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Nuit de concert

Chapitre 3

SM / Fétichisme
00h30 Prise d’une chambre disponible. Lit 2 places et salle de bain avec baignoire. Parfait. Nous avons un peu de temps pour nous. Je te veux pour moi et que ces quelques heures à venir soient exceptionnelles pour nous. Je t’ordonne de te dévêtir en ne gardant que tes bas. Puis de t’allonger sur le lit les bras en croix, les yeux fermés. Mon visage s’approche de ton corps. Je sens les effluves lointaines de ton parfum… l’odeur de ta transpiration durant le concert… celle de ton plaisir aussi… Je dépose de ci de là quelques baisers… parfois ma langue s’égare un peu… je te caresse du bout du nez, avec ma barbe. Tout ton corps sensuel passe au crible de mes caresses et attentions, sans porter plus d’intérêt aux zones sexuelles primaires mais m’attardant beaucoup sur des zones très sensibles : la nuque, les avant-bras, derrière les genoux, les chevilles, la plante des pieds. Tu as compris sans que je le dise la règle de ce jeu : Tu ne dois dire un mot ni bouger. J’en profite un peu pour te titiller, tester un peu mais tu arrives à contrôler. Même lorsque mes doigts s’égarent près, sur et entre tes lèvres brûlantes, tu restes offerte, profitant aussi de cette contrainte invisible pour intérioriser tes sensations et cette lente démarche vers l’extase. Je me lève et m’assois dans le fauteuil en face. Je te demande d’ouvrir les yeux et de venir jusqu’à moi à quatre pattes en signe de soumission. Tu te relèves et exécute mon souhait. J’écarte les jambes et te demande de me retirer mon jean. Tu te redresses et débutes ton office ne me regardant avec des yeux de velours, puis plus… hum… excitants…une fois le caleçon retiré je te fais signe d’attendre.
— « Tu imagines la suite je pense. Je vais pimenter un peu ce jeu car je te sais capable de délicieuses pipes et je n’ai aucun doute sur ton talent à ça. Pour corser un peu nous allons jouer à un petit jeu. Vas-y et je t’explique. »
Tu me prends alors en main, me branle puis lorsque tu t’approches pour me lécher… Tu me vois prendre mon portable
— « Tu auras 4 min à compter du top que je te donnerai. Tu ne peux me prendre en bouche avant. Si tu réussis ce challenge, tu ne le regretteras pas. Sinon, j’envoie la vidéo que je vais faire à Jules et à mon ex Marie."
Celle-là tu ne pouvais pas la voir et c’était réciproque. Le joker t’effleure même l’esprit car ça serait véritablement suicidaire si tu échouais. Tu es confiante mais 4 minutes c’est court et tu sais que je peux facilement me contrôler et être très endurant. Tu en es là quand le top est lancé. A genoux et nue devant moi, Tu te jettes sur mon sexe, le léchant ainsi que mes boules, avec une grande vigueur et beaucoup d’inspiration je dois avouer Avec ta main tu me branles d’une façon énergique, tentant de m’exciter au plus vite, ce qui n’est pas long avec mes caresses précédentes. A peine mon sexe totalement dressé et dur, tu l’avale aussitôt au plus profond de ta gorge, faisant des va et vient d’une grande amplitude. Ta fellation devient complètement hystérique, guidée par la volonté de t’éviter l’humiliation, mais aussi, tu me l’avouas plus tard, par une excitation totalement incontrôlable.Afin d’ajouter encore un peu de piment à la scène je t’indique le temps toutes les 30 secondes, te forçant à redoubler d’efforts et d’imagination. Passé la barre des 2 minutes, tu tentes le tout pour le tout. Tu te mets à ponctuer ta fellation en m’excitant par la parole, à intervalles courts et réguliers : « je suis à toi », « je t’appartiens », « prend ma bouche tant que tu veux » « profite car je suis à toi, ta salope pour ce soir » « Laisse toi aller »…Une arme à double tranchant car la vidéo n’en devient que plus coriace et compromettante pour toi. Mais ce dernier effort a pour but de m’exciter terriblement, et finalement je cède à ce plaisir immense et je jouis dans ta bouche close 15 secondes avant la fin des 3 minutes, t’évitant l’envoi du MMS. Tu ouvres ta bouche pour bien me montrer puis la ferme en déglutissant, l’air gourmande et très satisfaite d’avoir remporté ce challenge qui n’est peut-être que le premier d’une suite.
Je me relève, prend ta main et t’invite à te relever également. Je passe devant toi, sans lâcher ta main et tu me suis jusqu’à la salle de bain.
J’ouvre l’eau chaude, attend quelques instants puis t’invite d’un geste à prendre place dans la baignoire. Je te suis. La suite n’est qu’une succession de caresses. Aquatiques, savonnées ou non, de mes mains. Tu te laisses faire et reste inerte. Mes mains, mes doigts te caressent, savonnent passent et filent sur ton corps. Tu sembles apprécier. D’un petit « A toi. » les rôles s’inversent et tu prends également plaisir à redécouvrir mon corps de la sorte. Je suis également passif et tu en profites un peu quand même, y voyant une invite de ma part et quelques possibilités pour toi. Une fois lavés, je te passe doucement le drap de bain pour te sécher, laissant quelques gouttes sur tes épaules.
— « Nous n’allons pas nous endormir la Belle. Nous avons encore beaucoup à faire cette nuit. Prend place sur le lit. Positionnes-toi en levrette sur le bord en te cambrant bien. »
Tu te dis que nous passons aux choses sérieuses. Tu avances en te déhanchant langoureusement pour faire monter si c’était possible l’envie. Tu ne sais pas si c’est du à l’adrénaline de la soumission, l’excitation de la situation ou la fraicheur et l’effet de la douche mais tu es toute éveillée, sans aucune fatigue. Tu prends bien le temps de t’installer, prête à subir de ma part un assaut. Quelle ne fut ta surprise quand, sans t’y attendre tu sens ma langue s’immiscer entre tes cuisses, passer sur tes lèvres, remonter vers ton petit trou, s’y poser et délicatement le caresser, puis remonter un peu en laissant mes lèvres t’embrasser, et redescendre. Sous l’effet de cette caresse tu te cambres davantage pour t’offrir. Mes mains se déposent sur tes fesses, les caressant puis les écartant pour que ma langue puisse davantage s’immiscer, se faufiler, te caresser. Mon pouce se pose entre tes lèvres et par une caresse circulaire te pénètre voluptueusement tandis que ma langue continue son ballet sur tes chairs intimes et douces. Ce traitement te paraît divin et pour t’offrir encore davantage à ma lubricité tu croises les bras et pose ta tête dessus pour une position totalement… hum… sublime ? Mon pouce est ensuite remplacé par un puis deux doigts qui vont, viennent en toi, ressortant de ton antre secret trempée de ton excitation. Mes caresses se font plus précises et intenses, tant des doigts que de la langue ou de mes lèvres et tu sens ton plaisir monter sûrement et inexorablement. Soudainement tu sens mes deux doigts restés plantés en toi et mon pouce te titiller puis s’introduire entre tes fesses. A ce délicieux instant s’ajoute une stimulation très appropriée mais inattendue de ton point G et ton souffle se coupe. Tu n’arrives plus à respirer et ton corps t’abandonne, secoué de spasmes incontrôlés. Toute la tension sexuelle depuis ce début de soirée se voit exploser. Voyant cela je continue en intensifiant encore les stimulations, caresses pour te porter au paroxysme.
Et finalement tu t’écroules sur le lit, exténuée, vidée et toute trempée. Cependant, il te manque clairement quelque chose depuis ce début de soirée : mon sexe en toi, profondément planté ou s’agitant, peu importe dorénavant. Je décide de ne pas te laisser le temps et te remet en levrette pour me glisser sous toi et commencer à te sucer très doucement le clito, à te pénétrer de ma langue. Tu me prends en main pour débuter une lente et sensuelle masturbation. Je sens de temps en temps un coup de langue plus ou moins long, soit sur le gland, sur mon prépuce ou le long de ma verge pour ajouter des sensations à ta branlette langoureuse. Je continue mes caresse de langue, te lutinant, te pénétrant plus ou moins longtemps et profondément avec ma langue, ma bouche se posant, aspirant, suçotant tes lèvres, grandes ou petites, ou ton clito. Nos lèvres sont toutes humides de ton plaisir à un point tel que tu coules littéralement dans ma bouche gourmande et avide de toi. Sous tes caresses mon sexe devient d’une rigidité et d’un volume exceptionnel et tu es très satisfaite d’être la cause de cela, tout en te disant intérieurement que tu vas adorer m’avoir enfin en toi. Tu fais très attention à m’exciter mais pas trop car tu as envie d’en profiter quand viendra le temps où. Tu sens mes lèvres se décoller des tiennes et te fais comprendre que je vais me dégager. Tu te remets en position par défaut, soumise et offerte. Tu sens alors mes mains se poser sur tes fesses, mon gland s’immiscer juste à l’entrée de ta chatte, bien se positionner. Tu t’attends à ce que je rentre puissamment en toi d’un coup mais rien.
-« A toi de jouer maintenant. Imagine-moi comme un homme objet. Je ne suis plus que cette queue qui est à l’orée de ton plaisir. A toi de jouer avec dans cette position, je ne bougerai pas. »
La fatigue commence un peu à se ressentir mais la perspective de cette jouissance te redonne de l’énergie. Tu as envie tout d’abord de contrôler cette première pénétration et tu descends lentement pour la sentir de remplir jusqu’au fond de tes entrailles. Un fois bien au fond, tu donnes un petit coup pour que je sois plus encore en toi et tu hoquètes de plaisir. Puis tes mouvements se font plus réguliers. Tu joues de mouvements de tête et de cheveux en plus de tes gémissements pour t’exprimer. Au bout de quelques minutes, tu bouges tes fesses de gauche à droite, roulant du cul si l’on peut dire pour jouer avec les angles de pénétration et pour bien me sentir. Tu t’aplatis en te cambrant sur le lit et je sens un doigt se poser sur ton clito et s’agiter en cadence mais cette position ne te permet pas de jouer avec mon sexe en toi. Tu restes ainsi immobile, moi en toi jusqu’à la garde et te branlant ainsi dans une indécence totale et avec une montée très rapide de sensations vibrant dans tout con corps, irradiant depuis ton intimité. Tes gémissements se taisent et tu blottis ta tête contre le drap en étouffant ton cri et en laissant après la fin, quelques spasmes de ton corps et presque ce que je prendrai pour des sanglots post-plaisirs. Tu reviens un peu à la réalité quand tu sens une main s’abattre sur tes fesses pour t’inciter à revenir à toi. Je me penche pour prendre tes mains et te les mettre dans le dos.
— « Je n’ai pas de menottes sous la main mais ça va être plus … croustillant tu vas voir. Tes mains doivent rester jointes jusqu’à ce que je te le dise. Si tu réussis, tu auras droit à me demander la suite. Si tu échoues, je te laisse imaginer… »
Puis la seconde main se pose sur tes hanches et appuie pour que je te monte, te pénètre, t’empale telle une femme en furie sur ma virilité. Mes coups de boutoirs sont puissants, rapides, profonds et, à peine remise de ton précédent orgasme, tu repars en hurlant sans aucune limite. Tu essaies de tout faire pour maintenir tes mains ensemble. C’est épuisant d’ajouter à l’intensité de notre corps à corps cette attention qui te fait davantage te concentrer ce qui te donne encore plus de plaisir. Finalement tu laisses tomber, prête à assumer un nouveau challenge. Tes mains se posent sur le lit. Tu ne vois pas la lueur de triomphe et de joie qui m’illumine le visage alors en plus des sensations douces et très agréables que ma bite me donne dans ton fourreau humide. J’accélère encore et ton cri se meurt au fond de ta gorge. Tu restes sans voix sous cette succession trop intense, qui dure depuis trop longtemps, d’orgasmes, de folies. Tu me sens en toi me contracter et je me bloque bien au fond pour jouir. Tu as serré les jambes auparavant pour mieux me sentir dans tes mouvements et là, tu as l’impression d’avoir le moindre de mes spasmes s’imprimer dans ton corps meurtri de plaisir. Je nous laisse quelques instants pour nous remettre de nos émotions. Sans aucune idée de l’heure qu’il est si ce n’est pas encore 8h car mon portable n’a pas encore sonné. Nous nous allongeons l’un à côté de l’autre, moi le bras ouvert et toi la tête posée sur mon épaule.
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