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Ma nouvelle vie d’étudiante à Montmartre

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Ma nouvelle vie d’étudiante à Montmartre

Salut à tous. Je m’appelle Justine, j’ai 20 ans et je vais vous raconter quelques passages de ma nouvelle vie d’étudiante à Montmartre.
Mais avant tout je vais me décrire. Je suis une belle blonde, plutôt petite, moins d’1m70, j’ai des yeux bleus et j’ai remarqué que mes formes ne laissent pas les garçons indifférents : mon 95C doit en faire rêver plus d’un, ainsi que mes fesses bien rebondies. J’ai déjà eu une relation avec un garçon il y a trois ans mais il ne me satisfaisait pas vraiment au lit et nous ne faisions pas tout ce dont j’avais envie, ce qui fait que j’ai fini par brider moi-même mes désirs sexuels. Et à l’époque j’étais plutôt timide ce qui n’a pas arrangé les choses. Cette année, après deux ans de prépa, je rentre dans une école d’ingénieur. Ceci marque un nouveau départ pour moi et je n’ai pas envie de le rater : j’entends bien transformer mes désirs en réalité. J’ai dû déménager de ma région bordelaise pour aller dans cette école parisienne et le changement m’a un peu surpris au départ mais je m’y suis fait assez rapidement. J’ai un joli petit appartement dans Paris qui donne sur le Sacré-Cœur : la vue et le quartier sont très sympas mais je n’ai pas encore pu tout visiter.
J’ai débuté les cours depuis deux semaines dans ma nouvelle école. Il y a quelques beaux garçons mais ce n’est pas la majorité et aucun ne m’a pour l’instant vraiment taper dans l’œil. Moi qui voulais faire de cette rentrée un nouveau départ, ce n’est pas gagné. Je me suis tout de même fait quelques amis, surtout des garçons mais aussi deux ou trois filles. Ce début d’année n’est pas très animé mais l’annonce d’un weekend d’intégration me redonne espoir. Vais-je enfin pouvoir assouvir mes désirs ? Le weekend d’intégration est dans plus d’une semaine mais je suis déjà toute excitée à l’idée d’y aller.
Le jour du départ arrive enfin. Deux bus sont à notre disposition pour nous amener dans la nuit vers notre destination inconnue. Je ne connais malheureusement presque aucun des étudiants venant à ce weekend. Je monte dans le premier bus et m’assieds vers le milieu. Le bus se remplit peu à peu et au bout d’un moment un garçon cherchant une place se tourne vers moi :
 - Je peux m’asseoir à côté de toi ? - Oui, bien sûr, dis-je en le détaillant de la tête aux pieds. - Merci, dit-il en s’asseyant. Moi c’est Thomas. - Et moi, Justine.
Je ne l’avais encore jamais croisé dans l’école. Il était plutôt mignon et bien fait, cheveux bruns et courts, yeux marron. Les bus ont fini de se remplir puis le cortège a démarré. Pendant une heure les membres du BDE ont mis l’ambiance dans le bus puis petit à petit tout s’est calmé car il était déjà tard et il est réputé que durant les weekends d’’intégration on ne dort pas beaucoup.
Nous n’avons pas beaucoup parlé avec Thomas bien que je lorgne sur lui depuis le début du voyage. Je me dis que l’heure d’assouvir mes désirs sexuels est enfin arrivée et que je n’ai pas besoin d’attendre le début du weekend. J’approche alors doucement ma main sur son genou et je commence à remonter vers son entrejambe. Il se tourne vers moi, surpris, mais quand je commence à masser son paquet à travers son pantalon en le regardant dans les yeux il ne cherche même pas à protester. Les mecs sont très simples pour ça. En quelques secondes son sexe grossit dans son caleçon, et je devine qu’il a une belle taille. J’ouvre sa braguette et passe ma main dans son caleçon. Thomas ferme les yeux de plaisir. Et effectivement son membre est assez volumineux. Je le branle doucement. Il avance alors son visage vers moi et ses mains vers mes seins, mais je l’arrête dans sa course : « Shhh, pas si vite. » dis-je d’un ton malicieux, un doigt sur sa bouche. Je continue à le branler et comme je vois qu’il n’y a personne de l’autre côté de l’allée je décide de sortir sa bite de son emprise de tissu. Cette colonne de chair est assez grande pour que puisse aisément la masturber avec mes deux mains. Je vois dans le regard de Thomas qu’il a terriblement envie de moi, de m’embrasser, de me sauter dans ce bus, mais je préfère le faire mijoter un peu. Je continue cette masturbation encore quelques minutes puis je dirige ma bouche vers sa queue, que j’ai tout de même énormément envie de goûter. Je passe ma langue sur son gland puis ma bouche se pose sur son sexe. Je le suce tout en malaxant ses boules avec une main. Il a l’air d’apprécier et m’appuie sur la tête pour en redemander. Je ne me fais pas prier et j’enfonce ma tête plus profondément sur sa queue. J’ai un peu de mal au début à cause de sa grande taille mais après quelques allers-retours je prends la technique. J’arrive à mettre presque toute sa bite dans ma gorge. J’ai parfois des haut-le-cœur mais je reviens toujours lui dévorer la queue. J’accélère mes va-et-vient et essayant de faire le moins de bruit possible pour ne pas éveiller les soupçons. Je sens que la main de Thomas glisse dans mon dos. Il relève ma jupe, écarte mon string, et me met un doigt dans la chatte. Je ne peux empêcher un petit soupir de plaisir mais je mets une main sur ma bouche pour couvrir le bruit. Ma chatte est bien humide et Thomas y glisse maintenant deux doigts. Il accélère ses allers-retours dans mon intimité ce qui me fait accélérer ma fellation. Je le branle tout en le suçant et son orgasme ne tarde pas à arriver. Je sens qu’il se crispe, il va bientôt venir. Effectivement, quelques secondes plus tard un liquide chaud se déverse dans ma bouche, tandis que Thomas essaie tant bien que mal de couvrir ses gémissements de jouissance. Je n’avais jamais eu de sperme dans la bouche mais je ne peux pas tout recracher sur son pantalon, alors j’avale sa semence. Mes copines m’avaient dit que ça n’avait pas un excellent goût mais celui de Thomas est presque sucré. Il enlève sa main de ma chatte et m’embrasse à pleine bouche en me disant sauvagement : « Toi je sens que tu vas prendre ce weekend. ».
Je crois que mes fantasmes vont bel et bien se réaliser, et j’en suis toute excitée. Il passe sa main dans mon soutien-gorge et me malaxe la poitrine, tout en continuant à m’embrasser. Puis sa main retourne sous ma jupe. Il enfonce une nouvelle fois deux doigts dans ma chatte humide et son pouce vient titiller mon clitoris. L’excitation monte en moi et je lui susurre à l’oreille : « Ma chatte n’attend que ta grosse queue ». Je me lève alors un peu du siège pour que Thomas puisse venir s’asseoir sous moi. J’humidifie son gland avec ma salive mais la cyprine qui coule déjà de mon vagin devrait suffire. Je prends son membre dans ma main et je descends mon bassin. Son sexe chaud vient en contact avec le mien. J’écarte un peu mes lèvres et j’insère sa bite dans mon puit d’amour. Je sens cette colonne de chair frotter contre les parois de mon vagin et remonter presque jusqu’au fond. Je refais quelques va-et-vient pour que sa queue puisse bien coulisser en moi puis je m’enfonce complètement sur lui. Ses mains sur mes hanches m’aident dans mes mouvements et bientôt c’est lui qui imprime le rythme de mes va-et-vient sur sa queue. Ça fait trois ans que je n’avais pas fait l’amour et c’est tellement bon de sentir enfin un homme me ramoner l’intérieur. Mais bien que j’ai envie de crier de plaisir nous sommes obligé de faire le moins de bruit possible. Ses mains viennent s’occuper de mes seins qu’ils adorent je crois, pendant que je me masturbe. Je crois que si nous avions pu faire plus de mouvements il serait déjà en levrette derrière moi. J’aurais bien aimé ça mais pour l’instant nous sommes condamnés à rester dans cette position.
Nous en profitons encore quelques minutes puis soudainement nous entendons une voix derrière nous : « Eh, moi aussi j’ai droit à ça ? ». Nous arrêtons instantanément nos ébats et nous nous retournons. Le garçon du rang derrière nous s’était réveillé. Il regardait Thomas me baiser et apparemment cela devait lui plaire vu que sa main était dans son pantalon en train d’astiquer son manche. Une fois le moment de surprise passé, l’instinct de salope que je devenais reprit le dessus. Je lui chuchote : « Bien sûr que t’y as droit. J’ai hâte de toucher ta queue. Venez, on va à l’arrière. ». Je retire à contrecœur la bite de Thomas de mon vagin, remets mes vêtements en place et nous allons tous les trois au dernier rang du bus où je me place au milieu de mes deux amants. Ils sont cachés par les fauteuils de devant et peuvent donc sortir leur deux engins sans que personne ne les voit. Celui du nouveau garçon est un peu moins grand que celui de Thomas mais tout de même de bonne taille. Ces deux bites qui me sont offertes m’excitent fortement. J’en prends une dans chaque main et commence à les branler doucement. Celle de Thomas est encore mouillée de ma cyprine et je me lèche parfois les doigts pour avoir un peu du goût de ma chatte en bouche. En tout cas la masturbation que je leur donne doit leur procurer beaucoup de plaisir car ils ont tous les deux les yeux fermés, en train de savourer. Puis le nouveau garçon baisse les bretelles de mon débardeur et de mon soutien-gorge. Je me retrouve seins nus et il en profite pour me les caresser et me les lécher. Sa langue vient exciter mes mamelons déjà durs, pendant que ses mains me massent les seins. Thomas, lui, s’occupe de ma chatte, comme il en a l’habitude. Ses doigts font de rapide va-et-vient qui manquent de me faire jouir. J’accélère alors la cadence sur son membre et je sens que son orgasme vient. Je gobe alors son gland afin de recueillir son sperme dans ma bouche. Encore une fois je sens les jets chauds dans ma gorge et j’avale tout, sans en laisser une miette. Il m’embrasse sur la bouche puis me dit : « Je vais commencer à dormir, amusez-vous bien. ». Il va alors se rasseoir à notre rang de tout à l’heure.
Je me retrouve seule avec le nouveau garçon et je reprends ma masturbation de plus belle. Puis il me dit : « J’ai bien envie de sentir ta petite chatte autour de ma queue. ». Toute heureuse, je me mets à genoux sur lui et j’insère doucement son sexe en moi. Je fais quelques mouvements de bassin pour faciliter la pénétration et pour l’exciter encore plus. Ceci fonctionne car il me prend par les hanches et commande lui-même le rythme des va-et-vient. Je sens son membre glisser dans mon ventre. Mes mains étant libres je lui prends le visage et l’embrasse à pleine bouche. Nous continuons ainsi quelques minutes puis il me prévient qu’il va jouir. Je me remets alors sur le siège voisin et lui fais une fellation pour terminer en beauté. Il jouit dans ma bouche quelques secondes plus tard et encore une fois j’avale le liquide blanchâtre.
Nous retournons chacun à notre place et je viens me blottir dans les bras de Thomas. Ce weekend d’intégration promet d’être mouvementé.
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