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Nuit de noce

Chapitre 1

Erotique
Ce soir là, nous venons de nous marier. Ma femme est somptueuse dans sa belle et longue robe blanche. Je t’ai emmené dans un bel hôtel de Bruxelles près du bois de la Cambre pour passer une nuit avant notre départ pour notre voyage de noce en Crète.Je me souviens que lorsque je t’ai embrassé la toute à l’heure après le traditionnel « Oui », je ne sais pas pourquoi mon regard s’est plongé dans ton décolleté. A cet instant, je me suis souvenu de notre jeunesse et de ta petite poitrine que tu cachais toujours, même lorsqu’on couchait ensemble, dans ton soutien-gorge. Il est vrai qu’elle était petite, mais elle était déjà splendide.Aujourd’hui, plus rien à voir avec notre jeunesse. Ta poitrine a grandi quelque chose d’incroyable. Je me souviens que tu m’as dit que tu portes du 95C. Tes seins sont devenus une arme fatale que tu utilises souvent contre moi quand tu veux que je te fasse l’amour. Et je sais que si pour ce jour particulier où tu es devenu ma femme, tu as mis un décolleté qui m’a permis d’admirer tes nichons toute la journée, c’est que ce soir tu me veux en toi.Nous arrivons devant notre chambre et comme le veux la tradition je te prends dans mes bras pour passer la porte. On y voit encore plus ou moins clair, malgré qu’il fait nuit. La lune éclaire encore ton visage. Je n’allume pas la lumière. Je te pose sur le lit et aussitôt tu te lèves pour m’embrasser tendrement. Je te prends dans mes bras pendant que nos lèvres et nos langues se rencontrent. Mes mains partent de tes cheveux que je caresse avec amour, passent ensuite dans ton joli cou, glissent sur ton dos délicat, et s’arrêtent sur tes fesses si fermes que je redessine avec mes mains. Je suis tout excité et je me sens déjà à l’étroit dans mon costume.Je n’ai pas compris comment, mais en moins de temps qu’il le faut pour le dire tu m’as arraché mes vêtements, je suis retrouvé nu devant toi encore dans ta magnifique robe.Hier soir, ta sœur m’avait briefé rapidement sur comment enlever ta robe. Je te retourne, ton dos face à moi et commence à essayer de démêler tout cela. Je m’énerve un peu car je sens mon sexe qui grandi et qui n’attend qu’une chose.Soudain, je ne sais pas par quel miracle, ta robe tombe. Je découvre tes sous-vêtements très sexy : Tout en dentelle, blanc, un magnifique soutif qui renferme tes seins, une petite culotte à tomber par terre qui moule ton cul, un porte jarretelle qui te donne un aspect tellement plus érotique. Mon sexe se tend au maximum à la vue de toutes ces belles choses qui t’habillent. Tu souris et le prend dans tes mains tout en l’agitant vigoureusement.Moi, ma main s’en va te caresser ton entre-jambe par-dessus ta petite culotte. Je te souffle à l’oreille un : « Madame, vous êtes irrésistible. –Et vous Monsieur, je suis si fier d’être votre femme. ». On sourit tous les deux et nous embrassons sauvagement. Tu te jettes à mon cou et entoures ma taille de tes jambes. Je te plaque contre le mur, comme tu aimes. « Haaaaa ! cries-tu. Mon sauvage, je t’aime ! » Mon sexe se frotte contre ta petite culotte, tu le sens et le reprend en main tant bien que mal pour encore un peu me chauffer en me branlant. Ma tête, elle, plonge dans ton soutif blanc. Le nez entre tes énormes nichons qui se balancent, ma langue parcours tes doux melons si parfait et si gros. Ca m’excite… Tu n’imagines même pas.Ma main gauche te balance de temps en temps une petite fessée qui te fait crier fortement, pendant que ma main droite a écarté ta petite culotte en dentelle pour pouvoir te doigter violement et très rapidement.Après un bon moment, je te repose au sol. Tu perds ton équilibre tellement tu es sur ton nuage, ces quelques minutes où je viens de te doigter t’ont emmenées ailleurs. Je te rattrape pour pas que tu tombes par terre. Je désagrafe ton soutif et le laisse tomber. Tes seins pendent dans le vide. « Ooooh ! Qu’ils sont beaux, dis-je sans m’en rendre compte. ». Tu rigoles. Ensuite, j’arrache d’une traite tout le bas de tes sous-vêtements. Je me rends compte alors comme ma femme est belle et sexy. J’ai de la chance de t’avoir.Tu ne rigoles plus, tu vas te mettre sur le lit en me tirant par la bite. Les jambes bien écartées pour que je puisse voir ton sexe brulant et tout mouillé, je crois d’abord que tu veux que je te fasse un cunni. Je penche ma tête en avant, mais tu la repousses aussitôt : c’est mon sexe que tu veux. Je n’avais pas remarqué à quel point tu étais mouillée ! Tu es littéralement trempée, lorsque je présente mon sexe devant le tien, il rentre tout seul entièrement en un coup. C’est moi qui hurle « Aaaaaah ! » tellement tu es chaude et étroite. Je te prends par les cuisses pour te balancer de gros coups de reins qui te font hurler de plaisir. Mon sexe voyage en toi, rentre quand je tire sur tes jambes et sors quand je les repousse. Soudain, tu arrêtes. Tu retires mon sexe et commence à l’examiner tout en le prenant en main. Tu te redresses et me demandes de m’asseoir sur le lit. Je t’obéis.« D’habitude, elle est plus grande, affirmes-tu. »Avant que je puisse répondre quoi que se soit, tu m’avais pris le sexe entre tes deux seins et avais commencé une branlette espagnole. Maintenant que ta poitrine te le permettait, c’est un plaisir que tu m’accordais de plus en plus souvent et auquel j’avais très vite pris goût.Et effectivement, mon sexe grandit encore un peu. Lorsqu’il fut assez long à ton goût, tu m’allongeas, t’assis sur moi et je pénétrai une seconde fois en toi. Cette fois, c’est toi qui cria un « Ooooooooooh ! Ouiiiiii ! Fais-moi l’Amour ! ». A l’aide de tes jambes, tu montais et descendais tout en glissant le long de ma bite.Je te retourne soudainement et repasse au dessus. Totalement couché sur toi, j’agrippe tes seins tout en donnant d’énormes coups de reins très rapides.Tu cries un long « Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah ! » qui me fait trembler de bonheur. Un peu plus tard, je jouis et lance tout mon sperme en toi par saccades. Je t’embrasses d’un petit bisous délicat sur tes lèvres pour te féliciter te pose ma tête sur ta poitrine le temps que je reprennes mon souffle.
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