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La nouvelle épouse

Chapitre 1

Découverte

Avec plusieurs hommes
Cela faisait quelques années que Laura vivait avec Victor. Ils en étaient à leur 6ème année de mariage. Ensemble, ils avaient eu 2 beaux enfants. Toujours très amoureux l’un de l’autre, ils étaient le modèle de la famille parfaite. Laura était institutrice et Victor travaillait comme commercial dans une petite société de produits électroniques. De par son métier, il était souvent convié à des soirées pour et avec les clients. Ce soir-là ne faisait pas exception.
— Tu es prête ma chérie ?— Oui. J’ai déposé les enfants chez Mélanie. Ils vont y dormir. Tout va bien.
Laura portait une robe noire ouverte à partir du genou et était perchée sur des escarpins noirs de toute beauté. Elle avait pris soin de son maquillage. Victor regardait son épouse avec un amour immense, la trouvant, comme toujours, magnifique. Lui portait un costume gris qui lui allait à merveille. Ils se glissèrent dans la voiture et partirent vers le lieu de la soirée.
Là-bas, le couple fut accueilli par Clarence, la maîtresse de maison, qui les amena vers le salon où se trouvaient les invités. Les discussions battaient leur plein. Les verres de champagne furent servis les uns après les autres, les petits fours, la musique, tout semblait parfait. Victor discutait avec les clients potentiels et Laura papillonnait entre les petits groupes. Elle semblait très bien. Au fur et à mesure, les invités quittaient la maison. Victor et Laura continuaient leur soirée. C’est alors que Clarence s’approcha de Victor.
— Elle est très belle votre épouse, lui lança-t-elle.— Merci. Je sais que j’ai la chance de l’avoir.— Elle plaît beaucoup à mes invités. Vous l’avez vue ?— On passe... une bonne soirée.— Et vous croyez qu’il lui manque quelque chose ?— Non. Vous pensez qu’il lui manque quoi ?— Votre femme... C’est évident... Elle a besoin d’une bite.— Quoi ?— Ça se voit, elle a envie d’une bite.— Elle a la mienne, répondit Victor aussi étonné qu’embrumé par le champagne.— Rassurez-vous, il y a de quoi l’occuper ici. Regardez.
Victor regarda alors son épouse qui était très proche d’un homme et riait à gorge déployée. Jean, l’homme qui regarda fixement Victor, posa sa main sur les hanches de Laura puis descendit sa main doucement vers les fesses de la jeune femme. Du regard, elle chercha Victor, mais ne put le voir. Elle ne fit pas le moindre geste pour que la main quitte ses fesses. Elle continuait à rire de façon plus discrète alors que Jean lui palpait ouvertement les fesses. Il lui glissa alors à l’oreille :
— Vous me plaisez. Et votre mari est occupé. On s’éclipse ?— Comment ça ?
— Vous croyez que je veux passer le reste de la soirée à vous caresser le cul ?— Mais... mon mari...— Ma femme s’en occupe. Il n’en saura rien.
Et il entraîna Laura à l’écart dans une petite pièce. Très vite, il se jeta sur Laura et l’embrassa à pleine bouche. Laura recevait ce fougueux baiser pendant que les mains de Jean se mirent à danser sur ses fesses, ses seins. Avec envie, il commença à remonter la robe de Laura pour découvrir ses fesses. La jolie petite culotte blanche de Laura fut rapidement visible. Il glissa ses mains sous l’élastique de la culotte et commença à la faire descendre. Le frêle tissu tomba au sol entre les jambes de Laura. L’homme la fit alors aller vers le canapé pour l’asseoir fesses nues sur le cuir. Il prit alors le temps de récupérer la culotte et l’envoyer vers la porte avant de venir s’agenouiller entre les cuisses de Laura.
Clarence proposa à Victor de la suivre. Hébété par ce qu’il venait d’entrevoir, Victor la suivit sans dire un mot. Ils arrivèrent devant une porte entrouverte. Elle se pencha et ramassa un tissu au sol :
— C’est celle de votre femme ? dit-elle en tendant le tissu à Victor.— Oui... répondit-il en examinant la culotte.— Vous voulez voir ?
Elle poussa un peu la porte et Victor put voir son épouse, les jambes largement écartées. Jean à genoux devant elle la dégustait. Laura semblait prendre beaucoup de plaisir. Il lui léchait le sexe avec avidité. Laura passait ses mains dans les cheveux de Jean tout en gémissant de plaisir.
Puis il se redressa. Laura se pencha alors vers son pantalon et commença à défaire sa ceinture, sa braguette. Le sexe dur et droit de l’homme se dressa alors devant Laura. Victor n’en croyait pas ses yeux. Son épouse, la mère de ses enfants, n’allait tout de même pas faire ça. Et pourtant Laura ouvrit la bouche et y enfourna la verge. Elle se mit à la sucer tendrement. Jean tourna la tête vers la porte et regarda vers Victor avec un regard plein de satisfaction.
— Elle a l’air de savoir s’y prendre, dit alors Clarence. Elle vous suce souvent ?— Euh... Oui... Quelques fois...— Et elle le fait bien ?— Oui... Elle... sait comment... s’y prendre.
Victor ne savait même pas comment ces mots étaient sortis de sa bouche. Il venait de dire à Clarence que son mari devait vraiment apprécier que Laura lui taille une pipe... Une pipe... La bouche qu’il embrassait avec amour, qui embrassait ses enfants, était autour de la verge d’un homme qu’elle connaissait à peine. Elle le suçait comme elle suçait son mari.
Jean finit par se retirer et commença à faire tomber les bretelles de la robe de Laura. La robe tomba au sol, laissant Laura uniquement vêtue de ses escarpins et ses bijoux. Passant dans son dos, Jean empoigna ses seins alors que la jeune femme agrippait le sexe tendu pour le masturber. Après avoir été léchée et avoir sucé un homme, Laura lui caressait le sexe sûrement pour le prendre en elle.
Victor fut tiré de sa torpeur par une voix derrière lui :
— Tu l’as trouvée où celle-ci, Clarence ?— Elle nous a été amenée par son mari. Il est là.— On peut y aller ? demanda un autre.— Oui. Cette salope est là pour ça, acquiesça Clarence.— Mais... Elle n’est pas... tenta Victor.— Une salope ? Elle était bien avec la bite d’un quasi-inconnu dans la bouche, coupa Clarence.
Les deux hommes poussèrent alors la porte. Laura s’écarta de Jean et tenta de se couvrir. L’avant-bras devant les seins et la main entre les cuisses ne laissaient aucun doute sur sa nudité. Laura regardait les deux hommes se diriger vers elle. Puis, entre eux, elle aperçut Victor qui la regardait dans l’encadrement de la porte. Elle regarda son mari avec des yeux pleins de honte et de remords. De son côté, Victor ne réagissait plus. Laura finit par penser qu’il donnait son accord pour ce qu’il se passait. Aussi quand les deux hommes prirent Laura dans les bras, elle retira ses mains. Chacun l’embrassa en caressant ses seins, son sexe et ses fesses. Puis l’un des hommes appuya sur ses épaules pour la faire s’agenouiller. Le regard régulièrement tourné vers son mari, Laura ouvrit les deux braguettes. Elle fit sortir les deux sexes tendus. Laura prit alors en bouche les sexes l’un après l’autre. Elle en suçait un pendant qu’elle branlait le second.
Changeant régulièrement de verge, Laura lançait des regards à son mari qui ne bougeait plus, ne réagissait plus et n’osait reconnaître en cette femme son épouse.
— Alors, votre femme n’est pas une salope ? demanda Clarence.— Je... ne sais... pas... balbutia Victor.— Moi, je sais. Votre femme aime les bites, toutes les bites, les bites de n’importe qui. C’est une salope. Et vous avez bien fait de nous l’amener pour qu’elle soit utilisée par tous.
Jean vint alors récupérer Laura et l’entraîna vers le canapé. Il l’installa a quatre pattes et vint se mettre derrière elle. D’un coup sec, il s’enfonça dans le sexe de Laura qui hurla son plaisir. Il commença à la besogner avec entrain. Chaque coup de boutoir faisait gémir Laura. Un des hommes vint alors s’asseoir sur le canapé devant Laura. Il posa sa main sur la nuque de Laura pour lui intimer l’ordre de le reprendre en bouche. Les deux verges se mirent alors à bouger de concert dans les orifices ouverts de Laura. Jean la baisait avec fougue tandis que l’autre homme enfonçait sa bite bien au fond de Laura, étouffant ses cris de plaisir.
Quelques minutes plus tard, Jean se retira et invita le troisième larron à venir prendre sa place. Pendant que le nouveau baisait Laura, Jean profitait du calme pour faire retomber sa pression. Ainsi un ballet pervers se mit en place. Les hommes s’échangeaient la bouche et le sexe de Laura, permettant au dernier de se calmer pour faire durer. Laura, perdue et offerte, ne savait même plus qui la baisait et à qui appartenait la verge qu’elle avait en bouche.
— Rien de tel qu’une bonne pute gratuite pour réussir une soirée ! Dit un des hommes.— T’as bien raison, lui répondit celui qui la baisait en assénant une bonne claque sur le cul de Laura.
Voyant son amour, son épouse, la mère de ses enfants traitée ainsi comme une vulgaire catin de basse condition, Victor était partagé entre colère, honte et excitation. Il sentait les trois sentiments grandir et grossir en lui allant jusqu’à déformer son pantalon.
— Si vous avez envie de vous branler, ne le faites surtout pas, lui lança Clarence, visiblement fière d’elle.— Comment ça ?— Elle en a encore pour un moment et vous mourez d’envie de sortir votre bite. Si vous vous branlez, vous ne pourrez pas la baiser comme il se doit lorsqu’on vous rendra votre salope.
Les mots résonnaient en lui comme des coups de couteau. Il était venu avec son épouse et, après l’avoir bien baisée, ils lui rendront une salope. Cela semblait aussi cruel que réel. Sa femme se comportait comme une chienne dévergondée.
— Je pense qu’elle est prête, dit Jean à Clarence.— Alors faites, messieurs, répondit-elle.— Faire quoi ? demanda Victor inquiet.— Vous enculez votre femme ?— Oui... mais elle n’aime pas trop ça, précisa Victor.— D’accord, mais son cul est habitué à recevoir une bite. Donc ils peuvent lui prendre le petit trou sans risque.— Oui, balbutia Victor.
Clarence fit « oui » de la tête en direction de Jean. Il sourit puis parla à l’oreille d’un des hommes. Ce dernier s’allongea sur le canapé, invitant Laura à le chevaucher. Le second vint lui remplir la bouche. Jean, derrière elle, lui écarta les fesses et pointa son gland vers le petit trou encore serré. Il poussa fortement et son gland força l’entrée de l’anus de Laura. Un cri de douleur et de plaisir s’échappa de la bouche de la jeune femme. Mais il fut très vite étouffé par une verge qui prit sa bouche.
Les trois verges se mirent à bouger ensemble dans Laura. Elle, mère de famille, épouse modèle, était baisée par trois hommes. Chacun de ses orifices, bouche, sexe et anus, était pris en même temps.
— C’est vraiment une bonne salope, les mecs, lança un des hommes.— C’est clair, répondit Jean en claquant les fesses de la jeune femme.
Laura se laissait transportée par les trois verges qui l’utilisaient. Victor, médusé, incapable de prononcer le moindre mot, observait son épouse prise par ce groupe d’hommes.
Jean et les deux hommes changèrent plusieurs fois de positions, mais trois verges étaient toujours en Laura. Chacun des hommes put user de la bouche de la jeune femme qui suçait chaque verge, quelle que soit la personne à qui elle était. Ils passèrent tous sous elle pour s’enfoncer dans son sexe béant et gluant de plaisir. Ils purent tous passer dans le petit trou de Laura qui accepta chacune des verges. Laura fut baisée par les trois hommes pendant de longues minutes.
Jean demanda ensuite à Laura de venir s’agenouiller au milieu de la pièce. Les trois hommes se positionnèrent autour. Laura se mit à sucer une verge en branlant les deux autres. Les hommes étaient prêts à exploser. L’un d’entre eux finit d’ailleurs par jouir, maculant de sperme le cou et les seins nus de Laura. Un deuxième s’approcha de la jeune femme et, après lui avoir baisé une dernière fois la bouche, jouit à son tour. Il ajouta son sperme à celui du précédent sur les seins de la jeune femme. Enfin, Jean se branlant devant la jeune femme finit par jouir aussi en visant son visage. Le sperme de Jean s’écrasa sur le front, les yeux fermés, le nez et la bouche de Laura.
Les trois hommes, après s’être rhabillés, quittèrent la pièce. Les deux premiers échangèrent un regard avec Victor lui tapant sur l’épaule comme pour le réconforter. Jean s’approcha de Victor.
— C’est une bien belle salope que tu as épousée. Tu as bien fait de nous l’amener. Ça faisait longtemps que je n’avais pas partagé une bonne chienne avec mes copains.
Pendant ce temps, Laura essuyait le sperme avec une serviette gracieusement tendue par Clarence. Une fois propre, elle enfila de nouveau sa robe et, la soirée étant finie, ils sont rentrés.
Dans la voiture, Victor ne dit pas un mot. Il ruminait sa colère, sa honte et aussi l’excitation provoquées par la soirée. En arrivant à la maison, il chercha les clés de la maison. Mettant ses mains dans ses poches, il y trouva la culotte portée par Laura en début de soirée. Une forte colère monta alors d’un coup.
— Ta culotte ?— Quoi ?— Tu la portes ? Là maintenant ?— Je... Non... Je ne l’ai pas retrouvée, après.
Après avoir pénétré dans la maison, Victor poussa son épouse sur la table de la salle à manger. Elle y tomba le buste en avant. Elle n’eut pas le temps d’esquisser le moindre geste. Victor la plaqua fermement contre la table et attrapa la robe. Il la souleva, découvrant ses fesses restées nues. La voyant ainsi offerte, Victor ne put s’empêcher de lui mettre une première claque. Ses mains s’abattirent alors à plusieurs reprises sur les fesses de son épouse. Les claques étaient si puissantes que le cul de Laura finit par être zébré de rouge. Puis Victor retira son pantalon et son caleçon. Sa verge était tendue. Il se positionna derrière son épouse.
— Après tout, si tant en avait profité ce soir, pourquoi se retenir ? se dit-il.

Il posa son gland sur le petit trou rougi de son épouse et se mit à en forcer l’entrée. Lorsque son gland passa la petite porte, Laura se mit à hurler de douleur et de surprise. Il lui attrapa les épaules comme pour bien se caler et commença à la besogner. Il lui mit de grands coups de boutoir, s’enfonçant à chaque fois très profondément en elle. A chaque pénétration, Laura ne pouvait retenir un hurlement presque animal. Victor attrapa alors les cheveux de son épouse et les tira vers lui comme pour s’encrer encore plus profondément dans l’anus de Laura.
— T’es vraiment une bonne salope !— Tu aimes qu’on t’encule, sale pute !— Tu aimes les bites, petite chienne ! assenait Victor à son épouse en la sodomisant avec violence.

La pauvre jeune femme était incapable de réagir autrement qu’en donnant raison à son mari. De petits « oui » sortaient de sa bouche entre deux hurlements. Elle perdit très vite tout contrôle de son corps. Elle avait l’impression de n’être plus qu’un anus. Tout le reste ne comptait plus, son corps se résumait à ça : un petit trou pénétré par son homme amoureux, son mari, le père de ses enfants...
Elle finit par se sentir partir. Victor, qui avait l’habitude des orgasmes de sa femme, ne la reconnut pas, mais se rendit compte que son épouse n’avait pas joui de la soirée. Tout le corps de Laura se mit à trembler, elle hurla, son anus se contracta, enserrant et aspirant le sexe de Victor. Elle sembla presque défaillir. Victor ne put se retenir et dans une dernière pénétration, il jouit dans le cul de son épouse.
Ils mirent tous deux quelques minutes pour revenir à eux. L’anus de Laura avait fini par rejeter le sexe redevenu mou de Victor. La jeune femme posa sa main sur ses fesses et informa son mari qu’elle allait prendre une bonne douche. Victor la suivit dans la salle de bain pour, lui aussi nettoyer sa verge.
Victor fut le premier sur le lit. Nu, il attendait son épouse pour se coucher. Lorsqu’elle sortit, Victor s’aperçut à ses yeux rouges qu’elle avait pleuré.
— Pardon pour ce soir, balbutia-t-elle. Je ne sais pas pourquoi...— Tu regrettes ?— Si tu m’en veux, oui.— Ça dépend de toi. Je t’aime, mais j’ai aimé te baiser. J’ai aimé te... enfin... brutalement...— Comme tout à l’heure ?— Oui. Et si tu me laisses user de toi, je pourrai...— Me pardonner ?
Le sexe de Victor avait repris des forces, presque malgré lui. Il se leva et, de façon assez autoritaire, il ordonna à Laura de s’agenouiller. Il entra alors dans la bouche de son épouse. L’attrapant par la nuque, il commença à donner de grands coups de reins. Laura posa ses mains sur les cuisses de son mari et le laissa utiliser sa bouche. Il s’enfonça à plusieurs reprises très profondément en elle. Il s’arrêta même plusieurs fois alors que les lèvres de Laura touchaient ses boules. Il restait ainsi jusqu’à ce que son épouse le repousse pour éviter l’étouffement. Des larmes coulaient sur le visage de Laura en même temps que le plaisir de Victor montait en lui.
— N’en perds pas une goutte ! lui ordonna-t-il avant de lui décharger une grande quantité de sperme dans la gorge.

Laura déglutit à plusieurs reprises pour avaler l’offrande de son mari. Lorsqu’il se retira, Laura le retint pour aspirer les dernières gouttes qui perlaient encore. Comme ordonnée, elle n’avait rien perdu, elle avait tout avalé soigneusement.
— C’était bon ? lui demanda-t-il.— Non.— Mais tu le referas ?— A chaque fois que tu le voudras.— C’est très bien. Tu as le droit de venir te coucher avec moi ce soir.
Le couple se coucha l’un à côté de l’autre. Lorsqu’elle éteint la lumière, Laura se blottit contre son mari.
— Je t’aime mon amour.— Moi aussi, je t’aime, ma salope.
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