Lorsque mon mari revint d’un de ses soi-disant séminaires, qui lui permettaient de s’éclipser de la maison trois jours durant, il m’annonça qu’il avait invité son responsable à déjeuner dimanche à midi. Il espérait une promotion, mais elle dépendait beaucoup, pensait-il de l’accueil que nous allions lui offrir. Bien sûr cela dégénéra en dispute. — Tu ne tiens aucun compte de moi, de mes aspirations, je dois toujours céder à tes desiderata, je commence à en avoir marre ! M’emportais-je.— Oui, mais là c’est pour la bonne cause, tu voulais changer le look de ta cuisine, cela pourrait faciliter les achats !— Tu m’embêtes, tu exagères, c’est toujours moi qui dois être à ta botte, tu vas voir ce qui va t’arriver un de ces jours, je vais m’en aller ! C’est encore bon pour cette fois, mais...— Merci tu es sympa ! Bon si on est d’accord, j’aimerais que tu t’habilles ainsi, dit-il en fouillant dans la penderie. Il sortit une robe d’été dont la couleur dominante était le bleu pastel. Elle était parsemée de fleurs vertes et jaunes. Assez courte, elle n’était retenue que par deux fines bretelles, et me laissait le dos complètement nu jusqu’à la naissance de mes fesses.J’aimais bien cette robe, assez ample, on aurait dit qu’elle voletait autour de moi lorsque je marchais. Mais je savais qu’il ne fallait pas que je m’expose en pleine lumière, car alors la transparence était telle que l’on apercevait les moindres détails de mon corps.Bien qu’il ne fasse pas froid, il choisit un porte-jarretelles assez fin. — Si tu pouvais ne pas mettre de string, ni de soutien-gorge, c’est d’ailleurs exclu avec cette robe... ce serait parfait...— Tu la veux vraiment ta promotion, lui dis-je en ricanant ! Je dois me sacrifier pour toi, tu veux qu’il me baise ?— Pourquoi pas... si tu es d’accord ! Me dit-il avec un petit rictus. Le dimanche suivant, sur le coup de midi, son Directeur arriva. — Ma femme Trixie, Chérie Robert Portal mon Directeur. Son chef, les cheveux blancs, la cinquantaine passée, très bedonnant, portant des lunettes, était vêtu d’une chemisette blanche et d’un pantalon vert olive. Lorsqu’il me serra la main, je sentis son regard me parcourir des pieds à la tête. Ses yeux me déshabillèrent littéralement. Après un solide apéro où ils consommèrent pas mal d’alcool, on passa à table.Ils parlèrent sport, boulot. En servant je me débrouillai pour lui frôler l’avant-bras avec ma cuisse, puis de lui faire sentir sur le dos de la main qu’il laissait pendre lorsque je m’approchai, l’attache de mon porte-jarretelles. Prise au jeu, bien que ce ne soit pas, loin de là mon type d’homme, je lui effleurai le dos du bout d’un téton. J’adorai affoler les hommes, et mon mari avait donné des ordres pour aller dans ce sens !! — Mettons-nous au salon, pour prendre le café. Il s’assit sur le canapé, mon époux à côté sur un fauteuil. Celui-ci me regarda et me fit un léger signe de tête. Je compris ce qu’il désirait. Je servis le café, en me penchant sur la table basse en face de notre invité, la bretelle de ma robe tomba sur mon bras, ma robe bâilla et glissa, mon sein se retrouva à l’air libre. Ayant les deux mains prises, je continuai à emplir la tasse, lui laissant l’admirer. Le téton se retrouvant découvert s’était érigé en une petite pointe brune. Posant la tasse devant lui, en le regardant langoureusement, je remontai lentement ma bretelle. Il se trémoussa. Je m’assis en face de lui sur une chaise, faisant comme Maxime me le demandait au boulot, bouffer ma légère robe pour que mes fesses nues soient en contact direct avec le cuir du siège. La robe était remontée assez haut pour qu’il puisse apercevoir une bande de peau au-dessus des bas.
Je sirotai mon café, passant ma langue sur mes lèvres tout en le regardant. Croisant mes jambes un peu plus haut pour qu’il voie bien mon porte-jarretelles. Cela avait l’air d’accaparer toute son attention. — En cette saison, on ne sait pas trop comment s’habiller, dis-je. Il fait chaud ne trouvez-vous pas ? Puis-je ouvrir la porte-fenêtre ? Le soleil entrait à flots. Je me dirigeai vers ce puits de lumière, ouvris les battants de la porte-fenêtre qui donnait sur la piscine. Mon vieux voisin était à sa fenêtre avec sa paire de jumelles, je souris, lui faisant un petit signe de la main.J’écartai légèrement les jambes et exposai mon corps au soleil. Je savais que les globes de mes fesses s’offraient en transparence aux regards des deux hommes assis à l’intérieur, que l’on distinguait la raie qui les séparait comme si rien ne la voilait. Je sentis les regards des deux hommes fixés sur mon arrière-train. Ils apercevaient la fine bande de mon porte-jarretelles juste au-dessus de mes hanches, ainsi que les deux lanières arrière descendant sur mes cuisses. Je les laissai me mater un petit moment, puis je leur offris le côté pile. Ils étaient trop loin, ils ne devaient que deviner la fente épilée de ma chatte, peut être aussi le triangle de petits poils bien ras au-dessus de mon pubis. Mon mari se leva, s’approcha et me prenant par la taille en passa sa main sous un côté de ma robe, me fit avancer en direction de son responsable. Celui-ci subjugué s’était levé, une légère bosse se profilait à la hauteur de son sexe sous son pantalon. Mon époux caressait mon porte-jarretelles sous ma robe. De sa main libre, il me baissa la bretelle droite, et me dégagea le sein. Il me caressa le téton qui réagit et se dressa aussitôt. Puis il fit tomber l’autre bretelle, et me saisit les seins par-dessous à pleine main comme s’il les offrait à notre visiteur. Me mettant face à lui, il releva lentement ma robe sur mes cuisses, dévoilant ma peau nue au-dessus de mes bas. Il s’arrêta avant de découvrir lentement ma chatte. Son chef s’était à nouveau assis sur le fauteuil d’angle du canapé un verre de cognac à la main... Mon époux tira la robe vers le bas, elle tomba à mes pieds. Il me poussa vers la banquette du divan, bien en face de notre convive, je caressai mon entrejambe en me déhanchant lascivement, une de mes mains s’attarda sur mes seins triturant et pinçant mes mamelons. Son patron roulait de grands yeux étonnés. — Oooooohhhh, vous êtes superbe Madame... Votre Mari a bien de la chance... Mon mari se leva, se mit devant moi, je tombai à genoux et regardant, son chef en souriant, je descendis son pantalon, son sexe était assez conséquent, loin bien sûr de la longueur et de la grosseur de celui de Jamaar le noir qui m’avait baisé dernièrement. Je le masturbai doucement, lui calottant et décalottant son gland, il se mit à bander. Je le saisis entre mes lèvres et l’avalai doucement. — Salope, dit en murmurant le spectateur... Je le regardai, en souriant, il se branlait à travers le tissu de son pantalon. — C’est bien continu encore un peu à me sucer, puis occupe-toi de lui, me chuchota mon mari. Je m’appliquai, continuai ma fellation en regardant son chef, d’un air lubrique. — Trixie, je crois que Monsieur Portal, serait ravi que tu te masturbes devant nous... Ne quittant pas son patron des yeux, je m’assis sur le canapé, posai un talon sur les coussins, pour lui offrir une vue dégagée sur ma chatte. J’effleurai du bout des doigts ma fente qui commençait à être moite, me renversai sur le dos et écartai mes jambes au maximum. J’ouvris mes grandes lèvres,... — Robert, vous aimez ma chatte ? Regardez, vous m’excitez... je mouille. Je suçai mon majeur et mon annuaire et les insérai dans ma cavité vaginale, Je n’entrai que les deux premières phalanges, puis j’accélérai progressivement la cadence, entrant la totalité de mas doigts, les yeux clos, je renversai ma tête sur le dossier. Je commençai à gémir d’une petite voix...— Oh putain c’est bon, ouiiiiiiii, j’adore me masturber lorsqu’on me regarde, ça vous plaît Robert ? Ouiiiiiiii, c’est bon, j’adore, vous voyez mon clito... c’est bon de le caresser... oh putain ouiiiii... Prise au jeu, je m’excitai, au bout de cinq minutes, mon corps était parcouru de frissons, mes épaules tremblaient, de ma main gauche, je me caressai les seins énergiquement, tirant sur mes tétons, les pinçant et les griffant. J’écartai en grand mes lèvres, leur offrant la profondeur de ma chatte béante. — Oooohhhh, Robert... vous n’aimeriez pas venir lécher mon foutre ? Regardez, mes doigts sont poisseux ! Ma chatte attend votre langue... Je sentais monter le plaisir... je me mis à genoux, et continuai à me masturber en gémissant de plus en plus... mon ventre commençait à s’embraser, mes reins ondulaient, ma respiration devenait saccadée... — Ouuuuiiiii, je... crois que... je va...— Mais c’est qu’elle va se faire jouir cette petite salope... Non... pas encore... Monsieur Portal... aimerait peut-être te faire grimper au septième ciel... allez descends et occupe-toi de lui... L’injonction de mon mari me fit retomber sur terre. A quatre pattes, je me dirigeai vers le fauteuil d’angle. Arrivée devant lui, je me redressai, enjambai ses cuisses. Il n’osait pas bouger. — Elles ne vous plaisent pas mes jambes ? Lui dis-je en souriant. Vous pouvez toucher, je ne mords pas... Il s’enhardit, ses mains se posèrent de chaque côté de mes cuisses et progressèrent lentement vers mes fesses suivant les lanières du porte-jarretelles. Ses mains progressèrent, il se mit à me pétrir les deux globes fessiers, en haletant de plus en plus rapidement. Je m’assis sur ses genoux. A travers son pantalon, je caressai son pénis. J’eus presque envie de rire. Mais j’avais promis à mon mari de l’aider, il fallait aller au bout ! Je déboutonnai sa braguette, sortis son pénis en érection. Il était tout juste un peu plus long que ma main qui s’y était refermée autour. Il ne la dépassait que de quelques centimètres. Il était bizarre, assez effilé, le prépuce faisait un bourrelet assez gros sous le gland. Après ceux que j’avais connus, celui-là ne m’emballait pas outre mesure. S’enhardissant le long de mes flancs ses mains avaient englobé mes seins. Il enfourna à tour de rôle mes aréoles dans sa bouche. Il mordillait et aspirait mes tétons, qui sous la caresse s’étirèrent et durcirent, je le laissai sucer mes seins cinq minutes, puis me levai. Je lui ôtai le pantalon et le slip. Son ventre énorme s’étala... un léger dégoût me submergea, mais il fallait continuer... Le sucer pour commencer !Je me mis à genoux entre ses cuisses. Avec ma langue, je léchai le pourtour de son gland, au bout duquel quelques gouttes de liquide pré-éjaculatoire perlaient, puis je l’enfournai dans ma bouche et commençai à le sucer. Il se renversa en arrière et se mit à gémir exprimant son contentement avec de grands : — OOHHHH, AAAAAHHHH, OOUUIII, putain que c’est bon... oui... suce bien salope ! Je lui suçai ses boules, parsemées de poils blancs, puis remontai ma langue le long de sa verge avant de lui titiller le frein avec le bout. Il gesticulait dans tous les sens, gémissait bruyamment. Il me saisit la tête et lui appuya dessus pour bien faire entrer son petit sexe au fond de ma bouche. — Salope, salope, oui, oui..... continue... Oooooohhhh... ta bouche est merveilleuse... avale... avale ma queue. Ouuuuiiiiiii c’est ça, aspire... lèche... Mon mari s’était mis derrière lui, voyant que cela commençait à me lasser, il passa derrière moi, se mit à genoux et me pénétra lentement. Je lui en sus gré. Ça me redonna un peu de baume cœur, et je continuai ma fellation. Au bout d’un moment, mon époux me fit relever et me fit mettre le pied droit sur le canapé, j’enjambai les cuisses de son directeur. — Fais-toi baiser, me murmura-t-il à l’oreille Attrapant la bite de son patron, je la fis pénétrer facilement dans mon vagin, me levai et me laissai retomber sur ses cuisses, son sexe entrait chaque fois entièrement dans ma chatte lubrifiée par la pénétration de mon mari. — Putain, c’est bon, c’est bon... Trixe, continue, ne t’arrête pas, hurlait le patron, en remuant dans tous les sens. Je lui présentai mes seins à tour de rôle, et les lui fis sucer, ce qui calma un peu ses grognements. Lorsque je sentis que son petit sexe était bien enfilé, je bougeai mon bassin d’arrière en avant, essayant de bien contracter mes muscles vaginaux, pour lui enserrer son petit rouleau. Il me sembla que cela durait depuis une éternité, lorsqu’enfin, sa respiration s’accéléra, il me serra plus fortement les hanches et il se libéra avec un grand cri, me tenant fermement pour bien décharger sa semence au tréfonds de ma chatte. — Ça vous a plu ? Demanda mon mari.— Oh oui, oh oui... C’était super, j’ai joui comme un malade !— Ben moi, non dis-je en faisant la moue. Pourtant tout à l’heure je n’en étais pas loin !— Je vais arranger ça, me dit le Directeur. Il me fit coucher sur le divan écartant mes genoux au maximum, sa bouche s’empara de ma chatte d’où coulait son sperme. Tout d’abord, il aspira mon clitoris, le dégageant de son petit capuchon, le titilla de sa langue, le pressa entre ses lèvres, le mordillant légèrement de ses incisives. Puis sa langue descendit sur mon raphé partant de mon anus, il le lécha remontant jusqu’à la base de ma vulve. Et continuant sa progression titilla à nouveau mon petit bouton rose. Je frissonnai de plaisir sous la caresse. Puis il cracha dans ma fente et sa langue s’insinua entre mes lèvres, s’enfonçant, explorant mon orifice vaginal. Il la remuait avec beaucoup d’agilité me tirant de petits cris de plaisir. Son majeur titillait mon petit gland rose, puis il le descendit lentement pour remplacer la langue. Il le fit entrer le plus profondément possible, et lui adjoignant l’index et commença de savants va-et-vient tandis que son pouce me massait doucement le clitoris. Ce fut à mon tour de me tortiller dans tous les sens, de haleter. Il me fit subir cette caresse, alternant doigté et coups de langue pendant un temps qui me parut interminable, mais j’en redemandai, je sentis le plaisir m’embraser le ventre. — Ohhhhhh, oui, oui, ouiiiiiii hoquetai-je, c’est bon, c’est booooonnnnn— Ah, tu aimes les cunnilingus... Salope, marmonna Portal entre deux coups de langue ? Je n’allai pas tarder à jouir. Mon mari subjugué me regardait gémir et me tordre. Au sortir d’un doigté, je sentis ses deux doigts glisser vers mon anus, il cracha dessus et les enfila délicatement, son pouce vint les remplacer dans mon vagin et il commença des va-et-vient de plus en plus rapides. A ce rythme je ne tardai pas à exploser, mon corps se cambra, je hurlai de jouissance. Il allait éjaculer à nouveau, il me présenta son sexe raidi, j’ouvris la bouche, il déversa avec de petits cris, son sperme à grands jets tièdes, qui éclaboussèrent le pourtour de ma cavité buccale. Du bout des doigts, je ramassai le sperme épars, suçai mes doigts et déglutis le liquide poisseux. — Oh putain que c’est bon ! Ta femme est super !Tu vas l’avoir ta promotion dit-il à mon mari ! Encore une fois comme aujourd’hui et je te fais sauter deux échelons ! Si elle veut bien venir passer un entretien au bureau, ton avancement peut être très rapide ! Dit le patron de mon époux. Je regardai celui-ci qui d’un hochement de tête me fit signe d’accepter la proposition. — Oui, c’est d’accord, je viendrais... Répondis-je résignée. Une semaine après, mon mari me dit que son patron désirait me voir pour l’entretien. — Tu sais, me dit-il, c’est bidon... Ce vieux dégoûtant, avec sa petite bite, baise toutes les secrétaires de la boîte et surtout, il filme ses exploits. Je crois qu’il en fait profiter ses clients les plus importants... Il m’a dit qu’il avait bien apprécié ta compagnie... et que ma promo... ne devrait pas tarder, si tu venais. Alors voilà, encore un petit coup de main, si tu es d’accord...— Bon, OK, mais c’est la dernière fois... Tu le veux vraiment ce poste de responsable des exportations, on dirait ! C’est bien parce qu’il m’a fait énormément jouir que j’accepte. Le jour dit ayant pris un jour de congé auprès de ma boîte, je me présentai pour l’entretien d’embauche factice. Pour le boulot, je portai des lunettes. J’avais attaché mes cheveux en une queue-de-cheval. Mis un tailleur gris foncé, la jupe assez courte cachait juste les attaches de mon porte-jarretelles soutenant mes bas assortis. Mon chemisier blanc était légèrement transparent, et laissait voir mon soutien-gorge noir en fine dentelle transparente. Des talons aiguilles complétaient la panoplie de la parfaite secrétaire.Le grand chef vint me chercher à l’accueil, après avoir pris des nouvelles de ma santé, fait des compliments sur ma beauté époustouflante, il me conduisit au premier étage dans un bureau assez petit. Il était très lumineux des néons déversaient une lumière crue et une grande baie vitrée occupait un pan de mur derrière une table au-dessus noir de forme oblongue. En face de cette table, il y avait une étagère de plusieurs niveaux, avec quelques plantes vertes, juxtaposée à un miroir d’environ un mètre cinquante de large allant du sol au plafond. Du côté gauche de la table trônait sur meuble une imprimante photocopieuse dernier cri. À côté de la porte un fauteuil de cuir noir avec un dossier assez haut complétait le mobilier. Sur la table, étaient posés un ordinateur portable, un téléphone et un dossier en carton rouge. Le Directeur m’installa à la table face au miroir, il ouvrit le dossier qui contenait des lettres manuscrites et m’indiqua que pour l’instant, il fallait que je les tape et les mette en page sur le micro. Que je les imprime et qu’ensuite, je l’appelle à ce numéro, il viendrait vérifier mon travail et signer les documents. Puis il sortit me laissant seule et perplexe. Quelques minutes plus tard le téléphone sonna. C’était mon mari. — Le vieux cochon t’a installée dans le bureau avec un grand miroir ?— oui...— Le miroir est une glace sans tain, qui donne dans un petit salon à côté de l’endroit où tu te trouves.— Oui, et alors ?— Je ne sais pas ce qu’il attend de toi, mais je l’ai vu y entrer avec trois clients Arabes. Ça risque d’être chaud... Je voudrais bien avoir cette promotion, tu sais... Je voulais te prév... La conversation fut coupée, plus de tonalité. Je raccrochai, me levai et me dirigeai vers la glace, ainsi la derrière il y avait quatre hommes qui me regardaient. Qu’allait-il se passer ? Je retournai m’asseoir sur la chaise, allumai l’ordi et commençai à taper une lettre.On frappa à la porte. — Entrez...— Bonjour Mademoiselle, le standard vient de me signaler que votre téléphone n’avait plus de tonalité. L’homme qui entra était assez adipeux, pas très grand, basané, laid. Je pensai qu’il était Libanais ou du moins de cette région. Il avait une petite caisse à outils. — Oui, en effet, il ne fonctionne plus— Je vais m’en occuper. Il vérifia le dessous de l’appareil, ne trouvant rien d’anormal, il passa sous la table pour vérifier la prise, alluma une espèce de torche électrique portable, qui inonda de lumière le dessous du bureau. Je commençai à comprendre... Était-il vraiment un réparateur, ou alors le Directeur m’avait offerte à l’un de ses clients tandis que les autres mataient la scène ? Regardant le miroir, je quittai la veste de mon tailleur. Le gars s’était relevé et bricolait à nouveau le boîtier du téléphone. — Il fait chaud ici, non ? Lui dis-je— Oui, assez... Je crois que la panne vient de la prise. Il replongea sous le meuble, ralluma sa torche assez puissante, je me demandai si les spectateurs pouvaient voir ce qui se passait sous la table. Puis me remémorant ce que m’avait dit mon époux... Le Dirlo filmait ! Donc il devait y avoir des caméras. Mes yeux se posèrent sur le meuble supportant l’imprimante, sur le côté à environ cinquante centimètres du sol, il y avait un objectif pointé sous la table. Ils devaient visionner sur grand écran ! Il fallait jouer le jeu... Je relevai un genou, frottai mes cuisses l’une contre l’autre, ma jupe remonta légèrement. La main du réparateur frôla ma cheville. Je séparai légèrement mes jambes, il écarta ma cheville. Mes deux mains se posèrent sur mes cuisses à hauteur des attaches du porte-jarretelles et je remontai lentement le bas de ma jupe. — Bien ça, Mademoiselle... Sa main gauche remonta lentement le long de mon mollet, puis de ma cuisse et passa sous la lanière du porte-jarretelles et caressa ma fente à travers mon string. Il m’écarta les genoux et me caressa l’intérieur des cuisses. Je me renversai sur ma chaise en déboutonnant un bouton de mon chemisier, faisant apparaître mon léger soutien-gorge noir. Cela commençait à m’exciter sérieusement. Je soulevai les fesses et remontai ma jupe presque sur mes hanches. Tout en me caressant il dégrafa l’attache gauche mon bas, cela me donna un long frisson. Je sentis qu’il écartait le mince tissu du string pour dégager ma chatte, j’avançai les fesses sur le rebord de la chaise, tant pour lui faciliter la tâche que pour permettre à la caméra de bien filmer. Sa langue partit en reconnaissance à l’intérieur de mon vagin, de deux doigts, il écartait mes lèvres pour bien dégager l’orifice vaginal. Mais cela ne dura pas, il se leva. — Venez ici, m’ordonna-t-il. Je fis le tour du bureau pour le rejoindre, perchée sur mes talons, j’étais plus grande que lui. — Défais mon pantalon ! Je m’accroupis devant lui, débouclai la ceinture, défis sa braguette, il ne portait pas de slip. Son sexe très foncé se dressa plaqué contre son ventre, son gland circoncis arrivait à hauteur de son nombril. Il se mit de dos sur le bureau, me faisant mettre un peu sur le côté, il ne fallait pas que ses amis ratent une miette du spectacle ! Je m’appliquai à lui faire une fellation avalant entièrement son phallus, aspirant et léchant ses boules. Il fermait les yeux de contentement en poussant de petits râles de plaisirs. Il se leva rapidement, et tira le fauteuil bien en face de la glace sans tain. Il s’y assit dessus le sexe bien érigé. — Viens sur moi... déshabille-toi ! Il m’attrapa par les hanches et me mit de face devant le miroir. Je quittai mon string et ma jupe en regardant langoureusement les hommes qui se trouvaient derrière. Puis je m’assis sur le phallus en érection.C’était moi qui menai le jeu, je me levais et m’asseyais à mon rythme, essayant de varier la cadence de pénétration. Il me déboutonna mon corsage, l’ôta. Il dégrafa mon soutien-gorge et me caressa les seins, titillant mes mamelons qui grossirent malgré moi. Il me dit de mettre mes pieds sur ses cuisses, ce que je fis. Cela me fit ouvrir encore plus largement les jambes. Il passa ses mains sous mes fesses pour me soutenir. Jusqu’à présent je ne ressentais presque rien, je faisais cela pour aider mon époux à avoir la promotion à laquelle il tenait tant.Il me besogna assez longtemps, mais je n’étais pas très réceptive à ses assauts. Alors il changea de tactique, il positionna son gland à l’entrée de mon orifice anal et enfonça d’un seul coup sa verge.Heureusement que ce n’était pas la première fois que je me faisais sodomiser, car il m’aurait fait mal. Pour l’instant, je n’avais encore rien ressenti au niveau plaisir. Mais en regardant le miroir, me voyant empalée sur ce phallus conséquent, mon sexe bien épilé qui s’ouvrait au rythme des pénétrations anales, la main qui me caressait les seins, l’autre qui me titillait le clitoris, sachant que d’autres hommes me regardaient, une boule de chaleur m’envahit les entrailles. Je sentis mon vagin s’humidifier abondamment, les battements de mon cœur se firent plus rapides. M’agrippant plus fortement aux accoudoirs du fauteuil j’accélérai la cadence, de petits râles commençaient à s’échapper de ma gorge. — On dirait que tu préfères la sodomie, salope. Ça te fait mouiller, ta chatte est toute trempée maintenant... Il alterna ses pénétrations, quelques allers et retours dans mon vagin, puis des va-et-vient dans mon anus... Mon désir se décupla, je sentis monter le plaisir autant par ce que me faisait subir celui qui me baisait, que de penser aux autres hommes qui devaient se masturber en me regardant... Je me laissai aller... maintenant ce n’était plus simplement pour aider mon mari, je voulais jouir, je sentais mon ventre qui s’embrasait, le plaisir qui montait. L’homme se mit à parler en arabe écartant les lèvres de ma chatte lorsqu’il me sodomisait, ce devait être pour exciter ses amis... Il se mit à psalmodier — Ooooohhhhhhh, aaaaahhhhhhhhh, Ooooouuiiiiii !!!! Salope, salope tu vas me faire jouir... Je resserrai mes parois vaginales plusieurs fois autour du mandrin qui me pénétrait, et j’explosai de jouissance avec un grand cri. Il éjacula au même instant au plus profond de mon vagin, en grands jets tièdes et poisseux, les mains crispées sur mes seins. Il se vida les testicules, puis il me repoussa, sans un regard pour moi, il se leva, s’habilla et partit. Je restai là face au miroir, seulement vêtu de mes bas et de mon porte-jarretelles. Je m’approchai du psyché pour être le plus près possible des voyeurs et entrai deux doigts dans mon orifice vaginal, les ressortis poisseux de sperme et de mon foutre mélangé et les suçai avec délice.Deux minutes après, la porte s’ouvrit. J’étais toujours nue en bas et porte-jarretelles, du sperme coulant le long de ma cuisse. — Oooooohhh, pardon ! C’est Monsieur Portal qui m’envoie, pour signer les documents que vous avez dû taper ! Me dit le gros homme, Libanais comme l’autre, qui venait d’entrer. Ses yeux me parcouraient avec avidité, et l’énorme bosse de son pantalon trahissait son désir. — Excusez-moi, Monsieur, mais je n’ai pas eu le temps...— Ce n’est pas grave Mademoiselle, mais il va falloir que vous vous occupiez de mon stylo, me dit-il en souriant. Il baissa le zip de son pantalon, et me présenta un sexe dont le gland circoncis était presque violet tellement il était gros, dur et congestionné. Il se laissa tomber sur le fauteuil. — Suce-moi ! Salope... Je me baissai sur le membre tendu, sortis les couilles de sa braguette et les caressant d’une main, je commençai la fellation. J’avais écarté les jambes pour bien offrir à la vue de ceux qui restaient derrière le miroir, ma vulve ouverte et mon orifice anal, ça m’excitait de les faire bander. Je me décalai un peu pour leur permettre de voir que j’avalai entièrement l’énorme sexe gonflé. Il attrapa mes seins qui ballottaient, tira sur les mamelons à me faire presque gémir de douleur, mais ceux-ci durcirent et s’allongèrent. — Tu aimes te faire baiser, petite salope ! Un long moment s’écoula avant que je ne sente les premières contractions annonçant son éjaculation, je le branlai alors rapidement tirant la langue, pour recueillir son sperme. Il éjacula enfin, avant d’avaler sa semence, je me tournai vers la glace, pour bien leur montrer la quantité conséquente que j’avais dans la bouche et déglutissais d’un air gourmand. Je lui suçai ensuite le gland, pressai son sexe pour extraire les dernières gouttes de son liquide séminal que je léchai avec délice. Lui aussi sortit, sans rien me dire. Je récupérai un peu, toujours nue en porte-jarretelles, lorsque le Directeur, fit irruption dans le petit bureau. — C’était super Trixie, mieux que ce que j’espérai ! Vous m’avez permis de signer un contrat mirobolant ! Vous pouvez dire à votre mari qu’il aura sa promotion, et même une augmentation conséquente ! Mais regardez, votre exhibition me fait encore bander, il sortit sa petite bite tendue au maximum. Jetez un coup d’œil au contrat que je vous ai préparé ! Il déposa une liasse de papier sur le bureau. Curieuse, je me penchai pour lire. Il s’approcha derrière moi, me saisit les seins, son pantalon tomba au sol, il se plaqua conte moi, son sexe cherchant à me pénétrer. — Laisse-moi te baiser, salope... tu m’as tellement excité avec les Arabes... et puis je veux un souvenir de toi... la camera tourne...— Nooooonnn ça suffit... Il me murmura le montant de la prime qu’il allait me donner pour ma prestation. — Vous êtes bien gentil, mais je ne veux pas de votre argent... Je ne suis pas une prostituée, je ne voulais que rendre service à mon mari...— Ah oui, j’ai oublié de te dire qu’il est dans le petit salon...
