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Ma nouvelle vie avec tonton

Chapitre 1

Inceste
Je m’appelle Alex et j’ai 18 ans. Je finis mon année de terminale après une scolarité difficile, en raison de mon côté éfféminé réhaussé par mes hanches larges, mes fesses de femme, et ma bouche pulpeuse.Je n’ai jamais fait de coming out mais j’ai vite compris que je séduirais plus d’hommes avec mes fesses que de femmes avec mon tout petit sexe.
Je ne suis pas attiré par les mecs de mon âge, ceux qui m’attirent sont les hommes de l’âge de mon père. D’ailleurs le seul homme qui m’ait approché est Luc, un de ses amis, 50 ans, chef d’une PME dans le bâtiment, assez costaud. Luc vient souvent nous voir et parfois il vient me chercher au lycée quand mes parents ne sont pas là. C’est à lui que j’ai confié mon attirance pour les hommes, et il m’a rassuré en me disant que tout le monde le savait, même mes parents. Ce jour là, il m’a tiré contre lui. Son doigt est passé sur mes lèvres, et il a aggrippé mes fesses moulées par mon jean. Il a alors pris ma main et l’a posé sur son entrejambe. Je sentais qu’il bandait.
— Alors, quel effet ça te fait Alex?
Je ne répondis pas, tétanisé par l’intensité de l’instant.
— Ta main bouge toute seule, ça te plaît non?
À ce moment là, on entendit la porte d’entrée s’ouvrir et mes parents rentrèrent en même temps.Juste le temps pour nous de nous séparer sans qu’ils nous voient. Luc se leva et vint enlacer ma mère. Il l’embrassa dans le cou et je vis sa main passer brièvement sur ses fesses sous le regard jaloux de mon père, qui ne disait rien.Les hommes aimaient beaucoup ma mère, une grande blonde aux hanches larges et aux grosses fesses (dont j’avais sans doute hérité) avec une belle poitrine et un côté un peu naïf, dont elle jouait certainement lorsque les hommes empoignaient ses courbes sous les yeux de son mari.
Deux mois étaient passé depuis que j’avais touché l’érection de Luc, et je ne l’avais pas revu depuis. L’été approchait, le bac se terminait sans trop de peine, et j’avais bien mérité mes vacances mais n’avait encore rien prévu. Le jour de la dernière épreuve, je reçu un sms de mon oncle, Robert."Hello Alex, je suis tout seul pendant 1 mois et la piscine est bien vide. Ça te dirait de venir passer un bout de tes vacances ici?"Super ! J’adorais mon oncle. C’était le frère de mon père. Il avait divorcé il y a 4 ans de sa femme, qui était partie pour des raisons que j’ignore. Ils avaient eu une fille, ma cousine Maëva, qui avait 6 ans de plus que moi et qui vivait maintenant en Australie.

Mon oncle avait fait fortune dans l’immobilier et vivait de ses rentes près de Marseille. Il avait une belle villa avec une grande piscine et un jaccuzzi, il roulait dans des belles voitures et m’offrait toujours des cadeaux. Il était très drôle, viril et très dominant. Quand il nous rendait visite, c’est lui qui faisait la loi, et mon père pourtant son aîné ne lui disait rien. D’ailleurs, mon oncle aussi n’hésitait pas à embrasser ma mère dans le cou, à la faire s’asseoir sur ses genous ou à lui mettre des petites claques sur les fesses quand elle passait à sa portée.
Aller chez mon oncle m’enchantait, et j’acceptais sans hésiter. Je préparais ma valise, et emportait mes derniers achats qui correspondaient à ma nouvelle sexualité. Des mini-shorts, un leggings des petits hauts de couleur dont certains qui s’arrêtaient au nombril, des shortys, et des slips de bains qui disparaissaient pratiquement entre mes fesses.
Deux jours plus tard, quelques heures avant mon train, mon père vint me parler :— Écoute Alex, je dois te dire un truc... voilà il se peut que ton tonton te présente son copain. — Son copain ? — Oui... ton oncle aime bien les hommes aussi, et ça fait longtemps qu’on ne l’a pas vu avec une femme...
Cette information me fit l’effet d’une bombe.J’indiquais que ça ne me dérangeait pas du tour, mais j’étais en réalité très heureux ! Si mon oncle aimait les hommes, il pourrait sans doute me donner son avis sur moi, et me conseiller pour progresser dans cette voie.
Une fois dans le train, j’en profitais pour aller faire un tour aux toilettes afin de me changer. L’œil que mon tonton allait avoir sur moi allait être critique et je devais l’éblouir ! J’enfilait donc un mini short qui laissait apparaître un bout de mes fesses et les moulaient complètement. J’ajoutais un petit haut qui s’arrête au nombril et j’assortis le tout avec des converses rouges.
Lorsque je descendis du train, mon oncle m’attendait et me fis un immense sourire. — Regarde toi ma puce ! T’es magnifique, je t’aurais repéré même sans te reconnaître !
Un sourire illumina mon visage : ma tenue avait fait son effet.
Dans la voiture, Tonton se mit directement à aborder des sujets à la limite de l’intime :
— Bon, en te voyant comme ça je me doute que tu aimes plus les hommes que les femmes, je me trompe ? — Non tonton ! — Tu as un petit copain ? — Non... mais j’aime pas trop les mecs de mon âge, je préfère les hommes mûrs. — Je te comprends... tu vois moi j’aime bien les minets plus jeunes alors je sais ce que vous aimez en terme d’hommes ! Tu as déjà eu des expériences ? — Non, mais je viens de passer le bac... j’en aurais cette année ! — Mais tu es sûr que tu aimeras ? — Ahaha, oui Tonton, c’est pas parce que j’ai jamais eu d’expérience que je n’ai pas expérimenté les sensations, et j’adore ça...
Ma voix avait tremblé en disant cela. Pas par honte ou par hésitation, mais plutôt parce que c’était la première fois que je confessais que j’aimais être pénétré, et cette expérience était très excitante. Nous étions arrivé à la villa, et avec un grand sourire, je suivais mon oncle jusqu’à ma chambre. Il ouvrit la porte et me laissa entrer en premier. Alors que je passais, il me mis une petite claque sur les fesses. Surpris, je lui jetais un petit regard et un beau sourire.
— Tu vas t’en prendre des fessées si tu tortilles tes fesses sous mon nez... aller, me dit-il, change-toi, tartine-toi de crème et à l’eau !
J’ouvris ma valise, et à ma grande stupeur, aucune trace de mes slips de bain. Je les avais oublié chez moi !Avant que mon oncle ne soit redescendu, je lui expliquais la situation.
— C’est pas grave ! Va dans la chambre de Maëva, elle doit en avoir que son copain de l’époque a oublié quand ils venaient.
Je m’y rendais pendant que mon oncle descendait se changer. J’ouvris plusieurs tiroirs, et je tombais sur celui qui contenait les sous-vêtements et les maillots de ma cousine. Elle en avait des tas ! Mais aucune trace d’un maillot pour homme. Je trouvais un maillot une pièce qui me parraissait un peu plus large. Je fus tout de suite attiré par la matière du maillot, et sa couleur violette. En l’essayant, je me rendis compte qu’il était beaucoup plus sexy que ce que je pensais ! L’arrière faisait pratiquement un string, et la partie entre les épaules et les fesses était pratiquement nue. Mon oncle poussa la porte, pendant que je me contemplais dans le miroir. Je sursautais puis lui fit un petit sourire. Il me répondit par un air ébahit en me dévisageant des pieds à la tête :
— Bah voilà ! Ça te va comme un gant, tu peux carrément te baigner avec ça ! — Tu penses ? Ça fait pas trop... ? — Non, on est entre nous ma puce, et j’aime beaucoup. — Bon alors à l’eau !
Je passais devant mon oncle qui me mis une toute petite fessée. Le contact de sa main sur mes fesses presques nues fut électrisant, mais je fis mine de faire comme si c’était normal. Ça me plaisait beaucoup, j’avais l’impression d’être protégé. Arrivés sur la terrasse, mon oncle m’attrapa par la taille, et me souleva sans aucune difficulté. Malgré mes protestations, il sauta à l’eau. Lorsque je sortis la tête de l’eau, je riais aux éclats. Il me serra contre lui en me tenant par les hanches, je me sentais merveilleusement bien, la tête collée à son torse, prisonnier de ses bras rassurants, ses mains sur la naissance de mes fesses... je me surpris d’un coup à apprécier un contact un peu spécial, celui de son sexe enfermé dans son maillot de bain, collé contre moi.Il me fit tourner sur moi même, et passa ses mains autour de mon ventre. Cette fois-ci, son sexe était collé à mes fesses et je faillis me trahir en me cambrant légèrement pour davantage ressentir ce contact. Il me murmura à l’oreille : — Tu ressembles beaucoup à une nana de dos ! — C’est un beau compliment tonton ! — Ah ouais ? T’aimerais qu’on te prenne pour une nana ?
Je ne répondis pas mais il dut appercevoir mon sourire d’approbation.
— Et bah à partir de maintenant, tu seras Alexia, ça te va ma belle ?
Wahou. Ce prénom résonna en moi, et je fus très flatté par le "ma belle". Beaucoup trop pour ne pas avouer à mon oncle que ça me plaisait.
— Oui ça me va Tonton..— C’est super, je vais m’éclater avec toi. Aller, sors tes fesses de l’eau et va bronzer, t’es toute blanche !
J’adorais cette manière de me parler. J’avais vraiment l’impression d’être une femme. Je m’éxécutais avec mon éternel sourire et m’allongeais sur le ventre sur ma serviette. Quelque seconde plus tard, je sentis mon oncle se mettre à cheval sur mes cuisses, et une sensation de froid sur mes épaules.
— Je te met de la crème sinon tu vas cramer ! -Oh, merci tonton.
Il se mit à me masser les épaules et la nuque. Il ne me faisait pas mal, mais il était ferme dans ses mouvements. Ses mains descendirent sur mon dos, et soudain ma respiration se suspendit. Je sentis de la crème tomber sur chacune de mes fesses, puis j’entendis le bruit caractéristique du pot qui se ferme. Ses mains vinrent étaler la crème.Son mouvement se mua en carresse, puis en malaxation toujours aussi ferme et dominante. Il écarta mes fesses, s’amusa à les faire remuer, puis acheva de me charmer :
— Non seulement tu as un super cul mais en plus t’es complètement épilée !
Il acheva sa phrase avec une claque ferme sur chacune de mes fesses ce qui eu pour effet de m’arracher un petit cri. Il me mis rapidement de la crème sur les jambes puis se leva et pour aller faire des courses.
J’en profitais pour enlever le maillot et m’enduire complètement de crème. Livrée à mes pensées au soleil, j’imaginais qu’elles auraient pu être les suites de cette situation avec mon oncle. J’imaginais ses doigts passer entre mes fesses, écarter mon maillot de bain, et carresser mon petit trou. La situation me parraissait surréaliste, mais elle aurait pu arriver, et j’aurais été incapable de protester tant il me dominait. La sonnette retentit et me tira de mes pensées, je remis mon maillot précipitemment et ouvrit la porte. Un homme de l’âge de mon oncle, assez fort, se tenait devant moi.
— Bonjour, je suis Fabrice, un ami de Robert... et toi tu dois être Alexia c’est ça ? Je fus surprise d’entendre ce prénom, mais pas choquée, et j’acquiésais.
— Il m’a invité manger avec vous ce soir, il n’est pas revenu des courses ? — Non, pas encore... mais il ne devrait pas tarder... vous voulez entrer ? — Aha, oui, mais ne t’embêtes pas pour moi Alexia, tu peux retourner à tes occupations. — Oh, je ne faisais rien de spécial, je bronzais. — Et bien je vais m’ouvrir une bière et te regarder bronzer.
Ses paroles me surprirent à nouveau mais je lui fis un sourire d’approbation. Il m’emboîta le pas puis bifurqua vers la cuisine. Je m’installais sur un transat, sur le ventre, et je vis Fabrice sortir de la maison et s’installer sur une chaise, tourné vers moi. Je vis son regard scruter mon corps et s’arrêter sur mes fesses.. Décidément ! Ça faisait encore un homme qui me matait aujourd’hui. Nous échangeâmes des banalités mais je fus séduite par le fait qu’il s’adressa à moi au féminin : "Tu es contente de ton année? Tu es un peu sportive ?". C’était flatteur, et me faisait me sentir désirable.
Mon oncle poussa la porte d’entrée et apparu sur la terrasse, il fit la bise à Fabrice :— C’était la surprise, on est 3 ce soir ma belle, me dit-il. Et toi Fabrice, t’en pense quoi de ma Alexia ? — Elle est très mignonne, bien éduquée, dit-il avec un sourire que je lui rendis. Tu veux que je t’aide à décharger les courses ? — Oui je veux bien. Va prendre une douche et te faire belle Alexia.
Son ordre était très direct et j’en fus flattée. Je me levai rapidement, et ils me laissèrent entrer en premier dans la maison.
— T’as vu ça, dit mon oncle dans mon dos.— Ouais, pas mal du tout.
J’ignorais de quoi ils parlaient et j’esquissai un regard dans leur direction. Il me regardait tous les deux, les yeux rivés sur mes fesses.
Je pris une douche, et lorsque j’en sorti enveloppée dans une serviette, je croisai mon oncle qui sortait de ma chambre, un sourire aux lèvres.
En rentrant dans celle-ci, je vis des affaires posées sur mon lit. C’était à ma cousine : des tangas, des strings, un mini-short, et un haut en dentelle décolleté. Je souris, et mon choix se tourna vers un tanga super sexy. J’enfilais le haut et le short, et mon pied heurta quelque chose. C’était une paire de talons compensés, assez jolis. Je les essayais, ils m’allaient parfaitement. Je vis mon reflet dans le miroir. Je ressemblais à une adolescente qui s’apprête à aller en boîte. Le short cachait à peine mes fesses et les moulaient complètement, seul mon absence de seins rappelait que je n’étais pas une fille. Je me dirigeai vers la salle de bain pour arranger mes cheveux. Ma teinte blond platine et ma coupe ressemblait vraiment à celle d’une femme aux cheveux courts. Je trouvai du maquillage : mascara, rouge à lèvre, et un peu de fond de teint. J’ajoutais un petit collier plaqué argent. Je m’étais metamorphosée. J’étais devenue une fille, et une belle fille qui plus est.
Je fus accueillie par deux sifflements admiratifs. J’étais rayonnante. Mon oncle me tendit une coupe de champagne et me tira vers lui. Il me fit tourner sur moi même, m’arrêta quand je fus dos à lui, et me fit m’asseoir en biais sur sa jambe droite. Sa main se posa sur mes fesses qui dépassaient, et je ne pus m’empêcher de jeter un regard à Fabrice, qui voyait tout de la situation.
— Alors, c’est pas une bombe ma nièce ? — Oh que si, répondit Fabrice. — Je savais que tu serais belle dans ce petit short, me dit mon oncle en claquant mes fesses. En même temps vu ton cul il faut que tu mettes des shorts et des pantalons pour femmes.
La discussion continua, et mon oncle était toujours aussi tactile. L’apéritif dinatoire se déroula sous les rires et les compliments, le champagne aidant les deux hommes à se lâcher.
Au bout d’un moment, mon oncle me claqua les fesses : — Va donc sur les genous de Fabrice, je vais chercher une autre bouteille.
Je fus surprise mais m’exécutai. Je me dirigeai vers Fabrice en lui souriant, alors qu’il écartait les jambes pour m’accueillir. Je m’assis délicatement, en cambrant mon dos contre son ventre tandis qu’il posa sa main sur ma hanche et l’autre sur ma cuisse. Mon oncle revint et nous servit à nouveau en champagne. La soirée se poursuivit sans que Fabrice ne déplace sa main sur ma hanche sur mes fesses. Mon oncle s’en apperçu : — Alors, au toucher tu en penses quoi ?
Fabrice me regarda et marqua un temps d’hésitation. J’accentuais ma cambrure pour montrer mon consentement, et sa main empoigna mes fesses. — Impeccable, rien à dire, c’est un vrai cul de femme ! Sa remarque me fit sourire. — Au fait Fabrice, elle a mis un string ou un tanga ? Sans hésitation cette fois, Fabrice me fit me lever. Je posai les mains sur la table tout en me cambrant et fixait mon oncle en souriant. Les mains de Fabrice baissèrent un peu mon short puis fouillèrent jusqu’à aggriper l’élastique du tanga. Il le tira hors du short, en poussant un sifflement. — Wahou, c’est un tanga rouge super sexy ! On dirait presque un string tellement qu’il rentre dans les fesses.
Mon oncle me fit un clin d’œil.
— Enlève-lui son short que je vois ça.
Mon sourire disparu presque, la situation passant brusquement de légèrement coquine à carrément équivoque.Mais je ne perdais rien de mon attitude docile, et laissait Fabrice déboutonner mon short et le faire glisser sur mes cuisses. Je levais les pieds pour qu’il me l’enlève complètement et il le déposa sur la table.
— On va se mettre sur le canapé, on sera mieux, dit mon oncle.
On débarrassa rapidement la table, il me laissèrent bien évidemment passer devant eux. Dans cette tenue, en talons vêtue d’un tanga et d’un haut en dentelle, j’avais vraiment le sentiment d’être super sexy. Mon oncle me claqua les fesses tandis que je déposais les bols dans l’évier. — Pas là, met les dans le lave-vaisselle. Je lui souris et me cambrai pour ranger la vaisselle. Fabrice et mon oncle se postèrent derrière moi, et je senti leurs mains à plusieurs reprises. Une fois la vaisselle rangée, on se dirigea au salon, et mon oncle me fit m’asseoir sur ses genous, dos à lui, les jambes de chaque côté des siennes, les mains sur ses genous, le dos bien cambré. Je sentis son sexe prisonnier de son short sous mes fesses. La sensation m’électrisa. Alors que je m’attendais à une escalade de la situation, ils se contentèrent de discuter entre eux. Au bout d’un moment, mon oncle m’ordonna d’aller chercher des bières pour eux deux, puis me fit m’asseoir sur les genous de Fabrice à mon retour. Ses mains se baladèrent sur mes fesses, tandis qu’ils reprennaient leur conversation. Je me sentais bien, offerte à une main qui parcourait mes fesses et jouait avec les bordures du tanga. La soirée se poursuivit, je changeais de genous a chaque nouvelle bière, non sans prendre une petite claque sur les fesses de Fabrice ou de mon oncle à chaque passage.
Fabrice finit par s’en aller. Il déposa un bisou dans mon cou en aggripant mes fesses. À son départ, mon oncle me serra contre lui :— Je suis fier de toi ma belle, tu as été parfaite, à la hauteur de ta tenue de salope. Son dernier mot me fit sourire, alors qu’il aurait du me choquer, mais mon oncle avait raison.
Il passa dans mon dos, et se mit à me pétrir les fesses.
— En tout cas ce cul, il est vraiment incroyable. C’est des vraies grosses fesses de femme. Un cul pareil il faut pas le gâcher, met des vêtements de femmes courts ou moulants, et pas de culottes, juste des strings ou des tangas. — D’accord tonton. — C’est fou, il est aussi beau que celui de ta mère ! — Merci beaucoup !
Je réalise en même temps ce que mon oncle vient de me dire, mais je sais que c’est une belle comparaison et je garde mon sourire. Mon oncle finit par claquer mes fesses.
— Aller, va te coucher, je veux que tu sois fraîche demain.
Je m’exécute, monte dans ma chambre, enfile mon leggings et me couche. Je repense à cette première journée, au delà de toutes mes espérances. Mon oncle m’a bel et bien encouragé, et peut être que je me retrouverais seule avec Fabrice à nouveau. Il est gros et âgé, tout ce qui me plaît, et je pense sincèrement que je serai prête à m’offrir à lui pour une première expérience. Je m’endors avec cette douce pensée dans ma tête.
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