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Nuit d'orgie

Chapitre unique

Orgie / Partouze
Nuit d’orgie
Quelques mois ont passé après l’embauche d’Emma dans la société ou je travaille.Mon épouse n’a pas eu beaucoup l’occasion de donner de sa personne, elle me dit que ça ne vaut pas le coup d’être raconté.Par contre, Jean,mon patron ne jure plus que par elle, il me dit qu’elle a fait sérieusement monter le chiffre d’affaire. Je m’en rends compte avec la charge de travail dans les ateliers. Tant mieux, d’autant que notre niveau de vie a sérieusement augmenté, je ne m’en plains pas.
Mon patron profite que je vienne le voir pour un problème technique pour me dire.— Vous êtes libres samedi soir, Emma et toi ?— Euh, je crois,demandez à Emma. Pour quelle raison ?— Je voudrais vous inviter au resto, comme on a bien travaillé on pourrait fêter ça.— Merci beaucoup,c’est gentil à vous.— C’est un truc entre nous, il y aura Emma et toi, il y aura aussi mon banquier. Ne l’ébruite pas.— Nous serons quatre, alors.— Dis donc, tu as une grande fille, je crois ?— Oui, Léa, elle vient d’avoir dix huit ans.— Si elle est libre,ça serait bien qu’elle vienne aussi. Elle découvrira le monde de l’entreprise.— Je lui demanderai.Je vous le dirai demain.
Quand je vis Léa je lui parlai de l’invitation, elle n’était pas très chaude au départ, puis finalement elle accepta, comme elle n’avait rien de mieux à faire.
— Bon, Léa est d’accord pour venir.— Parfait, j’irai vous chercher à vingt heures.— Faut il être habillé, ce n’est pas trop élégant ?— Non, habillez vous léger, il n’y aura pas de souci.— Ou va t’on ?
— ce sera une surprise.
Le samedi venu, nou snous préparons, je mets un pantalon clair avec une chemisette, Emma a un fourreau noir à mi cuisse et Léa une jupe plissée assez courte et un chemisier blanc.A l’heure dite, la grosse berline de Jean arrive, il a déjà le banquier à bord. Ils descendent de voiture pour nous saluer, Jean nous présente Bernard,un homme de la cinquantaine assez corpulent, nous nous contenterons du prénom. Je vois qu’ils apprécient tous deux ma fille à la façon dont ils la regardent.
Quand nous montons dans la voiture, Jean fait monter Emma devant, nous montons derrière avec Léa entre Bernard et moi.— Il y en a pour une demi heure, dit Jean.Pendant que nous roulons, je vois que Jean tripote la cuisse d’Emma, je ne suis pas surpris sachant qu’il la baise souvent. De mon coté, je vois que Bernard s’intéresse à sa voisine, il lui reluque la poitrine et sa main se promène le long de sa cuisse. Elle n’essaie pas de reculer sa jambe alors Bernard s’enhardit et pose sa main sur sa cuisse, il la promène tout le long par dessus sa jupe, mais il me regarde en coin pour voir ma réaction.
Nous arrivons à une auberge cossue en pleine campagne, aussitôt le patron nous accueille.— Bonsoir et bienvenue, je vous ai réservé l’alcôve comme convenu, venez avec moi.Il nous emmène au fond de la salle vers une table isolée par des cloisons et des claustras coté salle.Jean nous place, d’un coté Bernard, Léa et moi, de l’autre Emma et lui.Le serveur nous apporte le champagne et nous trinquons au succès de la boite. Le champ’ est excellent et Emma et Léa semblent bien l’apprécier.Très vite elles ont les yeux brillants et rient pour rien.Enfin le repas commence et le calme revient. Après qu’on ait fini l’entrée, nous recommençons à discuter.Bernard demande à Léa ce qu’elle fait à la Fac. Elle lui répond qu’elle prépare un diplôme de commerce international. Il lui dit que ça l’intéresse.Elle répond que son problème c’est de trouver un stage, toutes les demandes qu’elle a faites ont eu des réponses négatives.— Mais moi, je peux t’en propose un.— c’est vrai ?C’est gentil à vous.— C’est normal, et j’aimerais faire plaisir à une jolie fille comme toi.En répondant il pose sa main sur le genou de Léa et il commence à lui caresser la  cuisse.Elle lui sourit et le laisse faire. Il commence à glisser sa main sous sa jupe. Elle a collé sa jambe contre la sienne, ce qui fait qu’elle a les cuisses ouvertes et qu’il peut glisser sa main à l’intérieur.De l’autre coté de la table je devine que la main d’Emma est au niveau de la braguette de Jean et je suppose que Jean a glissé sa main entre les cuisses de mon épouse.Les mains reviennent sur la table quand un nouveau plat arrive, le serveur doit être habitué car il reste stoïque devant les mains baladeuses, mais son pantalon traduit sa pensée.
Comme on a veillé à ne pas laisser les verres vides, les femmes ont pris des couleurs et se laissent un peu aller. En me levant vers la fin du repas pour aller aux toilettes je m’aperçois que la robe fourreau d’Emma est remontée jusqu’aux reins et que sa culotte est à mi cuisses.Quant à Léa, son chemisier baille sur ses seins sortis de leur soutif et sa jupe retroussée ne cache rien de son entrecuisse. Les braguettes sont également grandes ouvertes, y compris la mienne car Léa ne m’a pas oublié !Quand on nous apporte des fruits, les dames échangent des morceaux de cerises en même temps que leurs langues avec leurs voisins qui sont occupés à leur fouiller la chatte.
Le repas fini, il nous faut rhabiller les femmes pour les rendre présentables, sachant qu’elles n’ont plus de culotte, elles sont bien mures et il nous faut les soutenir pour aller jusqu’à la voiture.Pendant le retour, Jean se fait sucer par Emma et à l’arrière nous avons mis Léa à genoux devant nous pour qu’elle nous pompe à tour de rôle. Sitôt rentrés je les emmène dans notre chambre, les nanas ricanent bêtement pendant qu’on les débarrasse de leurs fringues en les pelotant, puis on les allonge sur le grand lit.
Jean sort de sa poche une petite boite et nous distribue des pilules magiques et nous nous foutons à poil.A voir les deux femelles les cuisses ouvertes, nous bandons dur tous les trois, mais les plus rapides sont Bernard qui se dépêche d’enfiler Léa et Jean qui pénètre Emma. Ils commencent à les pistonner en position du missionnaire, mais Bernard avec son gros bide finit par se retourner en se faisant chevaucher par Léa.— Bouge ton cul,Léa, vas y, remue toi.Malgré son état alcoolisé, elle commence à faire onduler ses reins, je me branle en regardant les bites qui coulissent dans la chatte de mes femmes. Elles gémissent sous l’assaut de leurs assaillants qui commencent à souffler fort et à grogner . Ils sont trop excités pour durer longtemps et Bernard saisit les fesses de Léa pour s’enfoncer au fond de son vagin et gicler son sperme en plusieurs jets, Jean suit de peu et remplit Emma à son tour.
Ils restent un petit moment immobiles puis ils se retirent, ils se relèvent et décident de changer de partenaire, Bernard fait mettre Emma en levrette avant de la pénétrer tandis que Jean laisse Léa allongée pour lui enfoncer sa queue dans sa vulve encore ouverte par la bite de Bernard.Pour la deuxième séance ils sont beaucoup plus calmes, ils vont et viennent lentement et en profondeur, les femmes en profitent pour s’embrasser et se caresser les seins, puis je m’approche pour leur donner ma bite à sucer, elles se la partagent mais je sens monter la saucer, je me branle et j’éjacule sur les nichons et le ventre de Léa.Ils accélèrent,les bites coulissent à merveille dans les vagins bien lubrifiés parla cyprine et le sperme épais. Ils jouissent presque ensemble et restent plantés le plus longtemps possible dans les cons dilatés.Quand ils se retirent, le foutre dégouline entre les cuisses de la mère et de la fille.
Nous faisons une pause pour reprendre des forces et nous encourageons Emma et Léa à nous faire un petit numéro lesbien, ce qu’elles font volontiers,elles s’embrassent en se caressant les fesses, les mains s’égarent entre les cuisses et pénètrent les vulves dégoulinantes avant de titiller les trous plissés.Nous avons repris de la vigueur et nous séparons les femmes, Bernard s’allonge et attire Emma sur lui, elle s’empale sur son braquemart dressé, Jean vient derrière elle et je crois qu’il va la sodomiser, mais non,il présente sa queue contre celle de Bernard et il l’introduit dans le vagin déjà occupé.Cela fait crier Emma qui n’est pas habituée à une pareille intrusion, finalement les deux bites sont en place pour un pilonnage en règle, cela fait un bruit mouillé de flic-floc et les sexes ressortent couverts de sperme qui suinte tout autour.De mon coté, je fais mettre Léa à quatre pattes, je m’enduis la bite de lubrifiant et je lui en étale une bonne couche sur son anus et à l’entrée, je présente mon gland et je pousse.— Va doucement,papa, je n’ai pas l’habitude.— ne t’inquiète pas chérie, je vais y aller doucement.Le sphincter résiste un peu, puis il commence à lâcher, ça y est, mon gland pénètre doucement, Léa halète mais ne se dérobe pas, maintenant le gland est passé et ma tige glisse doucement dans son cul. Je commence des petits va et vient, je rentre de plus en plus profond, mon membre coulisse de mieux en mieux, Léa gémit mais ne se plaint pas, son cul vient à la rencontre de ma bite, maintenant mon pubis vient taper sur ses fesses, je la pistonne plus fort, elle pousse des petits cris à chaque poussée. Je la cogne plus fort, je suis emporté par mon désir de possession, enfin je me lâche, je lui injecte tout mon foutre au fond de son rectum et je m’écroule sur elle, complètement vidé.
À coté de moi, le trio accélère sa cadence et les bites ressortent du vagin distendu pour gicler sur les fesses et le dos de mon épouse.Enfin il est temps de prendre un peu de repos et tout le monde s’endort un peu les uns sur les autres.
Soudain je suis réveillé par le bruit et les mouvements désordonnés du lit.Il fait à peine jour, Bernard et Jean ont décidé de baiser mes femmes encore une fois avant de partir, ils les ont réveillées et ils les enfilent à grands coups de reins, les faisant gémir et pousser des râles bruyants, ça me redonne la trique et je me branle à genoux entre les corps secoués des femmes.Enfin ils se retirent et se branlent aussi, éjaculant leur foutre sur les ventres et les seins en faisant de grandes traînées blanches, et je complémente leurs giclées avec les miennes.
Bernard et Jean se rhabillent et partent tandis que les nanas vont dans la salle de bains se nettoyer, je reste seul dans le lit dévasté.
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