Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 151 J'aime
  • 3 Commentaires

La nuit où je t'ai partagée

Chapitre 1

Orgie / Partouze
Je me remémore souvent cette nuit-là. Aujourd’hui j’ai envie de l’immortaliser. Je la couche sur le papier, afin que nous puissions nous la relire de temps en temps…
Nous avions passé une très bonne soirée, à l’occasion de l’anniversaire d’une de tes amies ; le genre de soirées très sympa, sans prétention, où l’on passe d’un groupe à un autre, liant connaissance avec untel ou unetelle. La configuration des lieux aidait : la demeure des parents de ton amie était grande et subtilement architecturée, offrant aux invités une multitude de petits recoins pour s’assembler et discuter en toute intimité. Le bar familial était bien fourni. Bref, tout était réuni pour réserver d’excellents moments.L’ambiance était d’autant plus décontractée que chacun savait pouvoir dormir sur place. L’organisation avait été parfaite, nous connaissions notre chambre et avions été présentés au couple qui la partagerait avec nous. Nous nous étions croisés quelques fois au cours de la soirée, avions échangé quelques mots, quelques sourires, quelques regards aussi.A une heure avancée de la nuit, les invités commencèrent à se retirer, et fatigués, nous fîmes de même. La chambre était déserte, nous nous couchâmes rapidement. Quelques baisers de bonne nuit, et tu te lovas contre moi.Nous étions à peine assoupis lorsque des bruissements se firent entendre, suivis de gloussements étouffés. Instinctivement, nous tendîmes l’oreille, analysant les bruits, tentant de visualiser, malgré le noir complet, les mouvements du couple voisin. Rapidement, il devint clair que ces mouvements n’étaient pas seulement destinés à se préparer pour la nuit. Les soupirs et les fluides échangés étaient parfaitement évocateurs.
Tu bougeas contre moi, je te répondis d’une caresse, nous étions tous les deux à l’écoute. Ta main se posa sur ma cuisse, la caressant avec légèreté, tandis que la mienne se glissait sous ton long t-shirt et le remontait, dévoilant tes fesses. Mes lèvres trouvèrent les tiennes, ta langue la mienne. Un gémissement plus fort que les autres s’échappa, suivi d’un « chuuuut » et d’un petit rire : nos partenaires tentaient vainement de masquer leurs ébats. Je ne pus m’empêcher de répondre tout bas par un bienveillant « je vous en prie, laissez-vous aller ». Un court silence suivit, avant l’invitation : « rejoignez-nous plutôt ! ».Il est difficile de décrire ce qui peut traverser l’esprit d’un couple dans un moment comme celui-ci : interrogation, fébrilité, fantasme, tabou ? Des discussions ou rires passés aussi. Le temps sembla s’arrêter sur nos interrogations muettes, jusqu’à ce que ta main remonte sur ma cuisse et frôle mon sexe, comme un test de mon envie, de mon acceptation de l’idée. D’un doigt, je caressai le bas de ton dos. Et je te sentis te soulever sur tes bras, donnant le signal.
Une lumière tamisée apparut, et les voiles furent levés. Nous émergeâmes des draps, toi dans ton t-shirt blanc sans manches, moi nu comme un ver. Nos partenaires nous attendaient, debout sur le matelas déposé au centre de la chambre, complètement nus également, un sourire aux lèvres. A notre approche hésitante, main dans la main, ils comprirent que nous n’étions que des débutants en la matière. Ils nous sourirent avec bienveillance.Il s’enlacèrent et s’embrassèrent langoureusement, nous invitant à faire de même ; ce que nous fîmes, un peu contractés, partagés entre le désir et la crainte de l’inconnu, hésitant quant à la marche à suivre, un peu fascinés aussi. Pas complètement concentrés sur notre baiser, nous ne pouvions nous empêcher de les observer, les détailler, les mesurer également. L’un comme l’autre, nous fîmes le tour de leurs atours, appréciant la courbe d’un sein, le galbe d’une hanche, le creux d’un rein, une érection décomplexée et prometteuse.Enfin ils se détachèrent, et elle me tendit la main. Tu desserras ton étreinte pour m’encourager, et je saisis ses doigts. Elle m’attira à elle et prit mes lèvres. Je l’embrassai timidement, tentant de jeter un regard vers toi. Je ne réussis pas à déchiffrer ton expression. Que pouvais-tu ressentir à cet instant ? Désir, jalousie, frisson d’anticipation, crainte ? Je n’eus pas le temps de m’interroger plus, car lui aussi s’approcha et t’enlaça. Il porta ses lèvres aux tiennes, et ton visage disparut à ma vue. Etrange de te partager ainsi, d’imaginer ta langue chevaucher la sienne, découvrir son goût. Je fus soudain détourné de mes pensées par une langue étrangère. Ma partenaire avait compris qu’il était temps de faire sauter mes barrières.Je sentis ses mains partir à la découverte de mon anatomie, avec un but évident, qu’elles atteignirent rapidement. L’une saisit ma verge dressée, l’autre caressa mes testicules. Un immense frisson me traversa le dos, expression de mes sentiments partagés, pour faire instantanément place au plaisir, sous ses manipulations expertes. Je la sentis se retirer de ma bouche, et s’affaisser progressivement, jusqu’à se positionner à genoux devant moi, le regard levé vers moi, prête à me donner le maximum de plaisir.
Son partenaire n’était pas en reste. Il avait glissé ses mains sous ton t-shirt, remontant de tes cuisses musclées à tes fesses. Sans s’y attarder, il avait parcouru ton dos, t’encourageant à relever les bras, lui permettant de passer ton haut par-dessus ta tête, te dénudant enfin. Découvrant ton corps merveilleusement harmonieux à son regard avide. Il s’empara de tes seins, les couvrant de baisers, de caresses, tandis que tu l’entourais de tes bras, l’encourageant, frissonnant sous ses stimulations précises. Des vagues de plaisir irradièrent depuis tes tétons dressés.
Enfin rassasié, il te souleva sans peine et t’allongea sur le matelas. Sa langue détailla ton ventre, ton nombril, et descendit sur ton sexe, qu’il avait si hâte de goûter. Tes lèvres tendres et charnues l’accueillirent avec bonheur. Il n’eut pas à s’employer pour te préparer, ton désir l’avait précédé, inondant ta vulve. Des gémissements de plaisir lui échappèrent, alors qu’il s’emparait de ton clitoris, et te pénétrait de ses doigts longs et fins, et qu’il te sentait de cambrer de bonheur. Toute inhibition t’abandonna à ce moment-là. Il aspira soudainement ton clitoris, avant de le relâcher et de l’exciter follement de sa langue, t’arrachant un cri.J’y répondis d’un râle. Elle venait d’engloutir mon sexe dans sa gorge, après d’interminables et savoureux préliminaires. Sans se presser, elle avait parcouru le gland, la verge, les préparant, les excitant, les découvrant, en prenant la mesure. Puis elle avait joué avec mes couilles, léchant, happant, suçant, me faisant osciller entre plaisir et douleur, me branlant d’une main, caressant mes fesses de l’autre. Elle sonda le sillon, explora mes désirs.Jusqu’à ce qu’enfin, elle m’estime à point, et me suce diaboliquement, enfin, du mieux qu’elle pouvait, car jamais elle n’atteindrait ton expertise, ta connaissance de mon sexe, de mes faiblesses. Et son but n’était pas de me mener à l’orgasme, non, pas aussi tôt. Je n’en savourais pas moins ses lèvres sur mon chibre, sa langue qui s’enroulait sur le gland.Je te sentis bondir de l’autre côté du matelas. Tes fesses décollèrent, et ton orgasme se déclencha, accompagné de tes cris de ravissement. Ton partenaire retira ses doigts, te laissant profiter des vagues de plaisir qui te submergeaient, alors que tes ongles se plantaient dans les draps. Ce fut comme un signal de notre côté, et elle m’incita à la rejoindre sur la couche. La situation était claire, j’avais une mission : lui rendre la pareille.J’estimais que c’était dans mes cordes, et tes gémissements m’avaient ôté toute culpabilité, laissant place au plaisir uniquement. Je m’allongeai sur elle, et la remerciai de son ardeur par de longs baisers, avant de manger ses seins généreux, tandis que mes mains frôlaient l’intérieur de ses cuisses, qu’elle écarta instantanément pour s’offrir à mes caresses, frémissante. J’abandonnai enfin sa poitrine, et ma langue et mes doigts se rejoignirent au cœur de son intimité, qui m’attendait impatiemment, brûlante, trempée, sucrée.
Elle était déjà terriblement excitée. Je ne pris aucun gant, et avalai son sexe à pleine bouche, tandis qu’elle venait à ma rencontre, savourant les premières décharges de plaisir irradiant dans son corps. Alors que ses lèvres et son clitoris emplissaient ma bouche, je sondai du bout des doigts les entrées de son vagin et de son anus. Ils palpitaient follement tous les deux, détendus, inondés, gourmands. Je les pénétrai sans ménagement et elle bondit d’extase.Pendant ce temps, tu t’étais installée entre les cuisses de ton partenaire, et t’évertuais à lui rendre le plaisir qu’il t’avait donné. Les yeux clos, la main dans tes cheveux, il accompagnait tes mouvements de ses hanches, prenant son pied, alors que tu engloutissais sa virilité dans ta bouche, et le suçais généreusement, tout en contrôle, à l’écoute de ses sensations, des vibrations de son sexe. Ton ventre se contractait furieusement, t’appelant vainement, requérant d’être rempli sans tarder. Ton excitation était à son comble, tu en avais assez de ces enfantillages.
L’orgasme de ta voisine vint à ta rescousse. Enfin ses spasmes se terminèrent. Ton partenaire interrompit galamment ton œuvre, se releva, t’accompagna d’une main sur la taille, t’invitant à nous rejoindre. Il te poussa vers moi. Sans échanger un mot, une sorte d’accord tacite avait été passé. Sans expérience, sans protection non plus, nous aurions certaines limites.Je m’étais effondré sur le dos suite à mon cunni furieux, et cela te convenait parfaitement : tu t’installas à genoux sur moi, m’immobilisant de tes cuisses. Tu te penchas sur moi, me recouvrant de ton corps brûlant. Tes mains emprisonnèrent mon visage, et tu joignis tes lèvres aux miennes, scellant le retour de nos plaisirs partagés, de notre intimité. Je savourai ta langue, tout en m’emparant de tes fesses, et les malaxai puissamment.Je sentis une main se saisir de ma verge, la branler énergiquement deux ou trois fois, puis des lèvres la suçoter quelques instants, avant que tes hanches soient soulevées, puis rabaissées, engloutissant mon sexe dans ton vagin. Un cri de surprise et de ravissement s’échappa de tes lèvres délicieuses, alors qu’enfin, enfin, ton besoin d’être remplie était satisfait. Sans demander ton reste, tu te relevas, et commenças à te limer lentement, sensuellement, sur mon chibre dur comme de la pierre.D’un coup d’œil nous prîmes connaissance de la position de nos partenaires. Ils avaient entrepris une levrette sauvage, juste derrière nous, permettant à la demoiselle d’avoir une vue imprenable sur notre intimité, qu’elle ne manqua pas de mettre à profit. D’une main, elle t’immobilisa. De l’autre, elle retira mon sexe de ton con, et l’enfourna dans sa bouche, découvrant nos goûts mêlés, me durcissant comme jamais, te mettant au supplice, impatiente à en crier de rage. Enfin, elle présenta à nouveau mon gland à l’entrée de ton vagin, et tu pus l’enfoncer au plus profond de toi.
Tu choisis cette fois-ci de le conserver ainsi, l’emprisonnant, ondulant des hanches, maximisant ton plaisir. Elle t’arracha un hoquet de surprise quand sa langue attaqua un anulingus démentiel. Tu ne t’y attendais pas et ce ne fut que meilleur. Son expertise en la matière était manifeste, car elle te mena tout proche de l’orgasme en un temps record, excitant en intégralité cette zone merveilleusement innervée.Tu te cambrais sous ses assauts, te présentant du mieux possible, concentrée à l’extrême sur l’action de cette langue incroyable, qui déclenchait dans ton dos décharges sur décharges. Une nouvelle fois, tu la sentis soulever tes hanches, s’emparer de mon sexe. Cette fois pour le présenter à l’entrée de ton anus, et en forcer le passage, sous nos râles conjoints. Elle nous encouragea en deux ou trois courts va-et-vient, puis nous sépara, malgré nos gémissements indignés. Coquine, elle engloutit mon sexe dans sa gorge, puis dans ton cul, profondément, provoquant notre cri de bonheur.Ah, qu’elle fut experte pour nous guider vers cet orgasme ! Désormais libres de nos mouvements, nous nous en donnâmes à cœur joie, toi te limant sans fin sur mon sexe, moi t’accompagnant de mes coups de reins, désireux de m’enfoncer toujours plus loin en toi, serrée comme jamais. Le rythme de mes pénétrations s’accéléra, synchronisé par les coups de boutoir que notre voisin imposait à la partenaire, et les deux couples explosèrent dans l’extase.Nous nous affalames sur le matelas, épuisés. Toujours sans un mot, quelques sourires furent échangés, et la lumière éteinte. Il était temps de dormir.
Diffuse en direct !
Regarder son live