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Nuit de concert

Chapitre 1

Trash
Concert – Métropolis part II
Vendredi soir – 21h Metro Barbès Rochechouart. Je t’attends depuis 15 minutes, voulant être en avance pour être ton chevalier servant dès ta sortie du métro. Tu as dû te faire belle, très belle ce soir. Pour l’événement. Pour moi aussi j’espère un peu accessoirement. J’aimerai tellement que tu sois la Reine ce soir… A l’évocation de cette pensée je te vois sortir de la bouche de métro. Tu ne m’as pas encore repéré car tu aurais vu sinon alors ma mâchoire tomber je pense. Cheveux détachés, maquillée les yeux noirs, un rouge à lèvres carmin, toute de noir vêtue, de dentelles parée et ornée de bagues et d’un collier mettant en valeur si besoin était ton décolleté, une robe bustier, décolletée donc, avec des bottes arrivant sous les genoux.
En t’observant, je remarque une petite lueur dans ton regard qui je ne sais trop interpréter. Tu balaies rapidement la sortie pour me trouver rapidement puis tu me fixes, un quart de demi-seconde. Je lâche mon appui de la rambarde et arrive vers toi. Je te tends mon bras et tu me le prends telle une dame et son cavalier pour aller à un bal bien particulier. Tu me trouves tel que j’ai pu l’être à une époque lointaine : cheveux longs avec un brushing parfait, léger bouc, avec une de mes tenues dont j’avais pu te parler il y a quelques temps. Nous nous avançons ensemble vers ce qui promet être une très agréable soirée, mais avant tu profites pour me déposer un long baiser sur la joue, me marquant ainsi au fer rouge si je puis dire comme étant ta possession ce soir. Le regard que tu me lances en me fixant me fait frissonner. Tu n’as jamais été comme ça et j’avoue que je ne t’imaginais pas ainsi mais ça ne me déplaît pas. Tu te mets sur la pointe des pieds pour me glisser à l’oreille :
— « Tu vas voir mon Beau. Cette soirée va être merveilleuse et restera dans nos annales, fais-moi confiance. »
Je pensais bien sûr passer une excellente soirée mais ton attitude m’interpelle et me fait penser que je suis loin d’être au bout de mes surprises ce soir. Nous arrivons devant l’Elysée Montmartre pour un concert exceptionnel et je me suis démené pour pouvoir nous trouver des places pour que tu puisses enfin voir Dream Theater. Je me prépare à faire la queue qui est bien longue mais tu ne sembles pas l’entendre ainsi car tu remontes la fille en me prenant à ton bras, limite en me traînant les 2 premières secondes tellement je ne m’y attends pas. Tu remontes jusqu’à arriver tout devant quand un couple passe en montrant son ticket. Je te vois descendre, enjamber... mais que fais-tu… Tu tends ton string au gars qui a l’air halluciné devant ton audace et tu ne trouves rien de mieux que lui dire :
— « Merci de m’avoir gardé nos places dans la file. »
Le tout devant sa copine médusée, lui hébété et le vigile à l’entrée très amusé. Tu lui donnes les tickets, ignorant les récriminations et plaintes de l’heureux possesseur d’une de tes jolies atours et nous filons vers la salle de concert. Tu me tires à toi pour me glisser au creux de l’oreille :
— « Tu as vu ? J’ai été une vilaine fille. As-tu aimé ? »
Cette phrase finissant j’ai senti ta langue passer sur le lobe de mon oreille…
— « Et bien mon cher, vous n’avez pas encore tout vu… »
Tu te blottis contre moi et m’embrasse passionnément et sans aucune pudeur. Ta jambe remontant contre la mienne, ma main se pose dessus et je sens la lisière d’un bas… Te sachant maintenant nue sous ta robe, je t’avoue que cela m’excite beaucoup. J’imagine les regards envieux des autres hommes autour de me voir en si bonne et érotique compagnie et leur concupiscence s’imaginant des choses qu’ils ne peuvent que projeter dans leurs pensées. L’ambiance chauffe progressivement et pas que sur scène ou près du bar. Tu te prends un coca et tu reviens vers moi en te déhanchant langoureusement, t’amusant à ton sourire de l’effet que tu peux créer autour de toi. Je surprends même une jeune femme écraser le pied de son copain pour qu’il te quitte du regard. Tu t’approches de moi et glisse doucement ta main sur mon entrejambe en remarquant que je parais assez excité déjà. La lumière tombe et la première partie du concert débute. Je passe devant et bouscule la foule pour arriver au ras des barrières pour profiter au maximum. Tu passes ensuite devant moi, comme ça tu ne risqueras rien des éventuels débordements réguliers de la fosse. Ça commence. Pas inintéressant comme mise en bouche musicale pour débuter et nous nous déchaînons bien tous les deux. A un moment tu te retournes vers moi, tu me prends la nuque et m’embrasse, inversant ainsi les rôles habituels. Notre baiser est déchirant, passionné et empreint de la violence musicale alentours. Nous passons ainsi tout le reste de cette première partie enlacés et nous embrassant, nous caressant. Ma main parfois remonte un peu haut, les tiennes passent sous ma chemise, dans mon dos pour me griffer légèrement. Après le tonnerre assez impressionnant pour un début, la lumière tamisée revient et tu me glisses à l’oreille que tu aimerais aller te remaquiller aux toilettes mais que tu es un peu craintive dans cette tenue d’y aller seule.Requête étonnante car jusqu’à présent tu ne sembles guère apeurée. Nous fendons la foule pour nous diriger vers ce qui semble être les toilettes. Arrivés là, je me doute que tu as une idée en tête quand tu te diriges clairement vers ceux des hommes. Tu t’y engouffres, me tenant par la main. Tu me plaques contre une porte à demi ouverte pour que nous nous y engouffrons en fermant ensuite la porte, ne laissant aucune ambiguïté sur nos futurs agissements. Tu passes tes mains sous ma chemise, l’ouvrant en m’arrachant presque les boutons. Ton sourire se fait carnassier, prédateur. Au travers du reflet que je lis dans tes yeux en effet je semble être la proie consentante d’une succube des temps modernes, prête à assouvir ses envies et fantasmes de mon corps.
— « Tu voulais que je sois une vilaine fille. » me dis-tu avec une petite moue. « Je crois que j’aime bien ce rôle. Je vais profiter de toi et tu ne le regretteras pas. »
Le « pas » meurt lentement entre tes lèvres quand ta main me déboucle la ceinture, ouvre mon jean pour le laisser tomber. Tu me prends ensuite fermement en main si je puis dire et passe sous mon caleçon pour commencer à me masturber tout en te pourléchant les lèvres du bout de la langue. Cela provoque immédiatement un effet assez imaginable sur ce que tu tiens dans ta main, dépassant d’ailleurs mon excitation habituelle. Gardant le fil de nos regards plongés ensemble, tu te baisses en ouvrant tes délicieuses et pulpeuses lèvres pour les approcher, tirer la langue puis y déposer mon gland pour enfin doucement l’absorber. La fournaise de ta bouche, la douceur de tes lèvres, la salive que tu étales langoureusement, tout cela concourt à mon plaisir le plus total et à une montée délicieusement maîtrisée de ta part. Tu joues de ton savoir-faire et de ce que tu sais que je peux apprécier en y mettant encore plus de cœur à l’ouvrage si cela était possible. Cette ambiance, ce rôle te surexcitent pour mon plus grand plaisir. Mon bien-être monte, grimpe, galope tandis que ta fellation se poursuit et tu décides de me finir en me branlant énergiquement tout en gardant le bout de mon sexe en bouche, agacé par le bout de ta langue agile. Quand tu sens mon premier jet dans ta bouche, Tu sors mon sexe et le pose sur ta langue tout en continuant à me faire jouir. Tu prends ton rôle visiblement très à cœur. Une fois ma jouissance finie, tu fermes la bouche en avalant ostensiblement et tu remontes doucement dans une sorte de reptation contre moi, tout contre moi. Je t’embrasse alors et te retourne contre le mur. Tu poses tes bras croisés contre et tu te cambres dos face à moi. Ma main se pose sur ton genou pour remonter jusqu’à ton sexe bouillant et trempé. Tu sens un doigt tout d’abord puis un second pénétrer ton intimité brûlante, jouer et caresser ton clitoris, tes petites lèvres délicieuses. Je porte ensuite ma main luisante de ton jus pour la lécher et ainsi te goûter. Tu sembles savoir ce que je fais car tu tournes la tête en me tirant la langue. J’approche alors mon index encore humide et ta langue le parcourt avec gourmandise.
Tu ouvres alors la porte (oubli ou volontaire de ta part) et sors en me laissant ostensiblement le pantalon ouvert. Je me rhabille rapidement et te suis. Un mec se marre et te suit du regard en te matant ouvertement. Le regard que je lui lance rabaisse nettement son amusement et le calme net. Tu te retournes en me souriant avec un petit clin d’œil, trop contente de ton petit effet. Les choses sérieuses vont débuter lorsque la lumière tombe et que James La Brie salue le public en appelant les musiciens pour leur entrée en scène...
Intro de Metropolis part II. La foule s’électrise et l’agitation monte. A coups d’épaules je t’ouvre le passage pour que tu sois au ras des barrières au premier rang. Je me positionne derrière toi mais sans forcément être à ton contact pour que tu sois libre et que ça reste agréable. J’écarte deux trois agités se croyant dans un concert de gros métal et pogottant un peu trop comme des tarés. Tu te retournes de temps à autre pour voir ce que je fais et lasse de me voir faire la sécurité autour de toi tu me prends la main pour la plaquer sur ta fesse et me tirer à toi pour que je te prenne dans mes bras, moi contre ton dos.
Tu me prends les mains pour les poser sur ta poitrine. Le visage dans tes cheveux, toi contre moi, tes fesses contre mon bassin, tu te mets à onduler en rythme avec les morceaux qui défilent. Nous ne sommes plus alors tout à fait ici, laissant nos esprits vagabonder entre les mélopées de la musique qui défilent et qui emplissent l’espace de la salle, avec les sensations de nos corps proches, suintant de désirs, d’envies, de sensations. Ma main passe sous ta robe pour se nicher entre tes fesses. Tu sens mes doigts te toucher et te caresser avec les mouvements de la foule telle une houle humaine. Tu te retournes pour m’embrasser alors à pleine bouche, voracement, animalement. Tes mains se posent sur ma ceinture et remontent, passant sous mon tee-shirt. Je sens ma peau vibrer sous tes doigts, tes mains se plaquer sur mes pectoraux et tes pouces remonter me titiller les tétons. A cet instant tu me mords la lèvre inférieure, presque jusqu’au sang j’ai l’impression. Ton regard est prédateur, empli d’une sauvagerie que je ne te connais pas. Toi non plus d’ailleurs peut-être. Est-ce ton rouge à lèvre ou une goutte de mon sang qui luit sur ta lèvre ? Tu me prends la main, la passe sous ta robe et la plaque sur ton sexe lisse brûlant trempé, te masturbant avec ma main en pleine salle bondée. Ton index se pose sur le mien et tu le guides pour ton plaisir. Tes yeux se ferment, ta bouche s’entrouvre. Un léger sourire se forme à la commissure de tes lèvres. Ta tête se penche sur le côté. Parallèlement à cela, un peu plus bas, l’agitation règne. Assez vite tu as délaissé ton emprise sur ma main pour la laisser te donner du plaisir. Après quelques circonvolutions autour de ton clitoris, quelques sinueux entrelacs entre tes lèvres trempées, mouillées et quelques caresses appuyées à certains points que je sais sensibles, mon index et mon majeur s’insinuent en toi, profondément, avec puissance, te faisant hoqueter une fois bien plantés, puis s’agitant dans ton antre torride de plaisir, je sens ton corps alors tout fébrile frétiller et s’agiter. Mon pouce se pose sur ton clito pour le masser en parallèle aux va-viens en toi. Mon autre main se pose sur ton sein tout dur pour le pétrir. Tu sembles partir, tes jambes s’agitent, tout comme ton corps entier. Dans un éclair de lucidité et un effort qui te paraît surhumain, tu arrives à t’approcher de mon oreille pour me dire de te prendre immédiatement, que tu jouis et n’en peux plus. Je souhaite prolonger cette espèce d’agonie luxurieuse dans laquelle tu es plongée en te demandant de préciser ton souhait. Tu as pris des couleurs sous le coup de mes caresses, tu halètes car mes doigts sont toujours en toi et je prends un malin plaisir à stimuler ton point G. Tes yeux sont toujours mi-clos, tu te mords les lèvres.
-« Je suis à toiiiiiiiiii » arrives-tu à articuler avec difficulté
Je me penche alors vers toi en te demandant si tu es vraiment sûre de ce que tu viens de dire. Tu me le confirmes en hochant de la tête, un sourire et les yeux pétillants pour appuyer.
-« Alors je vais te faire monter, puis ensuite, après tu seras réellement toute à moi jusqu’à demain 8h »…
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