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Nouvelle étape - Vacances au Cap

Chapitre 1

Erotique
À 54 ans notre couple a eu des hauts et des bas.
Ma femme N. a toujours été "bipolaire" côté sexualité. Une éducation un peu coincouille et une certaine timidité ont fait qu’elle a mis pas mal de temps à découvrir les joies du sexe avec moi.Ainsi je peux dire que le lâcher-prise n’a véritablement eu lieu que vers ses 40 ans. Triste mais réel. J’ai enfin pu lui donner un orgasme digne de ce nom qu’après l’avoir patiemment entraînée dans des jeux coquins, d’exhib et de domination légère.
Bref, elle est aujourd’hui dans un état d’esprit que je qualifierais de normal vis-à-vis de tout cela.Mais c’est par passages. Ainsi elle ne masturbe pas. Enfin jamais seule, uniquement lorsque nous faisons l’amour ou en voiture comme préliminaire.La voiture est un lieu propice : je la caresse en roulant et elle utilise son stimulateur clitoridien régulièrement.Désormais c’est orgasme à chaque fois.
Il y a eu la phase sodomie il y a 3/4 ans où elle ne jouissait plus que comme cela par exemple. Mais en règle générale c’est bien la stimulation de son clito qui marche, surtout associé à un vigoureux massage du point G.
Nous pratiquons le naturisme depuis + de 20 ans et avons depuis quelques années nos habitudes du côté d’Andernos l’été, en allant marcher loin sur la plage du Porge.Elle ne porte qu’une mini robe de plage ou un paréo et reste totalement nue dessous durant toutes les vacances. Les sous-vêtements sont interdits !(Y compris le week-end toute l’année d’ailleurs).Les vastes étendues de sable derrière le cordon dunaire, peu fréquentées même en août sont propices à quelques coquineries. Ceci dit, la possibilité d’une présence dans les 100 m bloque un peu.L’été dernier elle a cependant pris son pied plusieurs fois avec un mini stimulateur ou mes doigts et nous avons régulièrement baisé sur la plage.
Profitant aussi d’un jardin dans notre location, plutôt isolé, je l’ai prise plus d’une fois en plein air, à toute heure.Quel plaisir d’être à poil sous les étoiles !
Bref la première semaine des vacances s’est bien présentée et nous avons quitté le bassin d’Arcachon pour un petit appartement gracieusement prêté au Cap d’Agde (hors de la zone naturiste).Ma femme savait vaguement que l’ambiance était chaude au cap, mais sans trop de détails.
Je l’ai briefé sur la baie des cochons et nous avons convenu qu’on y ferait un tour ’pour voir’.
Arrivés en fin d’après-midi nous passons par l’accueil du Village Naturiste pour faire la carte d’accès (enfin village... ville plutôt). Ma femme est un peu gênée, il faut faire la queue devant les guichets de l’accueil dans une ambiance internationale et déjà quelque peu érotisée, mais un rapide petit tour dans l’enceinte nous permet de voir que c’est plutôt cool. Pas de plage ce soir-là.Mais nous revenons en soirée.
Je lui demande de s’habiller sexy: une des petites robes clubbing, ras des fesses, prévue pour l’occasion, nue dessous sauf chaînettes de taille. La nuit est chaude, il fait bon.(Seul bémol, il y a toujours un problème avec les talons hauts, qu’elle supporte très mal. grr.)Après avoir tourné pour trouver une place dans l’enceinte, nous accédons aux quartiers animés du Village et comme c’est samedi soir, il y a foule et le côté folie douce des lieux nous saute aux yeux :Dans les galeries et aux abords des bars et clubs variés (la plupart sont des clubs ’pour adultes’) créatures nues ou bardées de cuir sur talons vertigineux, homme esclave tenu en laisse derrière une femme en cuir, robes brillantes ouvertes, o simples filets, micro-jupes, tétons et vulves piercés, une fille qui discute tranquillement alors qu’elle est équipée d’un gode ceinture, bref... la totale, dans tous les coins de vie nocturne.Des moches, des sublimes, de tout, en toute décontraction.
La normalité bascule et je sens mon épouse excitée. Nous allons ainsi prendre un verre dans un bar relativement ’sobre’ en profitant de la musique et de la vue sur la faune qui circule devant.Le décolleté plongeant de N laisse voir ses seins et le peu de tissu ne suffit pas à recouvrir ses fesses totalement, par conséquent, sa chatte rasée de frais n’est plus vraiment cachée lorsqu’elle s’installe sur un fauteuil.
Elle est à étonnement à l’aise et je bande comme un taureau devant cette situation nouvelle et l’érotisme torride qui s’en dégage.
Je l’abandonne quelques minutes pour aller tirer un peu de liquide à un distributeur.Je la retrouve quelques minutes plus tard, toujours à l’aise, et lui demande si personne ne l’a draguée vu comme elle est bandante ainsi...— "Non" répond-elle, mais je vois que ces yeux pétillent. Portés par l’ambiance festive et toujours extrêmement suggestive, nous décidons d’aller déambuler parmi la foule bigarrée, dans les coursives labyrinthiques qui sillonnent les différents quartiers animés.Mêlés à ces cohortes de promeneurs nus, ou plus que nus, il faut bien se rendre à l’évidence : le libertinage semble bien être la norme ici. Des couples habillés ’normalement’ apparaissent ainsi presque déplacés tant le burlesque et la folie douce imprègnent les lieux.
Nous passons parmi les boutiques de fringues et d’accessoires sexy, où je fais parfois mine de m’étonner devant certains accessoires, suggérant à mon épouse des jupettes ou des bijoux et étudie ses réactions... ça va, c’est gagné ; elle ne partira pas en courant.
Nous jetons un œil dans les bars/restos pour tester l’ambiance nous arrêtant pour danser ici ou là.
Chaque étape devient prétexte à caresser le corps de N. qui se déhanche maintenant sur les rythmes d’un orchestre sans plus se préoccuper de sa robe remontée sur ses fesses ni de ses seins libres dont le pince-tétons sort du tissu léger de sa petite robe...En encore moins des regards qui peuvent se poser sur elle. Elle goûte aux plaisirs des sens et regarde à son tour ces femmes, dont certaines sont totalement nues, danser langoureusement en s’embrassant et se caressant très explicitement au milieu de la petite piste de danse...
Finalement, nous quittons les lieux et regagnons la voiture avec plusieurs poses où je profite de sa chatte trempée en masturbant N. debout dans la rue à plusieurs reprises tout en se galochant comme rarement.Arrivés au grand parking elle se penche dans l’ouverture de sa portière sa robe totalement libérée et me présente son cul.
-"Vas-y, défonce-moi !"
Je l’empale et la prends sauvagement en levrette debout avec violence, jusqu’à arroser son dos.
Elle se rhabille vaguement et nous rentrons, N restera débraillée jusqu’à l’appartement, n’hésitant pas à traverser le lotissement le cul presque à l’air elle va encore me branler sous la douche et je la fais jouir avec ma langue avant un sommeil réparateur, quelque peu troublé par le changement de N. Je suis sous le charme et perturbé devant tant de lâcher-prise !...

À suivre...
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