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La nouvelle vie d'Isabelle

Chapitre 3

Hétéro
Deux semaines se sont écoulées. La vie d’Isabelle a-t-elle réellement changé ?Oui... et non. Oui, car elle se masturbe sans retenue tous les jours à présent. Que ce soit au lit, en présence de Paul (endormi !), dans la salle de bain et même dans la cuisine lorsqu’elle s’y trouve seule. Mais non quant au reste. Son mari est toujours aussi indifférent avec elle au lit, la routine de la vie quotidienne perdure. Isabelle a assisté plusieurs fois à la messe, sans que celle-ci parvienne à capter son attention. A tel point qu’un soir, à la sortie d’une réunion à la salle paroissiale, le Père Tommier s’entretient discrètement avec elle.
— Ma fille, que se passe-t-il ? Je vous trouve changée, absente, très soucieuse depuis deux semaines. Auriez-vous des soucis ?
Finalement, Isabelle ne va pas mentir, mais sans s’attarder sur la « nature » de ses soucis.
— Oui mon Père, il s’agit de mon mari, de plus en plus distant avec moi, indifférent.— Etes-vous toujours bonne épouse et maîtresse de maison ?— Oui, je le pense. Je ne sais plus quoi faire...— Soyez indulgente avec lui. Peut-être connaît-il des problèmes dans son travail ? Faites un effort, continuez de vous montrer telle que vous étiez, travailleuse, attentive, attentionnée envers lui, cette noble tâche vous incombe, ne l’oubliez pas !
Rien ! L’homme d’Église n’a rien compris. Bonne épouse, travailleuse, maîtresse de maison !
— Voilà donc tout ce qu’il a à me dire ? maugrée Isabelle, furieuse.
Ce n’est pas de ce côté qu’elle peut espérer trouver du réconfort. Une idée ! Et si elle se confiait à Sophie ? Celle-ci est une amie d’enfance, du même âge qu’elle. Elles ont toujours été confidentes. Bien sûr, leur vie de famille, leur travail les ont un peu éloignées, mais elles se voient toujours régulièrement. Isabelle n’ignore pas que Sophie est sexuellement « chaude », toujours prête à lui raconter les exploits qu’elle réalise au lit avec son mari et aussi... avec son amant. Isabelle met systématiquement le holà aux propos égrillards de son amie, outrée par de telles pratiques, ainsi que par le comportement de Sophie, trompant allègrement son mari. Alors, les conversations portent toujours sur la vie quotidienne, les enfants, les vacances, les loisirs. Isabelle appelle sa vieille copine, rendez-vous est pris.Les voici toutes les deux dans le box discret d’un petit café. Elles se font chaleureusement la bise. Sophie est une belle et longiligne jeune femme, cheveux longs et châtains, les yeux verts. Poitrine très menue mais longues jambes. Presque toujours court-vêtue et haut perchée, elle attire les regards des hommes, regards qu’elle ne cherche aucunement à fuir... Vive, enjouée, même un peu speed, toujours directe dans son parlé. Isabelle va être scotchée lorsque Sophie, avec son habituelle franchise assez crue lui lance :
— Bon, alors, qu’est-ce qui se passe ? Ton mec ne te saute plus ?— Ben... en effet, mais comment le sais-tu, je ne t’ai parlé de rien.— J’ai dit ça au hasard, et je ne me suis donc pas trompée ! Bon, c’est simple : commence par quitter tes jupes de mamie, tes collants opaques, tes godasses ras du sol, oublie ta raie au milieu. Habille-toi sexy, achète des talons hauts, de la lingerie coquine, fais-toi bien coiffer, maquille-toi, je pense que tu verras rapidement un changement s’opérer en lui. Ou alors il serait devenu homo ! T’es bien foutue, mets-toi en valeur, bouge-toi, merde !
Quelque peu sonnée par les vertes paroles de son amie, Isabelle bredouille :

— Je sais, tu as raison. Mais je n’ai jamais été habillée ainsi, il ne comprendrait pas, et si on me voyait comme ça dans la rue, les gens diraient...— Fous-toi des gens ! interrompt brutalement Sophie. C’est TA vie, pas la leur. Et je connais tes fréquentations. Eloigne-toi un peu des « culs-bénis », ça ne te fera pas de mal. Ou alors...— Ou alors ?— Prends-toi un amant ! Un petit tour sur les sites de rencontres, et gaulée comme tu es, moyennant juste un petit relookage, tu ne tarderas pas à te dégotter un bon baiseur ! Oh et puis arrête de me regarder avec cet air outré ! Je vis, moi, je BAISE ! Avec mon mari, et mes deux amants !— Comment ? Tu en as deux ?!— Eh oui ! Et ça ne m’empêche pas d’aimer Jean, mon mari. T’inquiète, il a lui aussi une maîtresse, sa secrétaire. Et ça se passe très bien entre nous, on ne se cache rien.
C’est vraiment trop d’un coup pour la chaste Isabelle, qui ne sait plus où elle en est.Consciente qu’elle a un peu trop rudoyé sa copine, Sophie s’adoucit afin de détendre l’atmosphère. La conversation va rouler sur d’autres sujets, avant que les deux femmes ne se séparent.
— Et penses-y, conseil d’amie, prend un amant !... conclut Sophie, lançant un gros clin d’œil à Isabelle.
Tout bien réfléchi, Isabelle n’est pas plus avancée. Etrange tout de même que Sophie lui conseille surtout de prendre un amant, plutôt que de « ranimer la flamme » chez Paul.Quelques jours plus tard, une belle journée estivale en cette fin juin permet à Isabelle de jardiner un peu. Travaillant dans le commerce elle est de ce fait de repos ce lundi, Morgane bosse à la fac, et Paul travaille dans son entreprise. Ce matin, seule, elle s’est offert sa petite branlette désormais quotidienne. Si elle en a retiré un vif plaisir, cela lui apparaît insuffisant à présent. Elle, pourtant si correcte dans son parlé ne cesse de répéter tout en taillant ses rosiers :
— Il me faut une bite, il me faut une bite !...
Elle a bien évidemment réfléchi au conseil prodigué par Sophie, mais... prendre un amant, tout de même ! Et qui ? Où cela se passerait-il ? Comment ne pas éveiller les soupçons ?La température s’étant élevée de manière conséquente, Isabelle s’est mise à l’aise pour travailler dans son jardin : t-shirt jaune et blanc, assez échancré, vieux short en jean, tennis avachis. Et une paire de gros gants bien sûr, afin de ne pas se piquer avec ses rosiers. Perdue dans ses pensées et accaparée par sa tâche, elle va mettre un certain temps à réaliser que quelqu’un l’appelle depuis la rue, par-dessus la haie.
— Madame Delaval, Madame Delaval ? C’est Romain !
Romain ! Que vient-il faire ici, celui-là ? Dans sa tenue de jardinière, Isabelle lui ouvre le portail et le fait entrer.
— Bonjour Madame Delaval. Morgane est à la fac, mais je n’ai pas cours cet après-midi. J’étais venu lui rapporter les DVD qu’elle m’a prêtés.— Ah, très bien ! Bonjour Romain, viens dans la maison, tu as bien deux minutes !
Les voici dans le salon, assis côte à côte dans le canapé. Isabelle a ramené de la cuisine des sodas qu’ils boivent tous deux tranquillement. Romain paraît fasciné par la jolie femme. Peu discrètement il la reluque de la tête aux pieds. Isabelle s’en veut de n’être pas coiffée, de porter ce vieux t-shirt taché, et ces tennis éculés. Mais Romain fixe bien vite ses yeux sur les belles jambes d’Isabelle, dévoilées presque entièrement par la petitesse du short. L’atmosphère est étrange, sur un ton des plus neutres, tous deux échangent des banalités. Isabelle dévore également des yeux le corps athlétique du garçon, son beau visage, ses yeux bleus. Elle se sent craquer. Pourtant, il ne faut pas, elle ne DOIT pas.Désirant échapper quelques instants à la fascination que lui procure le jeune homme, Isabelle se lève, s’isole dans la cuisine. Elle se parle à elle-même.
— Isabelle, non, résiste, il ne faut pas, pense à Morgane, et aussi... à Paul, non, non !
C’est alors que Romain la rejoint dans la cuisine. Il demeure immobile quelques instants. Isabelle feint ne pas avoir remarqué sa présence, et se tient droite, devant son plan de travail. Et soudain Romain vient se plaquer contre son dos, l’enserre dans ses bras, lui dépose des baisers dans le cou. Isabelle se retourne, et avant qu’elle ait pu esquisser le moindre geste, Romain se jette sur sa bouche, l’embrasse avec fougue.La jeune femme se débat, repousse le garçon, et le gifle à toute volée.
— Petit con ! S’écrie-t-elle. Tu mériterais que j’en parle à Morgane !...
Mortifié, Romain prend alors littéralement la fuite, et se précipite hors de la maison.Elle-même bouleversée, Isabelle perd tout contrôle, et rattrape Romain juste avant qu’il ne franchisse le portail.
— Excuse-moi Romain, je ne voulais pas. C’est un peu de ma faute...— Non Madame, c’est moi qui m’excuse, mais vous êtes si belle, si...
Tête basse, il ne parvient pas à achever sa phrase. Isabelle le prend alors par la main, lui disant avec un franc sourire :
— Oublions cela, viens ! Et de l’attirer vers la maison.
Juste après avoir fermé la porte d’entrée, elle se tourne vers lui. Tous deux demeurent figés, face à face. Qui fera le premier pas ? Isabelle considère qu’elle doit cesser de se montrer hypocrite avec elle-même. Doucement, comme au ralenti, elle vient se coller contre Romain, l’enlace, et pose ses lèvres contre celles du garçon. Les bouches s’ouvrent, les langues se titillent. Le baiser se fait fougueux, passionné. Romain la serre dans ses bras à l’étouffer. Isabelle flageole de plaisir sur ses jambes. Une voix intérieure la supplie de mettre fin à tout cela. Mais celle de Sophie résonne encore dans sa tête. « Prends un amant ! » Mais pourquoi faudrait-il que ce soit le propre petit ami de sa fille ?? Et puis... pourquoi pas, après tout ? Même si cela devait entraîner une rupture entre les deux jeunes gens, à 18 ans Morgane aurait bien le temps de trouver l’homme de sa vie !...Alors, Isabelle prend sa décision. Elle entraîne Romain jusque dans la chambre. Dans sa tête, elle voit à présent le visage de Paul. Non, il lui faut chasser cette image, à tout prix. Dans cette chambre, si peu « conjugale », les rôles vont s’inverser. Isabelle reste passive, empruntée. Romain, de 24 ans son cadet prend alors les choses en mains. Il débarrasse Isabelle de son vieux t-shirt. Elle a honte de son ample soutien-gorge à armatures, un modèle vieillot. Lequel ne semble pas poser problème au garçon qui le lui ôte sans coup férir. Il admire quelques instants les jolis seins bien proportionnés de la jeune femme, puis les caresse doucement, et se penche pour les embrasser. Il murmure alors, d’un ton presque solennel :
— Madame Delaval, j’ai envie de vous !...
Un rien moqueuse, Isabelle rectifie :
— Tu ne crois pas qu’au point où nous en sommes, Isabelle serait plus appropriée que Madame ?
Romain se met à rire, l’atmosphère se détend.
— D’accord Isabelle, mais je vais continuer à vous vouvoyer, car si je vous tutoyais devant Morgane ou votre mari, ils ne comprendraient pas.
« Morgane et son mari » refont brutalement surface dans le cerveau en ébullition d’Isabelle. Avait-il besoin de lui dire cela ? Allez, encore deux images à chasser.Romain s’est agenouillé, retire les vieux tennis dans lesquels Isabelle était pieds nus. Il dépose quelques bisous sur les orteils, puis ses mains parcourent lentement les jolies jambes, les cuisses fermes et douces. Isabelle frissonne, sa peau se grêle soudain d’une délicieuse chair de poule. Le short en jean se retrouve bientôt au sol, suivi par la sage culotte de coton blanc. Voici Isabelle intégralement nue devant Romain. Médecins exceptés, devant combien d’hommes s’est-elle retrouvée ainsi dans sa vie ? Un, un seul avant Romain, Paul... Mais désormais la barrière est franchie, une onde de plaisir monte enfin en elle. Romain va enfouir son visage dans la petite toison noire et touffue. Isabelle se sent mouiller. Ils s’allongent enfin sur le lit. Romain écarte les cuisses de la belle, et va délicatement lui brouter la minette. Paul lui faisait cela, dans le lointain début de leurs rapports, et même que... stop ! se raisonne-t-elle, le moment est malvenu pour se rappeler de telles choses.
Le présent, seul le présent compte, le présent !...De sa langue, Romain fouille la petite chatte mouillée. Dans un cri, Isabelle jouit, vite, bien trop vite ! Romain se montre déçu.
— Madame Dela... euh, Isabelle ! Non, pas déjà !...— Pardonne-moi mais c’est si bon, je n’ai pas l’habitude. Mais ne t’inquiète pas, je vais redémarrer !
Lui souriant affectueusement, Romain se lève quelques instants pour se déshabiller à son tour. Bien bâti le garçon ! Et cette belle verge, dressée à la verticale !...Le voilà qui reprend place près d’elle. Il semble attendre quelque chose. Bien vite, il comprend l’embarras de sa partenaire.
— Isabelle, peut-être pourriez-vous... mais je ne vous oblige pas, c’est vous seule qui décidez.
La jeune femme se saisit alors de la belle queue raide, et la manipule lentement, de haut en bas. Au moins, ça elle peut le faire. Puis elle approche son visage, et dépose un bisou sur l’extrémité du gland violacé. Elle entend Romain rigoler.
— Il se moque de moi ! pense-t-elle, quelque peu vexée.— Prenez-moi en bouche, juste un peu, ne vous forcez pas.
Isabelle gobe alors le gros gland sur lequel perle déjà une goutte translucide.
— Oui Isabelle, c’est bon. Prenez-moi un peu plus loin.
Isabelle se sent dans la peau d’une pucelle qu’un homme d’expérience initie...Mais elle s’applique, et fait progresser de plusieurs centimètres la bite dans sa cavité buccale. C’est chaud, dur, ça palpite. Finalement, cela n’a rien de repoussant ! Le « signal d’alarme » retentit sous la forme d’un haut-le-cœur qu’Isabelle ne peut réprimer. Alors elle ne cherche pas à ingurgiter davantage, s’efforçant de bien sucer ce qu’elle a déjà en bouche. Romain lui caresse tendrement les cheveux. Prenant de plus en plus d’assurance, Isabelle pompe maintenant le garçon avec vigueur, encouragée par les :
— Oui oh Isabelle, comme c’est bon, j’aime votre bouche sur moi !
Isabelle ne déteste donc pas sucer le jeune homme, mais elle l’attend SURTOUT en un autre endroit de sa personne. Elle va très vite le lui faire comprendre en s’allongeant sur le dos et écarter les jambes au maximum. La position n’aura certes rien de très originale, mais Isabelle se considère encore comme une « apprentie de l’amour », alors une leçon après l’autre !... Romain se retrouve tout de suite sur elle. Sa queue ne mettra que quelques secondes pour trouver l’entrée du vagin dégoulinant. Le voilà pénétrant enfin Isabelle. Un sexe masculin en elle, elle sait ce que c’est, mais enfin elle LUBRIFIE ! Le mot est faible tellement son vagin ruisselle ! Exquise sensation lorsque Romain se met à aller et venir. Tout en la baisant il se penche sur elle, lui embrasse tour à tour les seins puis la bouche. Isabelle se met à onduler sous son jeune amant. L’orgasme approche déjà, elle doit se forcer au calme, se retenir. Déjà fort expérimenté pour son jeune âge, Romain devine tout aisément, il ralentit sa pénétration, laisse retomber la pression.
Puis il redémarre, plus vite, plus fort. Son bas-ventre claque à présent contre l’entrejambe d’Isabelle, qui ne cesse d’émettre des petits cris extasiés. Le « dialogue » se réduit au strict minimum.Pour Romain :
— Isabelle, Isabelle, Isabeeeeeeelle !!
Et du côté de sa partenaire :
— Oui... oui... oui... oui...
Nul besoin de longs discours pour deviner l’extrême excitation qui anime le couple.Un « ouiiiii !! » plus long et plus strident que les précédents, et Isabelle lâche prise, succombant à un plaisir fou ! Romain la rejoint tout de suite en éjaculant longuement en elle, ponctuant cela d’un ultime :
— ISABEEEEELLE !!!!
Plusieurs minutes seront nécessaires à cette dernière pour refaire surface, à tel point que Romain finit par s’en inquiéter.
— Isabelle ? Ça va ? Vous avez aimé ?
Riant de la réflexion du jeune homme, elle s’esclaffe :
— Est-ce que je t’ai donné l’impression de ne pas aimer ??
Tous deux rient alors de concert.Crochet par la salle de bain, puis, dans l’entrée, Romain gratifie sa nouvelle maîtresse d’un long baiser à pleine bouche, assorti d’une prometteuse confession :
— Merci, et... à TRES bientôt Isabelle !
Se retrouvant seule, Isabelle réalise enfin l’énormité de ce qu’elle vient de faire : elle a trompé son mari pour la première fois, et, en quelque sorte, trompé aussi sa fille...Et pourtant, au lieu de se sentir accablée, honteuse, elle se sent bien, légère, libre, heureuse !Une seule question la taraude :
— Quand Romain va-t-il revenir m’offrir du plaisir ? Bientôt, j’espère !...
A suivre.
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