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Ma nouvelle vie d'homme à femme

Chapitre 1

Trash
Moi, Marc, 20 ans, 1,75m, 50 kilos sportif et gay passif, et je ne le cache pas, je travaille comme commercial et cela me sert pour des rencontres coquines et des fois assez sauvages, j’aime cela, toucher une bite bien dure, je n’ai pas d’âge pour baiser seulement une tige bien dure et juteuse et faire des jeux très coquins, voire des fois très limites, je vais vous raconter une de ces histoires.
Mars 2021, je suis chez moi et je me prépare à aller au bar (bar gay sur Toulouse assez connu), je suis habillé décontracté, jeans, polo et dessous un jockstrap qui me moule bien mon cul musclé et ma bite, j’aime me faire bien prendre par un homme, le dernier avait soixante-cinq ans et il m’a bien défoncé et juté dessus, revenons à nos moutons, me voilà arrivé au bar, il y a du monde, je me faufile et me fais tâter le cul, la soirée commence bien. J’arrive enfin au comptoir et commande un verre, un homme se met à côté de moi et nous commençons à discuter :
— Je suis Bernard, j’ai soixante-cinq ans et ce soir, j’ai envie de baiser.— Moi Marc, vingt ans, je suis venu pour cela.— Qu’aimes-tu ?— J’aime me faire tripoter mon cul, branler, sucer, me faire prendre, me sentir femme et chienne, uro, et autres.— Humm cela me plaît, veux tu venir chez moi pour finir la soirée ?— Oui pas de soucis, vous habitez loin ?— Non, au nord de Toulouse en campagne et pas de voisin ou très peu.— OK.
Nous voilà partis dans sa superbe auto de luxe, nous arrivons chez et effectivement, c’est la campagne et il y a deux ou trois maisons assez loin. Nous rentrons dans sa maison, ou plutôt une demeure.
— Passe devant que je mate ton cul, et hop sa main me tripote.— Humm.— Tu es chaud ma cochonne, j’aime cela, veux tu un verre ?— Oui.
Nous buvons et en même temps, il baisse son pantalon, et devant, je dresse un magnifique membre, je me lèche les babines.
— Ouh toi tu es gourmand, à genoux, et suce ma bite et pas de coups de dent salope.
Je me mets à genoux et voilà je le suce, l’aspire, le pompe, je l’absorbe en entier, putain qu’il est dur, il prend des vitamines ou quoi.

— Je me sens en forme ce soir, cela va être ta fête, tu vas prendre cher mon salaud.— Je suis venu pour ça, me faire du bien et surtout goûter à une belle bite dure.— Tu vas être servi, tu vas voir, allez à quatre pattes et tends bien ton cul de salope que je te féconde.— OH oui, voilà (en me retournant), je suis prêt.— Plutôt prête, tu vas être ma femelle salope et soumise, tu vas goûter aux choix des plaisirs très spéciaux.— Je n’ai pas peur, vas-tu, embroche-moi.
Il met ses mains en position et me défonce la rondelle d’un coup ; oh, le salaud, cela fait mal, mais j’aime ça.
— Hummmmmmmmmm, que c’est bon, vas-tu, défonce, fais sortir ta bite de l’autre côté.— Putain tu es en manque ou quoi ?— Oui en manque de bonnes bites,
Il me baise si on peut dire cela, il rentre, il sort, fait des ronds, j’en veux encore et encore.
— Oui, vas-y, plus fort et plus vite, féconde-moi mon cul, je suis ta putain ce soir.— Pas de problème, tu vas avoir ta dose et plus ce soir.
Et dans un grand râle de plaisir, il me lâche tout son sperme dans le ventre, cool, il m’a fécondé, je me sens une femme, une salope, une chienne, il se retire et grand appel d’air s’engouffre dans mon cul, putain il m’a bien démonté pour son âge.
— J’ai un gouffre maintenant, je peux sentir l’air y rentrer.— N’aie pas peur, il va se refermer, me dit-il en rigolant, tu m’as vidé ma petite, je te verrais bien en femme.— Oui, être une femme est un de mes fantasmes.— Je peux arranger cela, suis moi.
Je le suis dans sa maison, il ouvre une pièce et là, plein de matériels pour baiser et autres vêtements.
— Choisis ce que tu veux, je t’attends au salon, tu as une heure pour te préparer.
Me voilà fouillant, je regarde, il y a de tout, mais d’où sort-il tout ça ? J’essaie plein de choses et mon choix se porte sur une guêpière noire, une jupe en cuir rouge, bas noir, et des bottes à plate-forme de quatorze centimètres, un peu de maquillage et me voilà prêt ou prête plutôt à le rejoindre, j’arrive au salon, il m’attend et me siffle quand j’arrive.
— Ah oui cela valait le coup, être en femme te va très bien, il suffit d’arranger quelques choses par-ci par-là.— Oui et quoi ?— Les cheveux, les quelques poils que tu as et affiner la taille et te trouver des faux seins.— Heu oui et comment faire ?— Et bien voilà, pour les cheveux, soit on les laisse pousser ou alors une perruque, les poils : épilation, on va commencer de suite par les poils.
Et me voilà allongé sur la table (nu) me mettant de la cire et m’épilant, les couilles, le tour de la bite, sous les bras, j’en avais que là donc rapide si l’on veut, cela fait quand même mal.
— Les cheveux, on les laisse comme cela ou je tonds.— Les tondre, mais j’ai un travail.— Oui, mais comme tu veux être une femme, il faut te trouver un autre job, secrétaire, cela te plairait.— Mais chez qui ?— Dans ma boîte, la mienne vient de partir à la retraite.— Mais on va voir que je suis un homme plus qu’une femme.— Oh non, je t’assure que tu seras une vraie femme, crois-moi, alors oui non.— C’est oui.— Bon, je sors la tondeuse et lui rase le crâne, il est bien lisse comme son corps, et voilà, regarde-toi dans une glace.
Je lève de la table et me regarde, plus un poil et un cheveu, je suis comme un nouveau-né.
— Alors.— Impressionnant, je suis tout lisse.— Pour la perruque, la couleur.— J’aimerais en blonde, si je suis une secrétaire, elle doit être blonde.— Oui effectivement, je vais en chercher une.
Il revient avec et je me coiffe, cela fait bizarre, mais j’aime bien, je suis à poil, avec une perruque blonde, et lui prend des photos.
— Cela te dirait d’habiter ici ?— Pour le moment, je préfère rester à mon appart.— Oui surtout qu’il est près de ma société.— Il te faut un nouveau prénom.— Moi j’aime Sarah.— OK pour Sarah.— Je te raccompagne chez toi, mets un survêt et une casquette, mais avant, fais ta lettre de démission.
Je m’habille, fais la lettre et il me raccompagne chez moi, entre-temps, on a posté la lettre avec accusé de réception. Je rentre dans mon appart, je me fous à poil et prends une douche, cela fait drôle d’être imberbe, mais j’adore, après je mange un peu et au lit, demain est un autre jour, 7h du mat, je suis debout et je me regarde dans la glace, plus un poil sur le caillou, je me caresse et je commence à bander, j’arrête vite, je m’habille et j’arrive au taf, en arrivant, mes collègues me demandent ce qu’il s’est passé pour mes cheveux, je leur dis que c’était un pari, mais cela va repousser, je me dirige vers le bureau de la RH pour lui dire que j’ai envoyé ma démission, tout se passe bien, elle prend acte et me signale que je peux partir en fin de semaine (deux jours à attendre, pas trop dur), les deux jours sont passés, j’appelle Bernard, il me dit de passer à sa société pour signer le contrat, il avait préparé, mais pas encore daté, je sors de mon ancienne société et remercie tout le monde et me voilà parti vers ma nouvelle société. Deux petits km plus loin, me voilà, je rentre et passe à l’accueil.
— Bonjour, je suis Marc XXX, je viens voir Mr Bernard XXX.— Bonjour, oui il vous attend, prenez l’ascenseur, c’est au troisième à gauche en sortant, vous verrez la porte.— Merci.
Je prends l’ascenseur et me voilà devant la porte toc, toc, entrez.
— Bonjour.— Bonjour Marc et bienvenue, voici le contrat, lis-le et signe si tu veux.
Je le lis, le salaire est super et je le signe.
— J’ai laissé Marc sur le contrat, mais à partir de maintenant, tu seras Sarah.— Oui Monsieur.— Très bien, viens, je vais te montrer la personne avec qui tu vas travailler.— Ah.— N’aie pas peur, c’est une femme très bien.— Bonjour Nicole, voici Marc, enfin plutôt Sarah, elle va travailler avec vous.— Bien monsieur.
Elle se lève, une blonde de 1,75, taille fitness, deux obus, houlala, j’ai intérêt à être à la hauteur, elle me fait la bise.
— Ici, tout le monde se fait la bise, surtout au troisième étage, nous sommes que trois personnes donc pas de problème.— Ah OK.— Et un ascenseur particulier, voici une clé, ne la perds pas.— Non, je vais l’accrocher avec le badge.— Oui.— Nicole, montre-lui son bureau.
Je suis Nicole jusqu’à mon nouveau bureau, il est grand, il y a même une penderie, je regarde et je vois plein d’affaires de femmes, lingerie, chaussures.
— Eh oui, tu étais attendu, c’est moi qui ai acheté les vêtements, allez habille-toi, je t’aiderais pour le maquillage.— Merci.
Je choisis comme l’autre jour, une jupe en cuir, des faux seins, une guêpière blanche bas noir et des chaussures à plateforme plus facile pour marcher et une perruque blonde, voilà, je suis prêt ou plutôt prête, Nicole arrive.
— Magnifique, on s’y tromperait, humm je te croquerais bien.— Merci.— Allez viens que je te maquille un peu.
Dix minutes plus tard, je suis devant la glace et je contemple Sarah, Nicole passe derrière moi et me claque les fesses.
— Allez coquine, chez le boss.— Voilà Mr, la nouvelle est là.— Voyons ça, et oui pas mal du tout, vous pouvez nous laisser Nicole.— Amusez-vous bien Mr.— Je l’ai déjà essayé, mais j’en ai encore envie, surtout comme il est maintenant, mais vous pouvez rester, Nicole, et prenez le gode ceinture.— Oui Mr.— Bon Sarah, en premier, tu me pompes comme une petite pute.— Oui Mr, en prenant une voix de secrétaire en chaleur.
Me voilà à genoux, la bite du boss dans la bouche et Nicole qui s’équipe du gode ceinture, je pompe comme une folle, cela n’échappe pas à Nicole.
— Et bien quel aspirateur cette Sarah, elle a faim.— Oh oui et un trou accueillant.— Je vais l’essayer de suite.
Elle se positionne et me le rentre d’un coup, mais pourquoi chaque fois il me rentre d’un coup.
— Quel cul elle a, un aspirateur comme sa bouche, cela va me plaire Mr.— Tu pourras l’utiliser comme et quand tu veux, mais ne l’abime pas.— Oh non en plus elle a un joli clito même un gros clito, miam, miam.
Nicole ressort de mon trou du cul.
— Nicole, pourquoi vous arrêtez ?— Je branche la pompe pour éjaculer dans son fion de salope.— Ah OK.
Et la voilà repartie de plus belle, dans le bureau, nous attendons plus que des râles, des fessées, des suçons de pompage, je n’en peux plus, j’ai mal à la mâchoire qui me fait mal et mon cul qui devient brûlant, heureusement, Bernard se lâche et m’envoie de grosses giclées au fond de la gorge que j’avale avec plaisir.
— AHHHHH, que cela fait du bien de se vider les couilles !— Alors, Nicole, pas encore fini.— Si Mr, je vais remplir son ventre, j’ai au moins cinq litres d’eau pour la remplir à cette truie.— Et bien Nicole, pas truie, mais petite salope.— Oui Mr, je lâche le torrent.
Et là, je me mets à jouir comme une pute.
— OH ouiiiiiiiiiii je jouis, encore que c’est bon, j’ai le ventre qui se remplit.
Une fois fini, Nicole me met un plug pour empêcher l’eau de sortir.
— Oh quel joli ventre elle a !— Oui on dirait qu’elle est en cloque.
Nicole prend des photos dans tous les sens.
— Nicole, avez-vous un genre de poupée ou petite peluche ?— Oui Mr.— Allez la chercher.— Sarah, comme tu es en cloque, on va te faire accoucher.
Nicole revient avec une petite poupée.
— Sarah, mets-toi sur le dos et écarte les jambes comme pour accoucher.
Je me mets en position, Nicole me retire le plug, j’arrive à retenir l’eau, et là, elle m’enfonce la petite poupée.
— A trois, tu pousses pour donner naissance à ton bébé.— Un, deux, trois.
Je pousse et la poupée est éjectée ainsi que toute l’eau et cela me fait encore jouir.
— Très bien Sarah, me dit le boss.— Oui Sarah, tu es une femme maintenant, il ne manque plus qu’à trouver des faux seins pour y mettre du lait, car j’aime ça.— Mais Monsieur, il y en a dans la penderie.— Cool demain matin, tu les portes, combien de litres ?— Un chacun.— Bien bien, donc demain, avec et une jupe plus courte.— Monsieur.— Oui Nicole.— Je peux le pomper svp.— Ah toujours les mêmes ces femmes, oui allez-y.
Nicole se met à genoux et me pompe, me pompe et me doigte en même temps, mais je viens rapidement, car je suis lessivé.
— Et bien, Nicole, vous l’avez séché.— Eh oui, mais très bon goût son sperme, il y en avait. Allez vous nettoyer et travailler, et demain, n’oubliez pas les faux seins pleins de lait, minijupe, Nicole, vous me la préparez comme une pute, quelqu’un doit venir.
La suite bientôt.
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