement pour me rapprocher de Nolan et il fait de même en se mettant au plus près du bord du fauteuil. En lui écartant un peu plus les cuisses, je prends son sexe entre les seins. Stéphane enlève sa chemise et s’avance également près de moi, il me biffle les fesses à plusieurs reprises et me passe sa main par-devant pour me titiller le clito, il se débrouille plutôt bien.
— Baise-moi encore Steph’ !— Pardon Maeva, j’entends pas bien ?!— Prenez-moi commandant !!! Vite !— Oui je préfère ça.
Il me soulève par les fesses pour bien s’installer en dessous de moi, il se dandine pour me pénétrer puissamment et plus vite que tout à l’heure. Sa main toujours à me travailler en même temps, à ce rythme il m’emmène rapidement à l’orgasme. Je ne peux pas m’empêcher de l’exprimer assez fort alors Stéphane me met instantanément sa main sur ma bouche et je me la mienne par-dessus la sienne comme si ce n’était pas suffisant...
Je sens Stéphane débander légèrement alors il se retire. Il s’installe à son siège et le tourne en position conduite pour souffler un peu, je pense. Ah ?! l’ancien aurait-il besoin d’une pause ?
— Vas-y Nolan, baise-la à ton tour.
J’enlève entièrement mon tanga trempé puis je monte sur lui à califourchon et je l’embrasse tout en déboutonnant sa chemise. Je saisis sa queue d’une main et la dirige en moi puis je me laisse redescendre sur lui. Il rentre tout seul et va effectivement un peu plus loin que Stéphane. Je mets mes mains autour de son cou et lui mets les siennes sur mes fesses. J’y vais au rythme que je veux au début et ensuite c’est lui qui me presse par les hanches pour m’accompagner plus vite.
Après que le commandant a vu que tout était en ordre, il revient près de nous et me caresse le dos. Sa main parcourt ma colonne vertébrale de haut en bas et finit sa course jusqu’à ma raie. Seul son index continue son chemin doucement et atterrit sur mon anus, comme pour me tester. Je ne bronche pas alors il me l’insère. S’il savait qu’à peine une demi-heure plus tôt s’y trouver un plug... Peu de temps après un deuxième doigt l’accompagne. Mais je ne peux pas me contenter que de ça, je veux plus.
— Tu veux me prendre ?— Tu veux qu’on te prenne à deux ? En même temps ? — Oui, vas-y viens !
Il s’approche du mieux qu’il peut de nous et pose un pied sur l’accoudoir pour être au niveau de ma croupe.
— Tu veux nos deux que queues dans ta chatte ?— Non encule moi, enculez-moi commandant !— Entendu !
Il pousse délicatement avec sa verge en main et je me détends assez aisément et son gland rentre en moi.
— C’est bon Maeva ?— Vas-y continue.
Une fois le stade du gland passé, il me prend par les épaules et s’insère plus loin en moi et je gémis progressivement. Ça va être compliqué de rester discrète...
— Première fois Nolan ?— Une nana à deux ? Oui monsieur.
C’est surtout Stéphane qui en profite le plus à cet instant. Il est plus libre de ses mouvements.
— Allez-y baisez moi !
A ses paroles, son sexe s’accélère dans mon cul et mes gémissements grimpent en tonalité. Cette fois c’est Nolan qui me met sa main sur ma bouche.
— Humpff Humpff HHUUUUUUMM.
Stéphane se ralentit et Nolan enlève sa main.
— Putain c’est trop bon là vos deux queues en moi !— C’est surtout ton cul qui est trop bon, réplique Stéphane. Tu veux l’essayer Nolan ?— Ha ça oui volontiers.
Mon commandant se retire et me met une claque aux fesses, j’ai pour réaction de sursauter et pousser un cri légèrement aigu. Il me prend par le poignet et me tire en arrière. Je me lève du siège en libérant Nolan. Sa queue bien bandée frappe son torse et provoque une légère éclaboussure, due à la fois de sa transpiration et également de ma mouille...
Stéphane s’allonge à même le sol de la cabine et toujours en me prenant le poignet je l’accompagne et m’installe sur lui il tient son sexe bien à la verticale d’une main, je n’ai plus qu’à y diriger mon bassin pour le prendre en moi. Tandis que Stéphane m’agrippe par les seins.
— Qu’est-ce qu’ils sont beaux putain !
Nolan retire complètement son pantalon et son boxer qui était jusqu’à présent toujours à ses chevilles et s’approche à côté de moi empalée sur notre supérieur. Je reprends son sexe encore humide en bouche pour son plus grand plaisir au vu des gémissements qu’il pousse. Le chef me tient désormais par les hanches pour me soulever légèrement et il commence à se dandiner violemment en dessous de moi pour me culbuter à vive allure. Il me secoue tellement que je ne peux plus garder le copilote en bouche et me contente de de lui tenir dans ma main, en espérant ne pas trop la serrer ou lui faire mal.
Stéphane se déchaîne et j’ai l’impression qu’il accélère encore. Je libère Nolan de mon emprise et tombe en avant sur le torse de Stéphane et je mets mes mains sur ses épaules. Je suis incapable de dire si c’est uniquement lui qui contrôle la baise ou bien s’il est aidé par une autre traversée de turbulences...
Enfin il se calme et je reprends un peu mes esprits bien que tremblante encore un peu... Et je me doute que ce n’est pas encore terminé...Je reprends appui sur son torse velu pour me redresser et je jette un regard à Nolan comme pour lui dire : viens !Pas besoin de mots, il a compris. Il se dirige donc derrière moi, et Stéphane toujours en moi écarte les jambes et plie les genoux comme pour lui faire de la place. On voit clairement qu’il a l’habitude de prendre des femmes à deux... voire à plus de deux, qui sait...?Nolan s’installe à genoux, je sens sa queue sur mon anus prêt à le recevoir. Stéphane met ses mains sur mes fesses et me les écarte comme pour l’aider à trouver le chemin... Je ne pense pas qu’il en ait besoin pourtant...Il doit rentrer sans trop de difficulté depuis le passage de Stéphane et de son gros engin. Autant qu’avec son gland large, je n’avais pas de mal à sentir ce cap passé alors que là j’ai plus de difficulté à ressentir où il en est...
— Wahoo c’est serré quand même ! s’exclame-t-il.
Il n’insiste pas plus et se décale en arrière. Il me crache sur les fesses à deux reprises. A l’aide de ses doigts, il fait glisser cela le long de ma raie jusqu’à mon anus, mais il n’ose pas insérer de doigts. Je le fais donc moi même avec deux doigts. Ah si en fait... effectivement je me suis déjà bien refermée, je ne pensais pas...Stéphane commence à s’impatienter:
— Vas-y, encule-la. Je veux qu’on la fasse jouir à deux.
Il s’exécute sur-le-champ avec moins d’égard et de retenue à mon sujet, comme si son poste était en jeu suite à cette directive du supérieur. Il change de tactique donc et se relève et passe ses jambes de chaque côté de mes hanches et oblige donc Stéphane à rapprocher ses jambes l’une contre l’autre. Nolan tient son chibre d’une main et fait comme pour s’asseoir sur moi en pointant son sexe vers le bas, mais sans visibilité sur ce qu’il fait. Je lui saisis d’une main alors et il me laisse le contrôle. Il prend mes épaules comme deux poignets pour se maintenir en position. J’amène son gland au but et je lui dis :
— Vas-y là. — Okaaayyyy.....
Il dit cela en même temps qu’il me l’insère en se faisait limite tomber de tout son poids sur ma croupe.
Je le sens s’insérer de plus en plus. Ça rentre un peu, ça glisse, ça glisse encore et...
— Ho puTAIN !
OK, elle est plus fine que celle de Stéphane surtout son gland, mais c’est largement compensé par la longueur de sa verge plus importante. Je sens qu’il n’ira pas plus loin au moment où je sens ses couilles se poser sur moi et c’est tant mieux...
Il se relève un peu et avance sur ses pieds pour trouver une position plus équilibrée et teste son amplitude en moi, il commence à ressortir et revient aussitôt au plus profond qu’il peut dès qu’il sent que son gland était proche de quitter mon cul...
Ses mains toujours sur mes épaules et Stéphane met les siennes sur mon cou qu’il maintient légèrement en pression puis il commence à se balader dans ma chatte avec douceur, mais amplitude. Nolan ne bouge que légèrement en moi. C’est surtout les rebonds provoqués par l’agitation de l’étage en dessous qui provoquent les aller-retour d’en haut...
Nolan commence enfin à y mettre du sien et prend du rythme. Il a quand même conscience, je pense, que je peux encaisser...? Vu comment son chef m’a prise tout à l’heure... oui probablement... vu que son rythme s’accélère encore un peu plus, des mouvements rapides, mais de quelques centimètres ce coup-ci.
Je me mordille les lèvres. En voyant cela, Stéphane accélère lui aussi sa cadence pourtant déjà élevée. Il s’est imposé le défi de me faire jouir à nouveau, accompagné cette fois de son second. Il me glisse son pouce en bouche, que je mordille également. Je me tords et me cambre un peu plus comme si je pouvais donner à Nolan la possibilité de venir plus loin en moi. Il se redresse et prend désormais appui sur mes hanches qu’il sert bien fermement. Il arrive tant bien que mal à se caler sur la cadence de son aîné, mais en décalage, quand l’un s’approche, l’autre se recule... ça commence à être très bon et je sens que je vais jouir. Je fais tout pour ne pas le faire paraître afin qu’ils continuent tous deux à ce rythme et ainsi en profiter plus longtemps. Leurs mouvements s’accordent à présent, les deux rentrent et sortent en mêmes temps. C’est un régal et j’ai du mal à présent à cacher mon plaisir :
— Ho oui, oui, OUI !!!— Ca y est ça vient ? Tu jouis Maeva ?! Lâche-toi ! Donne tout Nolan.
M’entendre de vive voix plus que de gémir leur donne un nouvel élan et je sens enfin Nolan y aller de toute sa longueur en moi. C’est trop bon et je ne peux plus le cacher...
— Putain, PUTAIN, PUUTAAAAAAiiiiiin... oui !!!!
Et j’entends le souffle de Nolan derrière moi :
— Han, haan, haaannnmhh...
Ces râles intenses alors qu’il était jusque-là discret s’accompagnent de spasmes le long de sa verge et de jets en moi... Il reste tout de même bandé au plus profond de moi. Stéphane a compris.
— Ho mon salaud ! Tu lui as déchargé dans le cul ?— Désolé, c’était trop bon, je ne tenais plus...
Toujours bien bandé dans mon derrière, il relâche mes hanches et passe ses mains sur mon dos et remonte lentement, mais fermement jusqu’à mes épaules comme pour me masser puis il m’embrasse dans la nuque et redescend à nouveau jusqu’à mes fesses... et encore un aller-retour avec ses mains. Enfin il garde une main sur mes fesses, se retire et se relève...Évidemment je ne garde pas en moi son offrande:
— T’abuses, ça me coule dessus...
Stéphane se plaint, ça alors... Moi qui le pensais plein d’expérience, je ne pensais pas que ça le dérangerait... Je bouge encore un peu mon bassin sur lui, mais je sens qu’il débande... Ho, ça le dégoûte tant que ça le sperme d’un autre...?Je m’étends sur lui et l’embrasse. Sa verge à moitié molle quitte naturellement mon vagin. Je me glisse en arrière et effectivement il a la semence du jeunot un peu sur sa verge et pas mal sur ses bourses. Je m’applique à lui nettoyer à ma façon les boules dans un premier temps. Puis en glissant ma langue sur sa tige je sens un afflux sanguin lui redonner vigueur.
— Relève-toi petite beauté.
Je m’exécute aussitôt.
— Mets-toi à genoux sur le siège.
Je monte en fixant l’horizon.
— Non non pas comme ça, face à moi. — Ho pardon commandant.
Il me met son sexe entre mes seins en me les tenant serrés et commence de légers va-et-vient. Puis il me crache sur le buste et accélère sa branlette. Je lui retire ses mains pour mettre les miennes à la place et accompagne le mouvement en sens inverse pour amplifier la sensation. Et lui met une de ses mains derrière ma tête et agrippe mes cheveux. Son second se tient à côté de nous, debout entre les des sièges. Il alterne son regard à intervalles réguliers entre le spectacle qu’on lui offre et l’horizon devant lui. Je m’aperçois qu’il bande toujours.
— Regarde Nolan comment on souille une belle petite salope de ce genre.
Toujours en m’agrippant les cheveux, il me fait descendre de son trône, ou plutôt tomber dois-je dire vu comment il me tire...
— Viens, viens, dépêche-toi ! Mets-toi à genoux.
Il me fait mettre son sexe en bouche, je mets ma main dessus, mais il me la retire aussitôt pour me l’enfoncer profondément dans ma gorge.
— Gluh gleeuh gluurp !
Quatre aller-retour dans ma bouche et il lâche son fluide dans ma bouche. Son jet est puissant et conséquent. Olala, y en a trop, je déglutis et le repousse, et j’en fais ressortir une grande partie, ça tombe sur mon buste. Il reprend sa bite en main et vise mon visage, je reçois un deuxième jet, presque autant que le premier, pleine face et je sursaute un peu. Il fait deux trois va-et-vient avec sa main et paf encore en peu. Il débande et je comprends que c’est fini.
— La vache, vous lui en avez mis partout !— Tiens rapproche-toi. À toi d’avoir mon jus sur ta queue.
Houla, c’est une punition qu’il lui fait ? Ça l’a tant dérangé que ça ?!
— Comment ça ?— Sers-toi de ta queue pour lui nettoyer tout ça. Rapporte-lui en bouche.— Euh... OK !
Il est assez étonné, mais se plie tout de même à cette demande malgré tout. Avec sa belle tige toute lisse, il passe sur mes joues de droite à gauche et de gauche à droite en s’arrêtant à chaque fois à ma bouche pour lui lécher tout ça. J’avoue qu’au final ce délire m’excite un peu et j’en rajoute un peu.
— Lèche-moi les seins.
Il se met à genoux et ramasse la semence de son supérieur avec sa bouche et me l’amène dans la mienne et on s’embrasse. Stéphane ne regarde plus et en profite pour se rhabiller. Je vois que Nolan a toujours sa queue à la main toujours bien bandée, il se masturbe doucement. J’ai envie de le faire exploser à nouveau.
— Tu peux encore jouir tu crois ?— Heu peut-être, pourquoi ?— Donne-moi ta queue alors.
Il se relève aussitôt et j’empoigne son sexe à deux mains. Et il reste encore son gland qui dépasse pour le prendre en bouche, ce que je fais bien évidemment. Et je m’amuse avec ma langue autour de son gland.
— C’est trop bon Maeva continue.
Je m’applique un peu plus et augmente la cadence de mes mains. Il s’accompagne en me prenant la tête. Il s’inspire de son chef. Cherchant à me la mettre plus profond, je suis obligé de retirer une main... puis la deuxième... Et j’agrippe ses fesses à la place. Il prend plaisir à me baiser la bouche. C’est rapide et un peu brouillon, il va à deux reprises un peu loin et me fait déglutir, mais toujours avec ses mains sur moi, il continue. Son souffle s’accélère, je pense que ça va être le moment pour lui. Il retire son sexe de ma bouche et se branle très énergiquement à une main, la verge tendue à la verticale. Son autre main toujours derrière ma tête il me tient près de lui, de son entrejambe, j’en profite pour reprendre ses bourses en bouche. Je balade ma langue très dune couille à l’autre...Son souffle est très expressif à nouveau.
— haaaaan ça vient !
Je délaisse ses boules et j’ouvre la bouche en tirant la langue. Le message est assez clair. Toujours en s’astiquant il pose son gland sur ma langue.
— Han, haaan, haaaaaaaaaan !!!!
Trois petites giclées en sortent, délicatement posées sur ma langue. Je reprends sa queue en bouche et tire Nolan contre moi avec mes mains sur ses fesses. Je joue de ma langue autour de son gland avec son sperme...C’est définitivement la fin pour lui, il débande enfin dans ma bouche et se retire, il me relève et m’embrasse. J’ai encore sa semence en bouche que je partage avec lui, mais je prends bien soin de ne pas en avaler et d’en garder encore dans ma bouche, j’ai un dernier sévice derrière la tête.
Je me dirige vers Stéphane qui était du coup redevenu très professionnel à son poste et casque sur la tête. Je prends son menton pour lui faire tourner la tête vers moi. Je suis debout et donc plus haut que lui, il est obligé de mettre sa tête légèrement en arrière, pour une fois que je le domine d’une quelconque façon... Je m’approche de lui sans rien dire pour l’embrasser et il se laisse faire. Je pose mes lèvres contre les siennes et il ouvre aussitôt la bouche, je rentre ma langue en lui en prenant bien soin de pousser ce qu’il reste de la dernière offrande de Nolan...Ça lui prend bien 5 secondes pour comprendre et il me repousse.
— Ho putain Maeva non, t’es horrible !!! Et ça te fait rire en plus ?!— Oui beaucoup mon commandant. — Je te le ferais payer petite garce !— Maïs j’y compte bien...
Diffuse en direct !
Regarder son live