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La nouvelle recrue

Chapitre 4

Présentations à la direction

SM / Fétichisme
Elle toqua timidement à la porte du bureau. Une voix ferme lui répondit d’entrer. Madame Smith occupait une pièce d’angle particulièrement spacieuse. Outre un beau et large bureau, elle disposait de sa propre table de réunion ainsi que d’un confortable sofa. Elle consultait un rapport et semblait absorbée dans sa lecture. Elle leva enfin les yeux vers la jeune femme et elle lui sourit ; elle se leva et se dirigea vers elle pour la saluer.« Bienvenue parmi nous !— Merci madame, merci de m’avoir recrutée, lui répondit-elle chaleureusement.— De rien, répondit la grande brune avant de froncer les narines. C’est moi ou c’est une odeur de sperme ?— Je… C’est que… balbutia la jeune femme, gênée.— La journée est à peine commencée et tu sens déjà le foutre à trois mètres, pouffa la directrice. Nous ne nous sommes décidément pas trompées sur ton profil… Tout s’est bien passé d’ailleurs avec mademoiselle Connor ?— Oui madame, tout à fait.— Parfait ; remonte ta jupe et mets-toi à quatre pattes sur le canapé que je vérifie », lui intima madame Smith.Sans discuter, elle obéit et se positionna sur le vaste sofa, les fesses offertes. Madame Smith s’approcha calmement et elle posa ses mains sur sa croupe, écartant ses deux globes fessiers pour contempler son petit trou. « Elle a du bien t’enculer, ton anus a l’air bien ouvert ; çà t’a plu ? Lui demanda la directrice.— Oui madame, répondit la jeune femme.— Cela ne m’étonne pas, une traînée qui suce des queues à peine arrivée dans sa nouvelle entreprise, tu dois forcément aimer te faire défoncer le cul de bon matin. Tant mieux d’ailleurs, car cela va souvent t’arriver ici ! Tu as joui ?— Non madame.— Ce n’est pas grave, de toute manière ton plaisir ne sera jamais une priorité, c’est clair ? — Oui madame, c’est très clair.— Je pense que tu as du lire le contrat ? Je vais t’équiper pour le reste de la journée, tu y penseras pour les prochains jours ».Et, sur ces mots, la jeune femme sentit un objet dur et long s’enfoncer lentement entre ses fesses. Elle comprit immédiatement qu’il s’agissait d’un plug ; après la sodomie sauvage qu’elle avait subi dans le bureau de la RH, l’objet entra en elle sans difficultés. Madame Smith lui dit alors de se relever ; elle obtempéra, s’habituant progressivement au sextoy qui occupait son fondement. La sensation était étrange mais pas forcément désagréable.

« Parfait, tu vas pouvoir me suivre, lui dit la directrice après l’avoir contemplée un bref instant. Je vais te présenter les autres membres du comité de direction ; comme tu vas être ma plus proche collaboratrice à la direction marketing et commerciale, tu seras amenée à interagir fréquemment avec eux. Il est important qu’ils te connaissent et que tu les connaisses ».Sur ces paroles, elle lui intima de la suivre, l’emmenant vers un autre bureau situé au même étage. Une plaque sur la porte indiquait qu’il s’agissait de celui du PDG. Madame Smith toqua et elle entra aussitôt, révélant une scène particulièrement lubrique : un homme d’une cinquantaine d’années était assis sur un confortable fauteuil face à un bureau. Agenouillée face à lui, une jeune femme, blonde, en tailleur noir, faisait aller et venir ses lèvres sur son sexe tendu à l’extrême.L’homme était au bord de l’extase et il jouit bruyamment alors qu’elles franchissaient la porte du bureau. Ni lui ni la jeune femme entre ses jambes ne parurent gênées de cette intrusion. Il reboutonna son pantalon tandis que la femme restait docilement à genoux à coté de lui.« Bonjour monsieur le président ; navrée de vous avoir interrompu, lui dit madame Smith.— Aucun souci ma chère, répondit ce dernier. Vous savez bien que vous ne me dérangez jamais.— Merci monsieur le président, répondit la grande brune. Je souhaitais vous présenter ma nouvelle collaboratrice.
— Mais oui, vous m’en aviez dit le plus grand bien ! Bonjour Mademoiselle, dit le président en s’adressant à elle avec un large sourire. Bienvenue parmi nous ! On m’a dit que vous aviez ébloui tout le monde lors de votre entretien de recrutement, félicitations !— Merci monsieur le président, répondit timidement la jeune recrue.— Soyez certaine que j’aurais aimé découvrir dès ce matin vos talents qu’on m’a tant vantés, mais j’avais complètement oublié que vous commenciez aujourd’hui ; alors j’ai cédé à mon rituel matinal avec ma chère assistante. Il prononça ces derniers mots en adressant un grand sourire à la jeune femme agenouillée à ses cotés.— Ce n’est que partie remise monsieur le président, j’en suis certaine, répondit madame Smith.— Tout à fait ; je la recevrai sans doute dans l’après-midi, je dois avoir un trou dans mon agenda. Mais, j’y pense… Ma chère, dit-il en s’adressant à son assistante, allez donc partager le fruit de vos efforts avec cette jeune recrue. Un cadeau de bienvenue », ajouta-t-il à l’attention de la nouvelle embauchée.Immédiatement, l’assistante se leva et elle se dirigea vers la jeune femme. Elle saisit sa tête entre ses mains et elle avança son visage vers le sien. Elle avait des traits magnifiques, avec de grands yeux bleus intenses. Elle se laissa faire, n’osant pas protester. Ses lèvres vinrent finalement effleurer les siennes dans un baiser sensuel qu’elle lui rendit aussitôt ; leurs langues se mêlèrent alors qu’elles ouvraient grand leurs bouches.Elle comprit que la jeune assistante n’avait pas avalé la semence du président et, qu’à travers ce baiser, elle partageait le foutre encore chaud qui rapidement vint tapisser son palais et sa gorge. La jolie blonde continua de l’embrasser pendant de longues minutes, jouant avec le sperme avant de relâcher enfin son étreinte et de revenir se positionner aux pieds du président.

Le PDG lui souhaita encore une fois la bienvenue et il se plongea ensuite dans un dossier, semblant leur indiquer ainsi que l’entrevue était terminée. Madame Smith quitta alors le bureau et elle la suivit. Elles s’arrêtèrent dans le bureau adjacent à celui du président. Il s’agissait de celui de la Directrice financière. À nouveau, la grande brune frappa à la porte et entra immédiatement. Une femme d’une quarantaine d’années se tenait derrière un vaste bureau. Elle se leva dès qu’elle les vit entrer, se précipitant vers Madame Smith pour la saluer chaleureusement. Les deux femmes semblaient beaucoup s’apprécier.La directrice financière était grande également avec de longs cheveux blonds. Elle avait les yeux verts. Elle était menue mais elle avait une paire de fesses magnifiquement rebondies qui contrastait avec sa minceur. Elle portait une robe verte, courte et très moulante qui mettait d’autant plus en valeur son postérieur. « C’est elle, ta nouvelle collaboratrice ? Dit-elle après l’avoir observée un court instant. — Oui, lui répondit Madame Smith.— Pas mal du tout, tu me l’avais bien décrite, dit la jolie blonde en tournant autour de la jeune femme. Je vois qu’elle est déjà « équipée », ajouta-t-elle en posant sa main sur ses fesses, palpant la naissance du plug.— Toujours, tu me connais ! plaisanta madame Smith.— Elle t’a déjà fait jouir ce matin ? s’enquit-elle avec un naturel confondant.— Justement non ; je comptais t’offrir la primeur de ses talents ma chère, qu’en dis-tu ?— Ce que j’en dis ? Mais que je serais ravie de découvrir la douceur de cette petite langue que tu m’as tant vantée ! »La jeune embauchée ne savait pas quoi dire, écoutant les deux femmes discuter d’elle comme si elle n’était pas là ou, pire, comme si elle n’était qu’un simple accessoire que l’on souhaite essayer. Madame Smith et la directrice financière se dirigèrent vers le canapé. La grande brune aida l’autre femme à ôter sa culotte tout en remontant sa robe le long de ses cuisses. Cette dernière s’installa alors confortablement sur le sofa, écartant outrageusement ses jambes pour donner un accès total à son intimité soyeuse. « Allez ! Mets-toi au travail ! Lança alors madame Smith à la jeune recrue, d’un ton sec Surtout applique toi, c’est elle qui décide de nos budgets ! ».Elle s’avança rapidement et elle se mit à quatre pattes, entre les cuisses ouvertes. Pour la deuxième fois de la journée, elle allait lécher le sexe d’une autre femme et elle y prenait de plus en plus goût. Dès les premiers contacts de sa langue sur le clitoris humide, la directrice financière se mit à lancer de petits cris aigus ; décidément, elle s’améliorait de plus en plus. Comme le lui avait ordonné sa responsable, elle s’appliqua autant qu’elle le pouvait. Elle s’occupa du sexe ruisselant avec une attention particulière, mordillant les grandes lèvres, alternant suçotements et coups de langue sur le clitoris ; elle se guidait surtout au son des réactions de la jolie blonde. Elle semblait particulièrement apprécier les effleurements rapides de la langue sur son bouton de plaisir.Toujours désireuse d’accroitre les sensations de cette femme, elle glissa une main entre les jambes écartées, insinuant lentement sa phalange dans la fente brulante. « Plus bas ! » souffla la femme avec fermeté. Elle comprit aussitôt et elle descendit plus bas, amenant son doigt à l’orée de l’anus de la directrice qui répondit à cette caresse par un râle de plaisir. Elle devinait qu’elle ne souhaitait pas qu’elle en reste là, alors, d’elle-même, elle appuya doucement sur sa rosette qui s’ouvrit facilement sous la poussée ; en quelques instants, son doigt tout entier était entre les fesses de la jolie blonde qui poussait des cris encore plus aigus. Elle commença un va-et-vient synchronisé avec ses coups de langue.Les cris redoublèrent et leur intensité augmenta encore ; la directrice perdait pied petit à petit et, avec sa maigre expérience, elle pouvait sentir que son orgasme approchait. Elle ne se trompait pas en effet : elle sentit l’anus de la belle bonde se contracter violemment autour de son doigt et elle éclata soudain dans un long râle de plaisir qui alla crescendo. Elle mit quelques instants à redescendre de son extase. La jeune recrue était restée à genoux entre ses cuisses, n’osant pas bouger. « Elle est douée ma foi ! Dit enfin la directrice financière, reprenant ses esprits. Tu as bien choisi, mais au fond, je n’avais aucun doute. N’hésite pas à me l’envoyer pour discuter de vos besoins budgétaires, on trouvera surement un moyen de financer vos projets ! Il va falloir que vous me laissiez en revanche, j’ai une réunion qui va démarrer ».Sans plus attendre, madame Smith attrapa sa collaboratrice par le bras, l’aidant à se relever. Après un dernier salut à sa collègue, elles quittèrent le bureau.

Dans le couloir, elle s’arrêta un instant.« Bravo, tu as été parfaite ! La félicita-t-elle. C’est important que nous soyons dans les petits papiers des équipes financières. Le prochain rendez-vous risque d’être un peu plus… compliqué… C’est avec le directeur des opérations, et on ne s’aime pas beaucoup lui et moi… ».Elles entrèrent dans le bureau du fameux directeur ; l’accueil fut en effet glacial. La raison était simple et assez classique : il avait en charge la conception, la fabrication et la logistique des produits de l’entreprise quand madame Smith avait pour rôle de les promouvoir et de les commercialiser. Invariablement, des divergences éclataient fréquemment entre les objectifs de l’une et de l’autre : l’équipe commerciale se plaignant de la médiocre qualité des produits, la direction des Opérations critiquant le manque de connaissance des Commerciaux pour vendre efficacement ces fameux produits.« J’ai encore une réunion demain avec un de nos clients, très mécontent des produits que nous lui avons vendus ! Lui dit madame Smith à peine entrée.— Gérer les clients c’est ton travail, lui répondit l’homme avec véhémence. Si tes commerciaux savaient faire leur boulot, nous n’aurions pas ce genre de problème ! Ils ont encore vendu le mauvais produit…— Arrête avec tes histoires ! Cria madame Smith. C’est un client important pour l’entreprise, et j’ai besoin d’un argumentaire pour justifier les problèmes qu’il a rencontrés. Il n’y que tes équipes qui peuvent me le fournir. Voici ma nouvelle collaboratrice, dit-elle en se tournant vers la jeune recrue. Qui peut travailler avec elle d’ici ce soir pour fournir des explications plausibles ?— Personne, dit-il sèchement. Je m’en fous de ta nouvelle collaboratrice ; en fait, je les encule tes collaborateurs !— Ah bon ? » réagit la directrice.D’un geste brusque, elle saisit la nuque de la jeune femme et elle la força à se courber contre le bureau. De son autre main, elle remonta sa mini-jupe au dessus de ses fesses, sans même que la nouvelle recrue ait le temps de réagir.« Tu encules mes collaborateurs ? Lança-t-elle au directeur. Très bien, encule-la alors ! Çà te fera du bien… Mais je veux cet argumentaire avant ce soir sur mon bureau, tu m’as comprise ? ».La poigne de fer la maintenait toujours courbée, le front appuyé contre le bureau, la croupe relevée et les fesses à l’air. L’homme semblait hésiter ; il s’approcha lentement pour contempler ses fesses offertes. Il siffla d’un air appréciateur« Pas mal en effet…, finit-il par dire. Ce n’est pas elle au fond que j’aimerais défoncer, mais bon, on va faire avec ; en plus elle a un cul magnifique ! OK, tu auras tous les éléments avant dix-huit heure ».Elle entendit un bruit de zip, une braguette qu’on ouvrait ; l’étau sur sa nuque ne se desserrait pas et elle ne chercha pas à bouger, se contentant simplement de cambrer un peu plus pour mieux offrir son petit trou. Elle avait compris que rien ne servait de résister, et au fond elle n’en avait pas envie. On retira le plug d’entre ses fesses, libérant l’accès. Elle sentit alors un gland se poser à l’orée de son anus, mais pas un gland comme les autres. Ce sexe lui semblait d’une taille démesurée, elle n’en avait jamais connu d’aussi gros. Elle commença à ruer, essayant de se dégager, mais deux mains la saisirent à la taille pour l’immobiliser et la pression sur sa nuque augmenta. Elle ne pouvait absolument pas bouger.« Et oui ma jolie, Dame Nature m’a joliment pourvu, lui dit alors le directeur. Désolé pour toi, mais à cause de ta patronne tu vas prendre très cher, fais-moi confiance… Serre bien les dents ! ». Et, d’un seul coup de reins, il s’enfonça en elle. Elle cria en sentant le pieu monstrueux forcer ses sphincters qui résistaient tant bien que mal. Il poussa une seconde fois, d’un coup de boutoir encore plus puissant que le premier, et son anus s’écarta un peu plus, acceptant quelques centimètres supplémentaires de l’énorme queue. Elle se cramponnait au bureau, serrant effectivement les dents alors qu’elle se sentait totalement écartelée.Elle n’en revenait pas de sentir un tel engin prendre possession de son cul, et pourtant il y parvenait petit à petit. Elle se sentait totalement possédée et, la douleur, toujours présente, laissait progressivement la place au plaisir, un plaisir rendu plus intense encore par cette sensation de soumission totale. Elle l’entendit finalement s’exclamer : toute sa queue était désormais en elle.Ce n’était pourtant que le début… Il commença à aller et venir en elle, ravageant son petit trou et ne prenant aucune précaution. Il la chevauchait littéralement, lui imposant une cadence terrible, libérant toute sa hargne dans cette sodomie sauvage. Il sortait presque totalement et entrait à nouveau en elle avec brutalité, la sodomisant à chaque fois jusqu’à la garde, plaquant son ventre contre le bureau. Elle hurlait à chaque pénétration ; jamais on ne l’avait baisé comme cela, avec autant d’intensité et avec un sexe aussi gros.Un orgasme dévastateur la foudroya sans prévenir. Ses hurlements de jouissance éclatèrent dans toute la pièce. Elle était à la limite de la perte de conscience tant le plaisir était immense. Elle sentit à peine l’homme jouir à son tour, tapissant son cul de foutre chaud en criant.Madame Smith la prit délicatement dans ses bras, l’aidant à se relever et la soutenant pour marcher ; ses jambes flageolaient, sa tête tournait. Elle la guida vers la sortie, rappelant une dernière fois au directeur qu’elle attendait les fameux éléments avant dix-huit heure, sans faute.

Une fois sorties, la directrice déposa un baiser sur ses lèvres avant de lui parler doucement à l’oreille : « C’était très bien, nous avions besoin de ce rapport. Tu vas rentrer chez toi, tu en as assez fait pour aujourd’hui et tu n’es plus en état de toute façon. J’ai besoin que tu sois en pleine forme pour ce rendez-vous client demain ! ».Elle lui commanda un taxi qui la ramena chez elle ; à peine franchi le seuil de son appartement, elle s’étendit sur son lit ; elle dormait quelques secondes à peine après s’être allongée.
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