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Nuits d'hiver avec ma cousine

Chapitre 3

A trop oser...

Inceste
Après la randonnée et son petit intermède surprise, nous sommes tous rentrés au chalet. Je suis vanné et je m’écroule sur mon lit jusqu’à ce qu’on m’appelle pour le dîner. 
Alors que les enfants sont tous devant un film de Noël, ma mère et ses deux sœurs Léonie et Maxine papotent en buvant du vin tandis que nous autres entamons une partie de poker. Lola mène la partie, usant quelque peu de ses charmes en exhibant chaque fois qu’elle le peut sa petite jupe plissée qu’elle a revêtu ce soir. Même mon père ne peut s’empêcher de reluquer ses belles jambes et sa croupe lorsqu’elle se lève et se penche pour ramasser ses jetons. Grand père Yves, depuis son fauteuil devant le feu semble lui aussi se régaler du spectacle. 

Seul Daniel, le père de Lola et mari de Léonie, reste impassible devant les deux beaux obus qui manquent de déborder du soutien gorge. Judith observe son petit manège en souriant et me donne des coups de pied sous la table chaque fois que mon regard s’égare dans son décolleté .
La partie continue. Les enfants partent se coucher, suivis de leurs mères et bientôt de Daniel, qui, à sec, a terminé de jouer pour ce soir. Une fois leurs femmes parties, l’atmosphère se détend un peu plus et mon père et mon oncle Victor ne se cachent plus pour mater sans vergogne ma cousine. Cette dernière nous en offre pour notre argent car, à mesure qu’elle ramasse nos jetons petit à petit, ses seins finissent inévitablement par surgir à la vue de tous. 

Les deux globes de chair et leurs tétons rosés attirent l’attention de tous et pendant quelques secondes, le temps est comme figé.

— Oups, fait-elle d’un air faussement timide en se rhabillant sans se presser. Désolée je crois que je suis trop excitée. Je vous mets la pâtée ! Allez distribue Benji. 
Après deux manches, la tension est tellement forte, que j’ai l’impression que mon père bouillonne sur sa chaise. 

— Et bien, toussote mon père. Je pense qu’il est temps pour moi de déclarer forfait. De toute façon, la petite m’a tout raflé. Allez bonne nuit les jeunes.— Mais tu laisses Papy comme ça ? Dis -je en lui montrant mon grand-père, endormi dans son fauteuil.— Oh tu sais comme il est. Il ira au lit quand il se réveillera. — Je vais faire pareil, poursuit Victor en se levant à sa suite. Vous couchez pas trop tard. 

Dès qu’ils sont partis, je me dis que c’est le moment idéal pour recommencer le coup de ce midi. Vu que Lola a l’air d’humeur plutôt coquine, je suis certain qu’elle ne dirait pas non à un autre plan à quatre. Cette dernière ne lâche pas Dorian des yeux et se mord la lèvre d’une manière outrageuse. Elle va s’attirer les foudres de ma soeur si elle continue… 
Nous poursuivons la partie et, manches après manche, je me demande lequel de nous va oser faire le premier pas.

Au moment où ma soeur part aux toilettes, Lola m’interpelle : 

— Benji, tu vas nous chercher un truc à boire ? Me demande Lola d’une voix mielleuse. Rapporte des bières. — Ok… 

J’ai l’impression que c’est un prétexte pour m’éloigner, aussi, quand je franchis la porte du salon, je reste un instant derrière pour les observer. A peine quelques secondes plus tard, Lola se lève et vient se blottir dans le dos de Dorian, lui chuchotant quelque chose à l’oreille. Mais qu’est-ce qu’elle peut bien lui dire ? Je n’en reviens pas qu’elle essaie de se faire le mec de ma soeur dans son dos. Surtout après ce qu’il s’est passé cet après-midi. 
Justement, Judith arrive et lorsqu’elle aperçoit Lola, les bras noués autour du cou de son homme, un sourire vicieux se dessine sur son visage. 
— Reste là frangin, me dit-elle, déterminée. On va s’amuser avec cette salope qui a le feu au cul. 
Tapis derrière la porte, je vois ma sœur s’approcher de Lola, qui a fait un pas en arrière en la voyant arriver. L’air coupable qu’elle affiche sur son visage me fait sourire. 

— Qu’est-ce qu’il se passe Lola ? L’interroge Judith d’un ton hautain. Tu serais pas en train de chauffer mon mec dans mon dos par hasard ? — Non… balbutie-t-elle. Je lui demandais juste quand est-ce que je pourrais venir participer à vos jeux.— Ah oui ? Tu as aimé cet après-midi alors ? — Ouais c’était fun. — On aime bien introduire quelqu’un dans nos petits moments intimes. L’ennui c’est qu’on préfère choisir les personnes nous-mêmes vois-tu ? Pas qu’elles s’imposent. — Oui, répond-elle, déçue.— Par contre si tu es disposée et que tu nous montres que tu es bien obéissante, là on pourra peut-être s’arranger.— Obéissante ? Comment ?— Oh mon chou… rit Judith. Dorian tu lui expliques ?— Obéissante comme une bonne petite chienne, complète-t-il, le regard noir.

Lola tressaille mais garde un air fier et déterminé. Elle semble comprendre ce que ma soeur sous-entend. Mais va-t-elle accepter ? Dans mon boxer, mon membre commence à me démanger surtout quand j’imagine ce que Judith va lui ordonner de faire. Est-ce que son audace va la mener à se soumettre aux ordres de ma soeur ? Lola lève le menton fièrement et gonfle sa poitrine avant de lâcher du bout des lèvres : 

— J’obéirais.— Et comment ? S’amuse à lui faire répéter ma sœur.— Comme une bonne petite chienne. — Bien, la félicite Judith. Maintenant déshabille-toi. — Là, ici ? Mais il y a Papy qui dort, et Ben qui est pas loin...et puis les parents peuvent…— Et alors ? Où est passée la chienne obéissante ? — Oui...D’accord.

Sous le regard satisfait du jeune couple, Lola ôte sa jupe et son haut, révélant ainsi son absence de sous-vêtements. Entièrement nue, elle se tient immobile, tentant de trouver une contenance en nouant ses bras autour de sa poitrine, en fausse pudeur. La voir rougir de honte me fait bander tellement fort que j’ai presque envie de me montrer. Mais je dois attendre le signal. 

— A quatre pattes maintenant chienne ! 

Dorian, toujours assis à sa place, sort sa queue et contemple le spectacle avec un certain amusement tandis que Judith ordonne à notre cousine de marcher en rond dans la pièce. Lola hésite mais se résigne à subir cette humiliation. 
-Va te frotter aux pieds de Papy, lui indique Judith en désignant notre grand père, ronflant toujours dans son fauteuil. 

Docilement, elle se dandine, ondule de la croupe pour exciter ses spectateurs. Avec douceur elle frotte son flanc sur les genoux du grand-père, qui gigote un peu mais ne semble pas se réveiller. 

— Touche toi devant lui.— Allez fais pas ta timide, il dort, il ne verra rien, rit Dorian devant le regard outré de Lola.

Lola se dresse sur ses genoux et glisse une main entre ses cuisses. Elle se caresse doucement. Trop au goût de ma sœur qui lui demande de s’activer. La voilà maintenant qui se mord les lèvres pour retenir ses gémissements, alors que sa main s’acharne sur son bourgeon. Quand le premier soupir parvient à franchir ses lèvres, notre grand-père tressaute dans son sommeil, ce qui ne la perturbe même plus. Elle ne s’arrête de se torturer le clito qu’une fois que Judith lui ordonne. 
Judith vient alors empoigner la natte de Lola et la tient ainsi en laisse.

— Allez avance chienne, on va finir ça dans la chambre. J’ai besoin de deux trois petits trucs. 

A cette annonce, je file me cacher dans la salle de bain la plus proche. Quand je n’entends plus leurs pas dans le couloir, je me faufile jusqu’à la porte légèrement entrebâillée. Je peux voir ma sœur et son mec, assis sur le lit tandis que ma cousine est encore à quatre pattes sur le sol, docile petite chienne attendant l’ordre de sa maîtresse. Judith sort de son sac un tube de déodorant et le lance à la jeune fille qui regarde l’objet d’un oeil inquiet. 

— Accroupie maintenant ! Bien… Enfile ça dans ta chatte ma belle, jambes bien écartées pour qu’on voit tout. 

Judith clame ses ordres à la pauvre Lola qui s’empresse de s’exécuter et place l’objet si froid dans sa cavité toute chaude. Elle frissonne mais continue et bientôt, le tube est complètement englouti dans sa grotte. Dorian se charge de déshabiller ma sœur, la dévorant au passage et moi, je me branle furieusement derrière cette porte, attendant que mon heure vienne. Judith la laisse se masturber avec le déodorant pendant de longues minutes, pendant qu’elle savoure la langue de Dorian qui explore les replis de sa vulve. 

— Alors tu as été sage petite chienne ? Lui demande ma soeur, alors que Dorian se relève.— Oui. — Et qu’est-ce que tu veux comme récompense ?— Je veux qu’il me baise. — Ah oui ? C’est une bite que tu veux ? — Oui… — Dis le— Je veux une bite. — Plus fort !— Je veux une bite ! 

Avec un sourire satisfait, ma sœur me fait alors le signe que j’attendais et je dévoile enfin ma présence. Les yeux de Lola s’arrondissent de surprise quand elle comprend que tout ceci était prémédité. 

— En voilà une de bite, lui présente ma soeur avec un sourire sardonique.— Mais c’est Ben… Je ne peux pas coucher avec mon cousin, se plaint Lola en me regardant avec un air de chien battu.— A toi de choisir ma belle, c’est lui ou ce flacon de déo. 

Elle hésite. Judith, quant à elle, sait ce qu’elle veut et en un regard vers Dorian, elle l’obtient sans même ouvrir la bouche. Ce dernier s’allonge sur le lit et ma soeur le chevauche et s’empale sur lui, sous le regard envieux de Lola. Cette dernière, toujours accroupie sur le sol, se mord la lèvre en jetant des coups d’oeil à ma queue qui pointe dans sa direction. 

— Bon, ok, capitule-t-elle. Tu peux venir me prendre si tu veux…

La suffisance de son ton m’agace. Elle va attendre un peu puisque c’est comme ça. Je m’avance vers elle et lui présente mon sexe devant ses lèvres.

— Suce-moi d’abord, on verra après si tu mérites que je te prenne. 

Elle fronce les sourcils et une moue montrant son orgueil blessé se dessine sur son visage. Elle qui croyait avoir les rênes, elle se rend compte finalement, qu’elle ne contrôle rien du tout, y compris sa propre excitation. Elle finit par ouvrir la bouche et lèche mon gland et ma hampe avec timidité. Je noue sa natte autour de mon poing et la laisse mener doucement sa fellation, mais quand elle commence à aspirer ma queue entre ses lèvres, le frisson de plaisir qui me parcourt allume la partie primale en moi. Sans aucune considération, je force sa bouche et y insère mon membre jusqu’à venir buter contre sa luette. Lola tousse et je sens sa gorge se contracter autour de mon gland. C’est si bon que je ne la lâche qu’au bout de longues secondes, si bien qu’elle peine à reprendre son souffle. Son menton dégouline de salive jusque sur le sol. 
Les quelques gouttes qui y perlent me donnent une idée et, alors que ma soeur est toujours en pleine chevauchée sur le lit, je glisse mes doigts entre les cuisses de Lola. Ses jambes tremblent de fatigue dans cette position mais je lui demande de les écarter comme elle l’a fait tout à l’heure avec le déodorant. Offerte à la vue de tous, sa petite chatte luit de cyprine et mes doigts plongent en elle, se perdant dans sa moiteur. Puis, de deux doigts , je stimule cette partie sensible à l’entrée de sa grotte, de plus en plus vite. Entre ses gémissements de plus en plus forts, je n’entends plus que les clapotis de ma paume trempée de sa cyprine qui presse sa vulve et la fait succomber. Lola s’agrippe à mes jambes et malgré son envie de se retenir, elle jouit si fort qu’un jet de cyprine arrose le sol. 

Ma soeur pousse des gémissements de plus en plus fort, attirant mon attention. Apparemment, Dorian vient tout juste de changer de trou et voir Judith se faire défoncer le cul par son mec me donne sérieusement envie de plonger ma bite au chaud. 

— A quatre pattes chienne, tu as vu ce que tu as fait ? Dis-je d’un ton sévère. Tu en as mis partout ! Lèche maintenant. 

Lola obéis, encore à moitié enivrée par l’orgasme et se met à lécher le sol pendant que je me poste derrière elle. Une fois la capote enfilée, mes mains se posent sur la croupe de ma cousine et la douceur de sa peau est telle que je ne résiste plus longtemps. En un coup de reins, je plonge ma queue en elle et savoure l’extase de sentir ma chair comprimée par sa petite chatte toute serrée. A deux mains, je m’agrippe à ses hanches et me propulse en elle à un rythme sauvage. Enfin je la défonce ! Enfin je peux l’entendre couiner sous mes assauts ! 
J’alterne les rythmes, tantôt je la fore doucement mais profondément, tantôt je m’acharne sur elle, le régalant du bruit de mes couilles claquant sur sa vulve. 

-Ah oui… C’est bon… Plus fort… gémit Lola 

Mes mains sont si fortement arrimées à ses hanches que mes jointures en blanchissent et je relâche ma prise d’une main pour aller enrouler sa natte autour de mon poignet. Soumise à une tension extrême, Lola est obligée de cambrer les hanches, ses seins ballotant à chaque coups de reins. Je l’attire jusqu’à mon torse et l’embrasse, goûtant sa salive encore mêlée de son jus. Je la pilonne avec tellement de fougue qu’elle ne peut retenir ses cris. 

— Un de vous deux vient la faire taire ? Demandé-je à ma soeur 

Ces derniers sont assez occupés. Dorian est en train de lui défoncer le cul juste devant nous et voir la rondelle de ma sœur se faire investir avec tant de vigueur me donne une furieuse envie de faire pareil. Judith change alors de position et se retourne, nous montrant sa chatte suintante, libre d’accès. D’un geste de la main, elle me fait comprendre ce qu’elle veut.

— Allez, va lécher la chatte de ma soeur pendant que je te défonce salope, ordonné-je.

A quatre pattes, elle parvient tant bien que mal à exécuter mon ordre mais finalement vient coller son nez entre les cuisses de ma soeur. Lola fait glisser sa langue comme elle peut dans les replis de Judith, tandis que celle-ci reçoit de puissants coups de reins. La vue est sublime. Ses deux globes de peau nacrée m’appellent et je ne résiste pas à l’envie de faire rougir tout ça. Du plat de la main, j’y assène une bonne claque qui la fait immédiatement s’offusquer de douleur. La trace de ma main apparaît, teintant de rouge sa si claire épiderme. Mais la trace disparaît déjà et une deuxième fessée suit alors, ravivant la couleur et la douleur. D’une main je maintiens sa tête entre les cuisses de ma sœur tandis que de l’autre, mon pouce se fraye un passage vers son petit trou. 
Le muscle se contracte devant l’intrusion et Lola se rebelle : 
— Qu’est-ce que tu fous ?— J’ai envie de ton cul...— Non, pas là. Ça fait trop mal. — Juste le doigt alors.
D’une poussée, je l’enfonce dans son cul, lui arrachant un grognement de plaisir. Le spectacle de ma queue entrant et sortant de sa chatte avec mon pouce dans son petit trou est exquis 

Je baise ma cousine. Je n’en reviens pas. Et vu les gémissements et les couinements qu’elle fait, elle a l’air d’adorer ça. Saisissant ses hanches, je la martèle avec force, mon gland butant bien au fond de sa grotte. J’ose insérer mon autre pouce et quand de mes deux doigts je vois son trou s’écarter, je meurs d’envie d’y fourrer ma queue. Mais comme elle ne veut pas, je vais faire autrement.
J’attrape le tube de déo, encore luisant de cyprine et crache sur son anneau avant de l’enfoncer doucement. Le tube, d’environ quinze centimètres, à peine introduit au tiers, elle se raidit et son corps est soudain parcouru de spasmes. J’ai l’impression qu’elle vibre contre moi et, instinctivement, je plonge une main devant pour presser ma paume contre son clito, déclenchant un puissant cri de jouissance. Elle hurle presque tant le plaisir la consume et ma sœur est obligée la faire taire en lui enfouissant sa tête entre ses seins. 

Dès qu’elle semble revenir sur Terre, je retire le tube pour pouvoir la pilonner encore jusqu’à atteindre moi aussi la jouissance. Mais Dorian me devance et, une fois l’orgasme de Judith consumé, ce dernier sort du cul de ma sœur et se branle vigoureusement. Judith plonge le visage de Lola vers le dard de Dorian qui jouit en un râle, arrosant son joli minois de grosses giclées de semence épaisse. 

Plus que quelques coups de reins et je vais pouvoir jouir. J’attrape les deux tétons rosés de Lola et les tord avec tant de force, que cela déclenche chez elle une longue plainte de plaisir mêlé de douleur. Il ne m’en faut pas plus. En un râle, je me retire de sa chatte, ôte la capote et jouis sur son visage, ajoutant de ma semence aux fluides qui la maquillent déjà. 

Wahou, ce que c’était intense ! Lola est complètement harassée, ses jambes ne la portent plus. Elle nous remercie du bout des lèvres et je l’aide à retourner dans notre chambre, la soutenant par la taille. Ce soir-là, j’ai dormi comme un bébé. Étonnant non ? 
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