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Nue sous son kabah

Chapitre 1

Erotique
Je suis assise toute seule dans mon bureau, devant mon pc, en train de visionner des vidéos que j’ai surpris dans la session que j’ai crée pour mon frère quand il a besoin de me l’emprunter. Je regarde ses vidéos les unes plus audacieuses que les autres et je me demande comment toutes ces filles arrivent à faire toutes ces choses hallucinantes. Soudain on sonne au portail de la propriété familiale, une fois, puis deux. Je comprends alors que je suis toute seule dans la concession.
Je me lève et alors que je veux sortir pour aller ouvrir, je me rends compte que j’ai ma petite culotte qui est toute mouillée et le frôlement du tissu de mon kabah (habit traditionnel africain) fait dresser les pointes de mes seins. Je suis très gênée, et je fais demi-tour pour aller dans ma chambre retirer ma culotte en dessous du tissu ample du kabah qui arrive jusqu’en dessous de mes genoux. On sonne une troisième fois. Je prends très vite un mouchoir en papier sur ma table de nuit et je me nettoie l’entre cuisse. J’ai 25 ans, pourtant je n’ai fait l’amour que trois fois de toute ma vie avant de quitter mon mec. Et je ne me rappelle pas que son contact ait causé un pareil effet sur moi. Sans plus réfléchir, je me dirige hors de l’appartement et je trouve mon père avec un monsieur d’une quarantaine d’années. Mon père me demande de l’amener vers les compteurs d’électricité pour qu’il puisse relever les indexes. Il prend la facture que le releveur lui donne et retourne dans la maison principale qui fait face à la sienne et celle de la famille qu’on a pris en location.

Je montre le chemin du compteur qui se trouve à l’arrière de la maison principale (Au Cameroun, les compteurs sont à l’extérieur des maisons en général). Je sens le regard du releveur sur ma poitrine qui balance toute nue sous le kabah dont le léger vent colle le fin tissu contre mon corps et dessine soigneusement chaque contour de mon corps sulfureux. Il n’est pas beaucoup plus grand que moi et pas franchement un canon. Pas du tout mon type. Je ne sais pas si c’est le fait d’avoir vu toutes ces vidéos pornos ou tout simplement parce que je sais que je suis nue sous mon kabah et qu’il n’a qu’à le soulever d’une main pour s’en rendre compte, mais tout à coup je sens les pointes de mes seins durcir à nouveau, et le dessous de mon entrecuisse qui glisse.
— Voila c’est là ! Lui dis-je en me tournant vers lui pour me rendre compte que ses yeux ne quittent pas le bout de mes seins des yeux.
Il est évident qu’il a tout plein d’images de lui leur faisant la fête dans sa tête. J’ai dû m’y remettre à deux fois avant qu’il revienne sur terre et se mette à faire son travail. Je souris sans même m’en rendre compte en jetant un œil vers la fenêtre des locataires à l’étage. Elle est fermée. Il est donc évident que je suis toute seule avec mon père dans la concession. Ce dernier doit être comme à son habitude depuis qu’il est en retraite, devant sa télévision. Je sens un de mes tétons titillé de façon si excitante que je retiens mon souffle pour ne pas montrer au releveur que moi aussi je suis dans le même état que lui.
En baissant la tête pour voir s’il a fini, je me rends compte que c’est un des doigts du releveur qui me titille le bout du sein. Je ne sais trop comment réagir. Je me dis que je suis une fille bien comme il faut et qu’en principe je devrais être choquée, voir appeler mon père et crier au scandale. Mais mon corps semble tellement apprécier ce doigt sur mon bout de téton ! Je cherche encore comment réagir quand le doigt se fait imiter par toute la main qui caresse maintenant le sein tout entier à travers le tissu, pendant que de son pouce, il recommence à titiller mon téton. Je veux dire quelque chose, on est exposé avec un risque énorme de se faire surprendre ; ce qui créerait un scandale et mettrait la honte sur toute ma famille, mais rien ne sort de ma bouche.
La main du monsieur continue son aventure sur l’autre sein car son autre main est occupée par une grosse quantité de papiers et de quittances. Il ne dit rien lui non plus. Comme s’il avait peur de me faire reprendre le contrôle et briser cet instant avec des paroles. J’ai à présent le bas ventre en feu et mon désir se propage sur tout mon corps. Je n’arrive toujours pas à faire cesser cette folie, et je ne suis pas certaine d’en avoir envie. Je n’arrive même pas à trouver un prétexte à sortir si par hasard on se fait surprendre. Le releveur baisse le haut de mon kabah dont le col large, posé juste au-dessus de ma poitrine et lié à des bretelles en frisotis, est élastique. Il l’accroche en dessous de ma poitrine bien charnue qui ne tient presque pas dans sa main, découvrant ainsi totalement ses seins. Je n’ose pas me mordre la lèvre, pourtant je sens qu’elle tremble. Lui aussi l’a vu, car je vois le coin de ses lèvres bouger furtivement.
Il baisse la tête et pose ses lèvres sur un bout de sein. Je peux alors me mordre la lèvre à l’abri de son regard. Mais je n’ose toujours pas bouger. Il suce tour à tour chacun de mes seins. J’ai les jambes qui tremblent à présent. Il relève la tête et regarde autour de lui à son tour. Ensuite il me pousse contre le mur à l’angle du tournant de la maison principale. De là, les seuls personnes qui pourraient nous voir sont celles qui entreraient par le portail des locataires, et les habitants au loin qui auraient des jumelles qui se baladeraient dans les parages. Je me laisse faire lorsqu’il se sert de ses deux mains pour me presser les fesses sous mon kabah. Il a posé ses papiers au sol non loin. Il est surpris de voir que je n’ai rien en dessous. Comme si cela le rendait fou, il ouvre précipitamment sa braguette, soulève mes deux jambes en me maintenant contre le mur et pénètre en moi sans aucune autre forme de préliminaire. Je suis si surprise que je n’ai pas le temps de protester. Il est déjà en moi et sa queue bien dure doit être bien grosse, vu qu’elle remplit entièrement mon vagin et que ses mouvements de va-et-vient sont moins fluides au départ. Il prend à nouveau le bout de mes seins tour à tour dans sa bouche alors que je m’accroche à ses épaules et me mords les lèvres pour ne pas gémir trop fort.
Ses coups de reins deviennent de plus en plus rapides en moi. On dirait un pilon électrique. C’est si bon que moi aussi je lui en donne. Je laisse échapper des cris masqués en souffle à chaque coup de rein en moi. Je me presse les seins alors qu’il ralentit la cadence, et ferme les yeux un moment. Je me sens alors posée au sol et à peine j’ouvre les yeux pour voir ce qui se passe que je le vois me retourner pour me coller face contre mur presque violemment.
Il me tapote la fesse avec la longue queue avant d’essayer de me la mettre dans l’anus. Je panique et essaye de me retourner pour l’empêcher de me sodomiser. Il me force à reprendre ma position en m’intime de rester calme d’un ton menaçant. Il relève légèrement une de mes jambes pour mieux faire entrer son pénis dans mon vagin. Mon cœur qui s’est emballé de panique n’a pas le temps de se calmer car il repart de plus belle avec ses puissants et rapides coups de reins. Il passe son autre main par-dessous mon bras, sous son kabah, pour venir les poser sur mes seins qu’il presse presque violemment. Il est tout à coup vraiment effrayant. J’ai peur qu’il déraille et me viole pour de vrai en me faisant des choses que je ne veux pas.
Pourtant je continue d’être si excitée que mon cœur a du mal à retrouver son calme, m’empêchant du coup de retrouver mon souffle. Le son que fait ses coups de reins contre mes fesses qui en tremblent m’enivre encore plus. J’ai l’impression que quelque chose va exploser en moi.Il recule de quelques pas sans retirer sa queue et place sa main sur mon dos pour me faire me pencher en avant. Il remonte mon kabha, attrape mes deux seins et repart de plus belle avec ses coups de rein. Je ne peux m’empêcher de me demander si le son de sa bite me pénétrant est aussi fort que ce que j’entends, ou si c’est juste son imagination. Toujours est-il que j’éprouve un plaisir que je n’aurais jamais cru possible, surtout avec un inconnu. Mon petit ami ne m’a jamais fait l’amour ainsi. C’est si bon ! J’écarte encore plus mes jambes pour avoir plus d’appui, et retire mes mains du mur pour ramener ceux du releveur sur mes seins. Mais il les repousse en les tapant presque, comme pour me dire que je n’ai rien à lui montrer. Il agrippe mes coudes à la place et me ramène violemment vers son torse en rendant ses coups de reins encore plus violents. Mes seins s’entrechoquent sur ma poitrine sous l’effet des mouvements secs de sa queue en moi.
Il lâche mes coudes pour les attraper dans ses deux mains et redouble la vitesse de ses déhanchements. Ses mains serrent mes seins si forts que j’en ai le souffle coupé. Il extirpe sa bite et me retourne dans ses bras pour prendre à nouveau mes seins dans sa bouche et les suce presque violemment, avant de me forcer à me mettre à genoux pour éjaculer sur ma poitrine.

Je range mon kabah sur moi et cours dans ma douche prendre un bain en me demandant si je viens vraiment de vivre ce quart d’heure de sexe torride. Mon corps tout endolori répond à ma question et je me demande si quelqu’un a pu nous voir. En tout cas je ne regrette rien, car le sourire de satisfaction que j’ai sur les lèvres valent vraiment la peine.
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