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Nouvelle demeure, nouveau voisins P 6

Chapitre 6

Avec plusieurs hommes
Nouvelle demeure, nouveaux voisins P 6Our First New HomeCoulybaca / Vulgus
Le texte de Vulgus étant particulièrement long, j’ai pris la liberté de le couper en plusieurs parties afin d’en faciliter la lecture.

Chapitre 7 : fin de l’épopée.
Nous avions besoin d’aller à l’épicerie faire quelques achats, aussi ai-je enfilé un de mes nouveaux tops et tenté de choisir mon vêtement le moins provocateur.J’avais enfilé un top qui proclamait : "Oui, ils sont bien réels" et je le portais sur mes nichons nus.Il était très fin et les petites haltères suspendues à mes mamelons étaient clairement visibles.Je trouvais ce haut hyper provoquant, je l’accompagnais d’une de mes nouvelles micro-jupes et nous sommes partis faire nos courses dans l’épicerie la plus proche de notre maison, de toutes manières nous n’en connaissions pas d’autre.
Nous avons acheté les articles usuels plus quelques produits désinfec-tants pour nettoyer mes cicatrices, nous sommes alors rentrés à la mai-son où nous avons rangé nos courses.Les deux pièces de vêtements que je portais me contractaient, aussi les ôtais-je prestement.J’étais arrivée au point où je me sentais bien mieux entièrement nue que vêtue de façon ultra-provocante.Dave me sourit et se déshabilla lui aussi.
Nous nous sommes préparés des boissons fraîches et sommes allés nous relaxer au bord de la piscine avant de dîner.Tandis que nous étions assis sirotant nos boissons Roy arriva par la porte de l’arrière cour et me fit lever pour inspecter mes nouveaux orne-ments.
Visiblement il trouva le spectacle stimulant, il me fit rasseoir dans mon siège, sortit son épaisse mentule et l’enfourna dans ma bouche.Tandis qu’il me baisait en bouche il me dit qu’ils nous laisseraient quasi-ment seuls les trois semaines à venir, le temps que je cicatrise.Il sortit une note de sa poche et la posa sur la table.

Alors que je lui suçais servilement la bite il m’enjoignit :— Tu donneras ce message à ton supérieur Donna... Je le préviens que ne veux plus voir de traces de coups et que tu ne peux que tailler des pipes ces trois semaines à venir, que sinon tu démis-sionnerais de sa boite !
Si je n’avais pas eu la bouche pleine, je l’aurai remercié.Dave lui demanda si nous devions toujours leur raconter ce qui nous ar-rivait chaque soir en rentrant du boulot.Roy répondit que cela n’était plus vraiment nécessaire maintenant que notre dressage était terminé.
Je souhaitais qu’ils cessent de discuter pour que Roy se concentre sur ce que je lui faisais.Ils se turent enfin et aussitôt j’absorbais l’importante dose de foutre que Roy que Roy me larguait en pleine gorge.Il nous quitta dès qu’il eut extirpé sa bite de ma bouche. Il s’arrêta à la grille et nous dispensa de visionner le DVD, nous le connaissions par chour de toute manière.
Puis il partit et nous respirâmes tous deux bien mieux. C’était comme si un morceau de notre passé nous quittait. Je devais cependant toujours m’habiller en pute et d’obéir aux ordres de tous ces pervers qui voulaient me sauter.
Mais pour l’instant nous pouvions regarder un peu la télé ce qui nous maintenait la tête hors de l’eau.
Je me rinçais la bouche avec mon verre puis nous sommes rentrés préparer le souper. Une fois que tout fut prêt nous avons mis la table à coté de la piscine et nous avons mangé au calme.C’était vraiment ironique, cette piscine, cette arrière-cour c’était les deux principales raisons pour lesquelles nous avions acheté notre maison !Nous étions maintenant des esclaves sexuelles en grande partie à cause de cette piscine. Cependant nous aimions toujours nous asseoir à son abord, c’était calme et reposant.
Nous sommes rentrés après avoir siroté des digestifs à coté de la pis-cine et nous nous sommes assis devant la télé pour regarder les infor-mations pendant une bonne heure, ce qui ne nous était pas arrivé depuis fort longtemps?Nous étions heureux de découvrir que notre idiot de président ne nous avait pas entraînés dans de nouvelles guerres ces dernières semaines.
Nous avons éteint la télé et nous sommes blottis l’un contre l’autre pen-dant un bon moment.Puis Dave m’allongea sur le plancher et me butina ma foufoune fraîchement perforée.Cela me plaisait beaucoup et j’étais heureuse de lui rendre son plaisir lorsqu’il en eut terminé.Satisfaits l’un de l’autre, nous sommes montés nous coucher assez bien relaxés.
Le lendemain matin, tout paraissait normal.Tout au moins jusqu’à ce que j’enfile ce corsage pour la première fois. Je ne croyais pas que l’on puisse paraître aussi dénudée. Mes nichons étaient clairement visibles, les piercings qui semblaient maintenir mes tétons en constante érection, crevaient les yeux.Ils attiraient les regards. Je ne voulais pas croire que dans un futur proche je devrai porter ce chemisier transparent, autant se promener seins nus.
Je rangeais la note de Roy dans mon sac à main et prit la direction du boulot.Je gardais les yeux baissés tandis que je traversais le parking de l’entre-prise et en parcourais les couloirs.Les conversations cessaient sur mon passage, je sentais les yeux de mes collègues, hommes et femmes, s’appesantir sur mes charmes ex-posés où que j’aille.
Je me dirigeais vers mon box et posais mon sac à main, puis je gagnais le bureau de monsieur Jefferson et frappais à sa porte.Il me fit signe d’entrer, je lui tendis la note de Roy.Je restais face à lui tandis qu’il lisait le message, lorsqu’il en eut fini la lecture il garda les yeux braqués sur mes mamelons pendant quelques instants, puis il se leva ferma la porte et baissa les stores et me fit déshabiller.Il examina de près mes piercings, le spectacle semblait le combler.
— J’ignorais que tu devais rapporter à tes "maîtres" ce qui se passait ici ! Pourquoi le fais-tu d’ailleurs ?
— Ils me l’imposent, chaque soir mon époux et moi-même devons al-ler chez eux et je dois leur raconter en détail tout ce qui m’est arrivé, de nature sexuelle, tout ce qui résulte des drogues qu’ils m’ont fait boire.
Monsieur Jefferson retourna derrière son bureau, s’assit sur son fauteuil, m’ordonna de m’approcher et de m’agenouiller en face de lui de façon à ce que j’aie quelque chose à raconter à mes "maîtres" ce soir !
Je le suçais rapidement et lui demandais ensuite s’il pouvait transmettre le message à monsieur Taylor et à Jimmy et Dan de la messagerie.
Il hocha affirmativement la tête, je me rhabillais et retournais reprendre mon travail.Comme j’en ai avais pris l’habitude depuis que je portais des tenues de plus en plus révélatrices, je restais dans mon box toute la journée, n’en sortant que pour me rendre aux toilettes.Une des raisons pour lesquelles cette place était si haïssable était due au fait que les contacts entre employés étaient fortement découragés.Si l’on vous voyez dans un autre box que le votre, on vous demandait immédiatement ce que vous faisiez là !Il valait mieux avoir une bonne raison de se tenir là pour toute conversa-tion que l’on semblerait avoir !
Mais cette fois celà tournait à mon avantage.A leur grand plaisir, nombre de collègues pouvaient voir la façon dont j’étais vêtue ainsi que mes tétons percés !
Les trois semaines suivantes passèrent rapidement.Je faisais de fellation aux mêmes quatre hommes chaque jour au boulot, à partir de ce jour je n’en suçais plus aucun. Même Roy me laissait tran-quille, puisqu’il ne pouvait pas me baiser, il encula tout le temps que je restais indisponible me contentant de butiner la chatoune d’Anne.
Je devais prodiguer des fellations aux jeunes gens qui tondaient le ga-zon le dimanche. Il fallait aussi que je les paye.Ils étaient si excités de s’être fait dépuceler le premier dimanche qu’ils en avaient oublié de réclamer le paiement de leur prestation. Leurs parents n’avaient pas apprécié la plaisanterie et elle avait du leur faire ses excuses d’avoir oublié de les rétribuer. Nous avions du rectifier le tir dès leur seconde visite.
Deux semaines plus tard, une paire d’étrangers se pointèrent chez eux réclamant des rapports sexuels., mais ils savaient tous deux qu’ils ne devaient pas utiliser mes nibards et ma foufoune s’ils n’étaient pas entiè-rement cicatrisés.
Cela ne pouvait pas durer bien longtemps.Le dimanche clôturant la troisième semaine, je fis l’amour avec Dave et je découvris que les anneaux, tous les trois, non seulement ne me fai-saient plus mal, mais excitaient ma libido.La stimulation de mon clito était importante, je succombais à un orgasme intense dès que pénétrée pour la première fois de ma vie !
Après avoir fait l’amour nous avons fait quelque chose de tout nouveau sous le contrôle d’Anne et Roy.Nous nous sommes nettoyés l’un l’autre avec nos bouches et nous avons trouvé cela très excitant tant que cela restait entre nous.Cela nous procura à chacun un nouvel orgasme.Les sensations que me procuraient la langue de Dave titillant l’anneau de mon clito étaient extraordinaires.
Nous nous sommes blottis l’un contre l’autre et nous nous sommes en-dormis dans les bras l’un de l’autre, essayant d’oublier toutes ces restric-tions qu’on nous imposait.
Le lendemain matin nous avons déjeuné normalement Et Dave me quitta pour se rendre à son travail à l’heure ordinaire.Je ne m’habillais pas avant d’avoir déjeuné, je passais autant de temps que je le pouvais entièrement nue à la maison, et presque autant de temps au boulot.J’enfilais un corsage transparent et une micro jupe, enfilais mes chaus-sures pris mon sac et me précipitais sur ma voiture. Anne m’attendait à l’extérieur de la maison.
— Mon petit cour... Me dit-elle suavement— Tes aventures en bus commencent à me manquer... Pourquoi ne le prendrais-tu pas aujourd’hui ?Elle se tut le temps d’épier ma r&action puis s’en alla.Je courus jusqu’à l’arrêt de bus au bout de la rue.Je connaissais maintenant la routine par coeur, je tendis mon argent au chauffeur et il me donna mon ticket, puis, je m’assis au milieu du bus.Je sentais les yeux de nombreuses personnes détailler mes charmes mammaires quasiment dénudés.A peine m’étais-je assise que quelqu’un prit place à coté de moi. Je ne levais pas les yeux. Je détestais regarder les personnes qui tiraient avantage de ma situation. L’homme posa sa main sur le dossier de mon siège, sa main pendant à coté de mon nibard.

— Hello, je m’appelle Terri, et toi comment te nommes-tu chérie ? M’interpella-t-il.— Donna... Je m’appelle Donna... Soupirais-je misérablement.— J’aime ta tenue... Ajouta-t-il, je comprenais qu’il était sincère au son de sa voix.— Que fais-tu Donna ? M’interrogea-t-il.— Je me rends à mon travail !
Il me demanda où je travaillais, je dus lui répondre. Puis il s’enquit si je me rendais toujours à mon travail habillée de façon aussi provocante et sexy.La question suivante me troubla énormément, il me demanda si mes col-lègues aimaient ma façon de m’habiller, je lui répondis que oui.
Sa main était maintenant posée sur ma cuisse, et comme je ne protes-tais pas il se crut autorisé à explorer mes charmes.— Tu dois tourner la tête à de nombreux mâles dans ta boite avec tes vêtements sexy et ton allure de salope !Je hochais la tête avalant ma salive alors qu’il introduisait ses doigts dans ma fentine.
— Tes collègues te font-ils des propositions salaces ? Me questionna-t-il.Avant que j’aie le temps de répondre il poursuivit :— As-tu déjà accepté de baiser avec eux ?Je hochais à nouveau la tête.Il me demanda avec qui, je lui répondis, puis il voulut savoir pourquoi, ayant remarqué que j’étais mariée.
Je détestais ce genre de question, mais j’étais tenue d’y répondre.— Je n’ai pas le choix... Je suis obligée de baiser avec eux !— Tu es obligée ? Pourquoi ?— Parce qu’ils me l’ordonnent ! Aie-je du répondre misérablement.
— Fais-tu toujours ce que l’on t’ordonne de faire ? Poursuivit-il légè-rement incrédule.Je grognais que oui.— Pourquoi ?— Je n’ai pas le choix... Je dois le faire... Rétorquais-je à contrecour.
— Dois-tu faire ce que n’importe qui t’ordonne ? Ne croyant pas en-core en sa bonne fortune, se demandant maintenant comment utiliser cette information.
— Ainsi si je t’ordonnais de te foutre à poil, tu le ferais ?Je hochais encore la tête effondrée.
Il ne savait pas encore comment, mais il savait que d’une manière ou d’une autre il est allé profiter de cette occurrence.
— Déboutonne trois boutons de ton corsage ! Lui intima-t-il.Je soupirais résignée et obtempérais rapidement.— Putain j’ai vraiment un pot de cocu ! S’esclaffa-t-il hilare.Ses mains se portèrent sur mon buste, il empauma mes nibards et les malaxa gentiment avant de détailler ses mamelons et de découvrir mes piercings.
Je sentais mon arrêt s’approcher, je lui dis que je devais descendre là.Il me répondit sèchement :— Non, tu ne descendras pas à cet arrêt... Le mien arrive et il a un motel tout proche... Nous allons nous y rendre, y prendre une chambre pour baiser pendant un bon moment !
Je suppose que c’était inévitable, il ne voulait pas me suivre chez moi et voulait me baiser sur place, dans l’immédiat.Je me contentais de hocher la tête et il continua à palper mes charmes le temps de parvenir à son arrêt.Il se leva promptement et je commençais à reboutonner mon chemisier.
— Non ! Me dit-il— Je t’aime mieux comme ça !
Nous nous trouvions trois arrêts plus loin et je le suivis jusqu’à l’hôtel qui faisait le coin.Il m’ordonna d’entrer et de réserver une chambre je lui rétorquais qu’avec ma tenue ils risquaient de ne pas accepter de m’en louer une.— C’est d’accord reboutonne ton décolleté... Et maintenant va réser-ver une chambre et viens me rejoindre !
Je me pressais de m’exécuter.Le préposé me couvait d’un oeil concupiscent, mais il ne me dit rien. Je lui tendis ma carte de crédit et attendis qu’il me ma rende.Quel suprême ironie que d’avoir à payer une chambre pour qu’un étran-ger me viole !Je signais le talon de la carte de crédit et retournais rejoindre mon su-borneur. Sur le chemin de la chambre je lui demandais de me laisser té-léphoner à mon patron que je serai en retard.
Dès arrivé dans la chambre il appela son boulot pour signaler qu’il était malade.Puis il me dit d’appeler mon patron une fois que je me serai déshabillée.Je me dépouillais de mon chemisier et de ma jupe, il vit alors le bijou qui ornait mon clito.Je m’allongeais dans le lit, il s’agenouilla entre mes cuisses et tandis que je téléphonais à monsieur Jefferson cet étranger commença à s’amuser avec ma chatoune et mon bijou de clito.Je ne savais toujours pas son nom, mais c’était la norme que je vivais journellement. Des hommes se pointaient chez moi, et me baisaient à couilles rabattues sans même me dire leurs noms. Ce n’est pas que je m’inquiétais vraiment de leur identité, c’est tout sim-plement que je n’étais pas une pute et baiser avec des inconnus me traumatisait. Cela me blessait profondément. Et le fait de ne pas avoir le chat n’était pas vraiment d’un grand réconfort.
Lorsque j’eus monsieur Jefferson en ligne, je lui dis :— Monsieur Jefferson, c’est Donna... Je ne sais pas à quelle heure j’arriverai aujourd’hui... Anne m’a fait prendre le bus et un voya-geur m’a ordonné de le suivre dans une chambre de motel.
Il me demanda combien de temps cela durerait et je rétorquais :— Je ne sais pas monsieur, il ne me l’a pas dit !Il demanda à parler à cet homme, je lui tendis donc le téléphone, il hésita pendant quelques instants, mais il le prit et souffla :— Hello...
Il écouta pendant une bonne minute puis répondit :— Je ne sais pas mec... C’est vraiment une belle petite salope et je me réjouis de jouir de ses appas pendant 1 heure ou 2... Je n’ai rien programmé !
Il attendit encore quelques instants et reprit :— C’est bon mec... Elle travaille pour toi cette pute ? Voilà le marché : elle est avec moi et je vais me la baiser pendant un bon moment !... Quand j’en aurai fini avec elle, je la laisserai partir !Sur ces mots il referma son portable et le jeta sur l’autre lit avec mes vê-tements et mon sac à main.
Il se releva alors et se déshabilla lentement alors que le regardais avec curiosité.Il semblait en bonne forme, assez séduisant, il devait avoir 34, 35 ans et s’avérait assez musclé.Je le regardais se dévêtir, il me rejoignit alors sur le lit et m’intima de le sucer !
Apparemment on ne lui avait jamais prodigué de gorge profonde jamais profond auparavant et il adorait cette technique !
— Bordel de merde ! S’exclama-t-il— Ce que t’es bonne ma salope !Il avait été extrêmement bruyant tout le long de la fellation et lorsque fi-nalement il jouit, il tint ma tête fermement bloquée contre son estomac alors que ses jets crémeux explosaient dans ma gorge.
Il se détendit lentement, je pus reculer la tête pour respirer avidement à grosses goulées.— Donna, je peux te dire que c’est vraiment la meilleure fellation qu’on m’ait jamais prodiguée... Ton mari a vraiment un pot de cocu !
Je murmurais :— Il aime se faire sucer ! Il me regarda avec curiosité pendant quelques secondes.Mais ma situation l’excitait bien plus encore qu’elle ne le troublait.Il m’ordonna de sucer ses burnes le temps qu’il reprenne vigueur, puis il me baisa énergiquement pendant un long moment.Il devait avoir lu le "Kama Sutra" parce qu’il expérimenta un tas de posi-tions, changeant à chaque fois au bout de quelques minutes, lorsqu’il s’épandit en moi il avait bien testé une douzaine de positions, dont cer-taines très compliquées.
Une fois qu’il eut joui à gros bouillon, il s’écroula sur le dos, il me regarda ravi lui nettoyer la bite d’une langue agile. Tous les hommes semblaient trouver cette action réjouissante alors que pour moi elle était surtout ex-trêmement dégradante.
Je le suçais jusqu’à ce que sa bite se déploie à nouveau, suffisamment pour qu’il me baise deux fois encore avant qu’il ne se rhabille.Il me questionna au sujet de mon mari : comment prenait-il ce que je fai-sais ? Devait-il obéir lui aussi ? Avant de partir, il me réclama mon adresse.
Lorsque j’eus repris mes esprits, mon souffle et me fut rhabillée, je quit-tais la chambre à mon tour et regagnais l’arrêt de bus à pied pour me présenter à mon boulot avec quatre heures de retard et sentant le rut à plein nez !J’étais si pressée que j’en avais même oublié de prendre une douche à l’hôtel !
Je prévenais monsieur Jefferson que j’étais de retour, il m’enjoignit de le rejoindre et de fermer la porte dans mon dos.Il me regardait comme s’il était fou de moi... Cependant il savait parfai-tement que je ne pouvais rien lui refuser !
Je dus lui raconter tout ce qui m’était advenu, mais tandis que je lui nar-rais mon aventure, il m’allongea sur le dos sur son bureau me troussa et me baisa vigoureusement pour la première fois depuis trois semaines. Le temps que je lui raconte tout en détail, depuis le départ du bus jusqu’à la sortie de la chambre d’hôtel il m’avait sautée à deux reprises.
Finalement il se retira de ma chatoune et, une fois qu’eus nettoyé sa bite, il me fit lécher les traces de semence étalées sur la surface du bu-reau. Une fois que ce fut terminé, il m’intima de me nettoyer puis d’aller voir monsieur Taylor.
Je gagnais la salle de bain où je me nettoyais les cuisses et la foufoune avec des serviettes en papier. Puis, lentement je descendais le hall pour gagner le bureau de monsieur Taylor. Je frappais à la porte, et j’entendis alors :— Qui est-ce ?Je lui dis que c’était moi et il m’invita à entrer.
J’ouvris la porte et fus profondément choquée de le voir en train de bai-sée une de mes collègues. Une ravissante rouquine qui occupait un bureau proche du mien, Je ne lui avais jamais parlé, je ne savais même pas son nom. Je refermais rapidement la porte dans mon dos et les re-gardais faire, je ne savais pas quoi faire !Il m’ordonna de contourner le bureau afin qu’il puisse me voir me désha-biller. Je lui demandais si je pouvais verrouiller la porte et il hurla :— Non ! Bordel de merde fais ce qu’on te dit !
Je contournais donc le bureau et me postais à coté de lui pour me dévê-tir rapidement.Puis il m’enjoignit de me pencher pour qu’il puisse me présenter à son amie Sheryl. Je me courbais sur eux et il me présenta comme si l’on se trouvait nor-malement dans un salon.Je vis s’afficher sur son visage l’humiliation qu’elle ressentait et je com-pris tout de suite qu’elle aussi se trouvait là contre sa volonté.
Nous nous sommes saluées cordialement, et monsieur Taylor nous poussa tête contre tête nous ordonnant de nous embrasser.Je pressais mes lèvres contre les siennes, après tout cela ne faisait pas très longtemps que j’avais des rapports avec Anne.Mais je sentais cependant qu’elle n’avait jamais roulé de pelle à une au-tre femme et que cela lui était très difficile de s’exécuter docilement.
J’aurai voulu la réconforter, lui dire que ce n’était pas si grave, mais monsieur Taylor m’ordonna de me taire et de lui rouler une pelle.Aussi me mis-je à lui rouler un patin fiévreux, tandis que nous nous em-brassions, monsieur Taylor saisit ma main et la posa sur sa poitrine. Je faisais de mon mieux pour rassurer la pauvre malheureuse jeune femme. Il était évident que ce qui lui advenait la traumatisait profondé-ment.
J’entendis la porte du bureau s’ouvrir, et le concierge entra et verrouilla la porte dans son dos. Je commençais à me poser des questions au su-jet de cette relation privilégiée qui existait entre ces deux hommes. Je l’entendis se déshabiller, il se posta immédiatement dans mon dos et planta sa grosse pine dans ma chatoune.
Alors qu’il avait entrepris de baiser vigoureusement, monsieur Taylor re-leva la tête et observa attentivement le rictus horrifié alors qu’il se répan-dait dans sa foufoune asservie.
Je continuais à l’embrasser tendrement alors qu’il restait emboîté en elle. Je le voyais river les yeux sur la bite du concierge qui coulissait avec aisance dans ma chatte servile.Il me frappa soudain que la relation particulière entre ces deux hommes était due au plaisir de monsieur Taylor de voir un homme noir baiser des jeunes femmes blanches rétives.
Il regardait attentivement le concierge et commenta :— C’est ça mec, Baise-la à couilles rabattues ! Emplis sa chatte de salope de semence fraîche ! Fais-là se trémousser sous l’emprise de ta grosse bite noire !
Le concierge semblait apprécier ses commentaires et je le sentis se ren-gorger en haussant le rythme et la profondeur de ses pénétrations, puis il bourra sa grosse bite au fin fond de ma caverne et je sus à cet instant qu’il allait jouir.
Tandis qu’il jouissait enfoncé dans ma grotte embrasée, monsieur Taylor me regardait droit dans les yeux se réjouissant visiblement de ma gêne.
Lorsque le concierge se retira, monsieur Taylor m’ordonna de contourner le bureau et de m’étendre au sol.Dès que je fus installée à sa convenance, il se retira de la foufoune de Sheryl débordante de foutre, et l’amena à s’accroupir sa chatoune ba-veuse frôlant mon visage.
Je n’ai pas hésité, Je ne le pouvais pas.Je n’avais plus de libre arbitre.Mais Sheryl résista à quand ils lui pressèrent la tête entre mes cuisses.Elle a cria, se débattit pour se redresser, les supplia, rien n’y fit. Mon-sieur Taylor recula d’un pas et le concierge lui échauffa les fesse à grands coups de ceintures, elle entreprit misérablement de me lécher la foufoune. Il la fouetta encore à deux reprises avant de se satisfaire de sa façon de faire.
Monsieur Taylor prenait de nombreuses photos avec son portable, per-sonnellement je m’en foutais, mais Sheryl sanglotait misérablement lorsqu’il se pista face à elle pour prendre des gros plans de sa bouche enfouie dans mon entrecuisses.
Je jouis à deux reprises avant qu’ils ne nous laissent en paix.Sheryl n’avait pas joui.Ils nous mirent à genoux cote à cote, et ils entreprirent de nous baiser en bouche, échangeant fréquemment leur place.C’était très pénible pour Sheryl, elle ne parvenait pas à leur prodiguer de gorges-profondes, elle étouffait, crachotait, et pleurait, il était évident que leur plaisir en était décuplé.Monsieur Taylor se vida les burnes dans ma bouche, j’avalais tout avec facilité. Le concierge résista plus longuement et jouit à son tour dans la bouche de Sheryl. Elle parvint à reculer la tête et la plus grande part de ses jets spermati-ques explosèrent sur son visage.
Il leva la main pour la gifler, mais monsieur Taylor l’arrêta. Il se recula affichant un sourire démoniaque éclairant son visage. Puis monsieur Taylor m’enjoignit de lécher le foutre couvrant son visage.Je me tournais pour lui faire face lui tint gentiment la tête, et entreprit de lui nettoyer la figure de la langue. Je léchais même les grosses gouttes qui avaient giclé sur ses miches. Elle se contentait de pleurer misérablement.
Ils nous intimèrent finalement de nous rhabiller. Je fus prête en un ins-tant, puis j’aidais Sheryl. Elle était désolée, elle ne parvenait à retrouver ni son soutien-gorge ni sa petite culotte, ils dirent alors qu’elle n’en aurait plus nul besoin, qu’elle se promènerait cul nu désormais.Je parvins finalement à la rhabiller décemment avant qu’on ne m’or-donne de l’escorter dans la petite salle de bain de monsieur Taylor pour l’aider à se nettoyer tout en l’amenant à reprendre ses esprits et à se calmer.
Elle commença par me repousser, comme si j’étais de leur coté. Puis je la lâchais et la laissais pleurer tout son saoul. J’aurai voulu lui dire que tout allait bien, mais je ne savais pas comment elle s’était retrouvée à se faire violer dans ce bureau, ni comment cela s’était passé.
J’essayais de lui dire que je savais ce qu’elle avait enduré, que moi aussi j’avais été violée contre ma volonté.Je lui fis un court résumé de mon histoire, je souhaitais seulement que cela lui rendit la situation moins pénible.Mais elle ne me répondit pas un mot.Finalement, elle se laissa nettoyer et rafraîchit son maquillage.Je retournais dans le bureau de monsieur Taylor, je n’étais pas bien fraî-che, mais j’avais fait de mon mieux en de telles circonstances. La mati-née avait été rude.; monsieur Taylor me fit signe de quitter son bureau je vis avec plaisir qu’il semblait très nerveux. Sapristi ce n’était pas une honte qu’il soit ainsi troublé.
En sortant de son bureau je jetais un oeil sur son horloge et constatais avec surprise qu’il était plus de 14 heures... Et je n’avais pas encore tra-vaillé sur mon ordinateur !
Je gagnais ma stalle et m’assit pendant un long moment sans même mettre en route mon ordinateur. Finalement je me calmais et entamais ma journée de travail bien que je ne sois pas réellement productive. J’étais surprise de ne pas avoir eu de nouvelles des gars de la message-rie, c’était la seule chose de bien, qui m’était arrivée ce jour là.
Puisque je n’avais pas reçu l’ordre de travailler tard, j’éteignais mon ordi-nateur et quittais le bureau à 16 heures. Je gagnais mon arrêt de bus que je pris sans aucun problème.Personne ne me molesta dans ce premier bus.Mais lorsque j’en descendis pour prendre ma correspondance, alors que j’attendais son arrivée à l’arrêt les trois jeunes gars qui m’avaient ru-doyée le premier jour arrivèrent. Les trois gars que le chauffeur de bus avaient viré du car lorsqu’il avait vu dans son rétro, ce qu’ils me fai-saient.
Je cherchais à me cacher derrière un colosse qui lisait son journal. Mais ils me virent quand même.L’instant d’après ils m’encerclaient et leur chef me précisait à quel point il avait apprécié ma compagnie.Il nota mes nouveaux ornements et tendit la main pour jouer avec.
Je ne pouvais espérer leur échapper qu’en montant dans le bus, mais à son arrivée un des jeunes m’invita :— Allez ma petite chérie, tu vas t’asseoir avec nous...Je ne pouvais que leur obéir, je ne pouvais rien faire d’autre. Je le lais-sais me traîner à travers le bus à moitié rempli et nous nous sommes assis sur la banquette arrière.Il me prit sur ses genoux, ce qui fit remonter ma jupe sur mes cuisses dénudant ma foufoune.Ses copains remarquèrent mon autre piercing et le désignèrent du doigt.
— Quelles salope ! S’exclama-t-il.— Ma chérie j’ai envie de te baiser, tout comme mes copains...— Je ne pus que soupirer un misérable — Oui...
Ils n’avaient pas pensé que ce serait aussi facile, leur babil excité en était l’évidence. Je restais assise sur les genoux du gars alors que tous trois ils baladaient leurs mains sur mes charmes à peine cachés. Ils étaient frustes et ils me faisaient mal.
Lorsque nous sommes arrivés à leur arrêt de bus, un arrêt avant le mien, ils me firent descendre sans que je leur résiste, ils m’entraînèrent alors au travers des rues vers une maison qui était sombre et tranquille.L’un d’eux déverrouilla la porte et me montèrent immédiatement dans une chambre de jeune homme, la seconde d’après je me retrouvais à poil.
Ils restèrent longuement autour de moi palpant mes charmes de leurs mains avides. Ils inspectaient mes charmes comme s’ils n’avaient jamais disposé d’une femme nue auparavant. Je suppose d’ailleurs que c’était le cas. Ils ne volaient même pas savoir pourquoi je les avais suivis et je leur obéissais au doigt et à l’oil, ils s’en foutaient totalement.
Fatigué d’attendre, leur chef me fit agenouiller. Je lui prodiguais une somptueuse pipe et bien sur, il gicla rapidement sur mes amygdales, je fis ensuite de même avec ses deux copains.Puis ils me baisèrent à tour de rôle sur le lit, profitant de l’absence de leurs parents.
Ils me baisèrent tous encore et encore, cela dura assez longtemps fina-lement. Ils profitaient de leur pouvoir à pleines bites, et possédait un bon pouvoir de récupération. Lorsque j’eus fini de baiser avec le troisième d’entre eux, le premier était déjà prêt pour que lui refasse une bonne pipe.
Alors que je le suçais une fois de plus les autres me prirent par derrière. Lorsque j’eus fini de sucer le troisième ils me dirent :— Bordel, il faut qu’elle nous quitte avant le retour de papa !
Je me suis habillée précipitamment, et j’ai gagné mon domicile à quel-ques rues de là. J’en avais soupé du bus pour aujourd’hui.
Bien que je sois très en retard, Dave n’était pas encore rentré. Je pris une douche puis préparais le souper.
Nous avons mangé dehors, et après souper nous avons attendu le coup de téléphone qui je le savais ne devait pas tarder. Nous sommes sortis, cette fois nous étions autorisés à utiliser la grille de derrière.Roy et Anne, assis autour de la piscine nous attendait en compagnie de plusieurs hommes. Je fus invitée à me pencher sur une table robuste face à eux et je dus leur raconter ma journée.Ca avait été une longue journée elle était longue à raconter.Il était évident que tous les hommes trouvaient ce récit très excitant. Ils se succédèrent dans ma chatte et mon cul tandis que je leur narrais en détail tout ce qui m’était arrivé ce jour même.
J’étais face à Anne et il était évident qu’elle adorait m’entendre raconter chaque détail. La tête de Dave se trouvait sous sa jupe ce qui avait pour effet de parfois détourner son attention.Il se passa une bonne heure avant que mon récit terminé je fus autorisée à m’agenouiller pour sucer tous les hommes présents.
Finalement nous sommes rentrés à la maison, nous avons pris une dou-che et sommes allés coucher, je pleurais longuement avant de m’endormir. Je me demandais si la drogue me laisserait la possibilité de me suicider. Je ne voyais pas pourquoi pas.
Nous nous préparions à partir au boulot le lendemain matin lorsque l’on frappa à la porte.— Oh merde ! Pensais-je affoler— Je ne veux pas reprendre le bus aujourd’hui !
Je gagnais la porte toujours nue et l’ouvrit.Deux hommes en costume se trouvaient sur le seuil, l’un d’eux précisa :— Bonjour madame, je m’appelle Gary Owens, je suis inspecteur de police, puis-je entrer ? Soudain consciente de ma nudité, je m’excusais de les abandonner 5 minutes et partais dans la chambre enfiler une robe.
J’enfilais ma robe et entraînais Dave dans la salle de séjour.Nous nous sommes assis et un des détectives a commencé :— Vos voisins les plus proches vous-ont-ils drogués annihilant votre volonté ?
Nous nous sommes regardé dans les yeux. On nous avait ordonné de ne pas répondre à cette question, mais je voyais à l’expression de leur visage qu’ils étaient au courant.
Ils nous tendirent à chacun une petite fiole contenant un liquide clair et nous ordonnèrent de la vider. Nous avons obtempéré. Je ne me sentais pas vraiment différente. Je priais pour que ce soit l’antidote, et pourtant je ne me sentais pas vraiment différente.
L’inspecteur reposa sa question :— Vos voisins les plus proches vous-ont-ils drogués  ?Nous répondîmes à l’unisson :— OUIIII !La drogue ne faisait plus effet, nous avions retrouvé notre libre arbitre !
Dave prévint nos employeurs que nous étions malades. Nous avons accompagné les deux inspecteurs au poste de police, nous avons discuté avec eux toute la journée, leur donnant des détails sca-breux et forts gênants.Ils détenaient déjà pas mal de DVD et de films et une série d’enregis-trements personnels de Roy.
Ils nous racontèrent que l’un des associés de Roy ayant constaté l’effet de la drogue sur Dave et moi avait drogué sa femme et sa fille et avait fait de sa femme une prostituée et de sa fille sa concubine. Cependant il avait négligé de leur ordonner de ne raconter à personne ce qu’elles vi-vaient ou de demander de l’aide.
Ils nous ramenèrent chez nous, et pour la première fois depuis de lon-gues semaines nous nous sommes sentis libres.Dave s’empara d’un revolver qu’il braqua sur quelques importuns les jours suivants. Mais rapidement les gens qui avaient abusé de nous comprirent que nous n’étions plus disponibles.
Dave retourna travailler le lendemain.Quant à moi je voulais quitter mon emploi et me rendais à la boite pour toucher mon salaire du mois.La première chose que je remarquais fut que monsieur Jefferson avait été remplacé. J’allais jusqu’à son bureau et frappais à la porte et de-mandais à voir monsieur Jefferson.La femme assise à son bureau me prévint que monsieur Jefferson avait été licencié puis elle me demanda :— Est ce vous Donna ?Je hochais la tête, et elle s’excusa au nom de la firme pour ce que j’avais subi.Je la regardais avec curiosité, elle m’expliqua alors que Sheryl avait dé-chaîné un véritable ouragan sur l’entreprise en rapportant que monsieur Taylor l’avait violée l’avant-veille.Monsieur Taylor et le concierge étaient tous deux sous les barreaux, monsieur Jefferson et les eux préposés de la messagerie les rejoin-draient dès que je donnerai mon témoignage.
Je soupirais et refermais la porte avant de m’asseoir pour lui expliquer ce qui m’était arrivé et pourquoi, de fait ils ne m’avaient pas réellement violé mais qu’ils avaient surtout profité de mon état de faiblesse.Ils avaient abusé de moi en constatant que j’étais incapable de refuser quoi que ce soit à qui que ce soit !
Elle semblait désolée d’entendre mon témoignage et me prévint que de toutes façons ils sont virés et inculpés et que la compagnie aimerait m’indemniser pour tout ce que j’avais subi.Je souris, je savais ce qu’elle pensait. On lui avait probablement dit de s’assurer que je ne porterai pas plainte contre eux. Je lui dis de cesser de se tracasser, je ne porterai pas plainte contre eux, que je voulais juste percevoir mon dernier salaire avant de rentrer chez moi, et que je ne comptais jamais revenir dans cette boite.
Elle hocha la tête et précisa :— Attendez-moi ici, je vous ramène votre paye dans cinq minutes.Puis d’une voix sincère elle poursuivit :— Je suis vraiment désolée pour tout ce que vous avez subi, ça a du être horrible ! Je sais bien que la compagnie ne peut pas être considérée comme responsable, mais nous nous sentons tous très mal... Nous aurions aimé vous conserver dans nos effectifs si vous pensiez pouvoir continuer à travailler pour nous. Vous étiez une excellente collaboratrice !
Je lui rétorquais que je ne doutais pas de ses bons sentiments, mais que les conditions de travail dans leurs bureaux n’étaient pas humaines et que j’avais décidé de les quitter i l y avait déjà quelque temps.Elle jeta un oeil par la fenêtre et se contenta de hocher la tête.
Une femme arriva tout de suite, et me tendit une liasse d’imprimés, puis je signais un reçu pour mon dernier salaire, je ne le regardais même pas avant qu’elle ne me quitte, puis j’appelais le nouveau superviseur pour lui signaler qu’il y avait erreur.Le chèque représentait un salaire d’un semestre.Elle me rétorqua :— Non... Ce n’est pas une erreur... Je leur ai dit de vous faire un chèque de cette somme pour que vous n’ayez pas à vous plaindre de nous ! Je suis vraiment désolée pour tout ce que vous avez traversé... Si vous changez d’avis et que vous vouiez un jour re-prendre votre boulot, adressez-vous à moi, je serai très heureuse de vous réengager !
Je la remerciais vivement et regagnais mon bureau, j’emballais mes af-faires personnelles et reprenais le chemin de la maison.
Nous avons passé quelques soirées au calme avant de décoder si nous allions ou non revendre la maison. Mais nous avions investi tous nous avoirs dans cet achat et nous perdrions beaucoup d’argent en la reven-dant aussi rapidement. Aussi avons nous décidé de la garder !
Roy et Anne avaient signé un bail pour leur maison aussi personne ne nous ennuya en s’installant à nos cotés.Une chose marrante se passa pourtant. Je continuais à passer la plupart de mon temps dans la maison entièrement nue, ainsi que Dave d’ail-leurs.Le samedi suivant nous étions assis le long de la piscine lorsque les deux jeunes qu’Anne avait engagés pour tailler notre pelouse se pointè-rent. Je les avais totalement oubliés.
Ils ne savaient rien des changements survenus. Je ne sais pas pourquoi, mais je fis exactement comme le samedi précédent. Ils tondirent la pelouse et je couchais avec eux jusqu’à ce qu’ils soient entièrement satisfaits. Puis je payais leurs services avant qu’ils ne partent.
A peine avaient-ils franchi la grille d’entrée que Dave sortit de la maison et me donna un verre puis il s’assit à mon coté affichant un large sourire. Je lui souris en retour et haussais les épaules.
Je ne m’étais pas non plus débarrassée de mes tenues de pote, je ne les avais pas remises depuis que j’avais pris l’antidote, mais je les gardais, on ne sait jamais, quelque fois que je doive reprendre le bus un de ces jours !
Nous avons eu recours à un professionnel pour nettoyer la maison. Nous avions cherché de nous même à dénicher les caméras et les mi-cros, mais nous avions échoué. Nous avons donc loué les services d’un type qui vint muni d’un détecteur et une bonne expérience de ce genre de boulot, il trouva rapidement deux micros et deux caméras dans cha-que pièce, il en découvrit aussi dans le patio et dans le petit coin que Dave avait nettoyé dans la cave.
Il trouva un transmetteur à courte distance et nous avons conjoncturé que le récepteur devait se trouver de l’autre coté de la porte.Nous avons rangé tout cet équipement dans un carton que nous avons remisé dans un coin de la cave, puis nous l’y avons oublié autant que possible.
A part en ce qui concerne la nudité, nous avons repris notre vie d’autre-fois, faire l’amour nous semblait bien meilleur maintenant. Je m’habillais parfois en pute pour faire plaisir à Dave.
Parfois, alors que Dave se trouvait à son travail, j’avais une irrésistible envie d’enfiler une micro jupe et un chemisier transparent pour faire une virée en bus.Je résistais, mais je le voulais vraiment.J’en parlais à Dave qui explosa de rire et e répondit :— Me tromper avec qui que ce soit importe peu n’est ce pas ? Si tu le fais, fais-le en toute sécurité ! Je n’en prendrai pas ombrage ! Je dois te confesser que t’entendre raconter tes journées de débau-che dans le bus m’excitait considérablement ! Si tu préfères, tu pourrais prendre le bus lorsque je pourrai t’accompagner !
On ne l’a pas encore fait, mais on y pense vraiment !La seule chose vraiment que je pense digne d’être mentionnée est la survenue de trois types, un soir.Il s’agissait d’hommes de loi agissant pour le compte de la boite pharma-ceutique qui employait Roy.Ils sortaient de la femme et sa fille qui avaient été victimes d’un de ces monstres qui avait employé la drogue fabriquée par Roy.
Comme les exactions que j’avais subies étaient considérées comme bien plus ignominieuses, ils nous offraient un dédommagement de 41.000.000 $.Accepter cette transaction n’aurait aucun effet sur les suites du procès criminel, cela ne servirait qu’à résoudre les problèmes de responsabilité de la compagnie à notre égard. Cela ne nous empêcherait pas de porter plainte contre Roy et Anne de-vant les tribunaux civils.
Nous n’avions jamais pensé porter plainte contre qui que ce soit.Nous étions convaincus que nous pourrions obtenir un dédommagement bien plus important encore si l’on se faisait représenter par un cabinet d’avocats, mais comme nous n’avions pas espéré d’en tirer un quel-conque profit, cela nous parut une véritable aubaine. Aussi avons nous signé les documents sans plus tergiverser, acceptant de ce fait le dédommagement qu’ils nous proposaient pour solde de tout comptes.
FIN.
4 juillet 2008Coulybaca (dominique.dubuissez@orange.fr)Avec l’aimable autorisation de l’auteur : Vulgus
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