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La nouvelle bonne

Chapitre 3

Erotique
Elodie attend patiemment dans le lit, un livre en main qu’elle dépose sur sa table de nuit à leur arrivée. Seuls ses bras et ses épaules dépassent des draps. Lisette est surprise de la deviner nue, sans chemise de nuit. — Quelque chose vous gêne dans cette chambre, Lisette ? demande Elodie qui se rend compte du trouble de la jeune fille. — Non pas du tout. Excusez-moi, c’est idiot de ma part. Elle aurait du se douter que dans cette maison les toilettes de nuits sont sommaires et ne pas paraître étonnée. Elle espère qu’Elodie ne se vexera pas. Luc ne remarque rien dans l’échange entre les deux femmes et annonce triomphalement : — J’ai annoncé à Lisette que nous la gardons. Tu n’y vois pas d’inconvénient ? La jeune femme sourit. La nouvelle bonne semble à son goût et il n’a pas été long à en obtenir satisfaction. — Non, je suis sûre que nous allons bien nous entendre, n’est-ce pas ? — Merci beaucoup à tous les deux. Lisette se dandine sur place. Elle ne sait que faire maintenant. — Je ne voudrais pas abuser. Je vous laisse seuls et je retourne dans ma chambre. — Tu ne vas pas te sauver ainsi ! Viens me dire bonsoir au moins. Elle tape sur le drap pour l’inciter s’approcher. Lisette obéit, mais pas assez près au gré de la jeune femme. Elodie la tire par le bras. Le drap glisse découvrant la poitrine. La bonne bascule à moitié sur le lit et prête ses lèvres. La jeune femme guide sa main sur un sein. La paume se referme sur le mamelon. Sa jupe a glissé sous le mouvement et découvre les cuisses. Luc devine les fesses sous le tissu. L’envie d’y goûter sur-le-champ, fait renaître son désir. Il se retient. Il ne faut pas la brusquer, la laisser s’acclimater. Il soulève la jupe et caresse du doigt les globes roses. Lisette apprécie le contact. Elle n’a plus peur que Luc la caresse devant sa patronne. Elle grimpe un genou sur le lit ce qui lui écarte les cuisses. Elodie a peur pour la jeune fille. Elle n’est sûrement pas prête à se faire enculer. Elle sait bien que Lisette passera à la casserole tôt ou tard, mais ne croit pas que ce soit une bonne idée de couronner ainsi le premier soir. Si elle n’intervient pas, Luc ne se maîtrisera pas. Elle repousse Lisette. — Attendez, je ne suis pas bien, moi. Montez sur le lit. Ce sera plus confortable. — Confortable pourquoi ? Pour discuter ? s’étonne Luc. Lisette était bien placée pourtant. — C’est çà, pour discuter !… Attendez. Lisette étouffe un petit rire. Il ne s’agit pas de discussion, pour sûr ! Elle n’a plus envie de partir, pressentant une nouvelle séance de jambes en l’air. Que sa patronne soit présente ne la gêne plus ! Elodie découvre le lit, faisant valser draps et couvertures. Elle place les oreillers contre la tête de lit et s’y adosse. Les plantes de pied l’une contre l’autre, elle expose son sexe aux regards. Cela l’amuse de provoquer la bonne. Celle-ci s’efforce de fixer le visage de la jeune femme mais ses yeux sont irrésistiblement attirés par les lèvres roses. Elle s’installe à coté, jambes repliées sous la jupe. — Donc, tu es contente de ta première journée ? — Oui Madame. — La maison, ses habitants, tout est à ton goût ? — Oui, oui ! — Et bien, c’est parfait. Luc grimpe aussi sur le lit. Elodie secoue le col du chemisier de Lisette : — Ne voulez-vous pas vous déshabiller, vous me donnez des complexes.
Luc ôte son tee-shirt. — C’est ce que je fais, tu vois. Il se lève, ôte pantalon et de son slip qu’il pose soigneusement sur une chaise et remonte sur le lit, nu comme un ver. Lisette reste bouche bée à la vue du sexe dressé. Quelle faculté de récupération ! Elle se laisse déshabiller par le couple. Elodie dégrafe le soutien-gorge. Les seins haut placés font l’admiration de Luc : — Et dire que vous m’avez caché ça ! — Qu’avez-vous donc fait pendant que vous étiez seuls ? — Oh ! Pas grand chose. Lisette s’étrangle et pique un fard. — Je vous crois ! Lisette, enlève ta jupe s’il te plaît, et couche-toi à coté de moi. Ils la couvrent de baisers et de caresses. Elle ne sait plus où elle en est. Elodie prend possession des seins pendant que Luc s’occupe du bas. Il écarte les cuisses. Ses paumes remontent jusqu’au sexe qu’il ouvre des doigts. Elle n’oppose aucune résistance. La jeune fille tente une caresse maladroite sur Elodie. Celle-ci guide la main entre ses cuisses. Luc promène le gland sur les lèvres carmin, le clitoris et l’entrée du vagin. Il résiste à la tentation d’explorer plus bas et l’embroche d’un coup précis. Lisette gémit sous la pénétration. Elle murmure des paroles incompréhensibles. Sa tête tourne de part et d’autre sous l’emprise d’un plaisir intense. Luc est frappé de cette débauche d’énergie. Il s’applique à la satisfaire. Brusquement elle serre les cuisses, pousse un cri et retombe inerte, pantelante. Le couple est surpris par la violence et la rapidité de son orgasme. Il retire une verge luisante frémissante. Elodie l’interroge doucement. — Elle ne t’a pas laissé le temps de jouir ? — Non, regarde. La raideur de la queue est éloquente. — Viens, je vais te guérir. Il s’apprête à passer à coté d’Elodie quand une idée traverse son esprit. Dans son état Lisette est capable de tout accepter. — Tu sais…— Qu’as-tu encore ? — Je crois qu’elle est prête. Elle ne demande pas de quoi il veut parler, elle le sait. Elle regarde la jeune fille. Après un tel orgasme, il est vraisemblable qu’elle acceptera la pénétration anale. — Tu n’as pas peur de la dégoutter de nous ? — Non, non, je ferai attention. Tu m’aides ? Lisette émerge de sa torpeur : — Que dites-vous ? Luc la taquine : — Pas le droit d’avoir nos petits secrets n’est-ce pas ? Elodie hésite. Comment Lisette va-t-elle réagir ? N’est-ce pas trop pour le premier soir ? Bah ! On peut toujours essayer. Si cela ne marche pas du premier coup, tant pis. Demain, quand elles seront seules, elle convaincra la jeune fille de se prêter au caprice de Luc. Elle baisse les paupières en signe d’accord et réfléchit au moyen de mettre la jeune fille en position : — Lisette, es-tu fatiguée ? — Un peu, Madame. — C’est que je n’ai pas eu mon content de plaisir, moi, égoïstes que vous êtes. Luc tout heureux de la permission donnée, attrape la balle au bond : — Que faut-il faire pour nous faire pardonner ? — J’ai envie d’être caressée par Lisette. — Tu entends, Lisette ? Es-tu prête. La perspective réjouit la jeune fille : — Oui Monsieur. Luc se place au pied du lit. Lisette se penche sur Elodie pour embrasser l’aile du nez. — Attendez, attendez ! Vous n’allez pas vous caresser ainsi ! Elodie, couche-toi sur le dos, la tête vers moi. Toi Lisette, place-toi au-dessus de façon que ta figure soit à la hauteur de son sexe. Cela plaît à la jeune fille, en souvenir de la séance de l’après-midi. Les deux femmes obéissent, Lisette toute fière de dominer Elodie. Elle applique son savoir tout neuf et recherche du doigt le clitoris. Penchant la figure entre les cuisses, elle le serre entre ses lèvres. De son coté la jeune femme écarte les fesses et lèche le sexe humide retrouvant sur la langue le goût du sperme de son mari. Luc s’approche du cul convoité. Il pose les mains et caresse les globes. Ses doigts s’insinuent dans la raie à la recherche de l’anus dont il fait le tour. La caresse rappelle à Lisette celle prodiguée par Elodie. Elle ne bronche pas. Il trempe le doigt dans le vagin et le présente devant le petit trou convoité. Une poussée, il entre. Lisette essaye de serrer les fesses qu’Elodie maintient écartées. Il la calme : — Laisse-toi aller, continue de t’occuper de ta partenaire et accepte la nouvelle caresse. Confiante, elle reprend ses suçons. Pour ne pas être en reste, à son tour elle introduit le doigt dans le cul d’Elodie qui a devant les yeux le spectacle de l’index de Luc profondément enfoncé. Il reprend : — As-tu déjà fait l’amour par là ? La surprise fait lever la tête à Lisette. — Où ? Dans le… Cu… derrière ? — Oui, sodomisée. — Comment ? — Sodomisée, enculée quoi. — Oh ! Elle a un réflexe de fuite que le couple maîtrise sans peine. Elodie essaye de la calmer : — C’est le mot qui te fait peur ? — Non… Si… Euh… Je ne l’ai jamais fait. Luc insiste : — Pourquoi ne pas essayer ? — Essayer ? Maintenant ? — Jusqu’ici, Est-ce que nous t’avons donné motif à te plaindre ? — Euh… Non. — Alors ? Elle n’a plus d’argument à opposer. — Non… Je… Ça fait mal ? Elodie répond : — Un peu la première fois, mais tu verras comme c’est bon, surtout si je te caresse en même temps. Coincée entre eux deux, elle n’ose pas reculer. La curiosité est la plus forte et l’aide à franchir le pas : — Je… Je veux bien essayer. Ne me faites pas mal s’il vous plaît. — Si tu restes bien calme et si tu suis nos instructions, tout ira bien. J’y veillerai, n’est ce pas Luc ? Il se prépare. Il frotte sa queue sur les lèvres emplies de mouille. Elodie est toute remuée. C’est la première fois qu’elle voit le sexe de Luc passer à l’action d’aussi près. Elle ne peut s’empêcher d’ajouter sa salive sur la hampe quand celle-ci passe à proximité de sa bouche. Elle prodigue ses conseils à Lisette : — Quand tu sentiras le sexe s’introduire, tu pousseras. Cela dilatera l’anus et facilitera l’entrée. Le gland se pose sur la rosette. Qu’il paraît gros, disproportionné devant la petitesse de l’orifice. Elodie sait par expérience que ce n’est qu’une illusion et qu’il entrera si Lisette le veut. Et elle le veut la petite ! Elle tremble d’appréhension mais aussi d’impatience. Le bout violacé appuie. Le cul cède sous la pression : — Allez ! Du courage, pousse ma petite Lisette. Elodie écarte les fesses. Le gland disparaît : — Ouill… Ssssh ! Elle a retenu un cri ne laissant passer qu’un gémissement. Elle est courageuse. Elodie est confiante pour la suite. Après un tel départ, elle est prête à parier sur le succès de la défloration annale. Luc, dont la verge est totalement introduite, s’inquiète : — Ça va ? — Laisse-la s’habituer, je te dirai quand tu pourras bouger. Elodie masse les chairs autour du pieu qui déforme le cul. Lisette respire fortement. De l’autre main, Elodie caresse le clitoris. — Ça va mieux ? — Oui, un peu mieux. — Bon alors, continue de me lécher, tu verras cela t’aidera à supporter la douleur. Et toi, Luc, vas-y, en douceur s’il te plaît. Cela lui fait tout drôle de suivre la sortie interminable de la hampe. Dieu qu’il s’était enfoncé ! Le mouvement s’inverse. Elle tire sur la peau du cul pour élargir l’orifice. Luc ne s’arrête que lorsque son pubis rencontre les fesses. Ses testicules pendent, émouvantes de faiblesse. Elodie les chatouille du doigt. Le contact soyeux des cheveux de Lisette caresse ses cuisses. De nouveau sa langue tète son sexe. La jeune fille fait tout pour leur être agréable et accompagne l’homme de timides coups de reins. Elodie enfonce le majeur dans le vagin. Elle a sous les doigts la grosseur de la verge de Luc qui déforme les intestins. — Eh ! Ne m’oublie pas, mets deux doigts dans ma chatte, possède-moi ! Mieux que cela, la jeune fille fourre un doigt dans l’orifice désigné et l’autre dans l’anus. Elodie sens une torpeur bienfaisante l’envahir. Les caresses de Lisette, le contact de ses muqueuses, le spectacle de la queue qui entre et sort à quelques centimètres de ses yeux, tout cela se mêle. Dans un brouillard elle entend la bonne extérioriser ses sentiments. C’en est trop. La vague du plaisir la submerge. Après un éblouissement de quelques secondes, Elle s’applique à la faire jouir à son tour. C’est chose faite au moment elle voit nettement les ondes successives de l’écoulement du sperme déformer le conduit qui court sous la verge de son mari.
Elodie étouffe sous le poids de ses deux partenaires et se dégage avec peine. Luc roule sur le dos tandis que Lisette gît sur le ventre, écartelée. Tout à l’heure, quand Luc lui a avoué son désir de sodomiser Lisette après l’avoir baisé, elle a ressenti un soupçon de jalousie. C’était son tour d’être « honorée », mais elle est heureuse d’avoir vécu une telle expérience, d’avoir contemplé de près la queue qu’elle chérit tant, exécuter son travail, comme dans un spectacle pornographique mais tellement mieux dans sa réalité émouvante. Luc se penche sur le corps prostré sur le lit : — Alors, ma toute belle, que penses-tu de cette journée ? Lisette tourne la tête vers son interlocuteur. — Je ne sais que dire. Je crois que vous m’avez fait la totale n’est-ce pas ? — Tu penses te plaire avec nous ? — Il faudrait être difficile. Luc caresse les fesses. Sous ses doigts, il fait naître des grumeaux de chair de poule. Lisette ronronne, la tête dans le drap. Elodie brusque les choses : — Je crois qu’il est temps de se reposer et de dormir. Demain, Lisette, lever sept heures pour préparer le petit déjeuner. — Oui Madame. Avec peine, elle se met à quatre pattes puis descend du lit, enjambant les corps. Une main sur les fesses, elle marche courbée, jambes écartées. Elodie a pitié d’elle. — Attends, je vais te donner une crème adoucissante, cela te soulagera. Elle fouille dans la coiffeuse. Un instant, elle pense l’appliquer elle-même, puis se ravise. Elle veut rester seule avec Luc ! — Tiens. Tu en badigeonnes le pourtour de l’anus, c’est efficace. — Merci Madame. Les deux femmes s’embrassent sur le pas de la porte. Elodie revient vers son mari. Elle tire drap et couverture et vient se pelotonner contre lui. Ils entendent la jeune fille entrer dans la salle de bain et prendre une douche. — Alors ? Qu’en dis-tu, ma chérie ? — C’est une gentille fille. Et ce qui ne gâche rien, elle travaille bien, vite et bien. — C’est un bon numéro alors ? — C’est à toi de me le dire. On dirait que tu l’as appréciée. Tu ne regrettes plus Sylvie ? — Sylvie ? Qui c’est ça Sylvie ? — Oh ! Tu es impossible ! Luc en riant la prend dans ses bras. Elodie passe une main entre leurs corps serrés jusqu’à la chose molle et poisseuse qui d’habitude sert de sexe à son mari. — Elle t’a complètement vidé, mon chéri. Elle retire la main mais il arrête le geste : — Non, continue s’il te plaît. — Tu veux que je caresse ton… cette chose ? Cette chose ! Si les attouchements d’Elodie n’étaient si agréables, Luc s’insurgerait devant sa désinvolture ! — Oui, caresse-moi… Oui, là…C’est rare qu’il admette sa fatigue. D’habitude il est trop fier pour la lui faire toucher du doigt. Elodie prend plaisir à triturer ce sexe mou, tendre et fragile. — Tes caresses me font du bien. — Je m’en aperçois. L’engin grossit entre les doigts agiles. Luc qui récupère vite, rend caresse pour caresse. Il l’enlace et l’embrasse passionnément. Ils roulent sous la couverture. Empêtré dans le drap, il se dégage et s’agenouille au-dessus d’Elodie. Son bas ventre s’orne d’une tige de belle taille. Elle est heureuse de son désir, qu’il ait envie d’elle après les prouesses de la soirée. Elle écarte les cuisses et ouvre sa chatte : — Viens mon amour, viens, j’ai besoin de toi. — J’arrive ma chérie. Il l’embroche d’un sexe conquérant. Elle appuie les talons sur les fesses de Luc pour qu’il entre au plus profond. Il se sent bien. Ses coups de reins sont réguliers. La fatigue s’est envolée. Il lui semble qu’il peut continuer sa chevauchée jusqu’au matin. La jouissance envahie Elodie. Elle monte, monte, n’en finit pas d’atteindre et de dépasser des niveaux insoupçonnés…
Après l’amour, ils restent serrés l’un contre l’autre sans un mot. Elle comprime les muscles du vagin pour retenir le sexe qui se rétracte doucement, lui procurant un plaisir doux. — J’ai failli la trouver envahissante cette petite ! — En serais-tu jalouse ? — Non, mais si j’accepte de partager, je n’aime pas être délaissée. — Cela ne m’arrivera jamais, tu viens d’en avoir la preuve. Elle aime ces instants de pur bonheur après l’amour. Luc desserre son étreinte. Elle se dégage, remet de l’ordre sur le lit et l’embrasse sur le front. — Bonne nuit, mon chéri. Pas de réponse, il dort. Avec un sourire satisfait, elle éteint la lampe et se pelotonne contre lui…
A suivre…
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