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La nouvelle épouse

Chapitre 3

En ami

Avec plusieurs hommes
Laura était dans la cabine d’essayage. Elle avait déjà passé les jeans et les hauts vus dans le magasin. Son choix se portait sur un de chaque. Elle était en petite tenue, prête à se rhabiller quand Victor passa sa main à côté du rideau :
— Essaye ça aussi... Une robe.
Toute à la joie de faire du shopping avec son mari alors que les enfants étaient en vacances chez leurs grands-parents, Laura ne fit pas vraiment attention au vêtement tendu. Elle mit la robe et se regarda dans la glace. Elle fut prise d’un petit rire.
— Chéri, je crois que tu t’es trompé sur la taille.— Non, ‘M’, c’est bien ça ?— Oui, mais... comment dire ?— Montre-moi.— Elle est un peu courte, dit Laura en entrouvrant le rideau pour que son mari puisse voir.— Non, elle est parfaite pour toi, répondit-il. On la prend.
Laura, toujours amusée, se retourna vers le miroir. En se voyant de nouveau, son rire prit fin. Elle comprit alors quelle partie de ‘toi’ était sous-entendue par Victor. Une vague de chaleur la submergea. La robe noire moulante laissait voir la naissance de ses seins et, bien courte, montrait presque la totalité de ses cuisses. Même si elle trouvait cette robe à la limite de la décence, le Maître avait fait son choix. Cette robe allait venir se loger dans les vêtements de Salope. Ils passèrent à la caisse et sortirent du magasin. Laura, amoureuse et envoûtée par son mari, ne pouvait s’empêcher de sourire.
— Ça a l’air d’aller.— Très bien. Je t’aime.— Un peu plus haut, il y a un magasin de lingerie. Je veux qu’on y aille.— Comme vous voulez Monsieur.
Le couple se rendit dans le magasin et en sortit avec des bas, deux porte-jarretelles et une guêpière. Ils allèrent ensuite dans d’autres magasins où Laura essaya des tenues et des chaussures qui la firent se sentir aimée et désirée comme rarement. Les emplettes terminées, ils rentrèrent à la maison où Laura, en mère de famille soucieuse de la santé de chacun, passa les vêtements à la machine à laver.
Deux jours plus tard, quand ils furent tous bien propres et secs, le Maître ordonna à la Salope de faire un petit défilé pour lui. Elle ramena tous les achats dans le salon où Maître attendait sur le canapé. Il lui ordonna de se dénuder. Quand elle fut nue, il choisit une première tenue qu’elle enfila. Après l’avoir regardée sous tous les angles, il valida la tenue. Il lui ordonna de se dévêtir à nouveau. Il choisit alors une nouvelle tenue. Le processus se répéta plusieurs fois jusqu’à ce que Laura ait tout essayé, dans plusieurs combinaisons, devant son mari. Quand elle se remit nue la dernière fois, Victor passa un doigt sur le sexe offert de sa femme.
— Tu es trempée.
— Oui, Monsieur, les tenues et vous... vous me faites... envie.— Je te remercie, dit-il en sortant son sexe déjà gonflé. Tu as le droit à une récompense. Viens sur moi.
Laura accourut sur le canapé et chevaucha son Maître. Elle le fit entrer en elle et en ressentit un tel bien-être qu’elle eut l’impression qu’elle allait déjà partir. Elle commença à monter et descendre sur lui, gémissant de bonheur. Très vite, elle fut terrassée par un orgasme surpuissant. Elle s’écroula sur son mari. Quand elle reprit ses esprits, elle tenta de se relever, mais Victor l’arrêta. Il lui intima l’ordre de recommencer. Elle recommença en pensant que, d’habitude, après un orgasme, elle doit arrêter, car n’appréciant plus. Mais elle fut surprise par un deuxième orgasme au moins aussi puissant que le précédent. Elle tomba de nouveau sur Victor et lui demanda grâce... qu’il ne lui accorda pas. Elle dut recommencer encore. Lorsqu’elle jouit encore une fois, Maître l’autorisa à s’arrêter. Elle s’assit à côté de lui, repue et gavée de plaisir.
— Tu as vu dans quel état tu m’as mis ?— Oui... Pardon Maître.— Tu ne vas pas me laisser comme ça. Nettoie tes saletés.— Je vais chercher une serviette.— Non, idiote... Avec ta bouche !
Laura se pencha sur son Maître et passa sa langue dans tous les recoins où auraient pu se cacher les traces de ses multiples orgasmes. Elle lécha et aspira chaque centimètre carré de sa peau. Puis elle engloutit le sexe encore dur et tendu de son Maître. Elle le prit si loin en bouche qu’elle put lécher ses boules. Déjà bien excité, Victor ne réussit pas à tenir et il jouit à grands jets dans la bouche de son épouse. En bonne Salope, elle avala tout le sperme offert par son Maître.
— Tu m’as l’air en bonne condition, ma chérie. Demain, un ‘ami’ vient dîner à la maison. Je te prépare une tenue ?— Il ne vient pas que pour dîner, je me trompe.— Il n’est pas au courant de quoi que ce soit et je ne lui ai rien promis. Mais comme le veut notre contrat. Il ne pourra avoir quelque chose que si tu es d’accord.— Je ne peux pas te dire... Ça dépend s’il me plaît, si on accroche... Comme ça, je ne sais pas.— Je te propose : lorsqu’il arrive, tu l’accueilles pas prête et, s’il répond à tes critères, tu mets la tenue préparée sinon tu mets ce que tu veux.
Laura accepta. Ils attendirent tous deux fébrilement le lendemain soir. Lorsque Alban arriva, il fut accueilli par Victor et Laura. Laura portait une grosse robe de chambre et prétexta quelques obscurs soucis dans la journée l’ayant mise en retard dans sa préparation. Alban la rassura en disant qu’elle pouvait prendre tout son temps, qu’il n’était attendu nulle part. Laura monta dans la chambre pour se changer.
Un homme plus de première fraîcheur, légèrement bedonnant, avec un début très prononcé de calvitie... C’était cet homme que Victor avait choisi ? Il n’en était pas question pour Laura. Elle regarda la tenue choisie par Victor sur le lit et fila dans le dressing pour faire ses propres choix. Elle opta pour des sous-vêtements noirs sans fioriture, un pantalon gris clair ample, le chemisier noir que Victor avait choisi et une paire de chaussures noires plates. Lorsqu’elle redescendit, Victor sembla déçu, mais embrassa tout de même son épouse. « Message reçu. »
La soirée fut très agréable, très conviviale. Alban était un homme charmant et prévenant. Ils parlèrent de beaucoup de choses. Cet homme, commercial de métier, était en fait l’un des premiers à avoir pris Victor sous son aile et à l’avoir formé. Il lui avait appris tant de choses que Victor parlait de lui souvent. Laura ne le voyait pas du tout comme il était réellement physiquement. Alban se révéla être un homme très bien. Et le couple adorait sa compagnie.
Au moment de servir le plat de viande accompagné de sa sauce, Laura glissa et se retrouva avec un morceau de viande sur les genoux. Elle regarda son pantalon taché avec effroi.
— Merde ! lâcha-t-elle avant de s’excuser pour ce mot.— Ce n’est rien Laura. Ça arrive à tout le monde de dire ce genre de choses, lui dit Alban en souriant.— Je... Je vais me changer... Désolée.
Et Laura se leva d’un bon pour aller vers la chambre. Elle retira son pantalon qui était son seul vêtement touché et fila à la salle de bain pour le rincer avant que la tâche ne s’imprègne. Victor voyant le temps pris par Laura finit par monter.
— Ah, tu es là. Alban et moi nous demandions quand tu allais revenir.— Je mouille juste mon pantalon, je me change et j’arrive. Dis-moi, il est super sympa ton vieux pote, dit Laura amusée.— Oui, c’est un super gars. Quand j’ai su qu’il venait, je n’ai pu m’empêcher de l’inviter.— Je comprends. Il doit manquer à sa famille quand il part.— Pas vraiment. Il a divorcé il y a un peu plus d’un an... Il vient de me le dire. Et ses enfants sont grands et loin maintenant. Fais vite, je redescends, tu nous manques déjà.
Une fois la trace effacée de son pantalon, Laura fila vers la chambre. Elle vit de nouveau la tenue préparée par Victor. Elle était partagée. Elle finit par prendre sa décision, pas la tenue choisie, mais... elle enfila un ensemble de sous-vêtements noir bien plus engageant que les premiers, la paire de bas choisie par Victor, une jupe grise savamment ouverte sur la cuisse et la paire d’escarpins que Victor avait sélectionnée. En se regardant dans le miroir, elle vit que par l’ouverture de la jupe, l’orée de son bas apparaissait. Elle se sentait belle, désirable et prête à retourner vers les deux hommes. Lorsqu’elle descendit l’escalier, elle fut accueillie par un grand sourire d’Alban et Victor.
— Si j’avais su qu’un tel changement de tenue était envisagé, je t’aurais balancé des trucs dessus dès le début du repas, dit en rigolant Alban. Madame, vous êtes magnifique. Je comprends pourquoi tu ne me l’as pas présentée plus tôt, cachottier !— J’aurai eu trop peur que tu tentes de me la piquer.— T’as bien raison, j’aurais tout essayé, dit-il en rigolant.
Puis il se leva, demandant les toilettes.
— Chérie, on voit ton bas, lui dit Victor.— Quel dommage ! Tu crois qu’il l’a vu ? demanda-t-elle avec un petit sourire.— J’en suis sûr. Tu l’as fait exprès ?— Peut-être.— Tu portes une culotte ?— Oui bien sûr.— Enlève-la. Il le saura. Ne me demande pas pourquoi ni comment, lui dit Maître.
Laura se dandina et fit tomber le bout de tissu qu’elle venait de mettre. Elle le tendit à Victor qui le mit dans sa poche au moment où Alban revint. Le repas se poursuivit avec les félicitations d’Alban pour la cuisine de Laura. Elle laissa les deux hommes le temps de préparer les cafés.
— Ta femme est vraiment superbe, mon gars, lâcha Alban.— Je te remercie.— Et elle sait se mettre en valeur en plus. Sa tenue est parfaite.— Merci.— Elle s’habille souvent comme ça ou c’est pour moi ? Et l’oubli, c’est pour moi aussi ? demanda Alban.— Quel oubli ?— Ce que tu as dans ta poche, répondit-il.— Oui. Si tu veux... Il suffit de demander, osa Victor.
Laura revint avec les cafés qui furent avalés en quelques minutes. Puis Alban tenta sa chance.
— Pour finir en beauté, vous n’auriez pas un petit digestif ? demanda-t-il.— Oui, bien sûr, je ne sais plus trop ce qu’on a. Dis-moi ce que tu voudrais prendre, répondit Victor.— Laura !— Tu as entendu ? Alors obéis.
Laura s’approcha d’Alban qui passa ses mains sous la jupe de la jeune femme. Il la releva doucement, dévoilant ses bas puis il glissa sa main entre les cuisses de Laura pour en tester l’humidité.
— Pas de culotte et trempée... Une femme comme je les aime.
Laura se mit ensuite à genoux pour défaire le pantalon d’Alban. Une verge de très belle taille en sortit. Laura, après l’avoir masturbée pendant quelques secondes pour la faire durcir, l’emboucha avec avidité. Elle se mit à sucer Alban avec beaucoup d’ardeur.
— Ça faisait longtemps que je ne m’étais pas fait pomper comme ça. C’est une vraie vorace ta femme.— Ce n’est pas ma femme qui te suce, mon ami, c’est ma salope, lui dit Victor avec une grande fierté dans la voix.
Laura s’appliquait du mieux qu’elle pouvait pour donner du plaisir à cet homme. Alban semblait adorer. Il passait ses mains dans les cheveux de la jeune femme comme pour s’assurer qu’il ne rêvait pas. Il sentait son plaisir monter, mais il ne voulait pas que ça se finisse trop vite.
Il releva Laura et lui retire son chemisier et son soutien-gorge. Il l’invita ensuite à s’allonger sur la table. Laura, les seins dénudés et la jupe relevée sur son sexe nu, s’y allongea en travers. D’un côté ses fesses étaient vers Alban. De l’autre, son visage amoureux était tourné vers Victor, son mari et Maître. Alban se mit à genoux et commença à déguster le sexe dégoulinant de la jeune femme. Victor sortit son sexe et s’approcha de sa Salope. Il fit claquer son gland sur les joues de la jeune femme. Puis il inséra sa verge dans la bouche qui la réclamait. Il se mit à besogner la bouche de sa femme pendant qu’Alban lui broutait le sexe.
Alban se redressa et pointa sa verge à l’entrée du sexe de Laura. Il la pénétra en la faisant gémir. Même si l’attribut de son mari et Maître était assez volumineux, celui d’Alban l’était plus. De concert, les deux hommes se mirent à prendre les deux orifices de Laura. Ils s’enfonçaient en même temps dans la jeune femme. Ils la baisèrent ainsi quelques minutes puis Victor proposa à Alban d’aller « fourrer la pute » sur le canapé.
Victor s’allongea sur le canapé et ordonna à Laura d’enlever sa jupe et de venir le chevaucher. Elle s’exécuta tout de suite, enfonçant la verge de son Maître en elle. Elle fit aller et venir la verge en elle. Puis Victor attrapa les fesses de Laura et s’adressa à Alban :
— Regarde-moi ce petit trou du cul. Baise-le s’il te fait envie.— Il est trop gros, balbutia Laura, apeurée à l’oreille de Victor.— Je sais, mais j’ai envie de lui offrir ton anus. N’oublie pas que tu peux tout stopper si ça ne va pas.— C’est vrai qu’il est tout mignon ce petit trou. Madame aime qu’on l’encule, je présume, dit-il en approchant ses mains pour dilater l’anus de Laura.
Laura serra les dents pendant qu’Alban la préparait. Elle sentit ensuite qu’il posait son gland sur son petit trou. Il commença à pousser doucement pour que l’anus s’ouvre. Laura grimaça un peu pendant que la verge d’Alban se frayait un chemin en elle. Le gland finit par entrer, arracha un cri de douleur à Laura.
— Je t’ai fait mal ? demanda Alban.— Oui...— J’arrête ?— Non, susurra-t-elle.
Alban fit glisser petit à petit le reste de son sexe dans l’anus de Laura. Elle sentait cette verge épaisse la remplir. Des larmes coulaient sur ses yeux tant la douleur était forte. Victor scrutait ses réactions pour mettre un terme au besoin, mais sa Salope tenait bon. Lorsqu’il fut entièrement en elle, Laura s’écroula sur son Maître.
— Je suis très fier de toi, lui glissa-t-il à l’oreille.— Je l’ai fait pour vous, Maître. Pour que vous voyiez ce que votre chienne est prête à faire pour vous, répondit-elle, le souffle coupé par la sodomie.
Victor sentait le sexe d’Alban à travers la fine paroi qui sépare les endroits qu’ils avaient investis en Laura. Ils recommencèrent petit à petit à baiser la jeune femme, allant et venant en elle chacun à leur rythme. Laura, toute à son plaisir, se surprit à penser qu’il manquait un autre homme pour lui remplir la bouche. Du coup, elle pouvait laisser librement s’échapper des gémissements et même de hurlements de plaisir. Vêtue uniquement de ses bas et de ses chaussures et baisée de la sorte, elle se sentait encore plus femelle que d’habitude. Plusieurs orgasmes la secouèrent avant que les deux hommes décidèrent de se retirer.
Victor entraîna au milieu de la pièce et la contraint de s’agenouiller sur le carrelage froid. Il poussa jusqu’à ce que le sexe de sa Salope entre en contact avec le sol. Au contact du froid, le sexe de Laura se remit à vibrer et à s’humidifier.
Très fier de lui, Victor s’approcha de Laura et lui tendit sa verge couverte de son jus de plaisir. Il lui enfonça dans la bouche pour qu’elle nettoie toutes ses « saloperies ». Laura suça et lécha la verge de son Maître. Il attrapa sa Salope par la nuque et donna de grands coups de reins dans sa bouche. Très vite, il sentit son plaisir monter. Ne se retenant pas, il jouit, déversant son sperme au fond de la gorge de Laura. Puis il se retira, laissant la jeune femme haletante.
— Je te la laisse, dit Victor à Alban qui attendait en se masturbant.— Je vais la redécorer, promit Alban.
Il s’approcha de la jeune femme et se branla vers elle. En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, une belle giclée de sperme sortit de la grosse verge d’Alban. Elle s’écrasa sur le menton de Laura. Les suivantes vinrent se répandre sur sa poitrine.
— Enfile ça en laissant tes seins libres, ordonna Victor à sa femme en lui tendant son chemisier.— Je vais me nettoyer Monsieur ? demanda Laura.— Non. Tu restes ici, debout devant nous. Je déciderai quand tu seras libérée.
Les deux hommes se rhabillèrent et s’assirent sur le canapé face à Laura. Ils regardaient en discutant le sperme d’Alban couler doucement le long du corps de la jeune femme. Les gouttes descendirent sur son ventre puis certaines se perdirent dans les poils pubiens de Laura. La jeune femme se sentait à la fois excitée et humiliée par la situation. Elle était une pièce de viande dont les deux hommes commentaient le physique et suivaient le sperme qui lui coulait dessus. Quand la première goutte tomba sur son bas, Victor libéra sa Salope. Alban choisit ce moment pour prendre congé de ses hôtes.— Victor, ça m’a fait très plaisir de te voir. Laura, merci pour ta présence, le repas excellent et... pour ton cul... Adorable.
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