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No Nut November

Chapitre 2

Inceste
Samedi 6 novembre,

Bizarrement, mon érection matinale met un temps fou à disparaître. Comme si mon corps me demandait de me masturber, mais il est hors de question que je laisse gagner ma sœur.J’essaye de penser à des trucs tristes pour débander, mais Charlotte se retourne subitement dans son sommeil. Par-dessus l’édredon qui nous sépare, je parviens maintenant à discerner les tétons de ma sœur à travers son t-shirt de pyjama. Je détourne rapidement le regard, mais mon érection reprend de plus belle. Je me tourne alors sur le ventre afin d’écraser mon sexe contre le matelas avant de poursuivre ma grasse mat’.
À mon réveil, Charlotte est déjà partie, il est 11h et je me rappelle qu’elle a prévu de manger sur Paris avec des amies à elle. De mon côté, même si l’envie de masturber est très présente, il faut que je tienne bon, je vais la battre à la loyale.
Un peu avant minuit, la sonnerie de mon téléphone interrompt mon binge watching de la dernière saison de Big mouse. Charlotte n’a pas pris le bon RER et se retrouve maintenant bloquée à Massy, une gare à dix minutes en voiture de notre appart’. Je l’enverrais bien balader en lui disant de rentrer à pied, mais je sens au son de sa voix qu’elle est bien enivrée et je préfère lui éviter de rentrer seule dans cet état. Une fois sur place, elle m’attend à moitié endormie sur une rambarde. Sur le trajet du retour, Charlotte me raconte qu’elle et ses copines ont fini la soirée en boîte où de nombreux garçons lui ont payé des verres. Je ne sais pas trop si elle me raconte ça pour me gêner ou me rendre jaloux, mais toujours est-il qu’une fois dans notre chambre, elle s’effondre tout habillée en travers du lit.
Je m’efforce de la faire rouler de son côté du lit, mais elle semble y mettre de la mauvaise volonté dans son sommeil. Sous ma pression, elle se réveille légèrement et retire le polochon qui la gêne, supprimant par la même occasion la limite de nos parties respectives du lit. J’en arrive à la supplier de se décaler, la tête toujours dans l’oreiller, elle accepte de bouger à condition que je la mette en pyjama. Je devrais probablement refuser, mais une fois de plus, je cède à la demande de ma petite sœur et commence à défaire la fermeture éclair dorsale de la robe noire qu’elle porte. Je hisse le morceau de tissu tant bien que mal vers sa tête avant de réaliser qu’elle est désormais en sous-vêtement, profitant que la robe lui couvre le visage, j’admire quelques instants ses formes. Elle porte un ensemble en dentelle noire dont la culotte lui rentre légèrement entre les fesses. Bien qu’il s’agisse de ma sœur, le corps que j’ai devant moi est bandant et m’excite.
J’ai envie d’en voir plus, aussi, je propose :
— Tu veux que je t’enlève le haut ?— Hmm... non t’inquiète, ça ira, bonne nuit, me répond-elle avant de se tourner sur son côté.
Je m’installe à ses côtés dans le lit. La vision de ses belles petites fesses toujours en tête, m’empêche de trouver le sommeil lorsque d’un mouvement, Charlotte vient se blottir contre moi pour se réchauffer. Je suis torse nu et elle en soutien-gorge culotte, mais je n’ose la réveiller et finis moi aussi par m’endormir tout contre elle.
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Dimanche 7 novembre,

En me réveillant, je suis surpris de constater que Charlotte est toujours allongée contre moi, mais cette fois-ci en cuillère, dos à moi. Je m’écarte d’un bond, réalisant que j’ai une érection matinale fortement appuyée sur les fesses de ma sœur et file droit sous la douche pour faire redescendre la pression.
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Jeudi 11 novembre,

Cela fait maintenant quatre jours que rien de particulier ne s’est passé, nous n’avons pas remis le polochon qui nous séparait et je n’ai pas eu d’autres érections matinales jusqu’à aujourd’hui. Une fois de plus, je file sous la douche, mais alors que je me savonne, Charlotte débarque dans la salle de bain pour vérifier que je ne suis pas en train de me branler. Après avoir mâté un instant ma bite, elle repart. Je me retrouve comme un con à ne savoir que faire, mais sentant qu’elle commence à perdre patience.
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Samedi 13 novembre,

La journée commence par une nouvelle visite de Charlotte durant ma douche, cela est devenu systématique depuis trois jours, comme si notre défi lui donnait toute impunité pour me mater à poil. Mais voyant qu’elle rage à chaque fois de ne pas me surprendre sur le fait, je continue de ne rien dire.Le soir venu, une fois notre soirée film terminée, Charlotte me fait une drôle de proposition :
— Bon on est quasiment à la moitié de notre défi, aussi je te propose d’augmenter la difficulté.— Euh je veux bien, mais comment est-ce que tu veux jouir moins que 0 fois dans le mois ?— Mais non t’es con... je propose qu’on se regarde un porno.
J’ai écumé beaucoup de vidéos pornos ces dernières années contrairement à elle, il y a de fortes chances que cela la fasse craquer bien avant moi.
— Si tu veux, mais dans ce cas, on choisit une vidéo chacun son tour.— Okay, je commence, m’annonce-t-elle, ravie.
Charlotte partage l’écran de son téléphone sur la télé et une vidéo qu’elle a manifestement préparée s’affiche, pendant près de cinq minutes, on y voit une fille ressemblant vaguement à mon ex se masturber en prenant son pied. Charlotte cherche à me piéger et ça se sent, mais je ne vais pas me faire avoir par un porno si soft.
À mon tour, je sélectionne une vidéo dans laquelle une femme de la carrure de Charlotte se fait prendre en double pénétration par deux blacks bien montés. Ma sœur resserre les jambes et semble frémir à chaque coup de boutoir de ces étalons dans son homologue. Quant à moi, je me prends au jeu à observer ma sœur être excitée et finis par bander également et si son excitation à elle peut être discrète, de mon côté, j’ai du mal à camoufler la bosse de mon pantalon.
Une fois la vidéo achevée, Charlotte secoue la tête comme pour reprendre ses esprits avant de lancer une nouvelle vidéo. À l’écran, un garçon et une fille partagent un lit. Alors qu’il dort, le sexe du gars dépasse de son caleçon et la fille s’en aperçoit. Elle l’attrape avant de commencer à le sucer jusqu’à ce que le gars se réveille et enlève complètement son caleçon. La vidéo m’excite énormément et je sens bien que si on me suçait ainsi, je jouirais instantanément. Je prends donc mon courage à deux mains et me lève en annonçant que je vais me coucher. Avant de partir, j’ai le temps d’apercevoir le titre de la vidéo sur le téléphone de Charlotte « Naughty sister sucking on her brother’s cock ».
Sur ce coup-là, elle m’a eu, sa vidéo d’inceste fraternel a failli avoir raison de moi, je dois me calmer, mais elle ne me laisse aucun répit puisqu’à peine dans mon lit, elle se glisse sous les draps également. Je n’ai pas le temps de cacher mon érection dans le matelas que son dos vient s’y coller.
Une fois la lumière éteinte, Charlotte me murmure :
— Psst... ne crois pas que si ta bite dépassait de ton pyjama, je la sucerais, donc garde ton érection là où elle est. Elle a retourné la partie à son avantage et elle le sait.
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