Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 52 J'aime
  • 3 Commentaires

La nuit du réveillon

Chapitre 1

Hétéro
La nuit du réveillon
Pour fêter le réveillon, un pote m’a invité chez ses parents qui lui ont laissé la maison pour l’occasion. Nous sommes quasiment une quarantaine au total. La soirée se passe très bien. Il y a environ autant de garçons que de filles. Il n’y a pas vraiment de fille au dessus du lot, mais cela ne nous empêche pas de draguer et de danser. Je vois une fille qui n’est pas mal du tout. Elle doit mesurée environ 1m70, elle est assez fine et possède de jolis yeux bleus qui sont bien mis en valeur par ses cheveux bruns. On danse assez langoureusement l’un contre l’autre plusieurs fois au cours de la soirée.
Minuit est passé depuis un bon moment et les premières personnes commencent à partir ou à aller se coucher. Pour ma part je dors chez mon pote. Je me dirige donc vers la chambre que l’on m’a indiquée. Avant de fermer la porte, je vois ma jolie brune qui passe devant moi et qui me lance un regard de braise. A ce moment là, j’espère qu’elle va entrer mais elle part dans sa chambre. C’est donc un peu déçu et terriblement excité que je m’allonge. Après quelques minutes, j’entends la porte s’ouvrir. Je me redresse pour voir de qui il s’agit mais il fait trop sombre et je ne peux pas savoir de qui il s’agit. Mais rapidement, je sens une personne sur mon lit. Cette personne me serre dans ses bras. Même si je ne la vois pas, je pense qu’il s’agit de cette fameuse brune qui a du changer d’avis.
Nous commençons donc à nous embrasser. Je caresse son corps, ses petits seins et son joli cul contre lequel je me suis frotté tout à l’heure. Puis nous nous déshabillons. Elle m’embrasse puis dépose des baisers sur mon torse. Je lui caresse les seins. Elle me dit qu’elle a très envie de moi et elle se place déjà entre mes jambes. Je me dis que je suis tombé sur une grosse salope.
Elle me taille alors une pipe. Elle caresse mes couilles et englouti ma bite. Celle-ci va jusqu’au fond de sa bouche. Je sens sa langue qui tourne autour de ma queue. J’appuie sur sa tête pour que ma bite reste bien au chaud au fond de sa bouche. J’entends les bruits de succions et cela m’excite beaucoup d’autant plus que je commence à toucher sa chatte qui dégouline de plaisir. Je lui demande de se mettre en 69. Elle me demande si je suis sur. Pour lui répondre, j’attrape son cul et viens le mettre au dessus de ma bouche. Je peux maintenant lui lécher la chatte à pleine langue. Elle mouille encore plus. Elle se redresse et me dit qu’il faut vraiment que je la fourre maintenant. Elle se met à quatre pattes devant moi. J’attrape ses jolies fesses et j’enfonce ma bite en elle d’un coup sec. Je la saute en m’accrochant à ses hanches. Je vais assez fort et nous prenons tout les deux notre pied. Je l’attrape par les cheveux et je les lui tire pour qu’elle se cambre d’avantage. Avec mon autre main je commence à titiller son cul lorsqu’elle m’arrête soudainement. Elle me dit : « tu sais bien que je n’aime pas ça ! ». Je me dis que je ne vois pas comment je pourrais le savoir mais j’accélère la cadence et la pistonne à toute vitesse. Elle couine de plus en plus fort et certains doivent certainement nous entendre mais nous n’en avons rien à faire. Au bout d’un moment, je m’arrête. Elle se met debout et je fais de même. Elle m’embrasse et me dit qu’elle m’aime. Tout en l’embrassant, je la plaque contre le mur. Je sens ses cuisses s’écarter et une de ses jambes passer autour de moi. Je remets ma bite en elle. Je la baise comme un fou et sans aucun sentiment. Elle couine à nouveau très fort. Après plusieurs minutes de pilonnage intensif, je finis par jouir en elle. Elle me susurre qu’elle m’aime et me serre fort dans ses bras. Ne lui ayant témoigné aucun amour je suis surpris par cette déclaration mais je n’y prête pas attention.
Elle veut retourner au lit mais comme nous sommes dans le noir complet, elle trébuche et tombe. Pour facilité la situation, j’allume la lumière et nous faisons chacun une drôle de découverte. Devant moi, entièrement nue, ce n’est pas la brune que je trouve mais la copine du pote chez qui se déroule la soirée ! Elle semble bien plus gênée que moi, surement car elle a trompé son mec (même si c’est totalement involontaire). Elle comprend alors qu’elle s’est trompée de chambre. En effet la chambre de son mec est juste à coté. Heureusement que ce dernier n’est plus en grande forme. Je comprends alors mieux les différentes phrases qu’elle m’a dites ou certains gestes qu’elle n’a pas compris. Pour détendre l’atmosphère je lui dis qu’elle n’aurait certainement pas eu de sexe dans l’autre chambre. Elle me sourit et répond que son mec n’est effectivement pas en état pour la baiser. Elle me demande qui je croyais baiser. Je lui décris la brune. Sa description correspond parfaitement à elle sauf pour la couleur des cheveux, c’est pour cela que je n’ai rien trouvé de suspect. Elle se rhabille et me demande de ne rien dire à personne. Je le lui promets. Elle me dit qu’elle n’a presque pas de regret car notre partie de jambes en l’air été très bonne et l’a changé de sa routine. De plus elle déteste que son mec se mette dans cet état alors c’est comme une punition pour lui. Avant de sortir, elle me dit que si un jour elle cherche un amant elle viendra me voir car je lui ai fait beaucoup de bien.
Je m’endors mais je me réveille peu de temps après car j’ai très envie de baiser. J’avoue que baiser la copine de mon pote m’a bien excité surtout que celle-ci est une bonne petite cochonne. Je me lève et décide d’aller voir dans la chambre de la jolie brune. Malheureusement celle-ci dort profondément entre deux autres filles qui doivent être ses amies. J’entends bien des couples baiser mais cela ne m’aide pas beaucoup. Je pense alors à aller voir dans la chambre où doivent dormir des filles de mon lycée. Je pense surtout à une. J’ouvre la porte et je trouve deux filles qui dorment chacune du coté d’un grand lit. J’entends que la respiration d’une des filles est très rapide et j’entends aussi quelques petits couinements. Je m’approche discrètement et je ne suis pas surpris de voir Emilie ou Pipelette comme on l’appelait au lycée. Elle était la fille la plus salope du lycée et elle a baisé avec un nombre incalculable d’élèves mais aussi de profs. Elle passait ses pauses à tailler des pipes, d’où son surnom. Je m’approche d’elle et elle me voit. Malgré tout elle n’arrête pas de se branler et elle regarde ma bite qui déforme mon caleçon avec envie. Je lui demande pourquoi elle n’est pas en train de baiser. Elle répond qu’elle l’a déjà fait deux fois aujourd’hui. Je rétorque que visiblement cela ne lui a pas suffit. Elle attrape ma bite à travers le caleçon et me dit que je dois pouvoir l’aider. Je m’approche donc de cette petite blonde d’1m62 qui n’est pas vraiment une beauté et qui n’a pas vraiment d’argument à part son petit cul bien rond et le fait que c’est une salope.
Je me glisse dans le lit. Elle est toujours sur le dos. Comme je bande dur et qu’elle est toute humide elle me dit qu’elle ne veut pas perdre de temps car elle a quand même envie de dormir. Je me place donc sur elle et je fourre ma bite en elle. Juste à coté de nous, l’autre fille dort en nous tournant le dos. Comme elle est sous les draps je ne vois pas de qui il s’agit. Elle ne réagit pas donc je continue de sauter Emilie qui prend son pied avec ma bite en elle. Elle passe ses bras autour de moi et je laisse tout mon corps reposer sur elle. Mon torse écrase ses seins. Elle place sa tête contre mon cou et enroule ses jambes autour de moi. Je la bourre fort un bon quart d’heure avant que je ne sente son corps se crisper. Elle a un orgasme et ses spasmes déclenches mon propre orgasme. J’éjacule donc dans ma deuxième chatte de la soirée. La dernière fois que j’ai remplie la chatte d’Emilie remonte au moins à cinq ans. Elle me fait un bisou et s’endort presque sur le champ. Je me laisse glisser entre les deux filles et fait de même.
Le lendemain matin je me réveille avec une trique d’enfer. Même si il est tôt, Emilie est déjà partie. Mais comme le montre ma bite, j’ai très envie de baiser. Je me tourne donc vers l’autre fille qui est dans le lit et qui dort toujours. Je regarde de qui il s’agit. C’est Amélie, une fille qui n’est pas belle du tout pour ne pas dire moche. Elle est petite, sans forme et son visage n’est pas des plus harmonieux. Malgré tout elle est ma chance la plus certaine de baiser de suite. Je me redresse et je fais glisser les couvertures du lit. Ensuite je tire sur le drap pour qu’elle soit dessous et que je puisse accéder à sa chatte. Lorsque je vois sa chatte, je découvre que cette petite intello avec son air de sainte ni touche prend quand même le temps de prendre soin de sa chatte qui est toute lisse. Je regarde son cul qui visiblement n’a jamais été ouvert par une bite. Elle dort sur le coté. Je mets bien le drap sur elle pour ne pas la voir. Je me place en cuillère et j’insère ma bite en elle. Cela la réveille et elle tente de se débattre. Comme elle est bloquée sous le drap et que je tiens ses bras elle ne peut pas bouger. Je lui dis de se laisser faire et que je vais ne lui faire que du bien. Je continue de la pénétrer assez lentement. Je sens sa respiration qui accélère et sa chatte s’humidifier. Je constate qu’elle n’est pas vierge comme beaucoup le pensaient. D’un bras je tiens le drap pour ne pas qu’elle puisse bouger où voir qui la prend et de l’autre je m’accroche à son cul. Je la fourre maintenant très fort et j’entends mes couilles frapper son derrière.
Cette petite chienne qui me suppliait de ne pas lui faire du mal prend maintenant bien son pied. Elle ressent même du plaisir et pousse de petits gémissements. Mais le fait de penser que son cul est vierge m’excite. Je lui doigte donc le cul. Elle ne semble pas d’accord mais je ne lui laisse pas le choix. Lorsque je le trouve assez ouvert, j’enfile ma bite. Pour la première fois de sa vie elle se fait enculer. Je la saute sans ménagement. Elle crie de douleur et me supplie d’arrêter. Pour ne pas qu’elle ameute tout le monde, je prends l’oreiller et lui plaque sur la bouche. Cela étouffe ses cris et je la prends maintenant très forts. Je fini par inonder son cul. Elle pleure mais me remercie de l’avoir baisé. Du coup je ne sais pas si ce sont des larmes de douleurs ou de bonheur d’avoir enfin pu se faire baiser comme une salope. Je me lève et sort de la chambre. Amélie reste sous le drap. Je remarque que celui-ci est totalement humide, comme quoi elle a du prendre du plaisir !
Je retourne dans ma chambre pour m’habiller. Lorsque je sors, je croise le pote chez qui nous sommes. Il est encore assez vaseux mais il me dit que hier soir j’ai bien pris mon pied. Je lui demande ce qu’il en sait et il me dit qu’il a entendu une salope couiner pendant un bon moment avant qu’il ne s’endorme. Je lui réponds qu’il aurait bien fait de réserver le même sort à sa copine car si il ne la baise pas assez elle finira par le quitter. Je peux au moins le prévenir maintenant que je sais de quoi sa copine est capable ! Après avoir saluer tout le monde, y compris sa copine, Emilie et Amélie (dont plusieurs personnes ont dit qu’elle n’est pas avec nous ce matin), je rentre chez moi en compagnie d’un pote qui a lui aussi passé une bonne nuit visiblement.
N’hésitez pas à me contacter. Je profite de ce récit pour vous souhaitez une bonne année 2015 pleine de bonheur, de réussite et bien sur de sexe.
Diffuse en direct !
Regarder son live