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La nouvelle épouse

Chapitre 4

Service rendu

Histoire médaillée
Avec plusieurs hommes
— Les enfants sont au lit, ma chérie, dit Victor.— Je monte leur dire bonne nuit, répondit Laura.
En redescendant de l’étage, elle vint s’installer sur le canapé.
— Tu as vu quelque chose à la télé ce soir ? demanda Laura à son mari.— Non.— Tu veux regarder un film ?— Non.— Une série ?— Non.— Tu veux quoi alors ?— Ma Salope.
Laura réagit tout de suite. Sur l’ordre de son Maître, elle se dévêtit. Elle resta bien sagement debout en attendant la suite des ordres de son Maître, mais une idée germa en elle. Cela faisait quelques jours qu’elle voulait tester.
— Suce-moi comme la petite pute que tu es, ordonna Victor.— Non, pas ce soir, je n’ai pas envie, répondit Laura.— Comment ça tu n’as pas envie ? Tu ne veux pas être Salope ce soir ?— Si, mais je n’ai pas envie de faire ça.— Dois-je comprendre que tu ne veux pas respecter l’Article 4 de ton contrat ?
Laura secoua la tête pour confirmer ce qu’il venait de dire. D’un bon, il se leva et partit dans le bureau voisin. Il en revint avec un godemichet, une badine et une cravache.
— Tu te rends bien compte que je vais devoir te punir pour ton affront, dit Victor.
— Oui, vous en avez parfaitement le droit Monsieur, répondit Laura qui commençait à être excitée par la situation.— On commence par une série de 10. Tu comptes et tu me remercies.
Victor installa sa femme sur le canapé, à genoux, le torse contre l’assise. Il lui écarta les cuisses et commença à passer ses mains sur les formes de la jeune femme. Il passa ses mains sur les cuisses, sur les fesses, entre les fesses et entre ses cuisses où il découvrit un sexe déjà moite. Soudain une première claque s’abattit sur une des fesses de Laura. Même si elle l’attendait et allait jusqu’à l’espérer, elle fut surprise par cette première claque. Elle l’encaissa avec délectation et se mit à espérer la prochaine.
— Visiblement celle-ci ne compte pas, dit amusé Maître.— Oui, excusez-moi... 1... Merci Maître.— Trop tard chiennasse. Celle-ci ne compte pas. On recommence.
Il claqua la fesse de Laura une seconde fois. Cette fois-ci, Laura se mit à compter et remercia son Maître. Alors il continua, un peu plus fort. Ainsi, de claque en claque, il marqua les fesses de sa Salope qui le remercia pour ce traitement. Arrivé à 10, il s’arrêta. Il prit le godemichet et s’approcha de la bouche de son épouse :
— Mouille-le bien de ta salive !
Laura ne voyait pas l’intérêt d’une telle humidification tant la fessée avait fait couler son sexe. Mais puisque son Maître l’ordonnait, elle prit l’objet en bouche et le couvrit de salive. Quand il fut prêt, Victor retira l’objet de la bouche de sa femme et retourna de l’autre côté du canapé. Il en posa le bout sur l’anus encore fermé et l’enfonça de force dans ses fesses.
— Vous m’avez fait mal Monsieur...— Tu veux arrêter ?— Non, avoua Laura après une courte réflexion.
Victor commença à faire aller et venir l’objet dans l’anus de sa femme. Il lui expliqua qu’il était normal pour une « salope qui se fait enculer » d’avoir un anus « prêt à encaisser n’importe quelle bite ». Il se disait prêt à dompter le trou du cul de sa femme pour pouvoir l’offrir fièrement. Après quelques minutes de cette sodomie sauvage, Victor retira le godemichet de l’anus de sa Salope.
— Tu es bien plus ouverte, c’est parfait, dit-il.
Puis il attrapa la cravache. Laura sentit le petit triangle de cuir remonter de ses genoux à son sexe. Il tapota un peu sur l’antre humide puis il remonta vers le petit trou encore ouvert et palpitant. Le cuir tenta d’entrer en elle puis Victor se ravisa :
— 10 ?...— Comme vous voudrez Maître, mon corps est à vous, lui répondit Laura aussi craintive qu’heureuse.
Victor commença à faire claquer la cravache sur le postérieur déjà rouge de sa femme. Laura qui avait compris le jeu douloureux dans lequel elle s’était embarquée de façon consentante, compta et remercia son Maître. Ses fesses commençaient à se zébrer de rouge quand le dernier coup de cravache arriva.
Victor mit une belle claque sur les fesses de Laura puis vint lui demander de garder la cravache dans la bouche. Il s’absenta quelques instants. Lorsqu’il revint, Laura ne put voir ce qu’il avait ramené. Il attrapa de nouveau le godemichet qu’il fourra dans l’anus de son épouse. Il la ramona ainsi quelques minutes puis un bruit de scotch se fit entendre. Après avoir enfoncé l’objet profondément dans le petit trou de sa Salope, Victor le scotcha avec de larges bandes d’un adhésif puissant. Une belle croix noire passait du haut des cuisses de Laura au bas de son dos. Au centre, l’objet avait une place de choix au fond d’elle.
Victor récupéra la badine et commença à la faire jouer sur les fesses de Laura. Des marques rouge vif commencèrent à apparaître. Victor donnait aussi de petits coups au godemichet qui enculait Laura. Les vibrations de l’objet en elle accompagnées de la douleur provoquée par les coups de badine finirent par lui faire perdre pied. Elle ne comptait plus, ne remerciait plus. Elle ne pouvait que gémir et pleurer de joie et de douleur. Subitement, elle jouit en hurlant et la cravache tomba au sol.
Tendrement, Victor retira le scotch des fesses de son épouse et extirpa la verge factice. Il prit la peine de prendre une photo avant d’aller de l’autre côté du canapé. Il montra la photo à son épouse dont le visage était luisant de ses larmes.
— Tu n’es pas la plus belle de toutes les chiennes ? demanda-t-il.— Si je suis belle à vos yeux alors c’est que je dois l’être, répondit-elle les yeux rivés sur la photo de ses fesses rouges sur lesquelles était marquée une croix un peu plus rouge de l’adhésif et des traits d’un rouge vif résultant de la morsure lubrique de la badine.— Maintenant, tu as compris qui commande, dit-il en défaisant sa braguette pour en extirper son sexe gonflé.
Il força un peu l’entrée de la bouche de Laura. Puis la tenant fermement par la nuque se mit à lui baiser la bouche sans aucune tendresse. Ses couilles venaient taper sur son menton au rythme de son gland qui forçait sa gorge. Bien excité après avoir martyrisé le beau cul de son épouse, Victor ne fut pas long à venir. Il se déversa dans le fond de la bouche de sa Salope. Cette dernière mit tout en œuvre pour tout avaler, ne laissant aucune goutte de l’offrande de son Maître lui échapper.
Ils allèrent tous deux se coucher, repus et heureux.
Quelques jours plus tard, alors que Victor et Laura étaient à la maison, la sonnette retentit.
— C’est Mélanie, dit Laura. Qu’est-ce qu’elle fait là ?— Elle vient récupérer les enfants. On sort ce soir, répondit Victor.
Quand Mélanie repartit avec les enfants, Victor dit à sa femme d’aller mettre la tenue qu’il avait préparée dans la chambre. Quelques minutes plus tard, Laura était. Elle avait enfilé les bas noirs, la minijupe rouge vif, le chemisier presque transparent et la paire de sandales à talon haut choisis par son Maître. Il lui ordonna d’aller se maquiller puis de descendre. Lorsqu’elle arriva en bas, elle questionna son Maître :
— Où allons-nous ? Dans cette tenue, je ne peux aller n’importe où, lui dit-elle.— Chez un couple d’amis. Comme la dernière fois, si ça ne te convient pas, tu peux tout arrêter, répondit Victor.
Laura se drapa dans un manteau long permettant de cacher sa tenue vulgaire puis ils partirent. Quelques minutes de voiture plus tard, ils arrivèrent chez les amis. Il s’agissait de Duncan, d’origine galloise, et Hector. Rassurée par le fait que le couple d’amis soit deux hommes, mais assez perturbée, Laura ne se rendit pas compte que Duncan lui propose de retirer son manteau. Malgré sa tenue, elle se sentait plutôt à l’aise puis Hector présenta la situation.
— Quand j’ai connu Duncan, il aimait les femmes. Encore aujourd’hui, il a des restes de sa vie passée. Des fois, il a besoin de la gent féminine. On a tenté quelques sites et forums pour trouver de quoi le satisfaire, mais c’est très dur. Alors quand Victor a pris contact avec nous, nous étions ravis, dit-il.— Il nous avait parlé d’une cochonne prête à être baisée. On y croyait à moitié, enchérit Duncan.— Vous êtes déçus ? demanda Victor.— Non, dit Duncan. C’est une belle pute comme promis. J’espère juste qu’elle se comportera comme telle.— C’est-à-dire ? osa Victor.— Une bonne pute, ça suce et ça se fait enculer, dit Hector. Elle fera ça pour mon Duncan ?— Bien sûr. Comme toute bonne salope, elle est ouverte à beaucoup de choses, répondit Victor.
Laura était assez décontenancée par la discussion. Son Maître vantait ses prouesses sexuelles devant des inconnus. Il osait leur promettre de pouvoir user et abuser d’elle à leur guise. Elle savait qu’elle ne pouvait rien dire, son Maître menait la danse.
— Allez, on y va. C’est l’heure de se faire fourrer à la bite, dit Duncan en tendant la main vers Laura.
Il entraîna la jeune femme vers la chambre. Ils étaient suivis de près par Hector et Victor. Arrivés dans la chambre, Duncan ouvrit sa braguette faisant sortir sa verge et s’assit sur le lit. D’un geste, il ordonna à Laura de venir le prendre en bouche. La Salope s’exécuta. Elle se mit à la sucer avec dextérité et envie. Elle faisait rouler le gland sur sa langue et entre ses lèvres puis enfonçait la verge bien au fond de sa gorge. Duncan semblait satisfait du traitement. Elle sentit alors quelqu’un passer dans son dos. Il lui tira la jupe sans ménagement dévoilant ses fesses nues.
— Elle ne porte pas de culotte ? demanda Hector.— Non, je me suis dit qu’elle n’en aurait pas besoin alors j’ai fait en sorte qu’elle n’en ait pas, répondit Maître.— Une pétasse qui se balade en minijupe et sans culotte... Tout à fait ton style de pute, mon chéri, dit Hector à Duncan.— Oui... Et, en plus... elle suce comme une vraie pro... Elle aime la bite, enchérit Duncan.
Après s’être fait sucer quelques minutes, Duncan invita Laura à venir se mettre à quatre pattes sur le lit. Chacun de son côté du lit, Victor et Hector regardaient la scène. Duncan se positionna derrière Laura. Il plaça sa verge tachée du rouge à lèvres de Laura contre le petit trou encore bien fermé et pas préparé. La tenant fermement par les hanches, il s’enfonça petit à petit dans l’anus qui s’ouvrit. Une fois bien au fond, il se pencha et murmura à l’oreille de Laura :
— J’adore enculer les putes dans ton genre. On sent que tu aimes être traitée comme l’animal que tu es. Tu vois, Hector bande, mais ce n’est pas pour toi. Toi, tu ne sers à rien. Tu es juste bonne à prendre des coups de bite. Tu n’es qu’un trou. Tu es un vide-couilles. Sale pute...
Ces mots aussi crus étaient lourds de sens pour Laura. Elle s’abaissait à se faire sodomiser par un homosexuel pour plaire à son Maître. Elle savait que dans cette pénétration animale, il n’y avait pas de sentiments, peut-être même pas d’envie. Elle se sentait inutile, humiliée... Pour la première fois depuis que son mari et Maître avait pris ses droits sur elle, elle se sentait ‘vide-couilles’...
Duncan allait et venait dans l’anus endolori de la jeune femme encouragé par son homme. Il lui attrapa les cheveux et les tira vers lui comme pour ajouter à l’humiliation. Il la pilonnait de plus en plus fort, de plus en plus loin. Laura ressentait un mélange inédit de honte de douleur et de plaisir. Elle tentait de regarder son mari et Maître, mais Duncan faisait tout pour qu’elle n’y arrive pas. Ne pas pouvoir échanger de regard avec son Maître ajoutait à son humiliation. Au contraire, Duncan la tournait vers Hector dont le sourire narquois était lourd de sens. Les deux hommes s’amusaient de sa soumission.
— Vas-y mon chéri, encule cette chienne ! lança Hector à Duncan.— Son cul aime tellement la bite qu’il m’aspire, répondit Duncan.
Laura se demandait si son baiseur allait finir par jouir. Il la pilonnait depuis un bon moment maintenant et ne semblait pas faiblir. Laura, au contraire, commençait à sentir son anus au bord de la rupture. Il était rouge de douleur.
La délivrance arriva enfin quand Duncan se retira et fit se mettre Laura sur le dos. Il l’enjamba et, branlant fermement sa verge, en fit sortir son jus. Le sperme se répandit sur le chemisier et le visage de Laura. Duncan se leva en claquant la cuisse de Laura :
— T’es une bonne pute. Il faudra que tu reviennes pour les prochaines doses de foutre, s’amusa-t-il.
Victor proposa un mouchoir à Laura pour se nettoyer le visage parce qu’elle était « dégueulasse ». Puis, voyant sa tenue, il lui ordonna de retirer son chemisier sale pour ne pas tacher son manteau. Laura tenta de remettre sa jupe en place, ce qui lui fut interdit par son Maître. Elle enfila donc son manteau sur son corps quasi nu.
Prenant congé de leurs hôtes, Victor et Laura se retrouvèrent dans la voiture. Quand Victor démarra, Laura fut submergée par l’émotion. Elle se mit à pleurer à chaudes larmes.
— Que t’arrive-t-il ? demanda Victor.— C’est... ce soir...— Ça ne te convenait pas ? Tu sais que tu pouvais tout arrêter ?— Oui... Ce n’est pas ça... C’est juste...— Dis-moi.— Je me suis sentie comme une moins que rien. Je suis ça pour toi ? demanda-t-elle.— Une femme qui s’habille comme une pute et se fait baiser par un inconnu qui n’éprouve aucune attirance pour elle. Tout ça pour faire plaisir à son mari et Maître... Non, tu n’es pas une ‘moins que rien’. Tu es MA ‘moins que rien’.— J’ai honte si tu savais.— Tu as raison d’avoir honte. Tu es presque nue et tu viens de te faire enculer sous mes yeux. Tu es une salope, ma Salope. Mais si tu veux, on arrête...— Non, mais à condition que je puisse te voir pendant qu’un autre me prend. Ne pas te voir ce soir a été trop dur.— D’accord. Tu te feras prendre par qui je veux, mais tu pourras me voir.— Merci Maître.
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