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Nymphomane moi ? Tome I

Chapitre 4

Un inventaire... torride

Hétéro
J’avais refusé tout net la prime et la proposition d’embauche du patron de mon mari. Je travaille en effet dans les services administratifs d’une boîte dans laquelle je me plais bien. L’hygiène tant vestimentaire que corporelle y est vraiment stricte : pratiques de bonne fabrication obligent. Ce jour-là, après le café du matin, accompagnée de Maxime, je me dirigeai vers le local de lingerie pour y prendre des blouses de travail propres que nous devions endosser pour nous déplacer dans les ateliers de fabrication. Chaque début de semaine, nous procédions à ce rituel, cela nous permettait d’avoir à tous les deux, un petit moment d’isolement. Car je dois vous dire que Max, qui est vraiment beau gosse, comme l’on dit si bien, est mon petit copain... même beaucoup plus que cela !
Tout en cheminant, Max était en train d’essayer de me convaincre, qu’il pensait que Gérald, le responsable, u n grand noir, des fournitures de la maintenance, s’intéressait à moi et que je ne le laissais pas indifférent.
Je ris, soutenant que ce n’était pas vrai. Maxime me fit remarquer qu’il s’était aperçu les fois précédentes, que celui-ci nous regardait à travers la vitre dépolie, mais légèrement transparente, d’une des portes de son bureau qui donnait sur la pièce où étaient entreposés les vêtements, c’était Gérald qui en gérait les stocks.
— Et pourquoi donc Gérald s’intéresserait à une fille comme moi ? — Tu te sous-estimes tout le temps... tu sais, tu es super sexy, tu es même un vrai canon ! La majorité des mecs de la boîte voudrait bien te baiser... Et moi, je suis super content d’être l’heureux élu !
Je lui avais raconté mon fantasme, faire l’amour avec un noir, sans lui parler des épisodes que je venais de vivre avec le vieux fermier et mon visiteur noir impromptu.
— J’ai des potes qui jouent au basket avec lui... Ils le côtoient dans le vestiaire, ils m’ont affirmé que le sexe de Gérald, ainsi que ceux des deux autres noirs de l’équipe étaient comme tous les phallus des gens de couleur vraiment très longs, massifs et imposants. Ils en arrivaient à faire des complexes sous la douche. Alors comme tu m’as parlé de ton fantasme avec un noir... Cela devrait te brancher !
Je souris, je savais qu’il disait ça pour m’exciter, mais il était loin de penser, que récemment, je m’étais fait baiser par un énorme noir avec un sexe aux dimensions hors normes, et que j’avais vraiment apprécié.
Et si c’était vrai ce que Max me racontait... ! Si Gérald avait une verge aussi grosse que celles de Mandingo l’acteur porno et du bel étalon qui m’avait prise l’autre soir... Si... c’était vrai qu’il eut des vues sur moi... Si... c’était... Allez Trixie, arrête de fantasmer !
Le local était désert, plongé dans l’obscurité, nous entrâmes dans l’arrière-salle où étaient entreposés les vêtements qui nous intéressaient. Max donna un tour de clef à la porte. J’appuyai sur le commutateur et la lumière crue des néons inonda la pièce. Le bureau de Gérald était lui aussi éclairé et on aperçut assez nettement au travers de la porte au vitrage dépoli et assez épais, sa silhouette assise derrière son bureau.
Maxime me regarda poser mon vêtement dans la corbeille, il me montra les carreaux translucides.
— Regarde, me dit-il, on voit Gérald de ce côté, et l’on distingue pas mal de détails, il en est de même de l’autre côté.
Je souris en pensant à ce qu’il avait éventuellement pu voir auparavant, et cela m’émoustilla.J’étais vêtue d’un chemisier léger qui laissait presque transparaître mes aréoles et la pointe de mes tétons. Maintenant, je ne portais plus que des soutiens-gorge seins nus en général noirs, comme toute ma lingerie fine. Cela ne me comprimait pas les seins et les laissait s’épanouir. En plus, j’aimais beaucoup ressentir la caresse des tissus sur l’extrémité de mes tétons, qui étaient chez moi une zone très érogène. Le regard allumé des hommes qui croyaient deviner que je ne portais pas de soutien-gorge, et qui fixait ma poitrine, me plaisait au plus haut point. J’étais perchée sur des talons aiguilles qui affinaient mes longues jambes, gainées de bas noirs retenus par un porte-jarretelles en dentelle noire. J’avais un petit string en dentelle noire qui laissait libres les deux globes de mes fesses. Tout cela sous une jupe grise assez moulante, qui lorsque je marchais, laissait deviner les attaches du porte-jarretelles.

Maxime me regardait en souriant, il me désirait, cela se voyait. Ici, c’était assez difficile. Mais on pouvait jouer à un petit jeu érotique et ce ne serait pas la première fois.
— Aujourd’hui, me dit-il, cela va être plus osé, si tu veux bien... on va exciter notre hypothétique spectateur... cela lui donnera peut-être le courage de t’aborder !
J’acquiesçai, il vint vers moi, me rapprocha de la porte et me positionna face à celle-ci. Il me demanda de retirer ma culotte. Je jetai un coup d’œil vers le bureau de Gérald, puis relevai ma jupe et fis glisser le petit morceau de tissu jusqu’à mes chevilles. Ma jupe resta relevée, Maxime put admirer au-dessus de mon pubis mon petit triangle de poils épilés assez ras, et la fente du sexe exempte de poils. Il aperçut le devant en dentelle du porte-jarretelles, ainsi que les lanières noires descendant jusqu’aux bas bordés de dentelles, tranchant sur ma peau blanche. Je vis qu’il commençait à bander. D’un geste gracieux, j’extirpai mes pieds de la culotte, mon sexe s’entrebâilla légèrement. Je gardai un moment la jupe levée en fixant la porte-fenêtre du bureau de Gérald. Maxime suivit mon regard et me la désigna d’un signe du menton. Gérald leva la tête et regarda dans notre direction. Coïncidence ?
Je fus troublée, laissai retomber ma jupe. Maxime s’approcha de moi, passa dans mon dos, remonta ma jupe pour découvrir mon sexe et il passa un doigt le long de ma fente ruisselante.
— Ça te fait mouiller, hein petite salope... de penser que Gérald puisse te mater... Attends, on va lui en monter un peu plus... Allez, dis-moi que tu aimerais bien sentir son énorme bite pénétrer dans ta chatte...— Oh oui... tu as raison, rien que d’y penser, ça me fait mouiller !
Pensant au sexe monstrueux du noir qui m’avait baisée l’autre soir, je frissonnai.Max, passant ses mains sous mes aisselles, commença à déboutonner le chemisier, il en écarta largement les pans, dévoilant ma magnifique poitrine. Il attrapa un sein dans chaque main et commença à les caresser lentement. Il saisit mes tétons entre le pouce et l’index et se mit à les faire rouler entre ses doigts, ils durcirent et s’allongèrent immédiatement. Je sentis que mon vagin commençait à être vraiment moite. Je ne quittai pas des yeux la silhouette noire toujours assise derrière le bureau, il me semblait bien qu’effectivement, il regardait ce qui se passait de l’autre côté de la porte.
Se frottait-il le sexe sous le bureau ? Ce n’était peut-être qu’une impression. Mais ce n’était pas pour me déplaire, oui, je désirais de nouveau un noir. Je repensai à cette fantastique expérience avec le sexe gigantesque de Jamaar. Je passai la main dans mon dos et dégrafai le zip du pantalon de Maxime, je lui sortis le pénis, ce qui était facile, il ne portait pas de slip, pour pouvoir s’adonner plus facilement à nos petits jeux érotiques. Je le caressai. Son phallus était vraiment, mais vraiment très loin en taille et en grosseur de l’énorme rouleau du noir ou de celui du marchand de légumes, mais je l’aimais bien quand même. Il était assez large et lorsque je le suçais, je pouvais l’engloutir entièrement facilement. Et puis il savait me cajoler comme personne d’autre, il arrivait presque à me faire jouir rien qu’en me caressant les seins et en me pinçant les tétons. Et il me faisait faire plein de petits jeux érotiques vraiment très agréables.
Celui-ci abandonnant mes seins, attrapa le bas de ma jupe et la releva à nouveau lentement vers le haut. Il me murmura à l’oreille que Gérald allait profiter d’un magnifique spectacle. Il remonta la jupe au-dessus du porte-jarretelles, écarta les lèvres de ma chatte et il la pénétra de son index et de son majeur.
— Putain, oui, tu as raison, tu coules vraiment petite Salope... me dit-il... C’est moi ou Gérald qui te mettons dans cet état ?— Les... les deux...— Tu as vraiment envie de sa grosse queue noire ?— Ou... Ouiiii...— Petite Salope... Tu aimerais qu’il ouvre la porte et vienne nous rejoindre... qu’il t’enfile sa grosse bite noire ?— Ou... ouiiiii...
C’était vrai... et de penser que le grand noir me voyait peut-être, en train de me faire caresser, me fit autant d’effet que les doigts de Maxime à l’intérieur de ma chatte. Je me retins de gémir, mon vagin se lubrifia encore plus abondamment. Je m’appuyai contre lui, et me cambrai comme pour offrir mon corps aux regards de Gérald. Après une dizaine d’aller et retour dans ma vulve, il remit la jupe en place, m’attrapa un sein et en mordit doucement le téton, il m’embrassa doucement dans le cou, je frémis. Puis il s’écarta. Je vis que Gérald n’avait toujours pas bougé. Je refermai mon chemisier et on s’en alla. Sur le chemin du retour, un large sourire éclairait la face de mon amant.
— Alors, cette fois, es-tu convaincue de l’intérêt que Gérald te porte. Tu voudrais bien le savoir !— Oui, je crois que tu as raison... mais on est gonflés de l’exciter comme ça, s’il arrive à voir ce qui se passe derrière la vitre !
Je commençai à être persuadée de ce que m’avait dit Maxime, et j’espérai qu’il ne se trompait pas... Sur le coup de midi moins dix, Maxime me rejoignit dans mon bureau, tout le monde était parti pour la pause déjeuner. Il s’assit à côté de moi, la conversation revint sur Gérald.
— Il me semble que Gérald vient souvent te voir pour des renseignements, j’ai remarqué qu’il s’asseyait sur cette même chaise... Tu sais, il devrait être très facile de te rendre vraiment compte de l’intérêt qu’il te porte !— Tu es devin ou quoi ? Il vient juste, il y a quelques instants de m’appeler au téléphone pour savoir s’il pouvait venir me voir, afin de mettre au point l’inventaire qu’il doit effectuer avec moi cet après-midi. — Tu as remis ton string ?— Oui, bien sûr...— Enlève-le... il n’y a plus personne, ils sont partis déjeuner. Tu souris, tu as compris pourquoi ! Tu vas me l’exciter ce grand noir, tu verras ainsi quelle sera sa réaction. Je suis sûr à 100 % que Gérald va te faire ça... cela va se passer ainsi...
Sans attendre mon accord, il releva ma jupe, passa la main sous la lanière du porte-jarretelles et remonta lentement jusqu’à mon sexe, y insinua son majeur, tout en me saisissant un sein avec l’autre main. J’écartai les jambes pour mieux accepter les doigts. Mon sexe commença à mouiller, il me suçait le sein à travers le chemisier en me mordillant le téton. Ça me fit gémir, il activait rapidement son majeur et son index à l’intérieur de ma vulve humide, il sentit qu’elle commençait à ruisseler. Mais je le repoussai gentiment en arguant que Gérald allait arriver dans quelques minutes. Il acquiesça, mais il arrangea ma jupe de telle façon que Gérald s’aperçoive que j’avais un porte-jarretelles et que j’étais nue dessous.
Il positionna donc le bord du bas de la jupe juste au-dessus des attaches du porte-jarretelles à la limite de la peau nue, les laissant bien apparentes, elles se trouvaient plus haut que les dentelles des bas, ce qui attirait obligatoirement le regard. Il me demanda de mettre un pied sur la barre des roulettes de la chaise et l’autre sur le sol, ce qui m’obligea à maintenir les jambes à demi-ouvertes et fit tendre ma jupe. Cela permettrait à Gérald, si je pivotais légèrement d’apercevoir mon sexe. Rien que de penser aux effets que pourrait avoir cette mise en scène, je sentis mon foutre couler de plus en plus sur mes cuisses, ma jupe devait être tachée. Il me demanda de ne pas trop bouger en attendant qu’il arrive. Je lui promis... au moins, je saurai, me dis-je, j’avais très envie qu’il s’intéresse à moi.
Maxime n’avait pas franchi la porte que Gérald entra. Il s’approcha du bureau, tira une chaise à côté de moi, se pencha pour me faire la bise. Mon cœur s’emballa, il battit à tout rompre, je me soulevai légèrement pour lui rendre son baiser, ce qui eut pour effet de faire remonter encore un peu plus ma jupe, et découvrit une assez grande bande de peau au-dessus de mes bas noirs. Gérald prit place à ma droite. Si son regard fut aussitôt attiré par ce qui se passait sous le bureau, il n’en laissa rien paraître. Je remarquai bien la direction de ses yeux. Il posa un bloc note devant lui, le tourna légèrement vers moi et me demanda mon avis. Pour lire les notes, je fus obligée de tourner la chaise vers lui, en même temps, je déplaçai ma jambe gauche vers l’extérieur, ce qui augmenta naturellement, l’écart qui séparait mes cuisses, ma jupe remonta encore un peu et se tendit sur mes cuisses.
Gérald, lorsqu’il reporta les yeux sur mes jambes fines, put apercevoir plus qu’un bon tiers des lanières noires du porte-jarretelles. J’étais maintenant consciente que je ne lui étais pas indifférente, vu la façon dont il me regardait, quand il relevait les yeux. Imperceptiblement, mes genoux se séparaient, ma jupe remontait centimètre par centimètre. Mon sexe qui était encore trempe depuis le départ de Maxime, se remit à couler plus abondamment. Je sentis mon cœur battre la chamade, mon souffle devenir plus court. Je fis semblant d’écouter ce qu’il disait, mais ma tête était ailleurs. Apercevait-il ma chatte ? Sa blouse bleue était ouverte, son pantalon de velours faisait une longue bosse sur sa cuisse, Max avait raison...
Gérald se rendait-il compte de l’effet que sa présence me faisait ?En réponse à ma question, il arriva ce que j’espérais et attendais, je sentis la main gauche du grand noir se poser sur ma jambe juste au-dessous de l’attache du porte-jarretelles et le petit doigt en toucher la fermeture. Je fis semblant d’être surprise, je frissonnai... J’eus un hoquet...
— Chut, chut, chut... nooonnn...
Je lui retirai doucement la main, tout en le regardant dans les yeux avec un regard qui disait absolument le contraire. Gérald remit sagement sa main sur son genou. Et essaya de continuer ses explications. La jupe remonta encore un peu et je ne la remis pas en place. On apercevait maintenant une large bande de peau blanche au-dessus de mes bas. Noir et blanc encore une fois le contraste était ravissant. Les yeux de Gérald y étaient fixés dessus, il dut apercevoir mon pubis. Je me tournai encore un peu vers lui. Il me souriait de ses dents blanches.
— Ce matin, je t’ai aperçu dans la lingerie avec Maxime...
Je rougis légèrement. Il reposa sa main sur mon genou, je ne la retirai pas cette fois.
— C’était vraiment très érotique, dommage que les vitres ne soient que translucides, mais on peut apercevoir pas mal de détails... Je me suis masturbé en vous regardant...
Je le regardai avec des yeux de velours. Tout en continuant à me décrire avec précision ce qu’il avait aperçu, sa main progressa lentement vers le haut de ma cuisse, elle dépassa la limite des bas, atteignit la chair nue. Je frissonnai de plaisir. Je fixai comme hypnotisée, cette grosse et longue main noire qui passa sous la lanière en dentelle de mon porte-jarretelles, grignota lentement ma peau nue, monta doucement en direction de mon sexe. Je m’avouais que j’aimais vraiment me faire tripoter par un noir, j’aimais vraiment ce contraste entre ma peau blanche et leur peau noire. Il y avait aussi le mythe du noir qui baisait une femme blanche, c’était réprouvé par la morale de la majorité des gens et on m’avait éduquée ainsi, je franchissais encore une fois le tabou. Ça m’excitait énormément. La main de Gérald était pour l’instant au-dessus de ma cuisse, elle glissa vers l’intérieur, toujours sous la lanière.
Cette lente caresse me tétanisa le cerveau, mes cuisses s’ouvrirent, ce qui fit largement remonter ma jupe jusqu’au ras de mon pubis. J’avançai les fesses sur ma chaise et reposai mon dos sur le dossier, lui offrant entièrement la fente épilée de mon sexe, ruisselant et ouvert. Sa main arriva à la zone mouillée des cuisses, son index frôla le bas de ma fente. Il remonta doucement entre les grandes lèvres et il commença à l’enfoncer dans le vagin. J’eus un long gémissement de plaisir. Je mouillai vraiment beaucoup, mon foutre tachait le tissu de mon fauteuil. Il dut penser que c’était lui qui me faisait cet effet, sans se douter que quelqu’un d’autre lui avait préparé le travail. Je m’étais renversée sur mon siège complètement abandonné, la tête en arrière, respirant par saccades. J’avais maintenant les jambes ouvert au grand maximum, et remonté ma jupe plus haut que mes fesses, ce qui lui offrit une vue magnifique sur mon sexe encadré par le porte-jarretelles de dentelle noire. Gérard avait maintenant trois longs doigts noirs à l’intérieur de ma vulve. Il accélérait les va-et-vient.
Je lui saisis la main pour essayer de les faire pénétrer plus profondément en moi. Il y adjoignit le petit doigt, puis se mit avec son pouce à me caresser le clitoris avec de petits mouvements circulaires, je gémis sans discontinuer de plaisir, de temps en temps, il soulevait avec son ongle le petit bouton rose et dur et le grattait tendrement. Il avait une grosseur énorme le long de sa cuisse, il bandait comme un taureau, mais il n’osait pas sortir son sexe. Il me prit quand même la main et la posa sur le velours de son pantalon. Je sentis la rigidité du pénis. Je le trouvai moins gros que celui du noir qui m’avait possédée l’autre soir, mais je ne pus avoir une idée de la longueur. Gérald continuait ses va-et-vient et le frottement du clitoris, ses longs noirs disparaissaient entièrement dans mon sexe. Je sentis que suite aux attouchements prodigués par les deux hommes qui venaient de se suivre, je ne tarderai pas à atteindre la jouissance.
Mais je me dis qu’ici, au bureau, ce n’était pas tellement le lieu pour se laisser aller au plaisir, et surtout que l’heure avait dû avancer. Je jetai un rapide coup d’œil à ma montre, il était midi vingt-cinq. Je repris mes esprits, retirai gentiment avec un sourire un peu contrit, la main noire qui était presque arrivée à me faire jouir. Gérald regarda ses doigts luisant de foutre, les porta à sa bouche et les suça voluptueusement en me regardant. Je me levai, rabaissai ma jupe et indiquai à Gérald que malheureusement, il était l’heure et qu’il fallait que je me sauve. Sur mes fesses nues, je sentis que ma jupe devait avoir une grosse tâche de foutre. Tant pis, je mis mon sac en bandoulière et essayai de le positionner à cet endroit, à cette heure, je ne risquai pas d’ailleurs de croiser grand monde pour me rendre sur le parking.
Gérald me fit une bise, et me rappela qu’on avait rendez-vous au sous-sol où se trouvait le magasin, cet après-midi pour commencer l’inventaire, et ce, à quatorze heures trente précises ...Après la pause déjeuner, comme tous les jours vers quatorze heures, je retrouvais Maxime pour boire un café. J’avais changé ma jupe tachée et enfilé une robe légère imprimée, se boutonnant sur le devant. Celle que je portais lorsque le vieux fermier des légumes m’avait baisée. Cette robe s’évasait en une légère corolle, et s’arrêtait dix centimètres au-dessus de mon genou. Les deux derniers boutons étaient défaits, ainsi que le dernier du haut qui était déboutonné. Nous étions seuls. Avant de partir, j’ avais retiré mon string, sachant très bien pourquoi. Je m’étais munie d’un bloc note en vue de l’inventaire. Maxime me demanda ce qui s’était passé avec Gérald. En riant, je lui certifiai qu’il ne s’était absolument rien passé, qu’il m’ avait juste maté les jambes, et pourtant j’avais fait un effort pour l’exciter, il avait même dû apercevoir ma chatte ! Je le lui raconterai avec force et détails un autre jour. Il était appuyé au lavabo face au banc.
Je me servis un thé, m’assis en face de lui.
— Non, non, ne t’assieds pas ainsi, ce n’est pas comme ça que je te demande de faire... Et puis je ne suis pas persuadé que tu me dises l’entière vérité...
J’obéis, me relevai, fis bouffer ma robe et me rassis directement sur mes fesses nues. Le froid du plastique du banc me fit frissonner. En portant mon gobelet aux lèvres, je fixai amoureusement Maxime. Il me dit d’écarter les jambes, je m’exécutai. Je les séparai et les refermai plusieurs fois, faisant à chaque fois s’ouvrir un peu plus ma chatte. Remontant ma robe, j’écartai les lèvres de ma vulve avec deux doigts pour lui permettre d’apercevoir l’ouverture de mon vagin. Maxime fixait mon sexe avec envie. Je me sentis mouiller. Il vint s’asseoir à côté de moi, souleva un côté de ma robe et sa main partit en exploration sur ma cuisse gauche. Elle s’attaqua d’abord à la reconnaissance de l’attache du porte-jarretelles sur la partie en dentelle de mes bas noirs, puis elle suivit la lanière, passa lentement à l’intérieur de ma cuisse et insinua son majeur dans mon sexe qui palpitait.
Son autre main avait saisi mon sein droit et en malaxait le téton à travers le tissu de la robe, je me mis à gémir doucement. Le bout de mon sein avait durci et s’était allongé de plus de deux centimètres, Maxime, en baisant l’échancrure de robe, me dit qu’il aimait beaucoup l’érectilité de mes tétons. Je regrettai que cela, vu l’endroit où nous nous trouvions, ne puisse aller bien plus loin. Des pas firent d’ailleurs crisser le gravier dans l’allée, quelqu’un arrivait. Maxime retira ses mains, je réajustai ma robe. Nous avalâmes nos boissons. Il n’était pas loin de quatorze heures trente. Je le regardai malicieusement.
— Bon, je vais aller le rejoindre. Tu sais, en général, Gérald ferme le local à clef pour que l’on ne soit pas dérangé pendant l’inventaire.— Petite salope, tu y vas sans culotte ? — Oui, j’adore... et tu vas en être excité tout l’après-midi...! En fantasmant sur lui et moi... Et ce que nous pourrions faire... et que peut-être nous ferons ! Crois-tu que je vais réaliser mon fantasme ? imagine son énorme queue noire en train de me pénétrer...
Maxime me regarda partir avec envie, il dut penser à ce qui pourrait arriver, j’étais sûre que cela le faisait bander.En traversant la cour, je sentis le vent s’engouffrer sous ma robe qui voletait doucement, les deux derniers boutons étant dégrafés. La pointe de mes seins, encore durcis par la caresse de Maxime, frottait agréablement contre le tissu de ma robe et entretenait de ce fait leur érection. J’arrivai devant la porte entrebâillée, de la lumière filtrait, Gérald était déjà là. J’entrai, mon cœur battait plus fort en pensant à ce qui s’était passé le matin, et à ce qu’il m’avait dit qu’il avait vu à travers la porte dépolie de son bureau... et à ce qu’il avait fait en nous regardant. Je fus parcourue d’un long frisson.
Il m’attendait, visiblement un peu gêné de l’intermède de midi. Il n’osait pas trop me regarder, je lui souris. La pièce comportait un comptoir, derrière celui-ci, des rayonnages pleins d’ustensiles divers, une sorte de bureau avec deux chaises, et des cartons entassés çà et là. Une lumière crue tombait des néons du plafond, la pièce en sous-sol ne comportait que de très petits vasistas munis de grillage s’ouvrant au ras du sol dans la cour. Un listing était posé sur le bureau au-devant duquel Gérard se tenait debout. Il était très grand, pas d’une couleur noire aussi absolue que celle du noir qui m’avait baisée l’autre soir, mais la couleur me convenait, il devait y faire bon de frotter sa peau blanche. Ses grandes mains de basketteur feuilletaient un bloc note. Je fixai les doigts qui tout à l’heure m’avaient presque amenée au bord de l’extase. Je me remémorai la grosseur et la dureté du sexe que j’avais touché, et je m’interrogeai sur la longueur.
Comme prévu, Gérald alla fermer la porte à clef. Nous étions maintenant seuls et tranquilles, personne ne pouvait nous voir. Je m’assis sur l’une des chaises et me tournai vers Gérald qui revenait. J’écartai doucement sur ma cuisse le panneau de ma robe glissa, laissa apparaître la dentelle du haut de mes bas, le fermoir et la mince bande de tissu noir qui la reliait à mon porte-jarretelles. Je pris soin de ne pas lui laisser apercevoir mon sexe. Je voulais qu’il me désire, exacerber ses sens jusqu’à ce qu’il n’en puisse plus de bander. J’aimais d’ailleurs que le regard des hommes et celui des noirs de surcroît, se pose sur moi et me désire. Souvent, sans en avoir l’air de rien, lorsque je sentais s’appesantir sur mon corps le regard appuyé d’un homme, je savais jouer de mon charme, pour mine de rien me faire désirer un peu plus, tout en ayant l’air très sage.
Je vis le regard de Gérald s’éclairer, en se portant sur ce morceau de cuisse découvert, un sourire lumineux éclaira son visage. Il vint s’asseoir au bureau et m’expliqua comment il comptait procéder pour commencer l’inventaire, il me montrait le listing et commençait à avancer la main vers la cuisse dénudée, il la posa au-dessus de mon genou.
Je me levai, me penchai sur le bureau, ma robe déboutonnée bailla, Gérald plongea son regard dans la profondeur du décolleté. Je lui laissai deux bonnes minutes pour qu’il admire mes deux globes laiteux, dont les aréoles commençaient à prendre la chair de poule et se couvrir de petits points. Les tétons eux aussi commencèrent à grossir, s’allongèrent et durcirent quelque peu.
Puis malicieusement, je tournai les talons et me dirigeai vers l’endroit où Gérard voulait débuter le travail. Les fournitures se trouvaient sur le premier plateau de l’étagère presque au ras du sol. Je m’accroupis, face à Gérald qui me suivait environ trois ou quatre mètres en arrière. Ma robe s’évasa derrière mes talons aiguilles. J’écartai lentement les genoux, lui dévoilant mon pubis épilé. L’ouverture de mes grandes lèvres n’était pas assez importante, et ne permit pas à Gérard d’apercevoir la fente de ma chatte qui maintenant mouillait de plus en plus. Tout en comptant, j’écartai lentement un peu plus les jambes, pour qu’il ait un aperçu de la fente humide. Il arrêta sa progression et se tint à trois mètres pour pouvoir bénéficier du spectacle, une grosseur commençait à se profiler le long de sa jambe. J’y portai les yeux et satisfaite de mon effet, me levai.
J’avisai deux cartons posés l’un sur l’autre, et m’y dirigeai, en chemin, je déboutonnai le troisième bouton du bas de ma robe. Celle-ci n’était plus retenue que par trois boutons et s’ouvrait jusqu’à ma chatte. Maintenant à chacun de mes pas, la fente de ma robe s’entrebâillait assez largement sur les bandes de peaux blanches et nues striées par les lanières noires du porte-jarretelles. On put même apercevoir le bas de ma chatte. Arrivée près des cartons, je regardai Gérard, celui-ci n’avait pas encore remarqué ce que la robe laissait entrevoir. Je notai qu’il avait l’air chaviré par ce que je lui avais laissé entrapercevoir, lorsque j’étais accroupie. Il essaya de fixer son attention sur des objets à compter sur l’étagère à côté de lui, mais je vis bien que ses pensées étaient ailleurs. Nous ne parlions pas.
Lui souriant, et lui faisant face, je m’approchai de l’angle d’un carton, et le fis pénétrer dans l’interstice de ma robe. J’en écartai les deux pans et commençai à me frotter le sexe contre la pointe de l’angle du carton. Je continuai à regarder le grand noir, qui tétanisé maintenant, me fixait, complètement subjugué. Je fis pénétrer le bord saillant du carton entre mes deux grandes lèvres, les petites lèvres s’écartèrent et le pointu pénétra légèrement dans mon vagin. Mes reins eurent un ou deux mouvements d’avant en arrière. Le grand noir, une énorme bosse dans sa jambe de pantalon s’approcha.
Je fis comme si j’avais peur, et partis rapidement vers le bureau. Il me rattrapa, en me saisissant de dos par la taille. Je me tournai vers lui, il se pencha et m’embrassa fougueusement, je lui rendis avec autant d’ardeur son baiser. Il commença à déboutonner les trois derniers boutons de la robe, celle-ci s’ouvrit. Je sentis les deux mains noires parcourir avidement mon corps blanc. Il se recula pour m’admirer, puis il fit glisser la robe par terre. Mon sexe était en nage, mes seins durs comme de l’albâtre et mes tétons qu’il n’avait même pas encore touchés s’étaient allongés d’au moins deux centimètres et demi et pointaient hors des bonnets du demi-soutien-gorge.
Gérald apparemment satisfait de son examen, défit la ceinture de son pantalon, baissa son slip et exhiba son sexe, je n’attendais que ce moment ! Celui-ci se dressait fièrement. Je jugeai que pour la grosseur, il était de même taille que celui du vieux, c’est-à-dire bien plus grosse que la normale, quant à la longueur, il dépassait son nombril. Il était tendu et avait l’air aussi dur qu’un morceau de bois. Me remémorant les deux expériences que je venais de subir, je pensais au plaisir que j’allais sûrement ressentir à nouveau, ce qui me fit encore plus mouiller, et mon foutre coula sur mes cuisses. Il me prit les bouts des seins qui dépassaient du soutien-gorge, seins nus, et les mit à tour de rôle dans sa grande bouche, puis il les lécha avec de grands coups de langue. Je vis cette grosse langue rose, s’activer sur mes seins blancs, ça m’excita de plus en plus.
Mais Gérald trouvant qu’il était gêné par le mini-soutien-gorge, me fit tourner sur moi-même, il attrapa la fermeture et la défit, en sentant qu’il faisait doucement glisser les bretelles sur mes bras, je frissonnai délicieusement, mon corps se couvrit de chair de poule. Il me passa les mains sous les globes des seins, il s’aperçut au toucher que j’avais un grain de beauté sous le sein gauche. Il commença à me malaxer les tétons d’une main.
Son autre main s’aventura d’abord sur le devant du porte-jarretelles parsemé de fleurs de dentelle noire. Il était parfaitement positionné sur le bas de mes hanches et tranchait avec ma peau blanche, qui elle aussi avait l’air d’exciter le noir. La grosse main noire m’engloba le sexe, et il enfourna son majeur et son index dans la fente trempée. J’écartai les jambes pour faciliter ce doigté. Gérald admirait mon dos qui se trouvait devant lui, il recula un peu, tout en continuant ses caresses. Ses yeux se portèrent sur l’arrière du porte-jarretelles, il le trouva ravissant, comme la propriétaire d’ailleurs, me dit-il. La partie en dentelle s’arrêtait juste à l’endroit où partait la lanière qui soutenait le bas, la fermeture en était assurée par une mince bande de tissu noire, tranchant sur le blanc de la peau. Elle était positionnée au début de la raie qui partageait mes fesses fermes.
Il en approcha son énorme sexe et le glissa entre la peau et la bande de tissu, et le frotta voluptueusement le long de cette raie qui lui donna des idées. Il me pencha sur le bureau, me demandant d’écarter les jambes, j’obéis de bonne grâce. Tenant son gros pénis d’une main, il le passa entre mes jambes, je sentis le gland qui faisait quatre ou cinq aller et retour le long des lèvres de ma chatte. Le bout à chaque passage s’attarda sur mon clitoris et le frotta doucement. Puis, il l’entra dans mes petites lèvres et attaqua l’entrée de mon vagin. Je cambrai les reins. Ma vulve, bien lubrifiée, et pénétrée depuis quelque temps par des sexes que l’on pouvait qualifier de... hors-normes, n’eut pas trop de mal à accepter d’un seul coup la moitié du gros pénis noir.
Gérald fut étonné de la facilité de pénétration de son gros tuyau noir. Il le retira presque entièrement et d’un mouvement puissant, enfonça son pieu entièrement. Je criai de plaisir. Il se mit alors à me labourer à grands coups de reins. Ses mains serrèrent fortement mes seins comme pour les broyer. Je hoquetai de contentement. Puis, toujours en moi, il se recula en m’entraînant, s’assit sur une chaise.
Il me mit face à lui et m’empala de nouveau sans coup férir. Je ne sentais plus que cet énorme rouleau noir qui remontait le long de ma paroi vaginale, qui me mettait le sexe en feu. Il prit de nouveau mes seins dans sa bouche et mordit un peu brutalement mes tétons, cela me fit à nouveau crier de plaisir. Je fis pénétrer toute seule dans mon vagin la grande hampe noire ruisselante de mon foutre jusqu’à la garde, et commençai des mouvements de torsion de mon bassin autour du sexe qui semblait encore avoir doublé de volume. J’appuyai fortement de tout mon poids, sur les cuisses de Gérald pour que celui-ci ne puisse pas retirer sa bite. Je frottai mes tétons durs comme de l’acier sur ce grand torse noir et glabre qui s’étalait devant moi, j’y écrasais mes seins, comme si je voulais les faire y entrer. Je l’embrassai, lui fourrant rageusement ma langue dans la bouche, lui mordant la sienne. Le plaisir montait rapidement en moi.
Je commençai à être pas mal excitée depuis le matin, même si la pause déjeuner était passée par là.Gérard me souleva légèrement en faisant attention de ne pas retirer son pénis, je sentis que son long majeur commençait à frotter doucement le bord de mon anus, j’émis un petit cri de surprise. Il ne me laissa pas le temps de la réaction, son doigt me pénétra, il entra doucement, mais sûrement. Je redoublai mon baiser pour lui montrer que je ne détestai pas cette caresse. Gérard commença alors avec son majeur des allées et venues, il reprit ses va-et-vient dans mon vagin. N’y tenant plus, mon plaisir étant au paroxysme, je ne le retins plus et explosai dans une gerbe de jouissance, la tête rejetée en arrière, je râlai, hoquetai, les néons du plafond passèrent par toutes les couleurs de l’arc-en-ciel. Il me sembla que cela durait une éternité. Gérard lui, n’avait pas joui. Un petit peu frustré que je sois parvenue au plaisir avant lui, il me fit me pencher sur la table. Je pensai qu’il allait me pénétrer à nouveau, car il ne devait pas être loin de l’éjaculation lui aussi.
Mais il ne le fit pas, écartant doucement mes fesses, il approcha son gland de l’orifice de mon anus et essaya de forcer le passage, je sentis la pression de cette énorme bite qui commençait à pénétrer très difficilement. Il cracha entre les deux globes de mes fesses, sur sa bite, pour faciliter la pénétration. J’écartai largement les jambes pour ouvrir mon orifice anal. Gérard s’étonna encore de la facilité qu’il avait à me sodomiser. Il ne savait pas que je m’étais fait baiser plusieurs fois par des bites monstrueuses par cet orifice, et que le chemin était fait. Sa queue noire glissa au fond de mon ventre. Gérard était tellement excité par ce que je lui permettais de faire, qu’il éjacula presque aussitôt. Je ressentis les premiers frémissements de sa queue, rapidement, je tombai à genoux devant lui, soulevai la grosse bite noire et me mis à lui lécher rapidement le bout du sexe, je mis le gland dans ma bouche. Je sentis les soubresauts de l’énorme sexe noir.
A chaque fois, une giclée du sperme chaud et blanc coulait sur ma langue, je le déglutissais rapidement en aspirant très fort le bout du gland que j’avais gardé entièrement dans la bouche, cela le faisait frissonner et lui tirait des râles de plaisir.
Je trouvai délicieux le goût du sperme de Gérald. Lorsqu’il eut terminé d’éjaculer, il m’embrassa longuement. On se rhabilla, on continua tant bien que mal l’inventaire commencé. Le soir en quittant les lieux, Gérald me dit gentiment et tendrement :
— Il y a longtemps que je désirais te baiser, j’avais très envie de vous rejoindre au local des blouses, mais je n’osais pas ! Je n’aurais jamais pensé possible qu’une blanche aussi sexy que toi ait bien voulu me laisser faire tout ce que m’as permis, je n’en reviens pas... J’espère seulement qu’il y aura une autre fois...— Pourquoi pas ?
lui répondis-je en souriant... je lui fis une bise et me sauvai...
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