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Ma nouvelle drogue

Chapitre 6

Inceste
Quand je demande à mon père si il a d’autres fantasmes, je ne sais pas à quoi m’attendre. Si je pense aux miens, ils sont plutôt simples, voire basiques : avec deux filles, me filmer, faire ça dans un lieu public... Bref rien de bien folichon. J’imaginais qu’il en était de même pour mon père. Ouais une fois de plus, quand il se livre à moi, je me rends compte que c’est loin d’être le cas, même si on se rejoint pour certains.
Il m’avoue en premier que l’idée de la sextape et du lieu public ne le laisse pas indifférent. Plutôt facile à réaliser, je lui dis que nous pourrons le faire. Rien qu’avec cette idée je recommence à bander.
Il m’explique ensuite vouloir essayer le BDSM, mais de façon soft. Être attaché et avoir les yeux bandés, recevoir une fessée. Si je n’y ai jamais pensé avec mes ex, j’avoue que d’imaginer mon père totalement soumis à mon bon vouloir m’excite encore plus.
Il me dit vouloir essayer la double pénétration. Se sentir complètement ouvert par deux queues le pilonnant le fait frissonner rien que d’y penser. Hummm pourquoi pas ? Là pareil je n’ai jamais essayé, mais je ne vois pas avec qui nous pourrions essayer. A part mon meilleur ami qui est bi, mais je me vois mal lui proposer un plan à trois avec mon père. Il faudrait que je lui explique la situation, je ne suis pas sûr qu’il comprenne notre nouvelle relation. Une boîte gay pourrait convenir pour trouver... Je vais y réfléchir.
Mon père aimerai aussi se faire fister. Déjà plus abordable comme fantasme, je lui promets qu’on le fera un jour. Mais on verra plus tard, je ne me sens pas encore prêt et lui non plus d’ailleurs.
Puis il m’avoue avoir un fantasme un peu plus trash. Quand je le vois extrêmement gêner, je ne peux m’empêcher de me demander à quoi il pense. Il n’ose pas se confier de peur que je le trouve trop dégueulasse, mais j’ai envie de savoir, encore plus maintenant qu’il a titiller ma curiosité. Je vais pas mentir, je ne m’attendais pas du tout à ça et il me faut quelques instants pour digérer l’information.
— Je veux que tu pisses dans mon cul pendant que tu me baises.— ... ... ...— Matty ? Dis quelque chose.— Comment tu as eu cette idée ?— J’ai un gode ventouse dont je me sers parfois dans la douche. Un soir où je l’utilisais j’ai eu envie de pisser et au lieu d’arrêter ce que je faisais, j’ai continué de me baiser dessus, mais en me laissant aller à mon envie pressante. Depuis je me demande ce que je ressentirais si on me pissait dedans pendant que je me fais prendre. Je te choque ? — Euh... Bah... Je ne sais pas, en fait. Je ne vais pas te promettre qu’on le fera, mais je vais y réfléchir papa. Est-ce qu’il y a autre chose en attendant que je puisse faire pour toi? Qui ne soit pas trop extrême à mon goût.
Encore une fois, je ne sais pas à quoi je m’attendais, surtout après sa dernière révélation, mais quand mon père me fait part de son envie, je reste con.
— Suce-moi Matty. On couche ensemble depuis plusieurs semaines maintenant, mais jamais tu ne m’as fais de fellation.
Je remonte dans mes souvenirs de toutes nos parties de jambes en l’air. Merde, il a raison. Je lui ai bouffé le cul, je l’ai doigté et baisé, mais jamais je n’ai touché sa queue. Ni avec mes mains, encore moins avec ma bouche. Pourquoi ? Je n’ai pas la réponse. Je ferme les yeux pour imaginer la scène et l’image que mon cerveau me projette est très alléchante, sans mauvais jeu de mots. Mais si je n’aime pas ça ? Ou si je m’y prends mal ? Ou si lui me trouve nul et ne prend aucun plaisir ? Mon père me rassure.
— Tu n’as qu’à faire ce que tu aimes qu’on te fasse tout simplement. Et j’aimerais ça moi aussi, parce que ça sera toi en train de le faire.
Avant de perdre mon courage, je couche mon père sur le dos et viens me placer entre ses jambes. Je l’embrasse passionnément, la discussion m’ayant excitée, je lui prouve par ce baiser que je ne suis pas fermé à la réalisation de ses fantasmes. Nos langues et nos lèvres se retrouvent avec toujours la même fougue. Mes mains entrent dans la danse. Je lui pince les tétons, puis viens les lécher quand mes caresses descendent le longs de ses côtes. Ma bouche suit le même chemin. Je prends la direction de sa queue doucement mais sûrement. Quand j’arrive à son nombril, je sens son gland cogner mon menton. Je lève les yeux vers mon père, qui me regarde patiemment. Il ne le brusque pas, mais m’encourage avec un sourire. Alors je me jette à l’eau. Après tout il y a deux heures de ça, j’étais encore puceau du cul et j’ai adoré me faire baiser. Pourquoi il en serai autrement maintenant ?
Je passe ma langue sur le haut de son gland, duquel s’écoule son plaisir. Je goûte pour la première fois à la queue de mon père et j’ai une nouvelle révélation. Je ne coucherai jamais avec un autre homme que lui. Avec lui tout me plaît. Ma queue dans sa bouche et dans son cul et maintenant la sienne dans les miens. Je suis à lui comme il est à moi. Cette prise de conscience me fait prendre sa queue le plus loin possible. Mes lèvres serrent sa hampe pendant que ma langue la caresse et joue avec le gland. Mon père doit apprécier car sa main aggripe ma tête et ses doigts s’accrochent à les cheveux.
— Hhmmm Matty. Ta bouche est un régal. Tu t’y prends bien. Ouiiiii continue, avale ma queue, c’est bon.
Si ma bouche est un régal, sa queue est un vrai festin. Je m’applique à le sucer comme j’aime l’être. J’alterne entre titiller son petit trou au bout du gland avec la pointe de ma langue et avaler sa queue pendant que je le branle. Je vais devoir m’entraîner pour la gorge profonde, mais ça sera un vrai plaisir. Je joue aussi avec ses couilles, sans oublier de carresser son périnée. Mon père a maintenant les deux mains sur ma tête. Ses doigts dans mes cheveux me font mal parce qu’il tire dessus, mais pour rien au monde je ne voudrais lui dire d’arrêter. Au contraire quand mon père me dit qu’il veut baiser ma bouche, je l’y autorise d’une grondement.
Les pieds en appuis sur mon lit, mon père donne des coups de reins en maintenant ma tête. Il me baise la bouche comme il a baisé mon cul plus tôt. Le voir se servir de moi de cette façon pour prendre son pied pourrait me faire jouir en un clin d’oeil. D’ailleurs pendant qu’il ravage ma bouche, d’une main je me branle furieusement, tandis que de l’autre je tire sur ses couilles. Il me prévient qu’il est proche et que si je veux éviter d’avaler je dois lui faire savoir. Mais je veux tout connaître de lui, même son goût. Alors au lieu de retirer ma bouche de sa queue, je serre les lèvres autour de sa hampe et lui glisse un doigt dans le cul. Je sens l’orgasme monter aussi en moi. Quelques aller-retour dans ma main et je jouis fort entre mes doigts. Les vibrations dans ma gorge ont raison de mon père, qui lâche plusieurs jets de sperme. Si au début je fus surpris par la texture et le goût, j’ai avalé sans me poser de question.
— Merde Matty. Oui bouffe moi, avale tout. Rrrhhhaaaa... Putain...

Le corps de mon père retombe comme un soufflet, je crois que je viens de le vider. Dans tous les sens du terme. Mon père, les mains toujours dans mes cheveux me remonte jusqu’à lui et il m’embrasse. Il se goûte et semble apprécier, comme moi.
— Toi et moi ça n’a rien de conventionnel Matty, mais je dois t’avouer que je ne me vois pas avec quelqu’un d’autre, homme ou femme. Tu en penses quoi? Et si nous étions juste ensemble, heureux avec ce que nous partageons?— J’en pense que je suis un toxico accro. Accro à toi, ma nouvelle drogue.
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