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Nuits d'hiver avec ma cousine

Chapitre 4

Un tour au Marché de Noël

Inceste
Dormir comme un bébé n’est pas qu’une façon de parler. En plein milieu de la nuit, je me suis réveillé, envahi par une sensation particulière. A peine ai-je le temps d’ouvrir les yeux, que je sens mon sexe s’introduire dans un écrin chaud et humide. Je vois dans l’ombre la silhouette de ma cousine qui s’agite au-dessus de ma bite et je réalise qu’elle est en train de me sucer. Décidément, elle n’en a pas eu assez tout à l’heure ?

J’émerge doucement, savourant l’exquise succion quand la voilà qui m’aspire entièrement, palpant mes bourses de sa main experte. Lola suce ma bite jusqu’à ce que cette dernière lui semble suffisamment raide pour venir y apposer une capote.

En quelques secondes, elle me chevauche et s’empale sur ma queue, gémissant de plaisir tandis que son ventre se remplit petit à petit. Elle attrape mes mains et les maintient au-dessus de ma tête, m’imposant le rythme qu’elle souhaite, un lent balancement qui me frustre plus qu’autre chose. Je sens qu’elle met tout son poids dans sa prise mais cela ne m’empêche pas de prendre le dessus et de la faire rouler sous moi.

Dans l’obscurité, je vois son regard se teinter de cette lueur de mécontentement. Elle est en rogne que j’aie réussi à la soumettre et me le fait savoir en plantant ses ongles dans mon dos. Immédiatement, je réplique en lui mordant le creux de l’épaule, lui assénant en même temps, un violent coup de bassin. Mes gestes sont brusques et frénétiques. Je la pilonne si fort que sa tête frappe le bois du lit à chaque à-coup.

Sous mes assauts brutaux, Lola n’est plus que sensation et extase. Ses yeux sont voilés de désir et, de sa bouche grande ouverte, s’échappe de longues plaintes si bien que je m’empresse de la bâillonner de ma main. Ses jambes s’enroulent autour des miennes, son bassin accompagne mes mouvements : elle cherche sa jouissance.

Mais comme j’adore la taquiner, je me retire de sa chatte et attends posté devant, histoire de la frustrer. Elle gronde et se tord sous moi mais je résiste et ne bouge pas d’un millimètre.

— Benji… Allez…— Quoi ?— Enfonce-toi vas-y ! — Va falloir le demander plus gentiment…— Prends-moi s’il te plaît…
— Je suis sûr que tu peux faire mieux que ça. Supplie-moi.— Oh t’es chiant… je… je t’en supplie, prends-moi !

Enfin ! Satisfait, je plonge en elle et reprends une cadence soutenue. Sa bouche m’appelle. Je m’y risque, prêt à supporter sa morsure, mais Lola gronde son plaisir contre mes lèvres et sa langue vient s’entremêler à la mienne.

Au moment où je baisse ma garde, elle me mord la lèvre inférieure et me jette ce petit regard effronté qui me fait tant bander. J’attrape le premier vêtement qui me passe par la main et lui fourre dans la bouche, étouffant ses gémissements. Décidé à lui faire la même, je lui mords le téton assez fort pour lui arracher un sursaut. Ma langue apaise un peu sa douleur, tournoyant autour de l’aréole pour finalement venir le sucer.

Lola noue ses jambes autour des miennes, m’offrant la possibilité de la prendre plus profondément. Ma queue l’emplit totalement, chaque fois que je bute dans un point précis, elle a un sursaut suivi d’un long frisson de plaisir, si bien que je m’a rive pour stimuler de plus en plus cet endroit. Elle se tend soudain et je sens les puissants spasmes de son orgasme même à travers la capote. Ma main vient instinctivement se glisser contre son clito et, alors qu’elle est en train de hurler sa jouissance malgré son bâillon de fortune, je l’agace si fort qu’une autre vague l’emporte, trempant mes couilles de sa mouille qui ruisselle sur les draps.

Bientôt, ancré au plus profond de son ventre, j’explose ma jouissance, remplissant la capote de mon foutre. Repu et harassé, je m’écroule à ses côtés, essayant de reprendre mon souffle. Un coup d’œil sur mon téléphone m’indique cinq heures du matin. Génial, je vais pouvoir me rendormir.

— J’y crois pas ! S’exclame Lola. Tu m’as mis une chaussette dans la bouche! T’es dégueu — C’est le premier truc qui est venu. En plus, tu l’as bien cherché, tu n’avais qu’à pas me mordre.— Ouais, ben c’est quand même dégoûtant. — C’est bon, on peut dormir où tu as encore envie de sexe ? — On dort. — Je pensais que cette soirée t’avait crevée, je me suis trompé apparemment. T’es une sacrée gourmande.— Tu dis gourmande, mais dans tes yeux je lis obsédée. — Et alors ? C’est pas si mal d’aimer le sexe . Au moins tu sais ce que tu veux. Mais évite de draguer le mec de ma soeur à nouveau, parce que là, tu deviendrais la pire des salopes. Et ça, c’est tout de suite moins bandant. — A part lui ici, je n’ai pas trop le choix. Il n’y a que mes oncles, mon père et mon cousin. Tu vois le dilemme…— On est cousins et alors ? C’est que du sexe, on va pas faire un enfant. Relax, profite et ne te prends pas la tête. — Ouais je pense que le stade cousin est dépassé maintenant, rit-elle. Mais Benji… Si je te dis que j’ai envie d’encore plus, ça fait de moi une salope ?— Comment ça encore plus ?— Je ne sais pas. Juste plus quoi. Je n’arrive pas à expliquer. — Alors on verra ça demain. Là j’ai vraiment besoin de dormir…— Bonne nuit. — Bonne nuit.

Quelques heures plus tard, je me lève tant bien que mal pour me doucher avant de participer au petit déjeuner familial. Les yeux cernés, mon reflet dans le miroir de la salle de bain me ferait presque peur. La fatigue est une conséquence que je suis prêt à encaisser, si c’est pour profiter comme je l’ai fait hier soir. Et cette nuit.

Aujourd’hui, nous partons tous au village voisin, faire des courses pour la soirée de demain. Noël a envahi le petit bourg, illuminé de mille et une couleurs et les traditionnels chalets en bois ornent la place, entourant une patinoire artificielle, disposée pour l’occasion.
A mesure que je me promène dans le marché de Noël, les odeurs de vin chaud et d’épices se mélangent à celles des bougies artisanales, aiguisant mes sens . Il y a foule et malgré mes efforts, je perds ma cousine de vue et me retrouve avec le groupe des hommes. Daniel, Victor et mon père vont s’installer autour d’un tonneau en guise de table et dégustent un verre de vin chaud tandis que je suis chargé d’aller chercher des victuailles.

Alors que j’attends ma commande de tartines jurassiennes, Lola me prend par surprise et me tire par la manche.

— Viens, j’ai trouvé un coin tranquille. — Quoi ? Attends, j’ai des trucs à apporter aux vieux. — Dépêche toi, sinon je suis sûre que je trouverai bien une âme charitable dans ce patelin qui voudra bien m’aider…— Ouais, j’arrive. M’sieur ! Apostrophé-je le vendeur. Vous pouvez apportez ça aux hommes autour du tonneau là bas s’il vous plaît ? J’ai une urgence là.

Il n’a pas le temps de me répondre que je suis déjà parti à la poursuite de Lola, qui s’enfuit jusqu’à l’église. L’endroit est désert et devant l’immense porte en bois, je me sens minuscule et un peu gêné.

— Quoi ici ? Dans une Église ? — Pourquoi pas ? Il n’y a personne… Et puis ça doit être le pied de faire ça dans un confessionnal.

L’idée est perverse mais alléchante. Je la suis sans discuter, m’engouffrant dans le froid intense qui règne dans ces lieux. Le bruit de nos pas couvre le silence et nous nous faufilons jusque dans le petit cabinet de bois, dans lequel nous parvenons à nous caler avec difficulté.

Aussitôt, Lola se met à genoux et sort mon sexe pour venir le sucer. Assis sur le petit banc en bois, je savoure sa pipe avec délectation, la laissant me pomper jusqu’à ce que je n’en puisse plus. Le temps presse et j’ai beau adorer la chaleur de sa bouche, je sais que je dois m’activer et la prendre avant que l’on s’aperçoive de notre absence. En quelques gesticulations et mouvements gauches, nous parvenons à changer de position. Ce que c’est étroit là dedans !
Lola, à genoux par terre, s’appuie sur le petit banc et me présente sa croupe, que je m’empresse de dévêtir. Les deux globes charnus se dévoilent et j’ai une furieuse envie de la prendre sur le champ, mais je me retiens. Je fais glisser une main entre ses cuisses et avec deux doigts, j’entreprends de la faire mouiller en stimulant l’entrée de sa chatte. Dès que je sens sa cyprine dégouliner, j’appose ma queue contre sa chatte et la fais glisser entre ses replis. C’est alors que je réalise.

— Merde ! La capote ! J’en ai pas pris avec moi.— Oh non… se plaint-elle. J’en ai pas non plus…— Putain…— Merde, fais chier j’en avais trop envie…— Je peux toujours te prendre par le cul, ça risque pas grand chose, proposé-je sans vraiment d’espoir.
Lola hésite. Je le sens. Elle ne répond pas et moi, je continue de me frotter à sa chatte, passant mon gland de son clito à son anneau. Quand j’arrive sur ce dernier, j’y reste, immobile, attendant son accord. Mais elle ne dit toujours rien. Par contre, elle a fermé les yeux et ondule légèrement de la croupe pour s’y frotter. J’y vois comme un signe et commence alors à pousser mon gland contre son anneau.
Au lieu de s’insurger, cette fois-ci Lola ne dit rien et se mord les lèvres, utilisant une de ses mains pour écarter ses fesses. Je vois ma bite s’engouffrer dans son petit trou et cette vision est aussi délicieuse que ne l’est son cul. Une fois le gland entré, j’exerce lentement de petits va-et-vient, m’insinuant plus profondément.
-Oh nom de dieu ce que c’est bon ! Grogne-t-elle — Tu n’as pas honte de blasphémer dans une Église ?
Je ponctue ma phrase d’un coup de reins puissant et m’enfonce tout au fond de son cul. C’est alors que, sous ses gémissements de plaisir, je commence à la limer de plus en plus vite, si bien que je finis vite par adopter un rythme infernal, la défonçant comme elle l’adore. Dans la pénombre, le spectacle est quand même exquis. Son petit cul s’écarte sur mon passage, engloutissant ma tige jusqu’à la voir disparaitre dans ses tréfonds.
Lola ne tarit pas de soupirs, m’obligeant à la bâillonner de ma main pour ne pas nous dévoiler. Elle ouvre la bouche et lèche mes doigts, les aspire comme si c’était ma queue. Avec mes deux indexs, j’écarte sa bouche et y prends appui comme des rênes, la forçant à garder la bouche ouverte pendant que je la sodomise sans douceur. Sa salive coule sur mon bras et ses gémissements sont désormais des plaintes gutturales, dont le bruit va forcément alerter quelqu’un.
Et c’est ce qu’il se passe car, alors que je donne un ultime coup de bassin pour me finir dans son cul, la porte du confessionnal s’ouvre et deux silhouettes bien connues poussent alors des cris indignés.
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