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La nouvelle bonne

Chapitre 4

Erotique
Le lendemain matin, Lisette est réveillée par la musique de son radio réveil. Elle s’étire. De se trouver nue dans un lit étranger la surprend. — Ah oui ! Je me souviens. La veille après sa douche, elle était tellement fatiguée qu’elle n’a pas eu le courage d’enfiler son pyjama. Les détails de la soirée affluent à son esprit. — Tu parles d’une entrée en matière ! Qu’est-ce que j’ai joui ! Elle fait une toilette rapide au lavabo. Elle ouvre sort des vêtements propres. — Oh j’allais oublier ! Le matin le patron est là, donc, pas de jeans ! Elle observe sa jupe. Elle n’est pas trop froissée, ça ira pour ce matin. Elle la lavera dans la journée, ainsi elle sera propre ce soir pour le retour de Luc. Elle va enfiler un slip et se ravise. — C’est vrai ! Pas de culotte qu’il m’a dit ! Elle met la jupe et tourne sur elle-même, admirant ses fesses dans la glace avec un petit rire. Elle complète son habillement d’un chemisier qu’elle ferme incomplètement sur sa poitrine nue. — Bon, allons-y !
Après le petit déjeuner, Luc se prépare à partir. Il prend sa serviette. Il attire la jeune fille contre lui et passe la main sur les fesses. — Je te remercie, tu n’as pas oublié mes recommandations, c’est bien, continue ainsi. Il tapote la jupe. — Bon, je vous laisse. Soyez sage. — Oui papa ! Luc agrippe Elodie qui fait mine de fuir. Il lui inflige un baiser première catégorie sous le regard bienveillant de Lisette. Dès qu’il a fermé la porte Elodie, se retourne vers la jeune fille. — Au travail ! Je te conseille de monter te changer. Enfile un jeans, ce sera plus commode pour faire le ménage. Ensuite nous irons à l’agence pour régler ton cas puis nous ferons les magasins. Il est temps de compléter ta garde robe. — C’est que je ne suis pas riche. — Aucun problème, considère-le comme des frais professionnels ! Elles consacrent l’après-midi aux achats. Elodie doit souvent intervenir car les choix de Lisette sont trop sages, trop classiques pour son âge, et surtout peu conformes au goût de Luc. Elle s’est presque fâchée pour que la jeune bonne accepte de quitter le dernier magasin en mini jupe. Le premier moment de gêne passé, la jeune fille a pris plaisir à surprendre le regard des hommes et même des femmes sur ses cuisses dorées. Elle n’imaginait pas comme il est agréable de se sentir admirer.
Lisette juchée sur un escabeau époussette les rayons de la bibliothèque. Elodie rentre dans le salon. — Lisette ! As-tu vu l’heure ? Luc va bientôt arriver et tu es encore en jeans ! — J’ai presque fini.
— Monte te changer, c’est plus prudent. Tu termineras ensuite. La jeune fille descend de son perchoir et gravit l’escalier. Quelques minutes après, elle apparaît dans sa jupe, le chemisier ondulant sur sa poitrine. Elodie sourit. C’est vrai qu’elle est plus mignonne ainsi, Luc a raison de vouloir qu’elle porte des jupes ! pense-t-elle. — Bien, tu peux continuer de nettoyer la bibliothèque. Je m’occupe du repas dans la cuisine. A ce moment, le bruit de la porte d’entrée qui s’ouvre l’interrompt. — Voilà Luc. Tu vois, nous avons bien fait de prendre nos précautions ! Il entre en véritable maître de maison et claironne : — Bonjour tout le monde ! — Bonsoir, Luc. — Bonsoir Monsieur. Il embrasse ses « femmes ». Elodie se dégage. — Tu rentres tôt dis donc ! Ton arrivée précoce nous surprend en plein travail. Je dois aller à la cuisine finir le repas pendant que Lisette termine le nettoyage de la bibliothèque. — Je m’en voudrais d’interrompre de si bonnes résolutions. Laissons Lisette à son époussetage. La jeune bonne grimpe sur l’escabeau. Quand elle se penche pour atteindre un coin retiré, sa jupe remonte sur ses cuisses jusqu’au début des rondeurs fessières. Luc, sourit au spectacle. Il se félicite d’avoir interdit à la jeune fille de porter culotte. Une riche idée qu’il a eue, se congratule-t-il. De la cuisine, Elodie commande : — Prépare-moi un gin tonic. — Oui ma chérie. A sa voix Lisette se retourne. La vision de son cul disparaît. Dommage, pense Luc. — Ne te dérange pas pour moi, continue ton travail. Il se dirige vers le bar. Lisette lui offre de nouveau la vision de son postérieur. La vue des rondeurs titille la libido de Luc. C’est trop tentant. Il défait sa ceinture. Le pantalon glisse sur ses hanches. Il le soutient et se déplace sans bruit jusqu’au pied de l’escabeau. De là le spectacle est encore meilleur ! Lisette ne se rend compte de rien et continue son travail. Le pantalon tombe sur les talons de Luc. Le slip suit. Il se place derrière la bonne les yeux à hauteur du cul. Il prépare sa queue d’une main et soulève la jupe de l’autre. — Oh ! La jeune fille vacille. Luc abandonne son engin et la maintient par les hanches. — Eh ! Ne tombe pas ! — Excusez-moi, vous m’avez surprise. Elle se rétablit sur l’escabeau. Luc ne desserre pas les bras. — Descends doucement. — Que je descende ? Mais je n’ai pas fini ! — Cela suffit pour ce soir, descends te dis-je. Luc lâche Lisette d’une main qu’il utilise pour guider sa verge. La jeune fille descend une marche et sent la grosseur glisser entre ses cuisses. — Oh ! — Tu peux continuer. Elle comprend ce que Luc a en tête. — Oh ! Vous alors ! Lisette descend une marche supplémentaire. La queue ne se présente pas bien. — Attendez ! Elle se soulève et place l’engin en bonne position. — Comme ça, ça va… Aaarrgh ! La jeune fille atteint la marche inférieure. Le membre de Luc s’enfonce sans résistance. — Tu peux si tu veux monter et descendre. — Oh oui ! Luc tient l’escabeau à deux mains pendant que Lisette s’aidant des pieds et des mains sur les marches monte et descend sur la verge qui la transperce. — C’est ainsi que tu prépares mon apéritif ? Lisette surprise cesse ses mouvements. Luc rouspète : — Ne t’arrête pas, continue ! — Continue Lisette. Je sais bien que ce n’est pas de ta faute. Tout en parlant, Elodie s’approche du couple. Elle se place à coté de l’escabeau. Sa main sous la jupe, prend possession du clitoris de la jeune bonne. — Aaah ! — Allez Lisette, je t’aide. La jeune fille reprend sa chevauchée, doucement d’abord, puis avec détermination. Luc ahane comme un forcené. Elodie est forcée d’abandonner la caresse pour maintenir l’escabeau qui tangue. Enfin Lisette se tétanise sur ses marches, les bras et jambes raides et Luc éjacule dans ses derniers coups de reins. Les deux jouteurs s’agrippent à l’escabeau pour ne pas s’effondrer. Elodie inquiète regarde s’ils vont tenir debout, puis rassurée se sert son gin tonic. — Un petit apéritif Lisette ? — Non, merci, je ne prends pas d’alcool. — Une goutte dans l’état où tu es te fera le plus grand bien. Luc réclame : — Sers-moi un whisky, s’il te plaît. — Sers-toi toi même. Je m’occupe de Lisette. Il se détache de la bonne. Elodie aide celle-ci à descendre de son perchoir, la conduit au canapé et lui met un verre dans les mains. La jeune fille avale une bonne gorgée et manque de s’étouffer. — Oh ! C’est fort ! — Fini ton verre tu verras ça ira mieux après. Luc a récupéré slip et pantalon. Il est satisfait. Une bonne petite baise au retour du boulot, ça c’est sensationnel ! Et en plus Elodie a oublié de se moquer de sa tenue ! Il se verse un bon whisky et vient s’asseoir entre ses deux femmes comme il dit…
Lisette se réveille de bonne humeur. Elle saute du lit toute nue et s’admire dans la glace. Depuis qu’elle est dans cette maison, elle n’a pas fait beaucoup de frais de pyjama ou de chemise de nuit ! Elle se débarbouille au lavabo. Elle prendra une douche après le ménage. Son nouvel emploi lui plaît bien. Le travail n’est pas désagréable et elle peut enfin étancher sa soif d’amour. Mon dieu ! Que cela lui avait manqué dans ses précédentes places ! Ici, heureusement, ce n’est pas le cas ! Il ne se passe pas de jour ou Luc et Elodie ensembles ou séparément ne la sollicitent pour un intermède amoureux. C’est le pied ! Lisette esquisse un pas de danse sur le plancher. Elle enfile machinalement une petite culotte. Devant son armoire, elle contemple ses nouvelles acquisitions. Elle choisit une jupette qu’elle passe et un chemisier qu’elle laisse bâiller sur sa jeune poitrine. Ainsi vêtue, elle descend dans la cuisine, préparer le petit déjeuner. Elle est surprise de voir Luc installé à table. D’habitude Elodie descend la première. Elles ont le temps de déguster une première tasse avant l’arrivée du maître de maison. — Lisette, sers-moi le petit déjeuner, s’il te plaît. — Oui Monsieur, tout de suite ! Il la regarde avec attendrissement évoluer dans la cuisine. Ils n’ont jusqu’ici qu’à se féliciter de la jeune fille. La maison n’a jamais été si bien tenue. Elodie est satisfaite de l’aide apportée et tous deux sont content de sa… euh… comment dire… sa docilité, et sa disponibilité, oui c’est ça, de sa disponibilité. Lisette dispose le pain et le beurre sur la table puis apporte une cafetière fumante. Tout près de Luc elle remplit la tasse. Son chemisier bâille sur un sein impertinent dont le téton joue à cache-cache avec le revers du col. Il pose d’un geste naturel la main au bas de la cuisse. Lisette se raidit brusquement et verse quelques gouttes hors de la tasse. Il est surpris de sa réaction. — Fais donc attention, Lisette, tu taches la nappe. — Pardon, Monsieur. Elle pâle et tremblante. Luc remonte la main le long de la cuisse et comprend la raison du trouble de la jeune fille. Elle a oublié de quitter sa culotte ! Qu’il soit descendu le premier a surpris la jeune fille. Tout cet émoi pour si peu ! Il va la réconforter, l’excuser, mais se ravise. Non ! Il ne faut pas laisser l’incident sans punition ! Cela en serait fini de la discipline ! D’ailleurs l’attitude contrite de la jeune fille montre qu’elle s’attend à une remontrance, il ne faut pas la décevoir. Il adopte une grosse voix. — Lisette ! — Oui Monsieur. — Posez cette cafetière ! Elle obtempère, plus inquiète du brusque vouvoiement que du ton. — Je croyais m’être bien fait comprendre, mais je vois qu’il n’en est rien. Je ne suis pas content du tout ! — Qu’est-ce qu’il y a. Pourquoi cries-tu ? demande Elodie, en déshabillé vaporeux qui ouvre la porte de la cuisine. — Il y a que cette petite désobéissante n’applique pas mes instructions, regarde ! Il jette Lisette en travers des genoux et soulève la jupe sur une culotte blanche de petite fille sage. Il ponctue chaque mot d’une maîtresse claque sur le postérieur. — Regarde… (Aïe !) … cette petite… (Aïe !) … désobéissante… (Aïe !) … a enfilé une culotte… (Aïe !) … malgré mon…— Aïe ! Aïe ! — … interdiction. — Aïe ! … Aïe ! Elodie le contemple incrédule. Les yeux de Luc sourient, démentant le ton de sa voix. Elle se mord les lèvres pour ne pas éclater de rire. — En effet c’est très grave. — Oui, c’est très grave, le premier manquement à la discipline. Lisette se débat sans résultat. Luc la tient bien. — Je vous promets, je ne le ferai plus ! Il la déculotte d’un coup sec. — Aïe ! La vue des fesses rosies par la correction lui donne une idée. Il repense à sa dernière acquisition à la brocante, un superbe martinet ancien, avec de belles lanières en cuir, un manche poli et des incrustations de pierres à la collerette. Il ne trouvera pas de meilleure occasion de l’étrenner ! Elodie qui lui a déjà demandé ce qu’il voulait en faire, n’aimera pas. Elle râlera mais cela ne le décourage pas. — Elodie, va me chercher ce que tu sais. — Quoi ? — Oui, ma dernière acquisition ! Elle le fixe, une lueur d’incompréhension dans le regard. — Tu sais bien, ce que j’ai acheté le week-end dernier ! — Oh, ça ? Elle comprend qu’il veut parler du martinet. — Oui, ça ! La jeune femme trouve que la punition est disproportionnée. — Crois-tu que cela en vaille la peine ? — Que si ! Et vous, Mademoiselle, finissez d’enlever votre culotte et relevez votre jupe. Elodie hausse les épaules. Bah ! Une petite fessée n’a jamais fait de mal à personne et elle veillera à ce qu’il n’exagère pas. A son retour, Luc et Lisette n’ont pas bougé. La jeune fille, la jupe retroussée sur les hanches, gît en travers des genoux de l’homme, attendant son bon vouloir. Un sanglot mal contenu soulève ses épaules. Cela ne détourne pas Luc de son objectif. Il tend la main vers Elodie. — Donne-le moi. Il attrape l’engin hors de la vue de la bonne qui s’inquiète et se demande ce qu’il va lui arriver. Elle se trémousse devinant qu’une autre punition se prépare. — Voulez-vous rester en place ! Un bon coup de martinet lui arrache un cri : — Aïe ! Aïe ! Que faites-vous ? — Rien de tel que quelques coups de martinet… (Vlan !) pour mettre du plomb dans la cervelle… (Vlan !) … des filles désobéissantes… (Vlan !) Elodie vérifie qu’il retient son poignet. Lisette n’est pas de cet avis et sursaute à chaque coup : — Aïe ! … Aïe ! … Aïe ! … Arrêtez, aïe ! … Arrêtez, je vous en prie, Je vous, aïe ! … Je vous jure que je ne le referai plus, je vous jure ! Le postérieur se zèbre de rayures roses. Luc lève encore le martinet. Elodie bloque son bras : — Je crois, Luc, que la punition est suffisante. Lisette s’en souviendra et ne recommencera pas. — Oh non ! Je ne recommencerai pas, jamais ! — Je veux bien pour cette fois, mais à la prochaine incartade je serai moins indulgent, compris ? Lisette renifle et ravale ses larmes. — Compris ? — O… Oui Monsieur. — Non, je m’appelle Luc et non pas Monsieur. Alors comment dit-on ? — Oui… Luc. Elodie s’agenouille et donne un baiser sur la joue mouillée. — Moi, tu peux m’appeler Elodie, d’accord ? — Oui. — Oui qui ? — Oui Elodie. Lisette ne peut maîtriser un gros sanglot. Elodie effleure le postérieur en suivant les traces laissées par le martinet. La peau se couvre de chair de poule. Elle dépose des petits baisers sur les fesses endolories. La jeune fille se calme, mais renifle encore. — Allez, ne pleure plus, tu es une grande fille, Luc n’a pas tapé très fort. D’ailleurs je l’en aurais empêché. Il promène la paume sur l’arrière et l’intérieur des cuisses. Lisette frémit puis se met à trembler. Ce n’est plus de crainte ni de douleur, car ses jambes s’écartent. Elle repose pantelante, la respiration haletante, n’osant bouger malgré la position inconfortable, de peur que les caresses cessent. Le couple échange un clin d’œil complice. Leur petite bonne succombe au charme qui suit le stress d’une correction. La main de Luc remonte sous son corps, vers le sexe dans lequel il trempe ses doigts. Elodie agenouillée s’occupe des fesses. Les lanières de cuir y ont dessiné des traînées roses sans blesser ni égratigner. Elle sera vite remise. Du doigt, Elodie suit les traces. Elles mènent vers la raie qui sépare les deux globes. Elle y promène l’ongle, Lisette grogne doucement. Ses jambes s’écartent encore plus, autorisant le couple de poursuivre ses investigations. Les deux époux en profitent s’amusant des frémissements que leurs doigts déclenchent. Quand l’index de Luc pénètre le vagin, la jeune fille est secouée par un spasme de plaisir qui lui arrache un cri et perd conscience. Il s’alarme et interroge sa femme du regard. Elle le rassure d’un sourire. Ils transportent la jeune fille sur le canapé et la raniment à force de caresses. — Qu’est-ce qui m’arrive ? — Tu as perdu connaissance… Non, non, ce n’est pas grave, la réconforte Elodie. Reste tranquille quelques minutes, ça va aller. — Excusez-moi, je ne sais pas ce qui m’a pris. — M’est avis que tu as joui. Luc est tout fier de lui avoir fait connaître ce plaisir : — Vois-tu ? Rien de tel qu’une petite fessée pour remuer les sangs, n’est ce pas ? — Tu n’avais jamais reçu le martinet ? interroge Elodie. — Non, jamais ! Même quand j’étais petite. Des fessées, ça oui, mais pas le martinet. Oh là-là ! Ça fait mal ! Elodie câline la joue : — On t’a à peine caressée après et tu t’es mise à jouir avec une grande intensité. — Je n’ai jamais joui de cette façon. Luc insiste : — C’était bien ? — Oh ! Plus que bien. Enfin non, je veux dire simplement après, parce que, avant, Ah là, là ! Ça non ce n’était pas bien ! — Et pourtant c’est parce que tu as reçu la fessée que tu as tant joui. — Oh ! Cette découverte la déconcerte : Jouir à cause d’une fessée ! — Je… je suis… je serais une…Elodie l’interrompt en souriant : — Non rassure-toi, tu n’es pas masochiste, pas plus que nous sommes des sadiques. Simplement une petite correction…— Pas si petite que ça, mes fesses peuvent en témoigner ! Luc se récrie : — Mais si, je confirme, une petite correction, sinon tu n’aurais pas joui après ! Elle n’est pas convaincue. Elle se redresse : — Aïe ! Je ne peux pas encore m’asseoir, cela fait mal. Elle n’était pas si petite que ça votre correction ! Elodie la prend aux épaules : — Tu ne nous en veux pas ? Lisette l’embrasse, se lève du canapé et, mutine, quitte la salle en leur envoyant un baiser. Luc, ému, la regarde sortir. — T’as vu, elle est drôlement sensible ! Je vais laisser le martinet en évidence. Cela lui rappellera les bons…— Bons ? J’en doute. — Si ! Les bons souvenirs. — Je n’en suis pas sûre. Elle est saine et normale cette petite. Cela m’étonnerait qu’elle goûte la plaisanterie. Une fois par hasard, passe, mais pas plus. Luc réfléchit et accepte les arguments d’Elodie. — Tu es meilleur juge que moi, je te fais confiance. — Où placeras-tu ce martinet ? — Ah ! Tu vois, ça t’intéresse ! — Oui, je pourrais avoir l’envie de l’utiliser sur toi ! — Essaye ! — Où vas-tu le mettre ? — Au-dessus de la commode sur le palier. Il sera en vue de tout le monde tout le temps. Je vais l’accrocher tout de suite. Je prends mes outils. Il se lève plein de zèle. S’il pouvait être aussi déterminé quand par hasard elle réclame un petit bricolage, pense la jeune femme. L’importance qu’il donne à ce martinet, l’inquiète. Pourvu qu’il n’y prenne pas goût ! Elle se promet d’y veiller. En attendant, quand Luc sera parti travailler, elle aura une petite discussion avec la jeune bonne : il ne faudrait pas que les plaisanteries douteuses de son mari la fassent fuir. Une perle comme elle on n’en trouve pas à tous les coins de rue…
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