Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 32 J'aime
  • 2 Commentaires

La nuit de l'innocence !

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Alors que la ville était déjà plongée dans une profonde nuit noire sans étoile, une lueur pouvait être vue à l’étage d’une grande maison aux volets habituellement vert- olive le jour. Dans sa chambre éclairée de la fine luminosité d’une lampe à capuchon noir, Alexia était allongée sur son lit. Vêtue d’une simple nuisette blanche et d’une fine culotte de la même couleur, laissant plus que deviner les courbures d’un corps à la douce couleur de la soie de la jeune fille qu’elle était et à la volupté grandissante de la femme qu’elle deviendrait bientôt.
La chaleur ambiante de cette soirée d’été et l’imagination fleurissante des jeunes esprits faisant, Alexia laissa divaguer son imagination sur diverses rives tout aussi enivrantes les unes que les autres. Le temps aidant, une de ses mains plus curieuse ou moins contrôlable, glissa subversivement vers son entre jambe afin de se poser délicatement sur sa fine culotte de coton. Alors les yeux fermés et passant une langue pour humecter ses lèvres roses, elle laissa sa main glisser à travers le dernier rempart la séparant de sa petite toison noire. Un doigt pénétra alors lentement entre ses parois rendues légèrement humides par un désir prolongé, puis en sorti tout aussi vite, pour enfin y re-rentrer une nouvelle fois encore et encore. A chaque va et viens l’on pouvait lire sur son tendre visage la naissance progressive d’un plaisir enivrant, mordant à intermittence ses petites lèvres devenues pourpres par la nuit et poussant de petits gémissements de plaisir, sourds et pourtant réel. Tout aussi réel que sa seconde main qui s’était retrouvée sur un de ses seins et le caressait longuement, prolongeant ses passages sur son bout dur et sensible.
Soudainement un bruit cassant se fit entendre plus bas, laissant échapper à Alexia un cri plus fort et inattendu ; ses mains ne bougèrent plus. Figée comme une statue, dans ses yeux verts, grands ouverts figuraient la peur et l’angoisse. Elle passa alors sa main sur sa bouche et sa respiration se fit plus lente et moins saccadée. Peu à peu, la panique disparue de son visage et elle se leva calmement pour se diriger vers son placard. L’ouverture lui parut durer des heures car elle essayait de ne faire aucun bruit. Elle entra et se blottie, les mains autour des jambes dans un coin reculé et sombre. Elle focalisa alors son attention sur une de ses chaussettes qu’elle pouvait à peine apercevoir grâce à la lumière qui filtrait d’un des recoins de sa cachette. C’était une chaussette jaune possédant un petit pompon vert pomme sur son montant, que sa mère lui avait offerte il y a un mois et qu’elle n’avait pas encore eu l’occasion de mettre. Un regret passa alors sur son visage puis elle arrêta soudainement sa respiration : En effet, un bruit de pas se fit entendre dans sa chambre. Une personne venait de faire irruption et l’on pouvait voir la faible lumière émise de l’extérieur du placard osciller à chaque passage de l’intrus.
Puis le silence vint ; un silence lourd et presque palpable qui ne dura que quelques instants, car soudain, la porte s’ouvrit en grand laissant entre - apercevoir le visage de l’inconnu. Il avait le teint pâle et le visage froncé de l’homme qui scrute dans le noir. Un large sourire se dessina sur son visage lorsque ses yeux fixèrent ceux d’Alexia. C’est ce moment qu’elle choisit alors pour lui lancer la chaussure qu’elle avait prise avec une de ses mains et profitant de la surprise de l’homme, elle lui fila entre les jambes. Elle glissa dans un premier temps, mais se releva presque aussitôt à l’aide de ses mains, puis elle se dirigea à toute allure vers la porte encore grande ouverte.
Cependant, alors qu’elle allait en atteindre le seuil, elle se heurta soudain à l’importante masse d’un homme qui lui bloquait le passage et atterri durement sur le sol glacial. Son regard se porta sur l’embrasure de la porte et elle vit qu’un second individu se trouvait devant elle. A ce même moment ses yeux se crispèrent et elle fut littéralement soulevée du sol : En effet, une main rude et forte venait de la tirer par les cheveux et de la mettre debout, non sans lui retirer un cri de surprise et de douleur. Le plus grand des deux individus qui lui faisaient face se mit à rire goulûment et sans gêne, puis il reprit un regard sérieux et lui parla :
— « Et bien petite, tu souhaitais nous fausser compagnie ? »
Sa main se posa sur le menton d’Alexia et le fit tourner vers lui pour bien la fixer dans les yeux.
— « Tu as l’air bien gentille »
Son regard examina Alexia de bas en haut et un sourire naquit sur le coin de sa bouche. La main de l’autre homme resserra sa prise dans ses cheveux et il passa son autre main sur la tunique de la jeune fille pour venir jusqu’à ses seins. Il se mit à les caresser doucement tandis que sa langue humide vint lui lécher le téton droit. De fines larmes se mirent à couler dès lors des yeux d’Alexia et le long de ses joues mais aucun son ne sortit de sa bouche. Le visage emplit par la terreur, Alexia sentit sa nuisette quitter son corps dans un craquement discontinu et tomber à même le sol. Les hommes se rapprochèrent d’elle et de son corps presque nu.
Le plus petit des agresseurs qui se trouvait derrière elle avait lâché ses cheveux mais la tenait toujours par un bras et lui appliquait une pression douloureuse qui l’empêchait de tenter le moindre mouvement. L’autre main de l’individu continuait son travail sur les seins découverts de la jeune fille. Le second homme vînt s’accroupir devant elle et se mit à lui lécher le cou, puis il posa une main sur ses hanches, et la glissa à l’intérieur de la fine culotte. En y découvrant une légère humidité, l’homme sourit à pleines dents et installa un de ses doigts à travers la douce toison noire de la jeune fille. Alexia déglutit lorsqu’un second doigt rentra et que l’homme commença à faire des mouvements saccadés avec ces derniers.
Les mains du plus petit lâchèrent son bras et son buste, mais les lèvres du second prirent la relève sur sa poitrine. Il continuait de mouvoir ses doigts et commençait à lécher puis à mordiller les petits seins devenus durs. Les sens d’Alexia la lâchaient de plus en plus; avec ces doigts qui la caressaient ici, son endroit le plus secret, il lui devenait de plus en plus dur de penser et de réfléchir. Mais soudain les mains quittèrent leurs proies et l’homme se releva.
C’est à ce moment qu’elle se rendit compte qu’elle n’avait plus sa culotte et que deux mains venaient de s’agripper à elle. La première se plaça sous son aisselle droite et lui prit un sein. La seconde vint se placer sur sa cuisse gauche et la souleva délicatement. Elle sentit alors se mouvoir entre ses jambes une troisième excroissance, plus chaude, plus inattendue. Le sexe de l’homme pénétra alors doucement entre les courbures humides de la jeune fille, s’enfonçant à chaque mouvements un peu plus profondément en laissant échapper de petits gémissements à sa captive. Le membre une fois profondément ancré, il se mit à faire des va et vient, effectuant ce mouvement au rythme des hanches de l’homme qui martelèrent maintes fois celles d’Alexia.
Le corps collé à son assaillant, son sexe entre ses jambes, Alexia ne touchait plus le sol de ses pieds depuis déjà quelques minutes. Mais ce fut une main solide qui lui intima de baisser son corps tandis que ses pieds se posèrent enfin sur le carrelage froid de la pièce. L’homme était toujours en elle, mais lorsqu’elle rouvrit les yeux elle découvrit son autre bourreau. Maintenant déshabillé, il la regardait froidement et devant elle se trouvait son membre droit. Une pression de sa main sur sa nuque lui fit comprendre ce qu’il attendait d’elle. Elle ne s’exécuta pas immédiatement, perturbé par les mouvements qui provenaient de son intérieur et déstabilisée par la chose qui se dressait devant elle. Ce fut une seconde pression plus insistante et plus douloureuse qui lui fit ouvrir les lèvres et les poser presque immédiatement sur la verge tendue. L’homme lui ordonna de lécher son extrémité, puis de l’introduire dans sa fine bouche. Elle sentit alors la vigueur du membre de l’homme grandir au fur et à mesure. Mais les coups de bassin ne cessaient pas et elle du poser une main par terre pour se maintenir, l’autre étant posée sur la base du sexe afin de facilité la fellation forcée qu’on lui avait ordonné. Chaque seconde était de plus en plus longue, et il semblait à Alexia qu’elle passait une éternité à lutter contre ces diverses ivresses que lui provoquait inconsciemment son corps.
Les va et vient s’arrêtèrent soudainement et les deux hommes sortirent de son corps. Elle sentit alors deux mains la saisir par les hanches et la poser sur un corps chaud et transpirant. Le plus grand des deux venait de s’allonger sur le dos et l’avait déposé sur son dard. Les jambes pliées autour de lui, elle s’enfonçait tout en douceur, sentant chaque millimètre de la virilité masculine l’envahir au plus profond d’elle-même. Bientôt les mains de l’homme toujours posées sur ses hanches la firent monter et descendre, finissant d’introduire à chaque passage son sexe tout entier.
Elle se surprit d’accompagner chaque lente oscillation avec sa propre force, balançant son bassin contre celui de l’homme. Démence passagère ? Délices du corps de l’interdit ? Qui savait et qui s’en souciait ? Elle n’était que la pauvre spectatrice de sa mise à bas, était-ce folie de sa part de vouloir passer outre sa peur en laissant libre court aux plaisirs de son corps ? Peu importe, ils étaient là et elle devait faire avec. Des gémissements de plaisir quittèrent sa bouche alors qu’elle vit le sexe de l’autre homme se présenter à elle. Elle mit une main dessus, le dénuda et l’enfouit goulûment dans sa bouche. Donnant des coups de langues sur son contour et le massant délicatement en son long de la main.
C’est ainsi qu’elle crut perdre conscience, entre la chaleur grandissante de son bas ventre qui la martelait intérieurement et celle contenue entre ses lèvres, si vivante et si enivrante. La vague de chaleur qui suivit; elle ne la sentit pas venir. Profonde et inattendue elle la submergea complètement, tout autant que le liquide chaud qui coula dans sa gorge. La semence de l’homme avait un goût étrange, salé et sucré à la fois et pourtant elle l’avala et lécha encore et encore le sexe qui semblait reprendre au fur et à mesure existence entre ses mains. L’autre se retira d’en elle et lui présenta à son tour sa verge qu’elle s’empressa de lécher. Le sexe émit un dernier frémissement entre ses mains avant de déverser son fluide sur son visage et sa bouche.
Elle finissait de lécher le sexe, toujours accroupie à même le sol lorsqu’un doigt se posa sur ses fesses et s’infiltra douloureusement entre ces dernières. L’autre homme avait profité de la chose pour se faufiler derrière et la pénétrer sournoisement. Il ne tarda pas à lever son doigt de la fente vierge et ce fut l’autre qui lui, fit mine de se relever. Il la souleva tout en exerçant une pression sur ses avant-bras et ses hanches et la posséda encore une fois. Elle entoura ses jambes autour de son agresseur ainsi que ses bras .Collés l’un à l’autre elle sentit le membre se raffermir en elle et glisser le long de sa paroi. D’autres mains se posèrent sur son corps huileux et finirent leurs courses sur ses cuisses tandis que dans un hurlement de plaisir elle sentit une chose démesurée, enivrante, conquérir sa virginité anale.
Possédé en tous sens par ces hommes qui faisait naître les diverses jouissances de la luxure dans son corps inexpérimenté, Alexia poussa des gémissements de plaisir et de délices charnels, se vit encore une fois inonder d’une jouissance si profonde qu’elle en cria à perdre haleine et l’accompagna de chaudes larmes. Ils l’allongèrent ensuite sur le lit et déposèrent leurs semences sur son corps haletant. Elle passa un doigt sur son ventre rendu blanc par le foutre répandu et le porta à sa bouche. Sa vision commença à perdre consistance et ce fut le sommeil qui l’accueillie dans ses bras immatériels et profonds. Une nuit sans rêves de jeune fille l’enivra et l’emporta loin de cette scène, la détachant peu à peu de son corps pour l’amener loin de toute nécessité et de tout désir. Au matin elle se réveilla engourdie d’une nuit sans repos, toujours dévêtue de ses habits. Elle ne trouva dans sa chambre aucun changement. Rien n’avait été dérobé, ni déplacé. Seul sur sa table de chevet trônait maladroitement posé une liasse de billets, sombre souvenir d’une nuit emportant son enfance, sa virginité et ses rêves.
FIN
Diffuse en direct !
Regarder son live