Le téléphone de la jeune femme vibra : c’était un message de mademoiselle Connor qui lui disait à quel point elle était désolée de la laisser seule et qui lui souhaitait bon courage. Elle allait en effet avoir besoin de courage, de beaucoup de courage en voyant les regards que lui jetaient les hommes qui l’entouraient.« On se retrouve ce soir comme tous les jeudis ? » Lança alors le directeur des Opérations à ses équipes.Tous acquiescèrent avant de se séparer. La jeune recrue resta, hésitante, sur le parking. Elle habitait en ville, relativement loin, et elle n’avait pas de véhicule : mademoiselle Connor était repartie. Elle commençait à regarder les bus les plus proches sur son téléphone quand le directeur des Opérations s’approcha d’elle.« Tu ne vas pas rentrer ce soir, lui dit-il. On se retrouve tous dans un bar à coté le jeudi soir ; tu fais partie de l’équipe, tu viens avec nous ! Ne t’en fais pas, je vais t’héberger », ajouta-t-il avec un sourire carnassier.La jeune femme n’en menait pas large, mais elle ne voyait pas comment refuser. Au fond d’elle-même, elle ne pouvait s’empêcher de repenser au visage de mademoiselle Connor, transfigurait par cet orgasme dévastateur et elle rêvait en fait de connaitre la même chose. Elle avait les sens toujours en feu, complètement frustrée de ne pas avoir pu jouir après s’être fait prendre par la belle queue du directeur.Il lui fit signe de le suivre et la mena à son véhicule. Très vite, ils démarrèrent. Le directeur lui parla de tout et de rien, notamment de l’actualité de l’entreprise ; il lui demandait également comment elle se sentait dans son poste, comment se passait son intégration… Bref, il lui parlait comme si de rien n’était, comme si il ne l’avait pas violemment sodomisée quelques instants plus tôt et comme si elle n’était pas couverte de sperme.Il habitait une belle maison, toute proche de l’usine. Elle le suivit, inquiète et en même temps excitée. Il la fit entrer ; à la grande surprise de la jeune recrue, une femme les accueillit dans le salon. Elle avait une quarantaine d’années, petite, brune et pulpeuse. Elle n’avait jamais imaginé que le directeur puisse être marié, mais c’était pourtant bien le cas. Ils s’embrassèrent en échangeant quelques mots sur leurs journée respectives avant que la petite brune ne s’approche de la jeune embauchée avec un air circonspect.« C’est donc à cause d’elle que je te vois de moins en moins ? Demanda-t-elle à son mari. — Et oui ; elle passe deux jours en immersion à l’usine alors je lui ai proposé de dormir à la maison.— Tu as bien fait, répondit sa femme. Elle n’allait pas faire de la route pour rien, elle sera beaucoup mieux à la maison, nous allons y veiller ».Son ton et la lueur dans ses yeux ne disaient rien qui vaille. Elle s’approcha encore davantage, scrutant la jeune femme qui se rappela soudain sa tenue et les traces de foutre qui la recouvraient. Elle était effrayée par l’image qu’elle devait renvoyer.« Tu avais raison, dit soudain la femme à son mari. Elle est couverte de foutre ; cela doit effectivement être un vrai garage à bite cette fille ! Pas étonnant qu’ils vous désavantagent au profit de la direction commerciale avec une petite salope pareille. Elle doit se faire enfiler toute la journée au bureau… Depuis le temps que je te le dis : tu devrais toi aussi te trouver une pétasse dans son genre que tu enverrais se faire défoncer par le PDG et le DRH à chaque fois que tu as besoin de quelque chose. Tu es trop droit et trop intègre, mon chéri, mais c’est pour cela que je t’aime ! ». Le directeur lui sourit sans répondre avant d’annoncer qu’il allait se changer. La jeune recrue resta seule dans le salon avec sa femme, ne sachant trop quoi faire. La petite brune lui proposa alors de se changer et de se doucher, lui faisant remarquer avec hargne qu’elle puait le sexe.Elle la conduisit alors à l’étage, dans une petite salle de bain. Elle la fit entrer sans ménagement dans la douche après l’avoir regardée se déshabiller. Aussitôt, elle activa le jet de la douche ; il était glacé mais elle avait beau protester, la femme du directeur continuait de l’asperger pour faire disparaitre les différentes traces de foutre de son corps. Une fois fini, la petite brune se déshabilla et elle entra dans la douche, réglant cette fois le jet sur la bonne température. Elle se prélassa un instant sous le pommeau avant de tendre un flacon à la jolie recrue.« Allez ! Ordonna-t-elle. Savonne-moi bien et applique-toi ! ».N’osant rien dire, la jeune femme prit un peu de gel douche dans sa main et elle commença à le passer sur le dos de la femme du directeur. Celle-ci l’encouragea et elle commença à passer ses mains sur ses bras et son ventre. D’un ordre sec, elle insista pour qu’elle passe bien « partout ». La recrue se mit alors à savonner également l’intérieur des cuisses et les fesses de la petite brune. Elle se rapprochait de plus en plus du sexe de la femme et elle sentait bien qu’elle souhaitait qu’elle aille plus loin. Désireuse de ne pas se faire mal voir, elle passa enfin sa main sur la fente de la femme. Elle était humide, très humide, et elle poussa un long gémissement sous la caresse qui ne laissait aucun doute sur l’origine de cette moiteur.La jeune femme voulut retirer sa main, mais la petite brune la remit de force entre ses jambes. Elle se mit donc à la caresser doucement, lui arrachant des cris de plus en plus aigus. La petite brune sembla cependant se lasser et elle entraîna la recrue en dehors de la salle de bain, vers sa chambre. Elle la poussa sans ménagement sur le lit et elle l’enjamba immédiatement, en venant présenter son entre-jambe trempée devant sa bouche. Habituée à obéir, la jeune femme glissa aussitôt sa langue contre la fente soyeuse de la petite brune. Elle réagit immédiatement en se déhanchant sur sa bouche avec fougue. Elle posa la main sur le haut de son crâne et elle commença à appuyer de plus en plus fort, plaquant sa chatte contre les lèvres de la jeune femme qui léchait tant bien que mal son clitoris gonflé. La petite brune cirait désormais de plaisir en se branlant sur la langue de la recrue.« Et bien, dit soudain la voix du directeur. Je vous laisse quelques instants et je vous retrouve amie comme pas possible ! ».La jolie recrue voulut se dégager mais elle ne pouvait pas bouger, soumise aux ondulations du bassin de la petite brune. Elle sentit des mains se saisir de ses chevilles et relever ses jambes à plus de quatre-vingt-dix degrés. Elle savait parfaitement ce qui allait suivre et elle ne fit rien pour y échapper.
Très vite, elle sentit le gland du directeur se poser sur son petit trou largement exposé. Il s’enfonça dans son cul tandis qu’elle faisait de son mieux pour rester concentrée sur le cunnilingus qu’elle prodiguait à la petite brune. Ce n’était pas facile tant l’énorme chibre dans son petit trou lui faisait un bien fou, mais elle continua, malgré ses premiers cris, à faire rouler le petit bouton sous sa langue.La femme du directeur se dégagea finalement pour venir plaquer cette fois son cul sur la bouche de la jeune femme. Elle appuya tout aussi fortement pour bien lui faire comprendre qu’elle devait lui lécher consciencieusement le petit trou, étouffant par la même ses cris alors que le directeur redoublait d’ardeur en lui prenant le cul.« Viens me prendre le cul pendant que cette pétasse me lèche la chatte ! » Lança alors la petite brune, re-positionnant son sexe contre les lèvres de la recrue.Immédiatement, le directeur se retira des fesses de la jeune recrue et il vint s’enfoncer dans le petit trou de sa femme qui poussa un cri rauque de plaisir en se faisant posséder de la sorte. Très vite, elle se mit à se déhancher vigoureusement sur le visage de la jeune recrue, au rythme des coups de boutoir intenses de son mari.Elle ne mit pas longtemps à jouir. Elle explosa entre les lèvres de la nouvelle embauchée, giclant abondamment en lui arrosant le visage de cyprine. Le directeur continua de la baiser quelques instants avant de jouir à son tour. Il se retira brusquement de son cul et il arrosa à son tour le visage de la jeune femme de son sperme onctueux.« À peine lavée et elle pue déjà à nouveau le sexe… » Commenta la petite brune. Le directeur lui ordonna de retourner faire une toilette, l’heure était venue de sortir. Elle n’avait pris aucune affaire de rechange et elle dut remettre ses vêtements souillés de foutre. La semence avait séché, mais elle laissait des traces un peu partout qui ne laissant aucun doute sur leur provenance pour un oeil aguerri. Ils partirent en voiture à nouveau ; le lieu de rendez-vous était un bar qui faisait également discothèque. Les clients commençaient déjà à affluer pour boire un verre et aussi manger. La plupart des ouvriers étaient déjà arrivés et avaient une bière à la main. Ils accueillirent l’arrivée de la jeune recrue avec de larges sourires.Ils ne furent pas les seuls d’ailleurs ; beaucoup de clients posèrent un regard insistant sur elle dès son entrée dans le bar. Sa tenue y était évidemment pour beaucoup et la plupart des hommes ne se gênaient pas pour profiter de la vue indécente qu’elle offrait.Le groupe de l’usine était attablé dans un coin qui leur semblait réservé. Le directeur et la jeune femme s’installèrent auprès d’eux sur de grands canapés. Très vite, la nouvelle recrue sentit des mains baladeuses parcourir son corps. Les hommes assis à coté d’elle ne se gênaient pas pour remonter sa jupe sur ses cuisses, dévoilant la lisière de ses bas et sa chatte déjà luisante de mouille. Très vite, les caresses se firent plus appuyées ; des mains passèrent sous son haut pour malaxer ses siens déjà durcis par le désir tandis que des doigts caressaient son clitoris et fouillaient sa petite chatte humide. Les gens discutaient tout autour, donnant un coté encore plus irréel à la situation.Les hommes présents dans le bar ne manquaient pas de remarquer ces attouchements et tous avaient désormais les yeux rivés sur cette jeune femme qui se faisait doigter et peloter sans vergogne sur le canapé. Elle rougissait, ne sachant plus où se mettre, tout en sentant son excitation croitre encore devant un tel public. Alors que l’ambiance devenait de plus en plus électrique, un des ouvriers posa la main de la jeune femme sur son entre-jambe pour lui faire sentir son sexe bien dur. Sans qu’il ait à le lui dire, elle se mit à caresser son membre au travers du pantalon. L’homme sortit rapidement sa queue pour qu’elle puisse le branler avec plus d’aisance. L’homme qui se tenait de l’autre coté l’imita et, bientôt, la petite recrue se retrouva à branler deux sexes en plein milieu du bar. Les hommes ne faisaient rien pour s’en cacher et les autres clients regardaient la scène avec un mélange de stupeur et d’envie. L’excitation monta d’un cran quand l’un des deux ouvriers, sentant sa jouissance arriver, appuya sur le crâne de la jeune femme pour enfoncer son sexe entre ses lèvres et jouir au fond de sa gorge.Malgré cette nouvelle séquence, les regards se détournèrent soudain de la jeune femme et des deux hommes. Tous les hommes semblaient désormais regarder vers l’entrée. La nouvelle recrue termina d’avaler consciencieusement le foutre chaud de l’ouvrier avant de redresser la tête pour voir ce qui attirait tant l’attention.Elle poussa un petit cri de surprise en apercevant mademoiselle Connor qui venait de franchir la porte du bar. Il n’était pas étonnant qu’elle attire tous les regards : la robe qu’elle portait était encore plus courte et plus moulante que celle qu’elle avait durant la journée. Elle était juchée sur des talons aiguille d’au moins quinze centimètres et cela conférait à sa démarche une allure chaloupée des plus allumeuses.Elle se dirigea sans hésiter vers le groupe de l’usine qui l’accueillit avec chaleur. Les hommes étaient surexcités. Elle s’approcha de la jeune recrue et elle saisit son visage entre ses mains, avançant ses lèvres vers les siennes pour l’embrasser langoureusement. Elle mêla sa langue à la sienne pendant un long moment sous les acclamations des ouvriers, goutant le sperme encore chaud qui emplissait toujours sa bouche. Elle se détacha finalement de ses lèvres, à regret.« Je me sentais mal de t’avoir laissée seule, finit-elle par lui dire. Je savais qu’il y avait cette traditionnelle soirée du jeudi soir alors j’ai décidé de vous rejoindre pour partager un peu… ».La jolie recrue ne put s’empêcher de déposer un nouveau baiser sur ses lèvres, empreint de gratitude. Elle ne put cependant en faire plus, car déjà, on posait sa main sur une nouvelle queue bien dure tandis que plusieurs ouvriers attiraient mademoiselle Connor vers eux, commençant à caresser ses seins et ses fesses outrageusement mis en valeur par sa tenue. Cette fois, les hommes ne prenaient plus aucune précaution et le fait d’être dans un bar ouvert au public ne semblait pas les effaroucher. Plusieurs queues se dressaient devant la jeune recrue qui se retrouva très vite à sucer à la chaîne des membres tendus. La petite RH se trouvait au milieu de la piste de danse, entourée de plusieurs hommes, sa jupe troussée sur les hanches, laissant apparaitre ses bas coutures et la nudité de son sexe.La jeune recrue dut enchainer les fellations, recevant de multiples éjaculations entre ses lèvres ou sur son visage. Elle finissait à peine d’avaler que déjà une autre queue forçait l’entrée de sa bouche pour s’enfoncer au plus profond de sa gorge. On lui laissa soudain un peu de répit. Jetant un coup d’oeil circulaire, elle ne vit plus la petite rousse dans le bar qui était désormais bondé. Tous les nouveaux clients avaient les yeux rivés sur elle et son visage couvert de foutre. Deux ouvriers la saisirent alors par les bras, la relevant du canapé. Elle se laissa guider par leur poigne, les suivant dans le bar sans savoir où ils allaient. Très vite, ils la firent entrer dans les toilettes, dans les toilettes pour hommes. Elle pensait se douter de ce qui l’attendait, mais elle comprit très vite qu’elle se trompait.Plusieurs hommes faisaient la queue devant la porte des WC et les ouvriers passèrent devant eux en s’excusant. Le spectacle qu’elle découvrit en entrant la laissa bouche bée : mademoiselle Connor était attachée contre un lavabo, penchée en avant, cambrée sur ses talons aiguille, le postérieur offert à la vue de tous. Sur le petit cul de la jolie rousse, il était écrit au marqueur : « Salope en rut, faites vous plaisir ! ». Des giclées de sperme ornaient déjà ses fesses et ses reins. Un des ouvriers se tenaient dans les toilettes. À coté d’elle et il it un signe de tête au premier des hommes dans la queue. Celui-ci s’avança, guilleret, et il enfonça son sexe dur dans le petit trou de la RH qui poussa un cri aigu. Puis, l’ouvrier se tourna vers ses deux collègues et la jeune recrue.« Parfait, dit-il. Installe- la sur le lavabo à coté, elle va tenir compagnie à sa copine. Il en fallait deux, sinon la queue va être trop longue ! ».Sans attendre, les deux hommes la poussèrent vers un second lavabo et ils attachèrent ses poignets au socle, la maintenant ainsi penchée vers l’avant elle aussi. Comme pour la jolie RH, ils relevèrent sa jupe pour dévoiler son postérieur. Elle sentit alors la pointe d’un marqueur courir sur la peau de ses fesses. Quelques instants après, les trois ouvriers éclatèrent de rire. Par le jeu des différents miroirs dans les toilettes, elle parvint à lire ce qu’ils avaient écrit sur son cul : « Chienne en libre-service ».Elle n’eut pas le temps de prononcer un mot que, déjà, un nouvel homme dans la queue s’avançait, tout heureux que son tour soit enfin arrivé. Il positionna son gland contre le petit trou de la jeune femme et il s’enfonça sans difficulté entre ses fesses, ne manquant pas de ponctuer sa poussée d’un « Quelle salope ! ».Tous les mâles du bar se succédèrent alors dans les toilettes. Il faisait la queue et les ouvriers s’assuraient que tout reste dans l’ordre, attribuant à chacun une place et s’assurant que personne ne resquillait. Les queues s’enchaînaient dans le fondement des deux jeunes femmes qui n’avaient aucun répit, se faisant défoncer le cul sans relâche. Elles se faisaient prendre depuis près d’une heure quand le patron du bar entra dans les toilettes pour signaler que la queue ne diminuait pas, bien au contraire, et qu’elle devenait problématique. Il proposa une solution simple : permettre à plus d’un homme à la fois de se faire plaisir avec les deux petites chiennes.L’idée fut adoptée et on détacha très vite la petite rousse et la nouvelle recrue pour les ramener dans la salle principale. Mademoiselle Connor fut attachée contre une table, toujours en position de levrette. Quant à la nouvelle embauchée, elle fut allongée sur le dos, également sur une table, les chevilles et les poignets fermement ligotés aux pieds du meuble. On la tira également légèrement vers l’arrière pour que sa tête soit dans le vide.Immédiatement, les assauts reprirent, mais cette fois avec deux hommes à la fois : tandis que l’un défonçait le cul, un autre s’enfonçait entre les lèvres. Pour la nouvelle recrue, la tête dans le vide facilitait les intromissions profondes et amples et les hommes se mirent très vite à lui baiser la bouche en gorge profonde.Malgré les violents coups de boutoir que les deux jeunes femmes devaient encaisser dans leur fondement, pratiquement aucun son ne sortait de leur bouche tant les clients du bar allaient et venaient vigoureusement entre leurs lèvres offertes. Ils baisaient leur bouche comme ils auraient baisé leur chatte, avec fougue et brutalité.Elles gargouillaient et bavaient abondamment, souvent à la limite de la nausée alors que les sexes forçaient leur glotte sans répit. Avec sa tête rejetée vers l’arrière, la jeune recrue sentait la salive qui coulait le long de ses joues, sur ses yeux et son front. Le liquide se mêlait au foutre qui tapissait désormais son visage : les hommes se répandaient parfois au fond de sa gorge, mais beaucoup prenaient plaisir à arroser son visage de leur semence. Elles n’auraient sur dire pendant combien de temps elles se firent baiser de la sorte ; toute la soirée et une bonne partie de la nuit. Elles jouirent l’une et l’autre un nombre incalculable de fois, leurs orgasmes étant ponctués d’un « Elle jouit encore la salope ! » de la part des hommes qui les entouraient. Chacune de leur jouissance s’accompagnait également d’une punition de la part des ouvriers ; leurs fesses, leurs sexes ou leurs seins étaient alors fessés ou cravachés avec vigueur, sans que cela ne coupe pour autant l’excitation des deux jeunes femmes, bien au contraire ; elles mouillaient encore davantage après chaque correction.Peu d’hommes prenaient le temps de pénétrer leurs petites chattes. Tous ou presque voulaient leur défoncer le cul et aucun ne s’en privait. Les queues rentraient en elles avec une facilité déconcertante et elles sentirent les rasades de foutre se répandre dans leur petit trou toute la soirée. La semence débordait de leur anus, coulant abondamment entre leurs fesses et le long de leurs cuisses.Quand on les détacha enfin, elles n’avaient plus aucune notion du temps. Elles étaient poisseuses et épuisées, les membres en coton à force d’avoir tant joui. Les ouvriers encore présents dans le bar les aidèrent à marcher en les dirigeant vers la sortie.« Et le personnel ? » Tonna soudain une voix.C’était le patron du bar qui venait de les interpeler. Ses employés, les serveurs et barmen, se tenaient derrière lui, le regard luisant. « Les petites dames ont beaucoup consommé mais elles n’ont rien payé, ajouta-t-il… Il ne faudrait pas oublier de rémunérer le bar et l’équipe qui les ont si gentiment accueilli… ».Les ouvriers relâchèrent alors le bras des deux jeunes femmes. Épuisées mais résignées, elles se dirigèrent vers les hommes qui se tenaient près du bar. Ils étaient six en tout, jeunes et plutôt musclés. Elles s’approchèrent indécises, attendant les ordres.« À quatre pattes, lança le patron, comme les bonnes chiennes que vous êtes. Vous allez commencer par nous laper la queue, vous allez l’air douée ».Immédiatement, les six hommes déboutonnèrent leur pantalon pour extirper leurs sexes. Les deux jeunes femmes furent stupéfaites : chacun d’entre eux avait un chibre aussi gros, si ce n’est plus, que celui du directeur des Opérations. Le patron du bar fut hilare en voyant les mines atterrées des deux femmes.« Et oui, leur dit-il. Nous avons un point commun moi et mon équipe. Mais quelque chose me dit que çà va vous plaire ! Allez, fini de mater, au travail les petites voyeuses ! ».Ce fut mademoiselle Connor qui se mit la première à quatre pattes pour s’avancer vers les queues monumentales. Elle les prit tour à tour, constatant avec un mélange d’excitation et d’effroi qu’elle ne parvenait pas à en faire le tour avec ses doigts. Très vite, sur les ordres des hommes, elle se mit à les lécher lui à les prendre en bouche.La jeune recrue la rejoignit finalement, chacune s’affairant autour de trois sexes. Malgré la baise en règle qu’avaient subie leurs bouches, elles avaient du mal à prendre les énormes chibres entre leurs lèvres. Les six hommes durent les aider en appuyant fermement sur leur crâne pour bien s’enfoncer dans la douce chaleur de leur gorge. Autour d’eux, les derniers clients avaient décidé de rester. Certains avaient de nouveau sorti leurs queues et ils se branlaient sans vergogne en regardant les deux jeunes femmes s’affairer tant bien que mal sur les pieux de chair.« Messieurs, dit-alors le patron à l’adresse de son équipe, ces demoiselles sont surement fatiguées alors on ne va pas les retenir trop longtemps. Plutôt que de passer à la chaine, on va se les taper en même temps, je suis sûr que c’est ce qu’elles veulent en plus ».Sans leur laisser le temps de réagir deux des hommes s’allongèrent sur le sol, les attirant vers eux pour qu’elles s’empalent sur leur queue luisante de salive. La sensation était comme à chaque fois divine. Elles poussèrent l’une et l’autre un cri rauque en se sentant remplie par les gros chibres tendus. Bien entendu, les choses n’allaient pas en rester là et les hommes saisirent leurs fesses à pleine main pour les écarter fortement. Le patron est un de ses employés se positionnèrent derrière elles et ils se mirent à leur tour à enfoncer leur gland volumineux dans leur petit trou.Ils utilisaient tout le foutre dont leur cul était tapissé comme lubrifiant. Malgré les sodomies à répétition, l’introduction ne fut pas aisée et les deux hommes durent forcer encore et encore pour s’insérer totalement en elles. Toute l’assemblée retenait son souffle alors que les deux queues s’enfonçaient dans les petits trous des jeunes femmes. On lisait presque sur le visage de mademoiselle Connor et de la jeune recrue le nombre de centimètres qui étaient en elles. Elles avaient la bouche grande ouverte, respirant avec intensité pour supporter cette pénétration hors norme dans leurs orifices qui ne leur avaient jamais semblé aussi serrés. Ces lèvres écartées furent comme un irrésistible appel pour les deux employés qui étaient restés sur le coté. Ils s’avancèrent en même temps et ils enfoncèrent leurs queues tendues dans la bouche des deux jeunes femmes.Les mouvements de bassins commencèrent alors presque simultanément, dans leur cul, leur chatte et entre leurs lèvres. Les spectateurs s’avançaient désormais, bien souvent leur queue à la main, pour voir les orifices écartelés des deux jeunes femmes qui semblaient s’ouvrir chaque fois un peu plus sous la poussée des énormes sexes qui les ravageaient.Le spectacle était tellement lubrique que certains furent incapables de se retenir et, très vite, les deux jeunes femmes sentirent de nouvelles giclées de foutre s’abattre sur leurs dos tandis que les spectateurs jouissaient les uns après les autres. Le patron et son équipe continuaient eux de les baiser avec force. Ils se coordonnaient désormais à merveille pour leur faire atteindre de nouveaux sommets de plaisir. Il ne fallut pas longtemps à mademoiselle Connor pour partir dans un orgasme terrible. Les cris de la jeune RH, étouffés par la belle queue qui coulissait jusque dans sa gorge, déclenchèrent à leur tour la jouissance de la nouvelle recrue qui connut une nouvelle extase fabuleuse.Les orgasmes se succédèrent alors pour les deux jeunes femmes qui ne sentaient désormais plus que leurs orifices totalement soumis aux coups de rein des six hommes. Le patron se retira du cul de la petite recrue, à sa grande frustration.« On va changer de place, dit-il à l’adresse de l’homme qu’elle était en train de sucer. Je vais lui faire gouter la saveur de son cul à cette petite chienne ! ».Ce dernier fut ravi de pouvoir pénétrer enfin le petit trou de la jeune femme. Le patron, quant à lui, présenta sa queue à l’orée des lèvres de la petite recrue. Elle était couverte du foutre issu des innombrables éjaculations qui s’étaient répandues dans son fondement. Sans attendre, il força sa bouche alors qu’elle poussait un nouveau cri tandis que son cul était à nouveau pénétré. Cette queue avait en effet la saveur de son cul, mais aussi du sperme mélangé de tous les hommes qui l’avaient baisée durant la soirée. Elle la suça goulument, se délectant de tout ce jus qui avait coulé en elle pendant la soirée.Les hommes qui baisaient mademoiselle Connor avaient également changé de place, faisant gouter à leur tour à la petite rousse les différentes semences qui tapissaient son orifice le plus intime. Ils alternèrent régulièrement, présentant à chaque fois aux deux jeunes femmes leurs queues pleines de sperme qu’elles s’empressaient alors de déguster.Elles connurent l’extase encore plusieurs fois avant qu’enfin les six hommes ne jouissent à leur tour, arrosant leurs culs, leurs visages et leurs seins de leur chaude semence. Les derniers spectateurs encore présents se lâchèrent à leur tour, aspergeant le corps des deux jeunes femmes de leurs giclées crémeuses. Elles restèrent toutes les deux au sol un long moment, recouvertes de foutre qui coulait lentement sur leur corps. Il n’y avait pas un endroit de leur peau qui ne soit zébré de traînées blanches. Elles se relevèrent enfin, exténuées mais encore ivres de plaisir. Elles sentaient le sperme à plusieurs mètres.
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