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La nuit des étoiles

Chapitre 1

Hétéro
Cette année, je me suis décidé à aller à la soirée organisée par le club d’astronomie local. Depuis le temps que je voulais y aller ! Ma femme n’étant pas particulièrement intéressée par l’observation du ciel, j’y suis allé seul. A plus de 40 ans, j’étais comme un gamin.

20h30, j’étais au lieu de rendez-vous, prêt à observer le ciel au télescope pour la première fois de ma vie. La soirée commençait bien. Une ambiance agréable, une température douce et des intervenants passionnés... Il ne faisait pas encore nuit et les premières observations avaient déjà commencé. Les 4 télescopes pointaient tous en direction de la lune et de ses cratères. Puis, la nuit venant, nous avons commencé à pouvoir observer d’autres corps célestes. Pour la première fois de ma vie, j’ai pu voir les anneaux de Saturne et la tache de Jupiter.

Au fur et à mesure de la soirée, des gens partaient et d’autres arrivaient. Vers 22h, il y avait beaucoup moins de monde et les conversations commençaient à être un peu plus "scientifique" et ressemblaient à autre chose que : "C’est magnifique !". C’est pourtant avec une phrase aussi banale que j’ai engagé, involontairement, la conversation avec une femme. Lui laissant la place après avoir admiré les anneaux de Saturne pour la 1000e fois de la soirée, j’ai simplement dit : "Je ne me lasse pas de cette beauté !". J’ai aperçu son sourire dans la pénombre. La regardant pencher sur le télescope, je me suis un peu attardé sur son derrière. En moi, je me disais sans y croire réellement : "J’irais bien décrocher la lune." De toute façon, je n’étais pas un coureur de jupons et je ne savais pas séduire une femme pour une relation d’un soir. Et puis, je n’étais pas là pour ça. Mais quand la demoiselle s’est relevée, elle est venue se mettre près de moi : "En Effet, on ne s’en lasse pas."

Je devinais à peine les traits de son visage dans l’obscurité malgré une lune presque pleine. Était-elle vraiment aussi belle de ce que je voyais ? Était-elle blonde, rousse ou châtain ? A vrai dire, même si je ne pensais pas qu’elle puisse être brune, elle aurait très bien pu l’être. Le jeu d’ombre et lumière lui faisait un décolleté et une poitrine agréables. Par ce même jeu, son pantacourt lui faisait de bien belles fesses et une ligne élancée. L’image que je me faisais d’elle était aussi jolie que ce que me suggérait la beauté de cette nuit. J’étais en train de fantasmer tout éveillé alors que nous commencions à discuter doucement d’astronomie. En plus d’être ravissante, elle était intelligente. Dans ce domaine, je me débrouillais aussi et l’astronome amateur qui nous réglait et dirigeait son télescope depuis une vingtaine de minutes s’approcha pour participer à cette conversation très enrichissante.

Cependant, je ne tenais pas la distance face à l’astronome amateur et je commençais à penser que mon fantasme ne serait qu’un fantasme, si tant est qu’il ait pu être autre chose. Mais lors d’un réglage vers un autre corps céleste, la jeune femme pencha la tête vers moi pour me chuchoter quelques mots à l’oreille : "Je m’appelle Julie." Je me suis présenté à mon tour, elle m’a souri avant que nous observions l’amas d’étoiles pointé par le télescope. Encore un moment qui a particulièrement ému ma curiosité scientifique ainsi que celle de Julie. Ça nous a rapprochés encore un peu plus. Et alors que nous commentions ce que nous avions vu, quelqu’un qui partait nous conseilla d’aller voir le télescope au fond du parc pour aller observer les cratères de la lune. Julie commença à se diriger vers le fond du parc : "Bonne idée... tu viens ?" Je l’ai suivi comme si nous nous connaissions depuis longtemps.

En marchant d’un bon pas, nous avons recommencé un peu à discuter. Quelques banalités sur la chance d’avoir un ciel dégagé, sur la lune qui, presque pleine, gênait pour quelques observations... Et alors qu’un point lumineux passait à vive allure au-dessus de nos têtes, Julie fit une remarque : "Tu crois que c’est l’ISS ?" Je n’en savais rien et je lui ai dit : "N’empêche, ça doit être super d’être en apesanteur !"confirmais-je. Je ne sais pas pourquoi, peut-être la complicité naissante que je ressentais entre Julie et moi, mais je n’ai pas pu m’empêcher une remarque :

— Une partie de ton corps est en apesanteur.
— Ah bon ?
— Tes... ta poitrine !
— Ma poitrine ? En apesanteur ?

— Disons que... elle défie un peu les lois de la physique !

J’étais d’un coup très gêné et je ne savais pas comment m’en sortir. Heureusement que la nuit cachait mon trouble. Par bonheur, Julie était assez intelligente pour comprendre que c’était un compliment, malgré ma maladresse. Son ton joyeux me soulagea d’un poids : "Tu veux dire que j’ai une grosse poitrine ?" J’ai poussé un ouf de soulagement intérieur : "Disons que... je la trouve agréable !" Elle eut un petit rire. "Excuse-moi Julie... je n‘aurais... c’était maladroit de ma part." Julie eut un second petit rire avant de m’embrasser sur la joue. "C’est pas grave... j’aime bien les garçons maladroits !" J’eus un petit rire à mon tour. Un rire nerveux.

Rapidement, nous sommes arrivés au point d’observation. Il y avait 3 personnes déjà en train d’observer. Nous avons attendu notre tour. Involontairement, j’ai effleuré l’épaule de Julie avec mon bras. Elle tressaillit, puis me regarda en souriant légèrement alors que je m’excusais. Je devais paraître ridicule, alors j’ai tenté d’attirer son attention sur autre chose :

— Julie, tu t’y connais en constellation ?
— Pas vraiment. Et toi ?
— J’en connais deux, trois.
— C’est déjà un début. Tu me montres ?

Cela a commencé par la Grande Ourse, la seule que Julie connaissait. De là, je lui ai montré comment trouver l’étoile Polaire puis la Petite Ourse. Puis, je lui ai montré Cassiopée, en forme de W, qui me sert à repérer globalement le Nord en pleine nuit. Puis, après avoir cherché un peu, je lui ai montré Orion, notamment sa ceinture : "Tu savais qu’elle correspondait à la position des pyramides du plateau de Gizeh. Dans les mêmes proportions et..." elle m’interrompit : "Oui, je connais cette théorie." Je me suis arrêté net de parler et Julie eut un sourire : "J’aime quand tu parles des étoiles. Tu es tellement passionné qu’on dirait que tu as gardé ton âme d’enfant." Julie me fit baisser un peu et me déposa une autre bise sur la joue : "Continue comme ça... tu me fais rêver !" Je la faisais rêver... A mon tour, je me suis mis à rêver de choses assez coquines avec elle, oubliant quelques instants que j’étais marié à une femme que je trouvais formidable.

La place se libéra et nous avons pu observer la lune et ses cratères de très près. A travers l’oculaire, je restais xxx devant les détails. Des montagnes et des cratères en jeu d’ombre et lumière, c’était d’une netteté incroyable. Cela semblait tellement proche qu’on avait l’impression de pouvoir la toucher.

La soirée touchait à son terme et c’était avec regret que j’allais devoir quitter Julie. J’espérais pouvoir la revoir lors d’une autre prochaine soirée. D’ici là, nous pourrions échanger un peu, si j’arrivais à vaincre ma timidité pour lui demander ses coordonnées. Mais Julie semblait vouloir prolonger la soirée. Elle me prit par la main et m’emmena vers le fond du parc : "Tu me montres encore les étoiles ?" Bien à l’abri des quelques regards encore présents, elle s’allongea dans l’herbe et m’invita à faire de même. J’ai commencé à parler des étoiles que nous voyions. De la différence visible entre une planète et une étoile au sens astronomique du terme. Julie m’écoutait, ses bras enroulés autour du mien. Mais rapidement, elle m’arrêta d’un baiser sur la bouche. Un peu surpris au départ, j’ai répondu favorablement alors qu’elle me chevauchait. Je commençais à la caresser dans le dos en la serrant dans mes bras avant de me raviser :

— Qu’est-ce qui t’arrive ? Je ne te plais pas.
— Excuse-moi Julie. Si, tu me plais... mais je suis marié et...
— Moi aussi j’ai quelqu’un dans ma vie ! Mais je me sens tellement bien en ta compagnie... J’ai voulu partager plus que cette soirée étoilée.
— Moi aussi je me sens bien avec toi, Julie. Et...

Julie s’est laissée rouler dans l’herbe en soupirant. Elle me tournait le dos et maugréait : "C’est pas possible ça... pour une fois que je me sens vraiment bien avec un garçon..." J’ai alors pris Julie dans mes bras, son dos contre mon torse, et je l’ai embrassée dans le cou. La coquine remua des fesses, ce qui amplifia mon érection déjà conséquente. Je n’avais pas réalisé avant, mais elle le sentait forcément contre son joli popotin. Julie tourna la tête vers moi et me regarda du coin de l’œil, me lançant un sourire entendu. Nous n’avons pas dit un mot de plus, mais était-ce vraiment nécessaire ? J’ai alors passé ma main droite de sa hanche à son ventre, puis remonta à ses seins. Julie, elle, passa sa main sur mon érection qu’elle caressa quelques instants avant de la libérer. Je fis de même avec sa généreuse poitrine. Elle était douce et la lumière de la lune lui donnait une beauté particulière.

Rapidement, je détachais son pantalon qu’elle s’empressa de retirer pour me dévoiler son magnifique shorty de dentelle sombre.

Je serrais à nouveau Julie dans mes bras, frottant à nouveau mon érection contre ses fesses : "Quelle jolie fusée ! Elle veut atteindre la lune ?" J’eus un petit rire nerveux avant de répondre : "Si possible, pourquoi pas, mais j’avais d’abord pensé au mont de Vénus !"

Alors, Julie me mit sur le dos et m’embrassa avant de reprendre notre jeu de sous-entendu astronomique : "OK, on verra plus tard pour la lune. Mais avant le décollage, il faut faire tous les tests en vigueur." Julie m’embrassa à nouveau avant de prendre délicatement ma fusée dans sa bouche. Elle montait et descendait délicatement le long de mon érection m’arrachant des soupirs de plaisir. Elle remontait, redescendait, remontait, redescendait... Elle m’embrassait sur toute la longueur, donnait des coups de langue et me reprit dans sa délicieuse petite bouche. Je passais ma main dans ses cheveux, non pas pour la guider, mais plutôt pour lui manifester ma satisfaction. "Vas-y doucement, sinon je vais exploser au décollage !" Alors Julie se releva et retira son débardeur qui, de toute façon, était déjà bien relevé.

Elle se pencha en avant et effleura délicieusement ma hampe de la pointe de ses seins. "Tu vas m’envoyer en apesanteur ?" Julie me sourit et la blancheur de son sourire ressortait dans la nuit.

— Bien sûr !

Elle avait compris l’allusion à sa poitrine. Avec douceur, elle passa mon membre entre ses seins de belle taille et commença à me régaler. J’avais du mal à lui dire que c’était bon, tant je suffoquais de plaisir. Il a fallu qu’elle s’arrête un temps pour que je puisse aligner deux mots : "WOW ! J’ai l’impression que ma fusée passe entre deux Jupiters !" Julie eut un éclat de rire : "Ma poitrine est si grosse que cela ?" Le fait est que ma femme avait une petite poitrine. Mes petites amies, à l’adolescence, également. Pour moi, la poitrine de Julie me paraissait énorme. Quand je lui ai dit, Julie s’en est amusée avant de recommencer sa délicieuse caresse. J’en râlais de plaisir.

J’étais à deux doigts de jouir quand Julie s’arrêta : "Les tests sont terminés, il est temps que tu ailles en repérage pour voir où tu vas envoyer ta fusée." Sa phrase à peine terminée, Julie remonta le long de mon corps et, écartant les cuisses, elle me colla son shorty déjà plus qu’humide sur la bouche. Juste le temps d’écarter la dentelle, je me délectais à grand coup de langue du nectar de Julie, ce qui la fit vite gémir. Je la voyais se caresser les seins à la lumière de la lune, la bouche à demi ouverte par le plaisir. Je lapais Julie avidement alors que son mouvement de hanche démultipliait son plaisir sur ma langue. Alors qu’elle s’effondrait d’un plaisir bruyant, j’ai mis Julie sur le dos pour replonger ma tête entre ses cuisses qu’elle écartait en grand. Je me délectais de lui donner tant de plaisir avec ma bouche, avec mes doigts, avec les deux en même temps...

Petit à petit, je retirais son shorty. Elle l’avait encore autour de sa cheville droite alors que je commençais à frotter ma fusée contre son intimité.

Je passais et repassais entre ses lèvres lubrifiées d’excitation, hésitant à la prendre ainsi. Mais Julie était impatiente et elle remuait délicieusement du bassin. Malgré cela et mon envie d’elle, un dernier remords remontait du fond de mes pensées jusqu’à ce que Julie prenne l’initiative : "Allez mon grand ! Mise à feu ! 5... 4... 3... 2... 1... "

J’ai pris Julie fermement par les hanches et me suis enfoncé profondément d’un coup, sans la moindre difficulté. Excité comme jamais, je donnais de grands coups de reins à ma vénus offerte qui gémissait sous mes assauts. La prenant toujours par les hanches, je m’enfonçais en plus profondément, au plus profond d’elle. Je la serrais dans mes bras, lui embrassant les seins, le cou, les épaules...

Je n’ai jamais été un amant exceptionnel, ma femme s’en est souvent plainte, mais ce soir-là j’étais comme possédé et le plaisir audible de Julie renforçait mon envoûtement. J’allais de plus en plus vite et d’un coup, je suis sorti de Julie et, pris par mon mouvement d’allée et venue, je me suis écrasé sur les fesses de mon amante. Celle-ci s’exclama joyeusement : "Oui, pars à la conquête de la lune !" Je n’avais jamais fait et j’étais tétanisé à cette idée, et j’étais très envieux. Alors, doucement, j’ai présenté ma queue dure et j’ai commencé à glisser entre les douces fesses de Julie. J’ai senti ses fesses s’écarter au fur et à mesure de ma progression.

Puis, j’ai senti l’anus de Julie s’ouvrir et m’aspirer délicieusement. Julie recommença à gémir. Rapidement, je me suis enfoncé dans le joli cul rebondi de ma conquête puis j’ai commencé à coulisser dans cet étroit conduit. Mais, l’étroitesse des lieux et la nouveauté de cette sensation sont rapidement venues à bout de ma résistance, déjà bien mise à l’épreuve par les délices de Julie. J’ai rempli son petit orifice en râlant de plaisir à chaque saccade avant de m’effondrer dans ses bras.

Mais Julie était aussi dominatrice qu’insatiable. Profitant du fait que je reprenne mon souffle, elle me mit sur le dos et me chevaucha à nouveau. Elle attrapa son shorty et me ligota les mains avec alors qu’elle commençait déjà à se frotter sur mon érection à demi-molle. Elle passa mes bras dans son dos et enserra ma tête entre ses seins. Avec un tel traitement, j’ai rapidement retrouvé une forte érection. Et quand cette érection fut du goût de Julie, elle se suréleva et me fit entrer en elle dans un soupir commun de bien-être. J’avais toujours la tête entre les seins voluptueux de Julie qu’elle entama un mouvement de bassin qui me fit râler de plaisir. Elle sautillait sur moi et je ne pouvais que savourer cette agréable sensation qu’elle m’offrait. Je sentais Julie frémir de tout son corps sur ma queue tendue de désir pour elle en même temps qu’elle soupirait son extase. Je n’ai pas tardé à exploser une seconde fois en elle, râlant d’un plaisir étouffé entre ses seins.

Je m’effondrais en même temps que Julie, vaincus l’un et l’autre par notre orgasme commun.

Je ne sais pas comment mes mains se sont détachées, mais je me retrouvais allongé dans l’herbe, les bras en croix, le shorty de Julie au poignet gauche. J’avais énormément du mal à reprendre mon souffle, sentant Julie m’embrasser dans le cou. Elle se frottait contre moi et je sentais mon érection à demi-ramollie sortir de son corps alors que ses baisers descendaient vers mon torse. Ses seins lourds caressaient mon ventre et atteignaient rapidement ma tige presque molle que Julie passa entre ses seins.

Contrairement à moi, Julie n’était pas rassasiée et elle commençait à jouer avec ma guimauve. Elle alternait fellation, caresse avec ses seins pour tenter de me faire bander à nouveau. Elle y parvint partiellement et s’en contenta. Je recommençai à raller d’un plaisir presque douloureux alors que j’avais encore le souffle court. Elle alternait fellation profonde et masturbation frénétique avec ses seins. Mon corps s’électrisait sous le l’effet du plaisir que me procurait Julie. C’en était malgré tout vraiment bon et Julie continua son plaisant petit jeu jusqu’à ce que j’explose pour la troisième fois en moins d’un quart d’heure, envoyant quelques gouttes seulement de ma semence sur les seins et la figure de Julie. Julie me regardait droit dans les yeux avec un regard tellement coquin que je me demandais ce qu’elle allait encore me faire. Je sentais encore mon corps être parcouru par des décharges de plaisir et quand Julie s’est levée j’ai craint le pire.

En fait, elle a simplement rassemblé ses affaires avant de m’embrasser, se rhabiller et s’en aller.

Suffoquant encore des décharges de plaisir que j’éprouvais à chaque mouvement, je l’ai simplement regardée partir.
Quand j’ai repris mes esprits, je me suis demandé si je n’avais pas rêvé. Si je n’avais pas eu le shorty de Julie encore enroulé autour du poignet, j’en aurais été persuadé. Dans les jours qui ont suivi, j’ai trouvé un soutien-gorge assorti et j’ai offert l’ensemble à ma femme. J’adore la voir avec et j’adore lui faire l’amour quand elle le porte. Elle me disait que je lui fais mieux l’amour quand elle le porte. La vérité est que, pendant l’acte, je pensais à la belle et mystérieuse Julie, si elle s’appelle vraiment Julie. Et dire que je ne saurais même pas la reconnaître si je la croisais dans la rue !
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