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Nuits d'hiver avec ma cousine

Chapitre 6

Joyeux Noël

Inceste
Aujourd’hui, c’est la veille de Noël et tout le chalet est empli d’une ambiance joyeuse , presque électrique tant les enfants ont hâte d’ouvrir leurs cadeaux au matin. Ils sont tellement excités qu’il a fallu les occuper toute la journée, si bien que Lola et moi ne parvenons pas à trouver un moment pour nous. Chacun parle des cadeaux qu’il espère avoir, se réjouissant de cette soirée et les paris sont lancés pour savoir si Grand-père a enfin relégué ses traditionnelles lampes en matériels recyclés par des présents plus… actuels dirons-nous. Je chambre un peu ma cousine, persuadé qu’elle a commandé un nouveau téléphone mais cette dernière me surprend en me révélant que pour Noël, ce qu’elle souhaiterait sincèrement, c’est de la neige.

Alors que je suis en plein atelier pâte à sel sur la grande table du salon, j’ai une vue imprenable sur le joli cul de ma cousine qui se dandine devant moi. Cette dernière fait des sablés sur le plan de travail juste en face de moi et je suis persuadé qu’elle fait exprès de se pencher autant chaque fois qu’elle aplatit la pâte avec son rouleau.

Sa petite robe verte remonte à chaque fois, dévoilant un peu plus du léger espace de peau que ne recouvrent pas ses chaussettes montantes rayées rouges et blanches. Un vrai petit lutin. Si tous les lutins du Père Noël sont aussi sexy qu’elle, il doit bien s’amuser le vieux…

Mes pensées dérivent vers son cul, celui qu’hier soir j’ai bien défoncé, avec lequel elle a découvert le plaisir de se faire prendre en double. Des images de son dos ruisselant de sueur, son visage rougi et ses yeux luisants de larmes me reviennent en tête et me font vite durcir. J’ai envie de venir derrière elle me frotter à sa croupe subtilement mais nous sommes bien trop entourés.

J’ai un peu trop chaud. Je malaxe ma pâte à sel, la tête dans les nuages, m’imaginant en train de pétrir ses seins à la place...Putain faut vraiment que je fasse descendre tout ça. Lola capte mon regard et me fait un clin d’œil coquin, puis tortille un peu plus ses fesses pour me faire languir. Elle lâche son rouleau et s’essuie les mains dans son tablier, faisant remonter sa robe un peu plus, ce qui dévoile la naissance de ses fesses. Puis elle lèche ses doigts délicatement, retirant le surplus de pâte à sablé qu’il lui reste.

Bon ça suffit. Je me lève, direction les toilettes, mais avant, je prends bien soin de passer tout près de Lola, frôlant la peau de sa cuisse au passage. Une fois dans les toilettes, je ne résiste pas à l’envie de me branler. Alors que je suis sur le point de jouir, un grattement à la porte attire mon attention.

— Benji, ouvre. C’est moi, chuchote Lola.

Elle est dingue… on risque de se faire prendre. Tant pis. J’ouvre la porte, la laissant se faufiler dans l’espace étroit. Je n’ai pas le temps de dire un mot que la voilà qui s’agenouille et aspire ma queue entre ses lèvres. Les mains rivées sur son crâne, je savoure ses intenses succions, me délectant de la chaleur de sa bouche. En peu de temps, j’explose au fond de sa gorge et cette dernière avale jusqu’à la dernière goutte de mon foutre. Puis, elle quitte la pièce aussi vite qu’elle est arrivée, se léchant les lèvres pour effacer les traces avant.

Soulagé mais frustré de n’avoir pu la goûter, je retourne à l’atelier pâte à sel, des envies plein la tête. La journée se passe lentement et enfin l’heure du repas arrive. Lola s’est bien évidemment installée face à moi et durant toutes les diverses entrées que l’on nous sert, son pied vient subtilement se glisser contre ma jambe, remontant chaque fois un peu plus haut. Quand nous arrivons enfin à la dinde, ses orteils effleurent mon membre, le faisant tressauter de plaisir.

Elle s’amuse à appuyer légèrement son pied sur ma hampe. J’ai l’impression que tout le monde autour de nous voit ce qu’il se passe sous la table ou bien, me sent en train de bouillir sur ma chaise. La salope… Elle a de la chance que toute la famille soit là, parce que l’envie de la renverser sur cette table me démange énormément. Son petit cul rougi par mes claques... Sa vulve qui ruisselle, sa mouille coulant le long de ses cuisses…

— Benjamin ? Tu es avec nous ?
Mon père me sort brusquement de ma rêverie, me lançant un regard interrogateur.

— Euh Oui pourquoi ? — Je t’ai demandé de me passer le plat de marrons. Tu es dans la lune… me dit-il avec un regard réprobateur.— Tu avais l’air passionné par tes pensées. Intervient Lola. Tu veux nous les partager ?
Salope… Elle veut jouer ? Ok.
-Je pensais à la messe de minuit. Lola m’a dit que c’était top et je me disais que j’allais sûrement vous accompagner. Elle en parle depuis le début de la semaine. — Ah oui c’est vrai Lola ? Se réjouit sa mère. C’est une super nouvelle ça ! Ça me fait terriblement plaisir d’entendre ça, quel beau cadeau de Noël, merci ma chérie. — Oh...de rien ’Man, capitule-t-elle en me jetant un regard noir.

Dans mon coin, je jubile et une petite idée germe alors dans mon esprit. Une idée carrément malsaine. Et j’ai l’intuition que ça va beaucoup lui plaire… Pour ça, j’aurais besoin de l’aide de ma sœur.

Juste avant le dessert, nous partons tous pour l’église du village voisin, assister à la fameuse messe de minuit. Lola ne cesse de me fusiller du regard, y compris quand je m’installe à ses côtés sur le dernier banc au fond de l’église. J’attends cinq minutes, jette un regard à ma sœur, qui me répond d’un clin d’œil puis me penche pour chuchoter à l’oreille de Lola.

— Suis-moi dehors, j’ai un petit cadeau pour toi.
Elle a ce petit air surpris qui se dessine sur son visage et une étincelle gourmande naît dans ses yeux. Aussi discrètement que possible, je me faufile à l’extérieur et fais le tour de l’édifice, dans le minuscule parc sur le côté, où trônent une statue de la Vierge et deux bancs en pierre. Lola me rejoint à peine quelques secondes plus tard, impatiente de voir ce que je lui réserve.

— Alors ? M’interroge-t-elle. Qu’est-ce que tu voulais me donner ? — Tu as dit que tu voulais de la neige pour Noël non ?— Oui, mais bon… A part si tu connais un type qui a un canon à neige, je vois pas comment tu peux faire sinon.— Pas de canon désolé. Par contre, j’ai bien une autre idée… Est-ce qu’une avalanche de foutre te conviendrait ?— Une avalanche ? Sourit-elle. Je ne demande pas mieux mais… tu vas faire comment toi tout seul ?— J’ai tout prévu, ne t’inquiètes pas.

Au moment où elle ouvre la bouche pour me demander des précisions, des pas se font entendre dans le gravier et Lola a un mouvement de recul que j’apaise de suite. Ma sœur accompagne un homme d’une cinquantaine d’années, lui désignant notre duo plongé dans la pénombre. L’homme à la chevelure grisonnante s’approche doucement et d’une voix ferme, j’ordonne à ma cousine de se mettre à genoux. Lola me sourit, l’air impressionné par mon initiative, puis elle s’accroupit à mes pieds.
Sans même que je n’aie à le préciser, cette dernière ouvre son manteau, dévoilant son sublime décolleté dont la peau se pare de frissons. La blancheur de sa peau détonne dans cette obscurité et attire inévitablement les regards sur ses deux monts, dont les sommets pointent à travers le tissu de sa robe. Nous échangeons un regard entendu avec l’inconnu, qui sort son engin encore recroquevillé, pour l’agiter devant le visage de la belle brune.
Celle-ci se lèche les lèvres, approche son visage si près qu’elle peut sentir sur sa peau les remous de l’air qu’il produit en se branlant avec ferveur. Sa langue sort de sa cachette et quand elle effleure le gland rougi qui se présente à elle, avec un grognement de plaisir, l’homme ne se retient pas et expulse sa semence sur le visage ravi de Lola. La première giclée s’abat sur son nez, suivie immédiatement par trois autres qui nappent son joli minois.
L’homme me remercie d’un sourire, il ouvre la bouche pour dire quelque chose mais je l’arrête d’un geste : la règle est claire, Judith doit bien leur préciser, aucun mot ne doit être prononcé. Alors qu’il disparaît au coin de l’église, j’interroge ma cousine.

— Alors, ça t’a plu ?— Un peu rapide… et très sage.— Trop sage pour toi petite gourmande ? Tiens, ça t’ira comme ça ? Dis-je en lui tendant une boîte flambant neuve de préservatifs. — Tout ça ?— Tu as une petite heure devant toi, Judith s’occupe de t’amener des volontaires. — Benji, je t’adore ! Me Sourit-elle.

C’est avec un immense sourire qu’elle voit arriver un nouveau venu, un homme au pardessus cintré et à l’allure élégante, qui se présente devant elle. La belle ingénue lui offre son visage sur lequel il vient s’agiter, puis lui tend une capote avec un air coquin.
Avec gourmandise, Lola goûte la verge qu’on lui présente et tandis qu’elle le suce, ses doigts viennent se plonger dans son intimité. La voir ainsi, à genoux, jambes écartées, sa main produisant des clapotis me donnent envie d’aller laper tout ça. Mais mademoiselle ne se contente pas longtemps de ses doigts et bientôt, elle s’installe à quatre pattes sur son manteau, exposant ses superbes fesses à la lueur de la lune.

L’homme ne se prive pas pour investir sa chatte, plongeant en elle sans scrupules en lui arrachant un soupir de plaisir. Les claquements de leurs peaux couvrent les bruits de pas si bien que c’est seulement quand un nouvel arrivant s’approche tout près du couple que je remarque que ma sœur a envoyé un autre participant. Plus vieux et bedonnant, le nouveau venu agite son sexe devant le visage de ma cousine, dont la langue s’empresse d’aller y goûter, avant qu’elle ne lui offre une capote.
Après quelques coups de reins, les hommes échangent leurs places et moi je me régale du spectacle, attendant mon heure avec impatience. Lola n’en peut plus, sous les assauts du deuxième homme, elle jouit sans se retenir, et tandis que sa bouche s’ouvre pour laisser échapper une longue plainte, l’homme qui se faisait sucer enlève sa capote et recouvre le visage de Lola de grosses giclées de sperme.
Ravie, ma cousine continue de se faire labourer par l’inconnu alors qu’un autre homme fait son apparition. Bien vite, chacun des hommes vient se fondre dans sa chatte, pour finir par lui arroser le visage. Elle dégouline littéralement de foutre malgré ses maigres tentatives pour en récolter de la langue pourtant, je peux voir son immense sourire et ses yeux rieurs se poser sur moi. Je sais qu’elle me veut, on dirait qu’elle me le crie du regard, mais je compte attendre un peu.

Le nouvel occupant qui s’active dans sa chatte semble en avoir assez de la levrette et s’assied sur le sol pour que Lola le chevauche. De là où je suis, je vois parfaitement la queue investir l’orifice suintant de mouille et son anneau encore libre m’appelle… Alors qu’un autre homme lui baise la bouche, tenant son crâne entre ses grosses mains, ma main vient instinctivement malaxer ses belles fesses qui rebondissent sur la bite de l’autre. Mon doigt pénètre ce petit trou encore vide et je sens son muscle se resserrer autour, m’avalant phalange par phalanges. Les cris de Lola annoncent sa jouissance, la troisième au moins depuis que cela a commencé.
C’est alors que mon oncle Victor débarque, avec un clin d’oeil complice, il prend la place de mon doigt et après avoir enfilé un préservatif, il s’introduit dans son cul sans aucune sommation . La belle rugit sous les coups de reins, elle n’est plus que luxure, emplie ainsi et couverte de foutre… Le spectacle est si attractif que j’en oublie ma soeur qui nous amène le dernier volontaire, celui qui occupait la bouche de Lola ayant fini par se vider sur ses lèvres. Mon père se gratte la gorge, révélant sa présence et là, je déchante complètement.

— Benjamin qu’est-ce que tu fais ? S’étonne mon père. C’est… Lola ? Victor ?— Détends toi Pa, c’est que du sexe. Regarde Victor, il profite lui. Ça ne te dit pas une petite sodomie ?— C’est vrai que ta mère ne me laisse jamais… Bon d’accord, mais pas un mot aux autres hein !

Victor cède sa place à mon père, qui sort son sexe timidement. Je n’en reviens pas qu’il ait osé dire oui ! Mais c’est vrai que Lola a quelques atouts plutôt convaincants… Mon père prend de l’assurance en empoignant la croupe de Lola qui se balance encore. Après s’être protégé, Il s’enfonce dans son cul avec lenteur et après quelques coups de reins, sa timidité s’envole aussi vite qu’il s’agite en elle. Mon père est presque animal, je le vois agripper les cheveux de sa nièce pour l’attirer contre son torse, se servant de cet appui pour la défoncer plus fort. Aux cris qu’il pousse, le type en dessous vient juste de jouir et ma cousine est obligée de se relever tant bien que mal pour le laisser partir.

Victor et mon père décident de finir la tremblante Lola, mon oncle saisit ses cuisses et la soulève, l’empalant sur son sexe dressé tandis que mon père vient dans son dos pour la sodomiser. Entre les deux hommes, telle une poupée de chiffon elle chancelle, tremble de plaisir sans pouvoir s’arrêter de gémir. Dans un canon de râles, les deux hommes jouissent enfin savourant les derniers spasmes de leur orgasme jusqu’à la dernière seconde.

Épuisée, lorsqu’ils la relâchent, Lola s’écroule à genoux sur le manteau et quand je m’approche pour la féliciter, cette dernière trouve les dernières forces pour tenter d’ouvrir ma braguette et sort mon sexe pour le prendre en bouche. Mais à peine sa langue s’enroule-t-elle autour de mon sexe, que je lui saisis sa natte pour la plaquer au sol, le cul en l’air. Impatient, je m’empresse de venir lécher sa cyprine qui abonde et dégouline sur ses cuisses. Empoignant fermement ses hanches, je présente ma queue sur son anneau et l’encule sans aucune douceur. Malgré sa tête enfouie dans le manteau, je l’entends me supplier de la défoncer plus fort et bientôt, je sens son cul se contracter autour de ma bite. Elle jouit sans retenue, tandis que je continue de ruiner son pauvre petit cul que je vais bientôt remplir. Au moment de jouir, je m’enfonce au plus profond de ses tréfonds et dans un grognement rauque, je tapisse le fond de son rectum de mon foutre épais.

Dès que je me retire, je lui ordonne d’écarter les fesses avec ses mains, afin de voir son orifice dégoulinant de mon sperme.

— Alors, tu en as eu assez cette fois ?

Elle plonge ses doigts dans son cul et les porte à sa bouche avant de me répondre :

— Maintenant oui...— Joyeux Noël Lola.— Merci Ben, c’est le plus beau Noël que j’aie vécu. — La nuit n’est pas terminée, j’ai encore de beaux cadeaux dans ma hotte. Rentrons prendre le dessert.
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