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La nouvelle recrue

Chapitre 3

Formalités d’arrivée

SM / Fétichisme
La grande horloge dans le hall indiquait huit heure vingt-cinq. Elle était arrivée bien en avance, elle ne voulait pas être en retard pour son premier jour de travail. L’agent à l’accueil était le même que le jour de son entretien d’embauche et il lui avait décoché un grand sourire en la voyant entrer. Depuis, elle essayait tant bien quel mal d’éviter ses regards, mais il était difficile pour elle de ne pas penser que quelques jours plus tôt cet homme l’avait sodomisée comme une chienne et qu’elle avait adoré cela.Heureusement pour elle, la RH, mademoiselle Connor, arriva enfin, elle aussi en avance. Elle la salua très vite, lui proposant de se tutoyer, désormais qu’elle était un membre à part entière de l’entreprise. Elle l’avait prévenue quelques jours auparavant qu’elle l’accompagnerait en début de matinée pour régler l’ensemble des formalités liées à son arrivée.
Pour commencer, elle l’emmena dans son bureau situé quelques étages plus hauts, pour signer son contrat de travail définitif. La pièce était petite et sommairement meublée. Elle lui fit prendre place sur un fauteuil pour pouvoir lire à tête reposée le contrat avant de signer.Tout semblait en ordre par rapport à ce qui avait été discuté : description du poste, horaires, salaire… Quand soudain une série de clauses intitulées « Divers » attira son regard. Il était tout d’abord question de sa tenue de travail : elle devait, selon ce qui était écrit, toujours porter des jupes ou des robes, et jamais en dessous du genou. Par ailleurs, le port de sous-vêtements était prohibé, si ce n’est un porte-jarretelles et des bas qui eux étaient obligatoires. Enfin, seuls les escarpins, avec des taons aiguilles, étaient autorisés. Les clauses suivantes concernaient son « accessibilité ». Elle devait se tenir toujours disponible pour exaucer les envies des membres du Comité de Direction, quelles qu’elles soient. À cette fin, elle devait notamment constamment veiller à ce que ses orifices soient accessibles facilement, sans que les dirigeant n’aient à faire d’effort. Il lui était par ailleurs recommandé de porter un plug anal dans la journée afin de faciliter toute envie soudaine de sodomie. Elle relut chaque ligne plusieurs fois avant de lever les yeux vers la jeune RH.« Que veulent dire ses clauses, enfin ?!?, demanda-t-elle, interloquée. Ce n’est pas sérieux ? Pour qui me prenez-vous ???— Pour qui te prenons-nous ? lui répondit mademoiselle Connor avec un grand sourire narquois. Mais pour ce que tu es ma chère : une petite catin qui n’a pas hésité à se faire prendre par tous les trous pour avoir ce poste. Alors, crois-moi, ce contrat est tout à fait adapté pour toi, en adéquation totale avec tes capacités en fait… Ce n’est cependant qu’une proposition de contrat : tu peux très bien refuser de le signer et t’en aller, nous trouverons facilement quelqu’un d’autre…— Mais je ne peux pas signer une chose pareille… dit-elle, abasourdie.— Je te comprends ; dans ce cas nous allons nous dire au revoir ; c’est dommage, tu aurais pu avoir une belle carrière dans l’entreprise… lui répondit la jeune RH, faisant mine de se lever pour la raccompagner.— Attendez… Ne peut-on pas s’arranger ? Modifier certaines clauses ? demanda-t-elle suppliante.— Et puis quoi encore ? répondit plus fermement mademoiselle Connor. Tu signes le contrat ou tu t’en vas, c’est compris ? Je n’ai pas de temps à perdre… ».Elle hésita un instant, plongeant ses yeux suppliants dans ceux de la jolie RH. Celle-ci la regardait d’un air dur et inflexible. Elle baissa finalement le regard, attrapa le contrat et elle en parapha chaque page avant de signer. Mademoiselle Connor se saisit du document, l’air satisfaite. Elle le rangea dans un porte-document avant de se tourner à nouveau vers elle.« Parfait, te voilà définitivement salariée de l’entreprise, lui dit-elle alors. Comme tu as pu le voir, ton contrat comporte quelques clauses spécifiques, et, malheureusement, il y en a certaines que tu ne respectes pas dès ton premier jour… Nous allons rectifier cela : déshabille-toi !— Co… Comment ? bredouilla la jeune femme— Ton contrat stipule que tu ne dois porter que des jupes ou des robes au dessus du genou ; et là, tu as une robe qui descend aux chevilles… Alors je me répète pour la dernière fois : déshabille-toi ! ».Le ton de la jeune RH ne laissait une fois de plus aucune place à la discussion. Elle déboutonna donc sa robe et elle la fit glisser à ses pieds tandis que mademoiselle Connor fouillait dans une armoire. Quand elle se retourna, elle la contempla un instant avec un regard des plus lubriques.« C’est bien, dit-elle. Mais j’aimerais que tu prennes un peu d’initiative et ne pas avoir à tout te dire : que dit ton contrat sur les sous-vêtements ? »Cette fois elle ne discuta pas et elle comprit tout de suite. Elle dégrafa son soutien-gorge et elle fit également glisser sa culotte le long de ses cuisses. Elle ne garda que ses dim-up. L’air satisfaite, la RH lui tendit une jupe et un haut.« Je n’ai que cela, il faudra faire avec ! ». La jeune femme se dépêcha d’enfiler les vêtements afin de masquer sa nudité. Une fois terminé, elle se demanda si elle n’aurait pas mieux fait de rester nue : la jupe était plus que minuscule, elle lui arrivait au ras des fesses et la lisière de ses bas dépassait allègrement. Quant au haut, il s’agissait d’un top blanc extrêmement moulant. Sa poitrine et ses tétons ressortaient outrageusement sous le tissu transparent.
« C’est parfait ! lui dit la jeune RH en la scrutant de la tête aux pieds. Tu vas avoir beaucoup de succès pour ton premier jour, c’est important. Maintenant, remonte ta jupe et mets-toi en position contre le bureau !— Quoi ? Lui répondit la jeune femme à nouveau interdite.— Il va falloir perdre l’habitude de faire répéter les gens sans cesse, soupira la jolie rousse. Madame Smith, ta nouvelle directrice, m’a demandé de te préparer la rondelle pour la suite de la journée ; alors, tu te tais, tu relèves ta jupe et tu te mets contre le bureau tout de suite !
— Mais… Je…— Tout de suite ! » cria mademoiselle Connor.Une fois de plus, le ton autoritaire et quasi magnétique de la jeune RH eut raison de sa volonté. Elle remonta sa jupe sur ses hanches et elle alla se positionner contre le bureau, se cambrant au maximum pour offrir sa croupe. Pendant ce temps, elle vit du coin de l’oeil la jolie rousse remonter également sa robe pour enfiler un gode ceinture aux dimensions respectables. Une fois harnachée, elle revint se positionner derrière elle. Elle l’entendit cracher dans ses mains.« Pour t’apprendre à te taire et à obéir une bonne fois pour toute, je vais lubrifier le gode uniquement avec ma salive ; tu vas bien le sentir passer, crois-moi…— S’il vous plait, non, est-ce que vous pouvez le… commença-t-elle suppliante avant d’être brutalement interrompue par la RH.— Est-ce que je peux ne pas le lubrifier du tout ? Tout à fait ma chère… Mais là tu vas le sentir encore plus…. Alors si tu veux que je mette un peu de salive, tu la boucles et tu n’ouvres ta bouche que pour couiner comme une chienne, c’est compris ?— Oui madame, répondit-elle, vaincue à nouveau.— C’est bien ! Et écarte bien ton cul avec tes mains, ce sera plus facile pour moi… ».Elle obtempéra, posant ses mains sur ses fesses et les écartant au maximum pour bien offrir son petit trou. Elle sentit presque aussitôt le sexe factice se poser sur sa rosette. Cette fois mademoiselle Connor ne prit aucune précaution et elle força immédiatement dans son fondement, lui arrachant une série de cris où se mêlaient douleur et plaisir. Elle savait toutefois y faire, et très vite le gode fut profondément fiché dans son cul, presque dans toute sa longueur. Elle ne lui avait pas menti : elle l’avait bien senti passer…Elle commença alors à aller et venir en elle, d’abord lentement, sortant presque tout le sextoy avant de l’enfoncer à nouveau profondément. Puis elle accéléra progressivement tout en continuant ses pénétrations amples et profondes. Cette fois, ce n’était plus que des cris de plaisir qui sortaient de la bouche de la jeune femme. Le plaisir était tel qu’elle porta sa main entre ses cuisses pour caresser son clitoris qui dardait de plaisir, mais la jeune RH la fessa alors violemment.« Qui t’a dit de te branler ? Les mains sur la tête petite catin ! ».Une fois de plus elle obéit et elle mit à regret ses mains sur sa tête tandis que son bouton de plaisir pulsait comme jamais, criant après les caresses. Mademoiselle Connor se mit alors à la besogner de plus belle, s’enfonçant entre ses fesses avec une vigueur soutenue, la projetant violemment contre le bureau à chaque nouveau coup de reins.
Après de longues minutes de ce pilonnage, les mouvements cessèrent et le gode se retira de son anus. Elle sentit deux doigts s’insérer sans difficulté entre ses fesses et la jolie RH parut satisfaite.« Tu es bien ouverte, c’est parfait, madame Smith sera contente ! Tu peux te relever et te rhabiller ».Elle se redressa et réajusta sa robe. Son anus continuait de palpiter, et sa vulve était ruisselante d’humidité ; elle était à deux doigts de l’orgasme. Mademoiselle Connor s’était installée à son poste. Elle lui dit que madame Smith l’attendait dans son bureau pour s’occuper d’elle durant le reste de la journée. « Tu sais, dans n’importe quelle entreprise, c’est toujours bien d’être au mieux avec les RH… », l’interpela la jeune femme alors qu’elle s’apprêtait à sortir.Tout en prononçant ces mots, elle avait posé ses pieds de part et d’autre de son bureau, présentant son entre-jambe nue et humide. Il n’y avait aucun doute sur ce qu’elle entendait par « être au mieux avec les RH », et, effectivement, en tant que nouvelle recrue il était préférable de se faire bien voir. La jeune femme se glissa donc sous le bureau, à quatre pattes et elle vint plaquer son visage entre les cuisses de la jolie rousse.Sa chatte était trempée, sans doute de par l’excitation de la sodomie à laquelle elle s’était livrée quelques instants plus tôt. Comme elle avait appris à le faire quelques jours auparavant, elle entreprit de lécher consciencieusement son sexe, insistant plus particulièrement sur le clitoris gonflé. Elle avait beaucoup progressé depuis la dernière fois et, très vite, mademoiselle Connor se mit à gémir en se tordant sur sa chaise. Elle avait passé ses mains dans la chevelure de la jeune femme et elle serrait sa tête contre son sexe pour encore mieux sentir la langue humide qui la fouillait. Se souvenant de ce qu’elle avait appris lors de son entretien de recrutement, elle inséra un puis deux doigts dans la fente brulante. Le résultat fut presque instantané : la jolie rousse se cabra brutalement et elle poussa un long cri rauque, jouissant bruyamment contre les lèvres de la jeune femme.Elle se releva et elle essuya les gouttes de cyprine qui coulaient sur ses lèvres. Mademoiselle Connor s’était plongée dans la lecture d’un rapport, l’ignorant sciemment. Elle quitta donc la pièce et elle se dirigea vers le bureau de madame Smith qui l’attendait pour le reste de la journée.
Elle se dirigeait vers les ascenseurs quand elle entendit la RH qui courait après elle.« Attends ! lui lança-t-elle. J’ai complètement oublié qu’il fallait faire ton badge. Suis-moi, je vais t’accompagner au bureau de la sécurité, j’espère qu’ils seront encore ouverts ». Elle la guida alors dans un dédale de couloirs, la menant devant un petit bureau isolé. Un homme entre deux âges en sortait à l’instant. Il paraissait sur le point de verrouiller la porte.« Attendez ! l’interpella mademoiselle Connor. Nous avons un badge à faire pour cette nouvelle recrue.— Le bureau est fermé, il faudra repasser demain, répondit l’homme sans même leur jeter un regard.— Je sais, nous avons été retardées, lui dit la jolie RH. Cela va être compliqué pour elle ensuite, elle va être très occupée.— Les horaires sont les horaires, rétorqua l’homme qui leva alors les yeux vers ses deux interlocutrices ; en les voyant, une lueur d’intérêt perça dans son regard.— Vous ne pouvez pas faire une exception, s’il vous plait, minauda la RH.— Faut voir… hésita l’homme qui fixait désormais la jeune femme avec un intérêt croissant.— Je suis sûre que cette nouvelle recrue saura se montrer reconnaissante si vous faites une entorse aux règles, n’est-ce pas ? dit la jolie RH en se tournant vers elle.— Ou… Oui, répondit-elle sous le regard insistant de mademoiselle Connor.— OK, suivez-moi alors », dit l’homme en hochant la tête.Sur ces mots, il ouvrit la porte en leur faisant signe d’entrer. C’était un tout petit local avec un mur blanc et un matériel sommaire permettant de prendre des photos. Il la positionna contre le mur, posant ses mains avec insistance sur ses hanches pour la guider, avant finalement de prendre la photo. Il lança ensuite une commande sur son ordinateur.« L’impression va prendre un petit moment, c’est du vieux matériel, dit-il à la RH d’un air lubrique ; çà laisse le temps à la petite demoiselle pour me remercier ». Mademoiselle Connor lui répondit avec un grand sourire et elle fit signe à la jeune femme. Là aussi, elle avait compris et elle ne voulait pas faire répéter une fois de plus. Elle se dirigea vers l’agent de sécurité et elle s’agenouilla devant lui. Prestement, elle défit le zip de sa braguette et elle sortit son sexe qui grossissait à vue d’oeil. Elle savait que sa journée allait être chargée et elle ne voulait pas perdre de temps, alors elle le prit immédiatement en bouche.Elle opta pour une fellation rapide, branlant le sexe de sa main tout en suçant le gland avec application. L’homme semblait apprécier ce traitement et il gémissait en multipliant les onomatopées salaces à son adresse. Soit il n’était guère résistant, soit il n’avait pas joui depuis longtemps, en tout cas son orgasme arriva très vite. Elle sentit son sexe se tendre entre ses lèvres et éjaculer soudain une quantité abondante de foutre qu’elle eut toutes les peines du monde à avaler tant les rasades étaient copieuses. Un peu de sperme coula d’ailleurs à la commissure de ses lèvres mais elle l’essuya du bout de ses doigts.Elle se releva ; l’agent de sécurité récupéra son badge qui venait d’être édité et le lui tendit, lui souhaitant une bonne journée. Il avait un large sourire aux lèvres et il ajouta qu’elle ne devait pas hésiter si à l’occasion elle avait encore besoin d’aide. Sur ces derniers mots, les deux jeunes femmes quittèrent le local ; mademoiselle Connor retourna dans son bureau tandis que la jeune femme se rendait à l’étage de la direction pour rejoindre madame Smith.
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