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Ma nouvelle drogue

Chapitre 4

Inceste
Voilà un mois que je baise mon père et je ne m’en prive pas. Après notre première fois, je lui avais demandé comment il en était venu à vouloir se faire baiser par moi. Il me raconta alors, qu’un soir en rentrant d’un dîner professionnel en passant devant mon studio, il nous avait entendu ma copine et moi. Comme je laisse toujours la fenêtre de ma chambre ouverte (même quand le store est baissé), il ne s’était pas privé du spectacle sonore que nous lui offrions. Mais ne voulant pas trop jouer avec voyeur, il était rentré à la maison, pour aller se coucher. Seulement une fois dans son lit, il avait repensé à mes ébats et commençait à avoir une érection.
Doucement il se caressait, imaginant que c’était lui à ma place, baisant ma copine. Mais en fermant les yeux c’était l’image de lui se faisant culbuter par moi, qui l’avait fait jouir. Il avait été choqué de contaster la puissance de son orgasme suite à cette image mentale et encore plus en remarquant qu’il bandait toujours. Le lendemain voulant connaître la sensation d’une queue dans son cul, il avait commandé "son homme"et depuis, même si il ressentait une gêne à chaque fois, il se baisait régulièrement, en imaginant ma queue.
A la fin de son histoire, mon érection était de retour, ainsi que celle de mon père. Nous avons remis ça trois fois au cours de la nuit et à chaque fois, pour lui comme pour moi, l’orgasme était toujours aussi intense. Un mois c’était écoulé et dès que nous le pouvions, on baisait. La vie avait repris son court normal après nos vacances. Le boulot nous prenait du temps, mais ça nous empêchait pas d’être disponible l’un pour l’autre quand l’envie se faisait sentir.
Comme ce matin là, quand je suis arrivé dans la maison principale pour notre déjeuner du dimanche et que j’ai vu mon père, à genoux par terre, le cul en haut, la tête en bas sous le placard de levier. Mon cerveau enregistrait à peine sa position que ma queue était déjà prête à passer à l’action. Ne voulant pas le surprendre et risquer qu’il se fasse mal, j’approchais en lui demandant ce qu’il se passait.
— Qu’est-ce que tu fais?— L’évier est bouché, je veux m’en occuper avant de faire à manger.— Besoin d’un coup de main?— Non c’est bon, j’ai presque fini.
Je fis un effort surhumain pour me concentrer sur la conversation, alors que mon cerveau (celui du bas) était focalisé ailleurs. J’étais juste derrière mon père et j’avais une vue plongeante sur sa chute de reins. Pour soulager un peu la pression, je caressais ma queue prisonnière de mon jogging, mais il me fallait plus. Alors je me mis à genoux à mon tour, le cul de mon père dans ma ligne de mire et pendant que d’une main je libérais ma queue, de l’autre je baissais le pantalon de pyjama de mon père, qui me bloquait l’accès de mon petit paradis.
— Hmmm attends au moi que je finisse Matty.— Non pas le temps, je t’ai presque pas vu de la semaine et là j’ai trop envie de toi.
On baisait si souvent, que mon père n’avait presque plus besoin de préparation, alors après l’avoir légèrement détendu avec deux doigts, je rentrais en lui d’une seule poussée.
— Oh putain, ça m’avait manqué. C’est toujours aussi bon d’être en toi papa.— Et c’est toujours aussi bon pour moi de te sentir dans mon cul. Baise moi Matty. Baise moi vite et fort.
Et je lui obéis. Je ne ferai pas long feu mais j’en m’en foutais. Le top départ était donné et la ligne d’arrivée n’était pas loin. Je me déchainais dans le cul de mon père, comme si c’était la dernière fois. Il aurait certainement des bleus aux hanches et moi autour de l’aine, mais c’était tellement jouissif de me lâcher de cette façon. Mon père encaissait mes coups de reins en venant à ma rencontre. Nos corps claquant l’un sur l’autre, nos râles et nos gémissements étant les seuls sons résonnant dans la maison.
— Ça vient papa, ça vient. Je vais te remplir. Oui. Oui. Ouiiiii.— Mattyyyyyyyy.
Les contractions du cul de mon père sur ma queue accentuaient le plaisir que je venais d’avoir. Pour prolonger notre bien-être, je redonnais des coups de reins tranquilles jusqu’à ce que nous débandions. Quand la pression fut redescendue, je suis sorti de son fourreau, ai remis ma queue dans mon jogging et remonté son pyjama sur les fesses de mon père. Je me suis levé et mon père a continué son bricolage sous l’évier comme si rien ne c’était passé.
Deux semaines plus tard, Samuel me demande chez moi après une soirée au ciné. Je suis claqué, la semaine a été longue, mais voyant de la lumière dans le bureau de mon père, je décide d’aller passer un peu de temps avec lui. Pas forcément pour le baiser, mais juste pour prendre le temps de discuter. Même si notre relation a pris une direction imprévue, avec des plus, franchement très agréables, l’amour que nous ressentons l’un pour l’autre ne s’est pas dégradé. Non nous ne sommes pas amoureux, nous sommes juste un père et son fils, avec des avantages.
J’entre dans le bureau, bien plus à l’aise aujourd’hui que quelques semaines auparavant. Maintenant si je trouve mon père dans une position compromettante, ce n’est plus de la gène et la colère que je ressens, mais une profonde excitation. Je pousse la porte et effectivement, je vois mon père nu. Mais contrairement aux fois précédentes, il ne se baise pas sur "son homme", il le baise lui.
Le torse est posé sur la table basse devant le canapé et mon père fait un va-et-vient dans son cul. J’entre dans la pièce et vais m’asseoir, profitant du spectacle. Mon père me fixe en continuant de baiser ce trou en plastique. Son regard ne lâche pas le mien.
— Alors papa, raconte moi, à quoi tu penses quand tu le baises?
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