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nouvelles rencontres

Chapitre 1

Avec plusieurs femmes
C’est une vie nouvelle qui commence pour moi, nouvel appartement, nouvelle ville, nouveau boulot... Séparée depuis quelques mois de mon compagnon de toujours, j’ai décidé de bouger. C’était pour moi le seul moyen de tourner la page. Rencontré a 17 ans, il a été mon premier et seul amour jusqu’à aujourd’hui, 13 ans de vie ensemble, un mariage sans enfants. Nous n’avons jamais pu en avoir et c’est ce qui nous a séparés, petit à petit nous nous sommes éloignés de manière considérable. Alors aujourd’hui j’ai décidé de mettre une réelle distance.
J’ai emménagé depuis deux semaines dans une nouvelle ville, dans un appartement magnifique avec un petit chat, il avait toujours détesté les animaux, c’était l’occasion. Je me sens bien dans ce nouvel endroit, mais je me sens un peu seule. Après tout je ne connais personne ici et j’ai tout quitté très rapidement, en à peine deux semaines. J’ai même changé physiquement de la petite brune aux cheveux longs et à lunettes, je suis passée aux cheveux courts avec des mèches auburn et aux lentilles. Tous ces changements font du bien. Demain je commence ma première journée de boulot dans une petite entreprise près de chez moi. Je suis graphiste, c’est une entreprise de communication. Je quitte mon indépendance de free-lance pour prendre un poste fixe, je me sentirai moins seule.
Je suis stressée par cette première journée, je prépare mes habits pour demain matin, cela me déstresse. J’hésite entre deux tenues jean slim, et body bordeaux ou une robe simple serrée au niveau du haut du corps puis plus évasé, sans manche. Dans tous les cas pour les chaussures, ça sera bottines à talons.Le lendemain, le réveil est difficile, j’ai peu dormi à cause du stress, j’enfile mon jean et mon body, me lave et pars prendre les transports en commun. En dix minutes, je suis arrivée, je suis accueillie par ma nouvelle directrice :
— Bonjour Leslie, ravie d’enfin vous voir en vrai. Je vais vous faire un tour des locaux et puis vous serez en binôme avec un collègue pour quelques jours.
Les locaux sont assez spacieux, il y a quelques bureaux de disponibles, une salle de réunion et un open space d’une dizaine de personnes.
— Bonjour tout le monde, je vous présente Leslie. Comme prévu, Jonathan, elle sera en binôme avec vous. Je vous laisse entre de bonnes mains, n’hésitez pas venir me voir si vous avez besoin.
La journée passe tranquillement, je discute avec mes collègues, et prends place à mon post, j’ai beaucoup de nouvelles choses à gérer, ça devrait me prendre plusieurs jours. À part moi, il y a trois autres graphistes dans cette entreprise : Jonathan mon binôme, Johanna et Gaëtan. Ils sont tous sympas, s’entendent bien et s’entraident. Finalement même si j’ai un binôme attitré, chacun m’aide à prendre possession des lieux. Il est 16 heures, la fin de journée se fait sentir, après une nuit avec peu de sommeil et une journée à découvrir mon nouvel environnement, je suis bien fatiguée.
Mes collègues me proposent une sortie tous les quatre, histoire de faire connaissance autour d’un verre. Ils sont disponibles ce soir ou demain soir.Malgré la fatigue, j’accepte d’aller boire un verre le soir même, ils m’embarquent dans un bar dans lequel ils ont l’habitude d’aller. L’ambiance est bon enfant, on rigole bien, ils sont très drôles et sympathiques. Gaëtan est plus à l’écart, plus timide que les deux autres. Ils le taquinent sur ce point plusieurs fois au cours de la soirée, il ne semble pas mal le prendre et en rit un peu. Après un coup de file de sa femme, il doit rentrer, apparemment sa fille est malade.
Le bar commence à se remplir d’étudiants alcoolisés, on a du mal à s’entendre, je leur propose de venir boire un dernier verre chez moi, car j’habite juste à côté.
— Waouh la nouvelle nous invite déjà chez elle, on fait quoi ?— Je crois mon petit Jonathan que nous allons aller visiter son chez elle.
Ils rigolent en chœur, ils sont très complices, c’est beau à voir. Le trajet jusqu’à chez moi est rapide et joyeux, Johanna et Jonathan sont vraiment proches et je comprends assez vite qu’ils se voient souvent seulement tout les deux pour des activités interdites au moins de dix-huit ans.
Les heures avancent et la fatigue nous gagne ; je leur propose mon canapé et vais me mettre dans le lit. Je m’endors doucement lorsque j’entends des gémissements provenant de mon salon qui m’éveille. Ça me donne des envies à moi aussi et deux envies me traversent l’esprit : prendre mon vibromasseur et me faire du bien en les entendant gémir ou les rejoindre.
Je décide de les rejoindre, je reste dans ma tenue de lit, c’est-à-dire un tee-shirt et un tanga. J’ouvre la porte de mon salon et leurs regards se posent sur moi. Ils me sourient, Johanna me dit :
— On se demandait si tu allais oser nous rejoindre.
Joignant le geste à la parole, elle se décale pour me laisser une place entre elle et Jonathan.
Je me glisse entre eux, la timidité me gagne soudainement, je n’ai jamais fait ça auparavant ni avec une femme ni avec deux autres personnes. Johanna me sort de mes idées, elle attrape mon menton et tourne ma tête vers Jonathan, il m’embrasse avec envie, ses mains se glissant sous mon tee-shirt. Ses lèvres sont douces malgré sa barbe et son baiser passionné met le feu à mon bas-ventre laissant peu de chance de survie à ma culotte. Johanna semble s’impatienter lorsque je lâche les lèvres de son amant, elle prend sa place, ce sont ses lèvres qui se collent alors aux miennes, elles sont d’une douceur incomparable et son baiser trahit une envie bestiale. Je passe mes mains sur son corps pour répondre à son baiser afin de lui montrer mon envie pendant qu’une des mains de Jonathan a trouvé l’un de mes seins et le caresse. Leurs baisers et caresses me rendent folle, je ne réponds plus de rien, mon bas-ventre est en feu et ma culotte est trempée.
Il me lâche en même temps pour s’embrasser, ils sont allongés, moi au milieu. Je contemple leurs corps nus, ils sont magnifiques. Je vois le pénis de Jonathan en érection, il ne semble attendre qu’une chose : être pris en bouche, mais il y a aussi les lèvres de Johanna, je vois d’ici qu’elles sont trempées et qu’elles sont prêtes à être léchées, pour la première de ma vie, j’ai envie de deux personnes en même temps et je ne sais qui choisir pour jouer avec ma bouche... Johanna ou Jonathan ?
Je choisis d’aller vers Johanna, je suis un peu timide, je n’ai jamais fait ça, mais j’en ai trop envie. Je remonte le long de sa cuisse en déposant des baisers. J’embrasse ses lèvres et les écarte doucement avec ma langue, je l’entends pousser un soupir de plaisir. Je passe ma langue doucement entre ses lèvres puis de manières de plus en plus appuyées. J’utilise l’un de mes doigts pour jouer avec son trou doucement, ma langue joue lentement avec son clitoris pour faire monter son plaisir. J’entends ses gémissements étouffer, lorsque je relève la tête, je vois le pénis de Jonathan dans sa bouche, ce dernier attrape l’un de mes seins pour jouer avec, je suis sensible des tétons, ça me fait gémir. Je canalise mon envie sur le plaisir de mon amante, je l’entends gémir de plus en plus au fur et à mesure où je joue avec elle, je sens aussi son humidité de plus en plus présente.
Au moment où je sens son corps se crisper, je l’entends gémir sans retenue et une langue se met à jouer avec mon clitoris. Je remonte vers mon amante pour l’embrasser, Jonathan se retrouve entre nous la tête au niveau de nos bas-ventres. Il joue avec ses doigts pour chacune d’entre nous jusqu’à ce que Johanna lui tende un préservatif. Elle me dit qu’elle veut nous voir ensemble, lui semble très emballé et excité par l’idée. Il se met sur le dos pour que je le chevauche, une de ses mains agrippe mes fesses pendant que l’autre joue toujours avec le clitoris de Johanna. Je joue sur lui lentement pour faire monter la pression. Rapidement je n’y tiens plus et redouble d’ardeur, je sens la chaleur monter en moi, de plus en plus, je me lâche complètement jusqu’à jouir avec son pénis encore en moi. A peine quelques secondes s’écoulent et ils jouissent à leur tour.
Nous nous endormons tous les trois enlacés sur mon canapé, trop fatigués par ce moment pour bouger. Je sens que ce nouveau boulot va bien me plaire.
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