Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par Anonyme
  • Fantasme
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 161 J'aime
  • 0 Commentaire

Nouvelle vie pour Carole

Chapitre 1

Lesbienne
Ce récit, bien que romancée, est tiré d’un fait réel. C’est bien évidemment en accord avec les personnes concernées, des amies, que je me permets d’écrire cette histoire.C’est pourquoi je ne l’a considère pas comme histoire vrai.
Ce n’est pas que la vie soit monotone, mais Frank, le mari de Carole, n’est pas d’un humour à faire rouler par terre. Tout comme au lit, ses prouesses sexuelles ne l’ont jamais faite monter au septième ciel. C’est un couple de vingt huit ans, mais étant stérile, Carole n’a pu donner à Frank, les enfants qu’il aurait souhaité avoir. Du coup, des petits sous entendue se glissent dans les conversations.Carole n’est pas heureuse. Elle se sent délaissée. Son mari préfère aller voir ailleurs. Ce qui explique le manque de rapports charnels entre eux. Pourtant, un jour, Carole va faire une rencontre qui va bouleverser sa vie. Cà se passe un vendredi, quand elle accompagne son mari à la gare, qui part en voyage d’affaires. Il fait une journée magnifique. Elle est vêtue d’une robe d’été assez légère, et dessous, juste un string. Le minimum. Elle regagne sa voiture sur le parking, et au moment d’ouvrir...-Madame, Madame, s’il vous plait, dit une douce voix, mon portable est déchargé, et je dois appeler mon père pour qu’il vienne me chercher. Je peux emprunter le vôtre, si vous en avez un.Carole se retourne, et reste scotchée devant la beauté de la jeune fille qui lui fait face. Elle doit avoir une vingtaine d’année, un mètre soixante dix, cheveux noirs tombant sur les épaules, des yeux vert émeraude. Elle est vêtue d’une minijupe blanche, et d’un petit haut assorti. Une vraie princesse égyptienne.-Heu.mais bien sur, bafouille Carole, avec plaisir.La jeune fille prend le portable, et appelle. Apparemment, çà ne répond pas. Carole lit de l’inquiétude sur son visage. Elle est fascinée par la plastique de cette fille.-Vous avez un souci Mademoiselle? Demande Carole. Si je peux vous aider, c’est avec plaisir.-Je suis à pied, et j’habite sur les hauteurs de la ville, dit-elle en rendant le portable.-Je vous emmène si vous voulez, répond Carole, je ne suis pas pressée.-C’est gentil, reprend la jeune fille. Je m’appelle Salomé.Avec le physique qu’elle a, elle ne pouvait pas s’appeler autrement.-Moi, c’est Carole.
Arrivé à destination, Carole est stupéfaite par la beauté somptueuse de la villa, avec son immense piscine, sur un terrain arboré, rempli de massifs de fleurs.-Rentrez, l’invite Salomé, on va prendre un verre. Maria, tu es là?Maria est la femme qui s’occupe de la maison. Cuisine, entretien, confidente, tout.-Oui Salomé, que veux-tu. J’étais avec le jardinier. Tu sais que ton père est parti pour les Etats Unis.-A oui, j’y pensais plus. Au fait, je te présente Carole. C’est mon invité ce soir.-Enchanté, répond Maria. Il y a ce qu’il faut au frigo.-Mais, je ne sais pas si je dois, dit Carole confuse. J’avais pas prévu de...-Si, si, si, asseyez vous, champagne je suppose.Cette maison sent l’argent à plein nez. Le vrai luxe.
-Papa est propriétaire d’une société de cosmétique. Il a cinq magasins en France. Il n’est jamais là. Maman est décédée il y a deux ans. Et moi, je dépense l’argent. Je sors énormément. Mais je m’emmerde aussi.Les deux femmes trinquent. Carole raconte ses problèmes de couple. Il est vingt heures, et la vapeur de bulles se fait sentir. Elles rient pour un oui, ou pour un non. Le repas terminé, les deux femmes s’installent sur le canapé. L’alcool aidant, Salomé prend des libertés. Elle se fait plus entreprenante. Bizarrement, Carole n’a pas l’air surprise. Bien au contraire. Elle écarte ses jambes pour faciliter le passage de la main qui s’est engagée sous sa robe. Elle incline sa tête vers Salomé.-Vous profitez de mon état. J’ai jamais fais çà avec une femme.Salomé approche ses lèvres de celles de Carole, puis lui murmure à l’oreille.-Je vais remplir le jacuzzi.
Demi-heure plus tard, les deux femmes se font face dans le jacuzzi, accoudées à la margelle, une coupe de champagne à la main. Seul les seins dépassent de l’eau.-Ah, çà fait du bien de se relaxer un peu, dit Carole.-Après, poursuit Salomé, un bon petit massage, et on va être en pleine forme.Tout en discutant, un pied de Salomé s’est immiscé entre les jambes de Carole. Celle-ci ferme les yeux. Le pied atteint maintenant l’entre cuisses. Salomé a un léger sourire. Le gros orteil est en contact avec la fente de Carole, qui, instinctivement, écarte ses jambes. Le doigt de pied ouvre les lèvres, et pénètre l’intimité de Carole. Elle pousse un soupir, et se détend. L’intrus remonte vers le clitoris, qu’il taquine adroitement.-Qu’est ce que tu me fais pour que ce soit si bon, gémit Carole.-Tu aimes, répond Salomé. Tu es toute mouillée, et ce n’est pas l’eau du bain, hein?Carole laisse échapper la coupe de champagne. Les yeux mi-clos, la bouche ouverte, elle glisse une main sous l’eau, entre ses cuisses. Elle plie les doigts de pied, ne gardant que le gros orteil, qu’elle guide elle même dans sa chatte. Elle jette son bassin en avant.-Tu me gouine là, vicieuse, murmure Carole. Tu veux me faire jouir, hein? C’est çà que tu veux, m’entendre crier?Carole creuse ses reins, fait des va et vient sur l’orteil qui s’est introduit en elle.-Laisse toi aller, sourit Salomé. Caresse tes seins, les bouts attendent que çà. Après, on fera l’amour, le vrai.Carole ouvre grand la bouche. D’une main elle martyrise le bout d’un sein, de l’autre, elle saisit le pied par le talon pour l’enfoncer au plus profond d’elle même. Elle ne peut s’empêcher de hurler.-Oh mon dieu, comme tu me cailles. Ma petite chatte n’a jamais connu çà. Vas-y, ha, oui, t’arrête pas, ha, comme je joui, oui, oui...Salomé s’approche de Carole, lui caresse le visage, et lui prend les lèvres.-Alors, tu as aimé? Demande-t-elle. Comme tu étais belle quand tu as joui. Tu veux qu’on continue au lit?-Ou tu veux, répond Carole, mais j’en veux encore. Et puis, il faut que tu m’apprennes. Je veux te faire jouir moi aussi.A peine sorti du jacuzzi, Salomé culbute Carole sur l’immense tapis de bains. Les deux femmes s’enlacent, s’embrassent, les langues se défient.-Ouah, remarque Salomé, tes jambes sont bien écartées. Ta fente est encore ouverte. Elle n’attendra pas que mes doigts jouent avec elle, par hasard. Et ton clito qui me provoque, ce vilain.-Si, vas-y, chatte moi. Tu ne vois pas comme je suis offerte. Je veux te caresser moi aussi.Salomé penche sa tête sur la poitrine de Carole, et lui suce le bout des seins. Ils ne tardent pas à durcir sous les attouchements experts de la jeune fille.-Calme toi ma chérie, on a le temps. Tu pourras me doigter toute la nuit si tu veux. Tu vas voir comme on va bien s’amuser toute les deux.Les doigts de Salomé plongent dans le jardin secret de Carole, et entament de lents va et vient, décalottant au passage, le petit diamant rose. Carole lance un langoureux gémissement. Elle saisit Salomé par les cheveux, et l’a tire à elle.-Tu profites de mes faiblesses, hein? Gémit Carole. Tu sais que je me régale.-Mais tu mouilles comme une pute là, ironise Salomé. Allez petite chatte, crache, allez, soulage toi.Les jambes de Carole vont dans tous les sens, tellement l’orgasme est puissant. Salomé est obligé de lâcher prise. Elle regarde le corps de Carole secoué par les spasmes.-Haaoouuii, doigte moi, vas-y, crève moi.Carole gît au sol; les bras en croix. Salomé l’embrasse sur tout les corps, puis glisse ses jambes entre ses cuisses. Les deux clitoris, entièrement décalottés se frottent un contre l’autre. Salomé ondule du bassin, Carole répond à grands coups de reins. Petit à petit, le visage de Salomé se transforme. C’est elle maintenant qui subit les assauts de sa partenaire, qui se révèle être plus qu’à la hauteur.-Oh putain, soupire Salomé, comme tu me niques, ce n’est pas vrai, pour une débutante. Tu me vides, vas-y, oui..Carole, ma chérie, je joui, ha,ouii-fallait pas m’exciter comme çà, sourit Carole. Tu as voulu me rendre lesbienne? Tu ne vas pas le regretter. Tu vas voir comme on va s’amuser cette nuit.Les deux amantes roulent sur le tapis. Le baiser est torride. Elles restent quelques instants enlacés, puis replonge dans le jacuzzi. Cette fois, elles sont dans les bras l’une de l’autre, et se couvre de petits baisers du bout des lèvres. On approche de minuit.-On va aller au lit, propose Salomé, faut dormir maintenant.-Il faut quoi? Sursaute Carole. Hou, tu as besoin d’être retapée toi.Les deux femmes vont hurler de plaisir une partie de la nuit, puis vont tomber dans les bras de Morphée.
Le lendemain, vers dix heures, c’est le départ pour Carole. Salomé l’a cloue contre le mur de la terrasse. Carole passe ses bras autour de son cou. Le baiser est sulfureux.-Quand c’est que tu reviens, demande Salomé. Si on partait une semaine sur la côte, toute les deux. J’ai un appart là bas.-Tu tiens à ce que je revienne, répond Carole. J’ai un problème à régler avant. Je t’appelle, d’accord?Ne - Tarde pas trop mon amour, poursuit Salomé les larmes aux yeux.
Pendant deux mois, Salomé n’a aucune nouvelle. Elle est triste, comme si elle avait perdu goût à la vie. Un jour, alors qu’elle est assise sur son lit, on sonne à la porte. C’est Maria qui va ouvrir. Elle se trouve nez à nez avec Carole.-Salomé est là? Demande-t-elle.-Oui, répond Maria. C’est pourquoi? Si c’est pour l’a faire souffrir, c’est inutile. Vous pouvez repartir.-Non, j’ai un truc à lui demander. Je vous promets, je n’insisterai pas.Maria l’a conduit dans la chambre.-C’est toi, dit Salomé en sanglots. Depuis tout ce temps, sans nouvelle. Où étais-tu?-Je t’avais dis que j’avais un problème à régler, çà y est, c’est fait. Mais j’ai une question à te poser.-Vas-y, répond Salomé en tremblant, laquelle?-Ta proposition sur la côte d’azur, çà tient toujours? J’ai envie de vivre avec toi. Enfin, si tu veux de moi.Salomé se lève, et fixe Carole, les yeux brillants de reconnaissances.-Tu es sérieuse? Mais bien sur que je veux. Mais ton mari?-En fait, c’était çà mon problème. Mais n’en parlons plus.Salomé prend Carole par le bras.-Déshabille toi, dit-elle, viens au lit. Si tu savais comme tu m’as manquée.-Tu veux rattraper le retard sourit Carole. Polissonne.Les retrouvailles sont euphoriques. Non seulement elles ont rattrapés le retard, mais elles ont même pris de l’avance.
Et voilà, çà fait maintenant cinq ans que Carole et Salomé vivent ensemble. L’amour est toujours aussi fort. Finalement, elles se sont installées dans l’appartement sur les hauteurs de Nice. Elles tiennent toutes les deux, le magasin de cosmétique offert par le père de Salomé.Elles nagent en vrai bonheur.
Diffuse en direct !
Regarder son live