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La Nouvelle Voisine

Chapitre 1

Travesti / Trans
La vie suit son cours, paisiblement, jusqu’à l’arrivée de notre nouvelle voisine. Une magnifique femme, d’une cinquantaine d’années, très sexy, fine, bien habillée, bien maquillée. Le genre qui fait tourner toutes les têtes dans la rue, de 7 à 77 ans. Le genre qui fait des publicités pour de la lingerie fine. Ou plutôt non, qui travaille pour une agence de marketing et a une grosse équipe à gérer. Le genre qui intimide par sa simple présence dans la pièce.
Je crois que ça pourrait bien être une femme transgenre, je n’en ai jamais vu en vrai, mais parfois j’aime bien aller voir des vidéos dans cette catégorie sur Pornhub. J’adore leur style, j’aime le tabou autour de leur existence, elles sont toujours hyper-sexy, leurs tenues toujours parfaitement étudiées. Voulant à tout prix paraître très féminines, elles surpassent très souvent la plupart des femmes.
Au premier abord, elle me semble assez froide, mais me dit toujours bonjour avec un sourire. Je me fais peut-être des idées, mais j’ai l’impression de lui plaire. On n’a pas encore eu le temps d’échanger plus que ça, mais ça me plairait d’en savoir plus sur cette femme, je ne sais pas vraiment comment je pourrais l’aborder sans...
— Bonjour Madame Collins.— Bonjour... Le ton est laconique, mais avec beaucoup d’assurance dans la voix. — Euh, je voulais vous dire, vous êtes très belle, c’est un plaisir de vous avoir comme voisine, j’espère que vous vous plaisez ici.
Quel idiot je suis, ce n’est pas ce qu’on appelle une entrée en matière très pertinente, une femme mature et je perds mes moyens ? Reprends-toi mon grand.
— Merci beaucoup, tu n’es pas mal non plus, me dit-elle en souriant, s’amusant de me voir gêné.— Bon et bien, je vous souhaite une excellente journée, Madame Collins.— Tu peux m’appeler Eva.— D’accord, Eva, moi c’est Max...
Trop heureux d’avoir osé lui adresser la parole, je passais le reste de la journée à penser à cette femme...
Les jours passent, il me faut un prétexte pour la revoir. Un problème de courrier, une fuite de gaz, n’importe quoi.
J’ai peut-être une idée... Je vais lui glisser un mot dans sa petite boîte métallique, celle à l’entrée de l’immeuble avec son nom dessus... La « boîte aux lettres » comme ils disent. Les boomers adorent recevoir leurs mails en version papier, je ne sais pas pourquoi... Bon, je fais le malin, mais est-ce qu’au moins j’ai de quoi écrire ?...
« Eva, si un soir vous avez envie de monter boire un verre, vous savez où sonner... À très vite, Max. »
Allez hop, courrier envoyé.
Vendredi soir, 18h, j’entends toquer à la porte... Me voilà avec cette splendide cougar au milieu de mon salon, une bouteille de champagne à la main.
Je lui tends une coupe.
Elle me raconte sa semaine, son travail, elle sent délicieusement bon. J’ai remarqué qu’elle avait changé de rouge à lèvres. Celui-ci est plus sombre, et elle en a mis plus que d’habitude j’ai l’impression...
Elle se rapproche de moi.
— Ça va Max, je peux me mettre à côté de toi ?— Euh oui bien sûr, allez y Madame.
Elle pouffe.
— Tu peux m’appeler Eva maintenant, tu sais...
Sa main me caresse la cuisse, elle me murmure des choses, sur sa vie parisienne, sur la vie en général... Entre sa voix sensuelle, son parfum, le champagne qui commence à faire son effet, sa main aussi proche de mon entrejambe... Je me sens gonfler et ça commence à se voir à travers mon pantalon... Et sûrement un peu sur mon visage...
— Tu veux bien que je baisse ta braguette ?— Pour quoi faire ? Euh je veux dire oui allez y... enfin, vas-y oui si tu veux.— Ne t’inquiète pas Max, je ne vais pas te manger... dit-elle en rigolant.
Elle dégrafe mon pantalon avec la même énergie que si elle déballait une friandise. Elle sort ma queue déjà bien gonflée, prend le temps de la regarder.
— Tu as un très joli gland Max.
Je n’avais encore jamais entendu ça, qui dit ça déjà ? J’adore cette femme.
Elle attrape ma queue à pleine main, ses ongles sont manucurés, ses bijoux sont fins et élégants. Son index a plus de charisme que toutes les femmes que j’avais rencontrées dans ma vie. Elle commence à me masturber sensuellement pour finir de me rendre bien dur... Tout en glissant sa langue dans ma bouche en même temps. À sa manière de m’embrasser, je comprends que je suis entre de bonnes mains.
Je me sens ultra-excité et chanceux en même temps. Je comprends qu’elle n’est pas venue pour papoter, mais pour manger un petit jeune. Ce qu’elle me fait n’a rien d’une faveur, ce n’est pas non plus un acte mécanique en prévision d’un rapport sexuel. Elle déguste mon gland, se régale de me gober les boules une par une. Elle aurait mangé une pâtisserie avec le même appétit. On peut dire que la bite c’est vraiment son truc. Je vois à son attitude qu’elle adore ça plus que n’importe quoi.
À sa décharge, je n’avais rien mis sur la table pour grignoter...
Au bout de 10 bonnes minutes d’une fellation maîtrisée à la perfection, elle sort ma queue de sa bouche et dit :
— Voyons voir maintenant si cette belle sucette est bien juteuse comme j’aime.
Elle s’active jusqu’à ce que je jouisse au fond de sa gorge. Elle avale tout avec gourmandise sans en gâcher une seule goutte et en me regardant droit dans les yeux. À cet instant, je me demande si elle n’a pas réussi à aspirer une partie de mon âme et que je ne lui appartiens pas désormais.
Je remarque que ma queue est maintenant pleine de son rouge à lèvres. Elle remarque que je le remarque et s’en amuse.
— C’est comme ça que je marque mon territoire.
Avec des yeux qui, comme aurait dit mon gros beauf d’oncle « puent la bite à des kilomètres ».
Sans avoir plus le temps de digresser, elle se retourne pour me présenter son magnifique fessier. Elle baisse son legging et met son string sur le côté en s’installant confortablement en levrette sur mon canapé. Me mettant ses fesses sous le nez.
— Tu as faim mon chéri ?
Son audace me subjugue, sa repartie, ses mots, son esprit. Quel genre de femme a assez d’aplomb pour demander qu’on lui lèche littéralement le trou de cul au premier... apéritif entre voisins ?
D’ailleurs, elle ne m’offre pas ses fesses. Elle me donne le privilège de pouvoir y goûter. Je dois me sentir honoré d’une telle offrande. Ce n’est pas un vulgaire cul non, c’est une offrande divine.Je ne peux pas m’empêcher de saliver. Qu’est-ce qui m’arrive ? Ce n’est pas une tarte aux fraises, mais l’anus d’une femme mature que je ne connais même pas ! Qu’importe la raison, mon corps ne m’écoute plus et décide de se mettre en position pour l’honorer correctement, la truffe guidée par l’odeur de son fion comme un jeune chien en rut.
— J’espère avoir visé juste pour le parfum, dit-elle en remuant les fesses.
Elle a la fraîcheur d’une femme qui sort de la douche. Je remarque qu’elle est parfaitement bien épilée. Son anus est clairement celui d’une femme qui a une vie sexuelle épanouie... Plus je m’approche de ses fesses, plus je reconnais un parfum de fleur d’oranger. Le combo anus + parfum de gel douche c’est la définition même d’une bonne odeur de salope...
— Je crois que c’est mon parfum préféré...
Je me régale à lui bouffer les fesses, je sens que ça lui procure un vrai plaisir. Elle en a besoin autant que de me sucer la bite.
Comme elle ne montre rien de plus que ses fesses, je ne peux pas savoir si son clito est en cage ou non, ce qui ne m’aurait pas étonné au vu de sa tenue. Je pense qu’elle a fait en sorte de me vider pour que je puisse me concentrer que sur sa léchouille. C’était bien joué, mais il ne me faut pas longtemps pour redevenir prêt et je sens que je ne vais pas résister à lui...
Mon téléphone se met à sonner, mon pote m’appelle, j’avais complètement zappé l’entraînement. Il faut que j’y aille sans tarder, il m’attend devant l’immeuble en double fil...
— Ce n’est pas grave Max, on a tout le temps de remettre ça... me dit-elle en s’étirant comme une chatte, m’exhibant encore plus ses jolies fesses.
Sa tête est collée contre un coussin du canapé, elle me regarde me préparer... Ses yeux sont brillants de gourmandise, les fesses en l’air, j’ai une pleine vue sur son petit trou du cul humide de ma propre salive... — Tu salueras ton ami de ma part...
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