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No Nut November

Chapitre 4

Inceste
Vendredi 19 novembre,
Mes songes mêlent cauchemars et rêves érotiques, je me revois nu au-dessus de ma petite sœur la queue prête à la pénétrer et au moment où je m’enfonce en elle je perds tout, le pari, mon appartement, mon honneur. Je me réveille en sursaut, trempé de sueur. Charlotte est déjà partie à la fac et je ne vais pas tarder à faire de même. Je jette un œil sur mon téléphone et tombe de nouveau sur les photos de ma sœur nue au côté de ma bite. Cette simple vision me redonne immédiatement la trique. Charlotte a réussi son coup, j’ai une insoutenable envie de me branler, après tant de jours j’ai l’impression que mes couilles vont exploser. Je n’ai plus qu’une idée pour qu’elle craque avant moi mais c’est impossible.
Charlotte a fini à 16h et a pris l’initiative de préparer le repas, puisqu’à mon arrivée à 18h30 tout l’appartement est éclairé aux chandelles et la table est dressée. Elle m’accueille avec un verre de mousseux, l’ambiance est plus détendue comme si les évènements de la veille n’avaient pas eu lieu. Au bout d’une heure nous entamons la deuxième bouteille aussi il est temps de passer au repas. Charlotte a préparé mon repas préféré : canard, pommes noisettes. Je la prends dans mes bras pour la remercier de prendre soin de moi ainsi et elle me serre à son tour de toutes ses forces. Ma sœur a beau être souvent une peste elle a ses bons côtés. Les assiettes et la deuxième bouteille vidées, je dois bien avouer que je ne marche plus très droit.
Je m’aventure à demander s’il y a du dessert et Charlotte m’indique que vu l’heure nous allons le prendre directement au lit, je prends donc la direction de la chambre. J’entends ma sœur farfouiller dans le placard et le frigo, j’espère un gâteau mais elle arrive finalement avec une barquette de fraise et une bouteille de chantilly. Elle a pris le temps d’enfiler un peignoir mais la seule chose que j’ai en tête c’est de savoir où elle a trouvé des fraises en novembre.
Elle recouvre de chantilly une première fraise et me la dépose dans ma bouche. La scène est très sensuelle, je fais de même à mon tour. La barquette étant petite elle est vite terminée. Charlotte se lève alors, défait sa ceinture et laisse glisser son peignoir à ses pieds. Face à moi elle est de nouveau entièrement nue. Benêt je la fixe sans un mot. Elle s’allonge sur le lit et dépose de la chantilly sur ses deux tétons puis trace une ligne jusqu’à son pubis avant de le recouvrir également. C’est elle le vrai dessert. Mécaniquement ma main caresse son flan, elle est belle, c’est ma sœur mais j’éprouve un irrépressible désir pour elle. Sans un mot je pose mes lèvres sur son nombril et lèche la chantilly jusqu’à son sein droit. Comme hypnotisé je m’applique à nettoyer toute trace de crème du téton de Charlotte. Pendant que je lèche le deuxième sein, ma main prend le relais sur le premier et Charlotte commence à pousser de petits gémissements.
Comme une claque, la réalité ramena à la raison, que suis-je en train de faire ? Je lèche les seins de ma sœur et elle aime, il faut que ça s’arrête. Mais en même temps, c’est la seule occasion que j’ai de la faire jouir, je dois poursuivre. Ma langue parcourt donc dans l’autre sens le chemin menant jusqu’à son nombril et poursuit sa route jusqu’au pubis. Charlotte écarte les jambes comme pour m’inviter à continuer. Elle gémit de plus en plus, quand ma langue entre en contact avec son vagin je comprends que sous la chantilly, ma sœur mouille abondamment.
Cela fait maintenant plusieurs minutes qu’il n’y a plus de chantilly mais ma langue s’active toujours efficacement pour faire jouir cette chaudasse. Jamais je n’aurais cru qu’un jour je réaliserais un cunnilingus à ma petite sœur pour gagner un pari mais il faut en passer par là. J’incère un doigt puis deux et sens que les oscillations de son corps s’accélèrent. Elle ne va pas tarder à jouir… Mais soudain elle se redresse et déclare « à mon tour ! ».
Charlotte me pousse en arrière et baisse mon pantalon. Elle saisit d’une main mon sexe et la bombe de chantilly de l’autre pour venir recouvrir mon sexe. J’ai à peine le temps de comprendre que je viens de perdre mon avantage que la langue de Charlotte entre de nouveau en contact avec mon sexe. Je devrais réagir et l’arrêter mais cela ne serait pas équitable après lui avoir fait un cunni et puis surtout j’en ai diablement envi. Je vais donc devoir prendre sur moi et me concentrer de toutes mes forces pour ne pas jouir alors qu’on me suce après 19 jours d’abstinence. Charlotte se donne du mal pour me procurer du plaisir, sa langue fait des allers-retours jusqu’à mes testicules, puis remonte le long de ma verge avant de l’engloutir en gorge profonde. Je ne sais pas si c’est parce qu’il s’agit de ma sœur mais jamais auparavant une fellation ne m’a autant excité. J’ai l’impression de réaliser un effort surhumain en me retenant d’éjaculer dans sa gueule d’ange.
Je me force à penser à des trucs tristes ou sales pour ne pas craquer mais je sens la jouissance venir. Je ferme les yeux et me concentre de toutes mes forces quand les coups de langue stoppent net. Je reprends doucement le contrôle de mon esprit et de mon souffle quand je sens de nouveau Charlotte effleure mon sexe. J’ouvre les yeux et découvre ma petite sœur à califourchon au-dessus de moi, son sexe juste au-dessus du mien. Mon gland venant écarter les premières lèvres de son vagin. Lorsque nos regards se croisent je lis l’excitation dans le regard de ma sœur qui se laisse doucement retomber sur ma queue qui s’enfonce alors en elle. Ce n’est qu’à ce moment précis que je réalise qu’il n’est plus que question de notre pari, cela va bien au-delà. Ma sœur et moi faisons l’amour et prenons visiblement notre pied. Le bassin de charlotte oscille sur ma verge alors que je me redresse pour lui lécher les seins à nouveau.
Sans échanger le moindre mot, nos corps communiquent, je la serre contre moi l’embrasse pour la première fois. Sa langue est chaude et me savoir en elle m’apaise, j’oublie notre pari, j’oublie mes soucis de quotidien, seul ce moment importe. Le rythme s’accélère, Charlotte gémit de plus en plus fort, son souffle saccadé me rend fou. Ses lèvres quittent les miennes pour venir déposer au creux de mon oreille un « je t’aime ». Ces mots font l’effet d’une bombe, je la serre de toutes mes forces dans mes bras et dans un râle de plaisir, j’éjacule en elle. Ma jouissance semble lui plaire puisqu’elle se contracte à son tour avant de jouir contre moi alors que mon foutre se déverse en elle. J’ai une impression de liberté extrême, et pour cause je viens de cracher une quantité impressionnante de sperme tout en m’affranchissant du tabou de l’inceste.
J’embrasse une dernière fois ma sœur et nous nous écroulons à côté l’un de l’autre.Reprenant mon souffle je me tourne vers elle :
— Charlotte, je t’aime aussi.— Je t’aime fort, mais j’ai gagné.
En mon for intérieur je suis un peu déçu mais elle a mérité cette victoire
— Toutes mes félicitations, l’appartement est à toi.— Bonne gagnante, j’accepte que tu restes, si tu me baises comme ça à chaque fois.— Marché conclu !
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