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Nuit de Canicule

Chapitre 1

Orgie / Partouze
Une soirée d’août caniculaire. La nuit tombe lentement lorsque je m’installe devant mon écran géant avec mon diner. Je regarde Drive pour la énième fois. J’adore ce film. J’adore le cassoulet. J’attaque la première bouchée avec la chanson du générique. Nightcall. Plus tard, j’appellerais peut-être Sylvia. Nous sommes en couple, même si nous avons fait le choix de ne pas vivre ensemble. Je pose mes pieds sur la table basse avec le sentiment d’avoir trouvé la formule pour une soirée parfaite. Puis, quelqu’un vient tambouriner à ma porte…
En regardant par l’œilleton, je découvre un visage porcin sur lequel sont plaqués des cheveux mouillés. Je reconnais Mireille. Elle vit seule au rez-de-chaussée. Elle doit avoir la cinquantaine. La maturité confère parfois un certain charme aux personnes de son âge. Ce n’est hélas pas son cas. Au moment de mon emménagement dans cet immeuble, on m’avait prévenu qu’elle était bizarre. Sans me donner plus de précision. J’entrouvre la porte. Aussitôt, elle tente de se faufiler à l’intérieur, mais la chaîne la bloque.
— Oh, vous êtes le nouveau ! Aidez-moi, s’il-vous-plait. Je me suis retrouvée enfermée dehors en voulant rattraper mon chat. S’il-vous-plait, ouvrez-moi. Je dois téléphoner à ma fille.
Elle est complètement nue et ne cherche même pas à cacher son corps adipeux. Ses bourrelets striés de vergetures pendent tristement sur ses cuisses entre lesquelles se collent les poils trempés d’un pubis en bataille. Je remarque quelques poils sur ses tétons. Elle est repoussante à tous points de vue.
— Votre fille, comment s’appelle-t-elle, demandé-je en lui passant une grande serviette.— Elle a un double de ma clé. Elle vient rarement me voir parce qu’elle travaille beaucoup. Elle n’est pas comme les filles d’aujourd’hui. Toutes ces petites salopes qui vont faire la pute en boîte. Vous ne courez pas après ce genre de fille, j’espère.— Pardon ?— Mais ne me laissez pas dehors ! Vous ne voyez pas que je suis nue !— Je vous ai donné une serviette. Vous pourriez vous couvrir… Quel est le numéro de votre fille ?— J’en étais sûre ! Vous aussi, vous ne pensez qu’à ça ! Vous ne croyez tout de même pas que je vais vous le donner, espèce de cochon !
Et elle s’en va tambouriner à la porte voisine, tenant ma serviette entre ses seins, sans chercher à véritablement se couvrir. Je retourne à mon film et à mon cassoulet en boîte. J’ai envie d’appeler Sylvia.
— Bonsoir mon amour. Tu ne devineras jamais ce qui vient de m’arriver…
Je lui raconte ma mésaventure avec ma voisine du rez-de-chaussée et elle me répond :
— C’est chaud aussi, chez moi. Je viens de croiser mon voisin qui descendait ses poubelles en caleçon. Il bandait et il ne cherchait même pas à le cacher. — Il y a une drôle d’ambiance ce soir, tu ne trouves pas ? La pleine lune. La canicule. Tout le monde est excité. Pas toi ?— Tu sais que j’adore baiser quand il fait très chaud…— Tu viens chez moi ?

Sylvia arrive en même temps que la police. Elle porte un long tee-shirt gris serré qui met ses belles formes en valeur. De mon balcon, je peux voir les regards admiratifs et envieux des policiers, homme ou femme. Sylvia a trente-cinq ans, le teint mat et une longue chevelure de jais bouclée hérités de ses origines brésiliennes.

La patrouille a appréhendé Mireille alors qu’elle tambourinait à la porte d’un vieux couple effrayé au quatrième. Mes voisins sont sortis sur le palier pour la voir se faire embarquer.
— Quelqu’un devrait avertir sa fille, leur dis-je.— Elle n’a pas d’enfant. Elle fait son cirque à chaque pleine lune. Elle est folle.
Sylvia arrive devant ma porte. Je l’inclus aussitôt à ma formule d’une soirée parfaite. À peine la porte refermée, elle retire son tee-shirt, le jette sur un fauteuil, ajuste son string et s’affale sur le sofa. Je lui propose une assiette de mon diner.
— Cassoulet ?— Berk ! Comment tu peux manger ça avec cette chaleur…— J’adore le cassoulet. Tu gardes ton string ?— J’ai la moule qui coule un peu. Tu saurais pas comment l’arrêter ?— Avec une grosse frite ?— T’es nul. Si on passait à l’action ?
J’oriente le ventilateur directement sur le sofa. Je rejoins Sylvia dont les cheveux s’envolent.
— J’ai envie de te lécher, ma chérie.— Oh non... Tu sais que j’aime pas les préliminaires.— Bon, d’accord…
Je la prends par les jambes et la tire vers moi d’un coup sec. Mon sexe dur heurte son string et fait une petite tache. Elle l’écarte et j’entre aussitôt en elle. Avec Sylvia, ce n’est pas compliqué. Elle n’aime pas perdre de temps en préliminaires. Elle me donne le rythme en me saisissant par les fesses. Elle me pousse à la prendre plus fort. Elle sourit, puis rit lorsque son premier orgasme arrive. Ma sueur coule sur ma poitrine. Elle la lèche en me pinçant les tétons. Elle aime tout particulièrement me lécher sous les bras. Elle m’a fait découvrir que mes aisselles étaient des zones érogènes.
Sylvia aime toutes mes liqueurs salées. Elle se régale lorsque je jouis dans sa bouche. Elle presse mes couilles et ma hampe pour en faire sortir la dernière goutte. Elle n’en perd pas une. Puis elle garde mon pénis reposé dans sa bouche. Comme la plupart de mes congénères masculins, j’éprouve le besoin de pisser tout de suite après avoir éjaculé. Sylvia avale tout, s’en délecte, cherche encore la dernière goutte, puis me suce le prépuce. Un baiser sur le gland marque la fin de notre rapport. Je nous sers deux grands Gin Tonic.
— C’était bon pour toi, ma chérie ?— Hmm… Tu crois que tu peux remettre encore ça cette nuit ?— Oh oui. Je me sens hyper excité. La pleine lune, peut-être.— C’est sûrement la pleine lune. Je me sens plus chaude encore que d’habitude.
Elle s’étire et vient blottir son corps collant contre le mien. Je me dis qu’on devrait prendre une douche fraiche et puis…
... nous nous sommes endormis.
Tous les deux en même temps. D’un seul coup.
Morphée nous a pris dans ses bras, sans prévenir. Lorsque je me réveille, il est un peu plus de deux heures du matin. Je couche Sylvia doucement sur le coté. Le petit courant d’air frais qui traverse mon appartement a séché nos corps. Je me lève et marche sur le balcon. Nu, évidemment. Je ne m’attends pas à avoir de témoins à cette heure avancée de la nuit.
— Couvrez-vous, monsieur ! On peut vous voir !
Merde ! Juste au moment où les flics ramènent Mireille. Elle porte un tee-shirt de l’Amicale de la Police. Je m’excuse d’un geste de la main, me couvre les couilles de l’autre et fait tranquillement marche arrière vers mon salon, en imitant la démarche d’un millepatte.
C’est là que je remarque le couple sur le balcon d’en face. Les flics ne peuvent pas les voir d’en bas. Moi si. Ce couple, donc. Ils me semblent bien éveillés et très actif. Malgré la distance entre leur immeuble et le mien, il me semble que le garçon tient une perche à selfie dans sa main. Je comprends vite. Les flics repartent après avoir déposée Mireille chez elle. Dans mon salon, je lance une recherche sur le net. Combien de couples de la région sont en train de baiser en live ? Trop pour avoir une chance de trouver la webcam de mes voisins d’en face. En ajoutant quelques critères, je devrais augmenter les chances. La main de Sylvia s’agrippe à mon épaule.
— Qu’est-ce que tu fais ? Il est quelle heure, putain ?— Nos voisins d’en face sont en train de baiser en live. Et je viens de trouver leur webcam… Là !
L’image de leur balcon s’affiche sur mon écran. Ils sont sur le dos, lui derrière elle, lui en elle, dans son cul. Elle porte un loup et son visage n’est que faiblement éclairé par la pleine lune, mais je la reconnais.
— C’est la nana qui m’a demandé s’il y avait de l’amertume dans le café brésilien au Super U.— Tu t’y connais en café brésilien, toi ?— J’ai une copine brésilienne… Putain, j’ai envie de faire comme eux. Moi aussi, j’ai le droit de baiser sur mon balcon ! Tu veux ou tu veux pas ?— Évidemment que je veux.
En quelques minutes, j’installe ma webcam sur le garde-corps, Sylvia nous créé un compte sur la même plateforme que nos voisins. Nous voilà prêt. Elle cambre sa croupe. Je crache entre ses fesses charnues. Un cul aussi expérimenté que le sien se prend direct, avec juste ce qu’il faut de salive pour lubrifier au début. Je la prends à un rythme lent. J’ai envie de faire durer. Je jette un œil à mon écran pour voir le nombre de connectés. Quelqu’un nous a envoyé un message. Je n’y prête pas d’attention. Sylvia tourne la tête et presse ses lèvres contre les miennes. Je cherche sa langue. Ses lèvres se serrent autour de la mienne.
Nos voisins ont l’air de nous avoir remarqués. Ils nous regardent dans la pénombre. Est-ce que la fille au café brésilien vient de nous faire un signe ? Mon érection gonfle d’un cran. Sylvia ressent l’augmentation et feule comme une lionne en chaleur. La lumière s’est allumée subrepticement dans l’entrée de leur immeuble. Pendant quelques secondes, j’ai cru voir des corps enlacés. Est-ce mon excitation qui me joue des tours ? J’ai peur que mes divagations me fassent perdre mon érection. Alors, je me re-concentre sur le cul de Sylvia. Je le prends bien en main. Je sors ma queue. J’enfonce trois doigts dans son anus resté ouvert. Je la pénètre à nouveau jusqu’au fond en lui faisant sucer mes doigts. Je vous ai déjà dit qu’elle aimait le salé ?
Je me sens vraiment bien, là sur mon balcon, avec ma chérie. Autour de nous, je remarque des lueurs sur plusieurs balcons, derrière quelques fenêtres ouvertes aussi. Acteurs ou voyeurs ? Dès que j’aurai explosé dans son cul, j’irai m’affaler sur le sofa. Je chercherai les webcams des couples du quartier en action cette nuit. Demain, ils se croiseront dans la rue ou au supermarché, les yeux cernés mais plein de malice et de désir. Tiens, j’ai encore l’impression que la fille au café brésilien me fait des signes. L’icône du nouveau message est toujours affichée. Et si c’était elle ? Je me retire du cul de Sylvia en hâte.
— Ben ? Où est-ce que tu vas ?— Excuse-moi, mon amour. Je dois vérifier un truc…
J’ouvre le message. C’est bien une invitation du couple d’en face. Le message comprend le code et le numéro de leur appartement.
— Si tu acceptes, me dit Sylvia, la nuit va être trèèès longue.
Nous traversons la rue nus, en direction de l’entrée qui s’étaient illuminée brièvement tout à l’heure. J’entre le code et pousse la porte. J’entends des halètements et des murmures dans l’obscurité.
— N’allumez pas, crie quelqu’un.
J’hésite à entrer. Sylvia me pousse. Nous avançons à tâtons. J’avance lentement vers l’ascenseur. Je trébuche sur ce qui semble être un tas de tissu. Je me rattrape. Ma main effleure un corps brûlant de fièvre. Une main attrape ma main puis palpe mon corps de mes cuisses vers mon sexe dur.
— Celle-là, c’est vraiment une grosse, dit une voix de fille. Elle est à qui ?— Je crois qu’elle est à ceux qui viennent d’entrer, répond un jeune homme essoufflé.— Mais c’est qui ?
J’identifie vaguement deux couples sur le coté, près des boîtes aux lettres. Je parviens enfin à appuyer sur le bouton d’appel de l’ascenseur, seul faible source lumineuse de cet endroit. Derrière moi, Sylvia pousse un cri.
— Y’en a qui me touchent ! Oh les salauds ! Hé, pas les doigts dedans !
La cage de l’ascenseur arrive. Les portes s’ouvrent et éclairent brusquement toute l’entrée. Nous découvrons les corps nus et emmêlés d’une dizaine de jeunes gens âgés de la vingtaine. Ils ont jeté leurs rares vêtements sur un tas. Là, où j’avais trébuché. Près de la porte, deux garçons frottent leur pénis l’un sur l’autre. Ils s’embrassent, sans se soucier des autres qui nous couvrent d’injures. Nous nous excusons, Sylvia et moi. Nous montons précipitamment dans la cabine.
Juste au moment où les portes se referment, nous remarquons, tapis dans un coin du fond de l’entrée, un vieil homme qui se masturbe. Sans doute, profitait-il de l’obscurité pour s’approcher au plus près de ces jeunes corps qui doivent le rendre fou. Il devient à son tour la cible des invectives. Nous ne connaîtrons jamais la suite de sa mésaventure. Les portes se referment. Nous grimpons à l’étage où l’on nous attend. La porte est ouverte. L’appartement est plongé dans le noir. Seule nous parvient la faible lueur du balcon. La maîtresse de maison vient à notre rencontre dans le plus simple appareil.
— On est si contents que vous soyez venus ! C’est si chaud ce soir ! On aime le faire à plusieurs. Vous aussi ?
Nous échangeons quelques baisers. La fille au café brésilien est vraiment torride et trempée de sueur. La preuve, s’il en fallait une, qu’elle et son amoureux baisent sans interruption depuis des heures. Ils se présentent.
— Je m’appelle Stéphanie et lui derrière sa grosse queue, c’est mon Léo. Tu es sacrément bien membré toi aussi, me dit-elle en passant ses doigts sur mon érection. On a regardé votre webcam. C’est ce qui nous a décidé à vous envoyer le message.— Reçu cinq sur cinq. Nous sommes là ! Prêts à décoller.
Sylvia et Léo ont déjà commencé. Léo fouille sa chatte d’une langue agile et elle a vraiment l’air d’aimer ça. Elle qui m’affirmait il y a quelques heures encore, qu’elle n’aimait pas les préliminaires. M’aurait-elle menti ? Stéphanie enroule ses bras autour de mes reins puis m’embrasse d’une langue poussée aux prémices de ma gorge.
— Moi j’aime pas les préliminaires, me dit-elle en plongeant son regard dans le mien. J’espère que tu aimes aller droit au but, toi aussi. Hein, mon bel étalon nu ?— Euh… ouais.
Elle se cale dans un coin du balcon, me branle un petit moment, comme pour évaluer la marchandise. Lorsque je suis bien en elle, dans un rythme qui nous plait, je cherche Sylvia des yeux. Je la trouve en soixante-neuf, sous Léo, sous ses grosses couilles qui lui masquent la moitié du visage. Les mains de Stéphanie attrapent ma nuque et sa bouche vient se plaquer sur la mienne. Elle n’aime peut-être pas les préliminaires comme elle le prétend, mais elle adore ma langue qu’elle suce sans interruption pendant tout notre rapport. J’ai l’impression de baiser un clone de Sylvia. Je chasse rapidement cette pensée de peur de débander.
Un petit groupe traverse la rue en courant. Tous nus, en partie ou totalement. Ils disparaissent au coin dans un concert de rires et de cris. Je jette un œil à mon balcon vide. Je remarque qu’il y a un couple de lesbiennes qui baisent juste au-dessus. La pleine lune m’offre la vision de deux femmes un peu fortes, à quatre pattes, se balançant fesses contre fesses. Lorsqu’elles se mettent en ciseau, un double dong luisant apparait, reliant leurs intimités.
Il fait vraiment trop chaud depuis que la brise a cessé de souffler. Du macadam remontent des bouffées de chaleur sorties des Enfers. Nous finissons notre fête improvisée sous une douche fraîche, serrés dans leur étroite cabine. Stéphanie veut goûter mon sperme et le comparer à celui de Léo. Avec l’aide de Sylvia, elles arrivent à la conclusion que si l’un est plus onctueux, l’autre est plus salé. Et elles se pourlèchent les babines pour en ressentir le goût jusqu’au bout du bout. J’ai envie de pisser. Sans hésiter, Stéphanie attrape mon jet doré, le savoure, puis l’oriente vers la bouche de Sylvia. Puis, c’est Léo qui régale. Sylvia s’étire et ouvre grande la bouche lorsque son tour de déguster arrive. Elles recommencent leurs tests comparatifs, leurs élucubrations, ponctuées d’éclats de rire.
Le jour commence à poindre. Il nous faut quitter nos nouveaux amis et amants au plus vite. Dans notre folie, nous sommes sortis sans aucun vêtement. Stéphanie et Léo proposent de nous prêter des tee-shirts, mais nous convenons que ce serait tricher. Nous allons rentrer chez nous comme nous sommes venus, dans le plus simple appareil. À notre sortie de l’ascenseur, l’entrée de l’immeuble est déserte. Dans la rue, tout est si calme. Et si on faisait un tour dans le quartier ? Main dans la main, nous faisons le tour du pâté de maison. Il y a une question qui me taraude l’esprit et que je ne peux m’empêcher de poser à ma compagne.
— Tu m’as toujours dit que tu n’aimais pas les préliminaires. Et cette nuit avec Léo, tu en as fait. Pourquoi ?— Je n’ai jamais dit que je n’aimais pas les préliminaires.— Ah si ! Je m’en rappelle très bien.— J’ai dit que je n’aimais pas les préliminaires avec toi.
Nous nous arrêtons dans un même geste. Nous venons d’apercevoir la voiture de police en planque derrière les garages. Une lueur sous chaque visage nous indique qu’ils regardent leurs smartphones. Ont-ils regardé les webcams du quartier ? Nous rebroussons chemin.
— Mais pourquoi ? Pourquoi tu ne veux pas en faire avec moi ?— C’est comme ça. Je ne sais pas l’expliquer.— Mais j’aimerais comprendre.— Y’a rien à comprendre, mon amour. Ces choses-là ne s’expliquent pas.
La pleine lune disparait lentement, chassée par le jour naissant. Il va encore faire trop chaud aujourd’hui. Trop chaud pour bouger. Trop chaud pour baiser.
Mais cette nuit, dès que la brise se fera à nouveau sentir et que la Lune aura reprit sa place dans le ciel… Cette nuit... Oh oui, cette nuit !
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