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Nymphomane moi ? Tome I

Chapitre 7

Secrétaire... très particulière

Hétéro
Avec mon amie Marion, un soir où nous étions seules, elle célibataire et moi mon mari découchait de plus en plus souvent, nous trompions notre ennui en regardant un DVD porno de Mandingo. Marion était de mon âge, blonde comme moi, la poitrine un peu plus grosse et des jambes aussi jolies que les miennes. Tous les hommes de la boîte où nous travaillons auraient bien voulu faire l’amour avec l’une de nous deux ou avec toutes les deux ensemble.
— Dis donc, me dit Marion, la queue de cet acteur dépasse l’entendement, elle est énorme ! Je crois que j’aimerai être à la place de la fille...— Tu sais, les noirs ont souvent un sexe aussi important. Tu connais Gérald, le magasinier des fournitures diverses, il a presque le même...— Et comment tu sais ça toi, tu l’as vu ?
Je réalisai que j’en avais peut-être trop dit, mais il fallait maintenant donner une explication, c’était une bonne copine, ça resterait entre nous. Je bus un verre pour me donner du courage et lui racontai les épisodes des inventaires. Elle écouta attentivement.
— Confidence pour confidence, moi aussi, je vais te raconter quelque chose, ainsi, on sera quitte. Nous connaîtrons les petits secrets de l’autre.
Elle commença son récit :J’avais été mutée à l’entrepôt en tant que secrétaire. Tu te rappelles qu’à cette époque, le personnel commençait à être réduit. Là, il y avait Mikael qui gérait les deux étages, Bertrand le magasinier conducteur du chariot automoteur et un intérim qui s’occupait des charrois, Ludo, je crois.
J’avais des vues sur Mikael, il y avait pas mal de temps que je lui faisais du rentre-dedans, mais jusqu’à présent sans trop de résultats. Souvent en sa présence, lorsqu’on était seul, ma jupe remontait et découvrait largement mes cuisses. Je lui laissais apercevoir mon string voilé par mes collants... Eh, oui, c’était la mode !!
Mais dès que j’ai pu être en permanence avec lui dans le bureau, j’ai vraiment testé mon pouvoir de séduction. Pour m’expliquer le travail, il venait souvent s’asseoir à côté de moi. Je décidai de profiter de cette situation, je mis une jupe apparemment très sage, car assez longue. Mais elle était faite d’un seul panneau qui s’enroulait autour de la taille, et lorsque j’écartais les jambes, un côté avait la « fâcheuse » tendance de glisser sur une cuisse et la jupe s’ouvrait jusqu’à ma taille.
Un jour où je lui demandais certaines explications sur le boulot, il déplaça son siège et vint s’asseoir à côté. Mon cœur se mit à battre plus vite. J’avais déjà commencé à laisser glisser le pan de la jupe. La moitié de ma cuisse était découverte. Ses yeux s’y portèrent aussitôt, un léger mouvement et elle s’écarta encore. Il commença ses explications, je me tournai légèrement vers lui, ce qui découvrit entièrement ma cuisse. Sa main droite se posa sur mon genou, et commença une lente progression vers le haut de ma jambe, au plus sa main montait, au plus j’écartai les jambes.
Mais l’ouverture de la porte des escaliers et des bruits de pas stoppèrent notre petit jeu.Pour déjeuner, je ne quittais pas l’usine. Je prenais mon repas dans le petit vestiaire attenant au bureau. Mikael rentrait vers les 13 heures, nous étions seuls pendant une grande demi-heure.Lorsque je l’entendis rentrer dans le magasin, je l’appelai du fond de celui-ci. J’avais choisi un endroit où l’on ne pouvait pas nous apercevoir, cachés par les palettes remplies de gros cartons. Je fis semblant de compter de la marchandise penchée en avant. Il s’approcha doucement, posa ses mains sur ma taille, les descendit sur mes cuisses, écarta ma jupe. Je me tournai vers lui, et l’embrassai avec passion. Ses mains remontèrent, enserrèrent mes seins, il souleva mon pull, baissa les bonnets du soutien-gorge et il suça mes tétons qui se dressèrent aussitôt.
Il écarta à nouveau la jupe, s’attaqua à quitter le collant et le string, ce qui ne fut pas une mince affaire ! La position ne s’y prêtait vraiment pas. Nous avions aussi peur de nous faire surprendre si cela s’éternisait trop ! Mais cela ne m’empêchait pas de mouiller, la situation m’excitait. Après bien des contorsions, il eut raison des deux récalcitrants. Je me penchai en avant, il fit pénétrer deux doigts dans ma chatte :

— Putain, tu mouilles fort, me dit-il.— Mets-moi vite ta queue, répondis-je en rigolant, c’est bientôt l’heure.
Il attrapa mes hanches, et d’un seul coup enfila son sexe. J’eus un hoquet de plaisir. Au bout d’une dizaine de va-et-vient, il me dit qu’il valait mieux cesser, car c’était bientôt la fin de la pause déjeuner, mais que nous remettrions ça en nous organisant mieux. L’après-midi au bureau face à face, je ne le quittai pas des yeux pour voir si j’avais réussi à atteindre mon objectif. Il se leva, passa derrière moi, comme pour regarder mon travail. Ses mains se posèrent dans mon dos, sur l’attache de mon soutien-gorge. Il le dégrafa, cela me fit frissonner. Sur mon épaule, il prit la bretelle gauche et lentement la fit descendre le long de mon bras jusqu’à ma main, il la sortit de la manche. Il fit subir le même traitement à la bretelle droite, je mouillai comme une petite folle. Passant une main dans mon pull sur le devant, il attrapa le soutien-gorge et me l’enleva, je gémis de plaisir, j’étais trempée.
— Mets-le dans ton tiroir... dit-il en malaxant mes tétons, à travers le tissu du pull. Ça a l’air de te plaire petite salope... regarde tes tétons. Tu restes comme toute la journée !!
Et à partir de jour, ce fut un rituel... à part l’été où je ne portais pas de soutien-gorge, nous commencions toujours la journée ainsi.
— Tu vois, me dit-il, ce matin, cela n’a pas été très pratique... Je pense que si tu avais des bas et un porte-jarretelles, cela se serait beaucoup mieux passé ! Tu sais ta copine Trixie en porte un, j’ai vu ses bas l’autre jour... Le temps de tout quitter, tu n’as même pas eu le temps de me sucer la bite ! Mais peut-être que ça ne te plaît pas...— Ça ne me plaît pas ? Viens avec moi et tu vas voir si ça ne me plaît pas !
Je l’entraînai dans le vestiaire, dégrafai son pantalon, m’accroupis et commençai à lui sucer la queue. Il passa ses mains sous mon pull et me caressa les seins :
— J’adore les filles qui ont des tétons érectiles comme les tiens...
Il me les pinçait délicieusement, personne ne m’avait fait ça ainsi avant lui. Je me mis à genoux et mes lèvres firent une douce reptation le long de son sexe en érection. J’engloutis entièrement sa bite, les mains posées sur ses fesses, j’accompagnai le mouvement de ses hanches d’avant en arrière. Au bout moment, il se raidit, et eut un mouvement de recul, pour la première fois, il ne savait pas si j’accepterai qu’il éjacule dans ma bouche. J’accentuai ma pression sur les fesses et enfournai sa bite le plus profondément, en gargouillant :
— Noooon reste... dans ma bouche...
Il éjacula de longs jets tièdes, à chaque spasme, j’aspirai délicieusement le liquide poisseux et l’avalai. Je suçai son gland comme on l’aurait fait pour une tétine, il frissonna et gémit de plaisir, en me caressant les cheveux.
— Ton sperme est délicieux, lui dis-je.
Il me releva et m’embrassa avec tendresse. Pour le porte-jarretelles, je ne voulais pas avoir l’air de céder trop vite à ses désirs, j’étais de la génération collant et pantalons. Le soir en ville, je passai devant une boutique de lingerie, je regardai la vitrine où s’étalaient les dessous sexy. Il me sembla voir dans le reflet de la vitre ma copine, toi, en train de relever ta jupe et de dévoiler tes bas à Mikael. Une pointe de jalousie s’insinua dans mon estomac. En riant, je pensai :
— Cette petite garce serait capable de le séduire...
J’entrai et en achetai deux, un noir et un blanc ainsi que des bas noirs. Le soir à la maison, je fis un essayage devant ma glace... Je trouvai le résultat assez érotique. Mais quelque chose n’allait pas... Oui, c’était cela... on ne voyait pas assez ma chatte, ma toison pubienne était trop importante.Je rasai les poils superflus, dégageant bien mes lèvres et ne laissant qu’un petit triangle de poils ras au-dessus de ma fente.Le lundi suivant, je mis une robe droite, bariolée d’anneaux noir et blanc, je la portais sans ceinture, elle était assez ample. Après qu’il m’eut ôté mon soutien-gorge, ce qui me faisait toujours autant d’effet et me laissait pantelante, il s’assit à sa place, je me positionnai à côté de lui, à sa droite, me penchai les coudes appuyés sur le bureau.
— Pour le porte-jarretelles, je t’ai écouté... vérifie...
Sa main droite se posa dans le creux derrière mon genou et commença une lente ascension, mes jambes s’ouvrirent... Ses doigts arrivèrent sur une attache et frôlèrent la peau nue au-dessus des bas, je gémis de plaisir, il me sembla que mon corps se couvrait de chair de poule. Il continua sa lente progression le long de la lanière, sa main gauche rejoignit la droite sur mon autre jambe. Il palpa la dentelle enserrant ma taille, puis une main redescendit et je sentis son majeur écarter mes lèvres et s’enfoncer dans ma chatte, tandis que l’autre remontait sous la robe jusqu’à mes seins et les caressait.
— Tu as aussi quitté ta culotte, petite salope... Putain ce que tu mouilles, me dit-il en ajoutant deux autres doigts dans ma vulve...— Ouiiii !! Hoquetai-je, c’est vrai, tu as raison, c’est plus pratique comme ça et dorénavant, je porterai des porte-jarretelles et je ne mettrai plus de string !!! Tu aimes que je sois ainsi ? Ça te fait bander ? Ça t’excite de penser que les autres puissent deviner que suis nue dessous ?
Je ne regrettai jamais la décision que j’avais prise ce jour-là, je n’irai plus jamais à un rendez-vous galant sans bas et porte-jarretelles !Mikael arrivait vers 12 heures 50 de la pause de midi, il me rejoignait dans le petit vestiaire et nous faisions l’amour jusqu’à 13 heures 25. Nous inventions plein de jeux érotiques tout au long de la journée. Il me demandait par exemple lorsque Bertrand était assis à son bureau, de ranger des papiers dans les différents casiers qui étaient posés sur son pupitre, de bien me pencher en avant et de lui laisser voir mes seins par l’entrebâillement de mon chemisier ou l’échancrure de mon pull. Prise au jeu, car cela m’excitait, je le faisais volontiers.
Ce jour-là, je vins m’appuyer sur le bureau à côté de lui, pour qu’il me fasse un bon doigté ou m’enfile l’énorme feutre, qui servait à écrire sur les cartons des palettes, et qui s’enduisit aussitôt de mon foutre. J’en arrivai presque à jouir, mais avant l’explosion finale, je me dégageai en riant et partis m’asseoir sur ma chaise. Le laissant sur sa faim la queue raide et grosse.
— Demande et je t’obéis...— Bon d’accord, voilà ce qu’on va faire...
Il s’approcha de moi, me fit lever et me demanda de m’asseoir, en faisant bouffer ma robe, les fesses nues posées sur le tissu de la chaise. Il releva le bas de la robe à hauteur des attaches du porte-jarretelles, on vit ainsi la bande plus foncée des bas... Il recula la chaise et me tourna légèrement vers la place du magasinier. Le bureau possédait de grandes baies vitrées et était inondé de lumière, un rai de soleil m’éclairait.
— Tu restes ainsi, et lorsque Bertrand sera assis à son bureau au moindre mouvement, ta jupe remontera et il pourra s’apercevoir que tu as des porte-jarretelles... il pourra peut-être entrapercevoir ta chatte... si tu y mets du tien et que ta robe remonte assez haut... !— Ça me convient, répondis-je, excitée par ce nouveau petit jeu érotique.
Ce ne fut pas Bertrand, mais le jeune intérim qui fit irruption dans le local et s’assit au bureau, je regardai Mikael, il opina. Il saisit le gros feutre ruisselant de foutre et le suça consciencieusement, l’entrant et le ressortant doucement, il me regarda avec des yeux lubriques. Malgré moi, mon bassin ondula deux ou trois fois vers l’avant. Effectivement, ma jupe remonta, découvrit les deux attaches du porte-jarretelles et une bande peau assez conséquente. Je jetai un coup d’œil à Ludo, son regard était fixé sur mes jambes. Ma vulve se contractait... je frottai mes cuisses l’une contre l’autre, la robe remonta de plus en plus.
— C’est bon ton truc ? me demanda Mikael, comme s’il me parlait du boulot.— Oui, c’est fait...— Tu devrais espacer un peu plus les lignes, le client aurait un meilleur aperçu !!
Je compris ce qu’il voulait dire, en souriant, j’écartai doucement les jambes, me tournai légèrement vers l’intérim, pour lui demander un renseignement, le laissant plonger un long moment son regard entre l’entrebâillement de mes cuisses, puis ramenai lentement la chaise et mes jambes entièrement sous le bureau. Ludo ne devait plus savoir quoi penser, se demandant si c’était sciemment ou par hasard qu’il avait entraperçu ma chatte. Il sortit précipitamment du bureau et nous l’entendîmes dévaler l’escalier.
— Tu es arrivé à tes fins ! Ma chaise est trempée... Et il a dû penser que j’étais une vraie salope de lui laisser voir mon porte-jarretelles et je crois même qu’il a vu que je n’avais pas de string, et aperçut ma chatte... sans poils, on devine bien ma fente maintenant.
Mikael me demanda de venir à côté de lui, il passa la main sous ma jupe, insinua son majeur dans mon intimité.
— Eh bien, ça t’a plu, on dirait, ta chatte coule littéralement !— Oui, c’est vrai... Masturbe-moi, fais-moi jouir maintenant !— À une condition, vu l’état dans lequel tu l’as mis, s’il tente quoi que ce soit avec toi, tu me racontes... Promis ?— Oui, oui, mais fais-moi jouir, je ne tiens plus !
Le gros feutre entra en action. Au cours de semaine suivante, je fis mon rapport sur le petit événement qui s’était produit.
— Tu sais, ce matin, j’étais penchée sur une palette, on devait largement apercevoir les lanières et les attaches de mon porte-jarretelles sur l’arrière de mes cuisses, Ludo était derrière moi et en me disant bonjour, il m’a tenu la main et me l’a pressée assez longtemps sur sa bite. Il n’est pas grand, mais je crois que je n’ai jamais effleuré une queue aussi grosse et dure. Je l’ai bien sentie, elle est énorme, car il a insisté assez longtemps. Cela ne m’a pas déplu, mais je ne lui ai pas montré.— Bien ça, il prend de l’assurance... mais c’est qu’il va falloir le surveiller le bougre... !
Mais ce fut lui qui nous surveilla. Il dut percer à jour notre petit manège de la pause déjeuner, car plusieurs fois, nous entendîmes des bruits derrière la porte, dans le minuscule vestibule qui dessert les toilettes et le vestiaire, quand nous y étions enfermés.
Nous étions persuadés qu’il nous regardait par le trou de serrure, nous l’avions plusieurs fois surpris traînant dans l’allée jouxtant le local, faisant semblant de vérifier une palette. Tout excités, nous décidâmes d’un commun accord de lui faire profiter pleinement de nos ébats. J’espérai secrètement pouvoir bénéficier de la grosse queue de l’intérim, en l’excitant ainsi. La table sur laquelle nous faisions l’amour se retrouva bien en face du trou de la serrure, nous vérifiâmes que la vue était parfaite. Le lendemain, je nous enfermai et ôtai la clef de la serrure pour qu’aucun obstacle ne gêne la vue. Nous retenions notre respiration, espérant de ne pas nous être trompés. Nous entendîmes la porte de communication avec le magasin s’ouvrir tout doucement. Mikael s’approcha de moi, m’embrassa avec tendresse, sa langue écarta mes lèvres et se glissa dans ma bouche, tandis que ses doigts commencèrent à défaire lentement les boutons de mon chemisier.
Il avait une façon de me déshabiller que j’adorai.
Chaque endroit qu’il dénudait était aussitôt couvert de baisers, ou léché tendrement. Il me quitta mon chemisier, dénuda délicatement mes seins, et tout en me suçant les mamelons, me coucha sur la table.
— Tu aimes qu’on te regarde, hein ? me dit-il avec un clin d’œil, assez fort pour que Ludo l’entende. Regarde tes tétons comme ils pointent, il me les tira vers le haut, cela m’arracha un gémissement. Montre-nous le reste, maintenant...— Oui, j’aime faire bander les mecs, surtout s’ils ont une grosse queue... Et si Ludo pouvait nous regarder... j’adorerai.
Il défit la fermeture éclair de ma jupe, et tira lentement celle-ci vers le bas, il la laissa tomber par terre en faisant attention de ne pas se mettre en face de la porte pour ne pas obstruer la vue.
— Putain ce que tu es belle avec tes bas et ton porte-jarretelles... Allez, écarte les jambes, pour bien montrer ta chatte, petite salope. Imagine qu’il y ait quelqu’un qui te mate par le trou de la serrure... Oui, c’est ça, écarte encore plus, montre-lui... Tu t’es rasée... Attends, j’écarte tes lèvres pour bien lui monter l’intérieur de ta chatte... J’adore tes grandes lèvres, elles font une corolle à ton clito. Putain, on dirait que ça t’excite... Regarde mes doigts, ils sont couverts de ton foutre. Fais voir... mes trois doigts entrent tout seuls... Tu aimes ça, hein... Je vais bien dégager ton clitoris pour lui faire profiter du spectacle... Voilà, un coup de langue sur le petit bouton... Salope, tu aimes qu’on te le suce, il est gros comme un petit-pois. Au fait, si c’était le cas, tu préférerais que ce soit Bertrand qui regarde ou Ludo ?— Ludo, répondis-je assez fort, il a une queue énorme... Je l’ai touchée l’autre jour... Ça m’a fait de l’effet...— Mais tu coules littéralement petite salope... Attends, je vais boire ton jus...
Il passa entre mes cuisses, sa langue s’insinua dans ma fente, ses lèvres enrobèrent mon clitoris, mon bassin se mit à onduler et je poussai de petits cris... Ses mains malaxèrent mes seins. Je me cambrai de plaisir sur la table.
— Tais-toi, pas si fort... Tu vas exciter notre voyeur...
Il quitta son pantalon, il se releva, il me caressa la chatte avec sa bite, n’enfonçant que le gland, titillant le clitoris avec un pouce. Il me sembla que cette douce caresse s’éternisait...
— Baise-moi, maintenant, vas-y enfonce moi ta bite, je n’en peux plus... Je te veux... Je veux que si Ludo nous regarde... il me voit jouir...
Je regardai en direction de la porte avec des yeux de velours. Mikael se coucha sur la table, j’écartai mes grandes lèvres, en ouvrant mon orifice vaginal avec deux doigts, je m’approchai de la serrure en ondulant des hanches.
— Mikael, tu crois que de l’autre côté on peut par la serrure, voir l’intérieur de ma chatte ?— Mais oui, petite Salope... Allez viens sur ma bite maintenant, regarde, elle est énorme.
A l’aide d’une chaise, je grimpai sur la table, et jambes largement écartées, guidai le colossal rouleau de chair à l’intérieur de ma chatte. J’accueillis avec délice sa queue, d’autant que je savais pertinemment que Ludo nous regardait, nous avions perçu ses halètements à travers la porte. Je m’empalai sans discontinuer sur le membre dur comme de l’acier. Mes seins tressautaient, mamelons érigés...
— Ohhhhhh, ouiiiiii, j’aime ta queue... enfonce... enfonce... encore... mais... mais je... je crois que j’aimerai bien sentir celle de Lu... Ludo... Ahhhh c’est bon... Putain ça m’excite d’y penser... je mouille... Ohhhhhhh...
Cela dut m’émoustiller, car j’atteignis rapidement la jouissance et me libérai avec un cri de plaisir étouffé. Mikael éjacula peu après. Dans le silence qui suivit notre contentement, nous entendîmes la porte se refermer doucement, Ludo était parti. Mikael prit la clef et ouvrit lentement la porte du vestiaire pour s’en assurer, j’étais descendue de la table, nue en porte-jarretelles, ramassant mes habits que je posai sur le meuble.
— Regarde, me dit Mikael, c’est quoi ce liquide sur la porte, il n’y avait rien tout à l’heure ? Du sperme ? Goûte... c’est toi la spécialiste !
Je prélevai une goutte sur mon index, et le suçai.
— Oui, c’est bien du sperme ! Ludo a éjaculé contre la porte !— C’est de ta faute, me dit Mikael, tu es tellement belle et tu l’as tellement excité... Il va falloir nettoyer. Tu veux bien le lécher ?— Ce que tu ne me fais pas faire, dis-je en m’accroupissant et je commençai à lécher la traînée visqueuse à petits coups de langue, ça y est, il n’y en a plus... pas mauvais du tout, dis-je en déglutissant ! Il va falloir qu’il éjacule dans ma chatte, dis-je en riant.— Rien à dire, tu es une vraie petite salope...
À genoux, derrière moi les mains posées sur ma taille, caressant mon porte-jarretelles, il me lécha le dos à petits coups de langue. La porte du magasin aurait pu s’ouvrir à nouveau, nous n’en avions rien à faire...
— Mais je t’adore. Ludo va sûrement tenter quelque chose avec toi maintenant... Je ne t’empêche pas si tu en as envie de le laisser faire, mais promets-moi de me le raconter...
Il me pressa contre lui, et nous échangeâmes un baiser passionné plein de sperme de Ludo.Nous ne cessions d’inventer d’autres jeux érotiques, j’en étais la pièce maîtresse, mais cela me plaisait...On essayait toujours que cela ait l’air naturel, comme de me pencher pour ranger les papiers devant Bertrand, qui maintenant savait que je ne portais pas de soutien-gorge et devait se douter que je j’avais aussi un porte-jarretelles. Je portais en général des jupes noires très moulantes, les attaches et les lanières du porte-jarretelles se dessinaient en relief à travers le tissu. En me penchant dans le magasin sur les palettes ou en m’accroupissant, ma jupe remontait sur le derrière de mes cuisses et découvrait les attaches, cela m’excitait de sentir le regard des mâles qui devaient énormément bander.
Mikael me demanda si je ne possédais pas un pull avec des mailles un peu larges. J’en avais un... il me dit de le mettre pour le jour suivant. Après le rituel du soutien-gorge, mes mamelons gorgés de sang sortaient par les trous, on pouvait même apercevoir mes aréoles pigmentées de chair de poule.
— Non, ça ne va pas... ce n’est pas assez discret... les trous sont trop gros... me dit-il, il faudrait que les interstices ne laissent sortir que les pointes de tes seins...— Je dois avoir cela...
J’enfilai un gilet par-dessus.Le lendemain matin, j’avais opté pour un pull bleu ciel avec des mailles assez larges, il moulait parfaitement mes seins. Après une bonne excitation de mes pointes brunes, Mikael s’arrangea pour que celles-ci érigées au maximum transpercent les mailles assez lâches du pull. La laine était assez serrée pour en comprimer la base des tétons et leur faire tenir une érection d’au moins deux centimètres et demi.
— Tu veux que je reste comme ça devant les magasiniers ? C’est vraiment osé, non ? Si je le fais, je reste assise, je ne me balade pas dans le bureau. Et si c’est quelqu’un d’autre qui arrive, je me lève, regarde par la fenêtre et me réajuste.— Oui, si tu es d’accord... Sinon tant pis... on laisse tomber ! De toute façon, ils se sont aperçus que tu ne portes pas de soutien-gorge... Tes tétons sont peut-être sortis tout seuls ... à travers les mailles de ton pull, car il te moule vraiment, c’est vachement érotique !! Tu fais comme si tu ne t’en étais pas aperçue !— Oui, mais quand même, c’est osé... J’hésite... et ils ne tiendront jamais l’érection...— Ne t’inquiète pas, ça, je m’en occupe...
Disant cela, il passa derrière moi et commença à me les malaxer entre le pouce et l’index, les griffer en les tirant avec ses ongles, pinçant le bout entre les ongles du pouce et du majeur. J’avais la tête renversée, je sentis mes seins réagir, je sus que j’allai accepter et que je serai prête pour les faire bander.
En trois quarts d’heure, je venais de subir un deuxième massage, plus par plaisir que pour maintenir l’érection des mamelons, les deux magasiniers entrèrent dans le bureau.Je ne les avais pas encore vus de la matinée, ils s’approchèrent pour me faire la bise, je vis leurs yeux s’écarquiller lorsqu’ils aperçurent les deux petits dards bruns bien tendus qui dépassaient du pull, leur couleur brune tranchait sur le bleu, on ne pouvait pas ne pas les apercevoir. Mon ventre se noua, il me sembla que je devenais rouge comme une pivoine. Tout en continuant à les fixer, Bertrand, en tant que vieux briscard, bien que surpris, n’avait rien laissé paraître, il alla s’asseoir à son bureau. Ludo s’approcha pour me faire la bise, je vis sa bouche faire un O de surprise, mais aucun son n’en sortit. Je me sentis légèrement gênée... et très excitée. Je me dis que nous étions complètement fous de jouer à de tels jeux. Mais maintenant, ils avaient vu, je ne pouvais plus les rentrer. Ils auraient compris que j’avais vraiment fait exprès de les faire sortir par les trous...
J’essayai de me persuader que, comme ils savaient que je ne portais pas de soutien-gorge, ils pouvaient penser que c’était « un accident ».
Enfin, j’essayai de m’en convaincre... ! Et puis s’ils voulaient continuer à profiter de ce que je leur montrais, ils n’avaient pas intérêt à faire des réflexions ni à en parler à qui que ce soit.Mikael scrutait mon visage, cherchant mes émotions. Je savais qu’il lisait en moi comme dans un livre. Je savais aussi que lorsque nous serions seuls, il me demanderait de lui raconter ce que j’avais pensé et ressenti pendant cette expérience et je le ferai sans rien cacher...
Le jeune intérim prit une chaise et s’assit près de moi pour ne rien rater du spectacle. J’avais mis une jupe noire assez moulante, à travers le tissu, on voyait nettement les attaches de mon porte-jarretelles, mais là, dans l’excitation des caresses prodiguées par Mikael, elle était remontée à mi-cuisse. Découvrant les fermoirs et une bande de peau, j’en étais consciente et on devait apercevoir ma chatte ou tout au moins le début mon mont de Vénus. Je sentis leurs regards perçants posés à cet endroit, cela me faisait mouiller et accentuait l’érection de mes tétons. Je n’osai pas bouger, fis semblant de travailler sur l’ordinateur. J’essayai de garder le plus possible mes jambes sous le bureau, mais ce diable de Ludo les matait.
Il devait chercher à deviner les attaches du porte-jarretelles et la peau blanche au-dessus des bas, et même, essayer d’apercevoir ma chatte, puisqu’il avait sûrement, lors de la séance du vestiaire, vu que j’étais rasée. Allez, qui peut le plus peut le moins ! J’allai la lui montrer... Je croisai puis décroisai mes jambes d’un mouvement lent et assez ample, et je me tournai vers lui, naturellement comme pour lui demander un renseignement. D’un seul coup, il se leva et partit vers les toilettes. Mikael prit le gros feutre et commença à le sucer...
Un e-mail arriva sur mon ordi :
— Recule un peu, doucement... Je suis sûr que tu mouilles, petite coquine ... Après le haut, laisse voir le bas à Bertrand... Le jeunot a dû aller se branler !
Doucement, je repoussai mon siège vers l’arrière de dix centimètres d’abord, puis encore un peu. Bertrand s’approcha de mon bureau et me fit face, appuya ses fesses sur le rebord. Il tournait le dos à Mikael, qui se leva pour aller ranger un papier dans les casiers, mais surtout pour avoir un aperçu de ma situation. Revenu à sa place, il me fit signe d’écarter un peu plus les jambes... Je le fis, mais pas trop, car j’estimai que mon vis-à-vis avait une vue assez complète sur mon intimité qui commençait à vachement ruisseler... La conversation s’éternisait, son regard allait de mes pointes tendues à mon entrejambe. Le téléphone sonna, un camion à charger... Bertrand à regret descendit faire son boulot.
— Ben dit donc, c’est chaud, me dit Mikael... Tu vas les faire exploser !— Oui, Bertrand n’a pas cessé de regarder ma chatte, il bandait comme un âne, j’ai cru un moment qu’il allait me pincer les tétons, viens voir, ma chaise et ma jupe sont toutes mouillées !! Avec ce que tu me fais faire, j’ai vraiment envie qu’ils me baisent... Maintenant.— Ludo est parti aux w.c.... Sûrement se branler... Il va falloir nettoyer la porte à nouveau, dit-il en souriant.
Le bureau était vitré jusqu’à moitié des cloisons, Mikael me poussa doucement dans le coin, près de la paroi derrière le bureau de Bertrand, si quelqu’un arrivait, il ne voyait que le haut de nos corps. Il passa derrière moi, je me penchai en avant tout en gardant un œil sur la grande porte des escaliers. Ma jupe remonta, mes jambes s’écartèrent. Cette situation nouvelle, baiser dans le bureau, au risque de se faire surprendre m’excitait follement, je le laissai faire, mais il ne fallait pas que cela s’éternise. Il me pénétra doucement.
— Tu aimes ça, me dit-il, ça t’excite ces situations... ta chatte coule... petite salope...— Oh ouiiiii... ça ne me déplaît pas de faire bander les mecs, j’aime bien ses situations assez perverses...
Je le laissai me pénétrer deux ou trois minutes... Mais nous risquions gros. Je me dégageai, rabaissai ma jupe, et rentrai mes mamelons.
— Viens, je vais te sucer dans le vestiaire... lui dis-je en le prenant par la main.
Le chef nous informa que l’intérim de Ludo se terminait vendredi prochain. Mikael prenait un jour de congé le jeudi. Lorsqu’il rentra le vendredi, à midi au vestiaire, je décidai de lui raconter comme il me l’avait demandé, ce qui s’était passé lors de son absence.
— Mon petit chéri, dis-je à Mikael, voici ce qui est arrivé hier : jeudi à midi, pour la pause déjeuner, je me retrouvai dans le vestiaire, pour manger et bouquiner un peu. La porte était grande ouverte, j’étais seule. Lorsque tout à coup, Ludo entra rapidement, surprise, je me levai. Il me plaqua contre le mur, les poignets au-dessus de la tête. Pour la forme, je lui dis de cesser et de me laisser tranquille... Sinon je me plaindrai au grand chef, mais mon cœur battait à tout rompre... j’espérai tout le contraire...— Dis donc, petite Salope, me dit-il. Toi et ton copain vous saviez que je regardais quand vous baisiez dans le vestiaire. En sortant, j’étais juste derrière la porte et j’ai entendu qu’il te demandait de lécher le sperme que j’avais éjaculé sur le panneau... Tu l’as fait de bonne grâce, en lui disant que tu aimais... et que tu aimerais bien que j’éjacule dans ta chatte... Et aujourd’hui, tu joues à la sainte-nitouche...
J’aurais pu me défendre, mais je le laissai faire, et c’est de ta faute aussi... A force de m’exciter avec tes petits jeux... ! Il me dit qu’il allait partir demain... qu’il admirait mes porte-jarretelles... qu’il avait adoré le jour où le bout de mes seins sortaient de mon pull. Il me demanda si je faisais cela pour l’exciter, car il avait même ce jour-là aperçu ma chatte. Sa main droite se positionna à hauteur des attaches et commença à me caresser la cuisse. Il me demanda de lui laisser voir mes dessous, il rêvait de moi toutes les nuits. Il se masturbait en pensant à moi, depuis qu’il m’avait vue par le trou de la serrure me faire baiser par toi dans le vestiaire. Il commença à remonter ma jupe, elle arriva vite à hauteur de ma taille. Tu m’avais bien dit que je pouvais le laisser faire, non ?
— Dis donc, tu ne portes jamais de culotte non plus, murmura-t-il, haletant !!
Je voulais voir ce qui allait se passer. Voyant que je ne réagissais pas, il lâcha mes poignets, je les gardai toujours au-dessus de ma tête pour faire ressortir mes seins. C’est d’ailleurs sur eux qu’il reporta son attention, en me disant qu’il les avait déjà vus lorsque je me penchais, qu’ils étaient merveilleux et qu’il avait beaucoup aimé lorsque mes tétons sortaient du pull, mais qu’il voulait les voir entièrement et les toucher, les sucer... Il déboutonna à toute vitesse mon chemisier et me l’enleva carrément. Sa bouche suça à tour de rôle mes mamelons qui s’érigeaient. Il mordilla les pointes, aspira entièrement les aréoles, mes seins devenaient durs comme du bois. Je commençai à haleter. Sa main se plaqua sur ma chatte, un doigt pénétra mon vagin.
— Putain, mais tu mouilles vachement salope... Je t’excite ? Je le savais, tu rêves de ma grosse bite...
Il avait sorti sa queue qui comme je le pensais, était très grosse, beaucoup plus que la tienne... aussi grosse que celle de Rocco Siffrédi ! Je ne m’étais jamais fait baiser par un tel engin. Je désirais savoir quelle sensation cela pouvait donner. Il voulut à tout prix me pénétrer debout contre le mur. Je sentis son gros gland forcer mon orifice trempé. Je le calmai, lui parlant doucement, le complimentant sur la grosseur et la dureté de sa bite, lui indiquant qu’on avait le temps...
Je lui dis tout d’abord de fermer la porte à clé et je le fis s’appuyer de dos, les coudes sur la table. Je me mis à genoux et je commençai à sucer son monstrueux rouleau, je le fis lentement en faisant attention de ne pas le faire éjaculer, je voulais qu’il me pénètre. Elle était tellement grosse que malgré ma bonne volonté, je ne pus pas l’avaler entièrement, au bout de trois ou quatre minutes de succions savantes, il se mit à trembler. Il n’était pas loin de la jouissance. Je me levai et me couchant sur la table, je lui demandai de me pénétrer.
Heureusement que je mouillai énormément, son énorme gland força sans ménagement l’entrée de mon orifice vaginal, il tint sa queue fermement d’une main et sa grosse bite me pénétra d’un seul coup, il enfonça au moins vint cinq centimètres. Je sentis ma chatte s’emplir d’une énorme grosseur, je décontractai mes muscles pour bien la faire pénétrer, puis les contractai pour en apprécier la dureté. Il eut l’air d’adorer cela, il se coucha sur moi pour m’embrasser à pleine bouche, il me martela durement pendant dix minutes...
Chaque fois, il sortait entièrement sa queue, et d’un seul coup, l’enfonçait entièrement les vingt-huit centimètres dans mon vagin béant. Je dois te dire que cela ne me laissa pas indifférente, je gémis, haletai, le suppliant de ne pas cesser. Mais, il éjacula avec un cri, en me traitant de petite salope qui l’avait excité pendant trois mois...
En sentant les soubresauts de son énorme engin écarter encore plus, mes parois vaginales et son sperme chaud couler en moi...J’ai joui à mon tour... beaucoup...Je te l’avoue.
Il m’a ensuite demandé de lui lécher la queue, d’en aspirer le sperme qui restait. Mais rassure-toi, bien qu’il ait une queue plus grosse, je préfère que ce soit toi qui me baises, c’est beaucoup plus doux et tendre. Et au niveau des préliminaires, il n’y a pas photo... Voilà, il va partir aujourd’hui et je ne t’ai rien caché... Il m’a demandé de le sucer avant qu’il s’en aille !Je demandai à Mikael s’il était jaloux et s’il avait aimé que je le lui raconte ce qui m’était arrivé. Il me dit que oui, il avait apprécié le récit, non, il n’était pas jaloux, car je n’étais pas sa propriété, mais qu’il me réservait un petit truc... pour me punir !Il sortit une mince cordelette, et un assez gros câble électrique flexible, mais assez rigide d’environ 45 centimètres de long et d’un centimètre de diamètre. Sans un mot, il me fit passer les bras au-dessus de la tête, me lia les poignets, et attacha l’extrémité de la cordelette au chauffe-eau fixé au mur. Un nouveau petit jeu ?
— Ah ! Tu t’es fait baiser par quelqu’un d’autre... Je savais que tu n’attendais que ça ! Attends ma petite salope !!
Se saisissant de la cravache improvisée, il commença à me caresser les seins, fit le tour des aréoles, titilla les tétons qui réagirent aussitôt.
— Tu as aimé baiser avec Ludo ?— Oui, je te l’ai dit ! Il donna un coup sec à chacun des tétons, je gémis sous le léger impact.— Tu as aimé sa grosse bite ?— Ouuiiii...! Elle est grosse, dure... plus grosse que la tienne...— Salope...
Il se mit à taper les mamelons, d’un côté puis de l’autre. Ma poitrine se tendit vers les coups... Cela commença à m’exciter sérieusement... J’entrai à fond dans son jeu... Je sentis le bout de la badine descendre sur mon ventre en une lente caresse.
— Tu as aimé le sucer ?— Oui, j’ai adoré son sperme... Il est presque meilleur que le tien... dis-je pour le rendre jaloux.
Pan, un nouveau coup. Le bout descendit jusqu’à mon sexe, il l’insinua dans ma fente, pénétra légèrement mon conduit vaginal.
— Elle mouille la dame, dit-il en suçant le bout luisant. Il te faisait autant mouiller salope ?— Oui, ma chatte était plus que trempée, heureusement, car sa grosse queue a glissé plus facilement.
Il se mit à titiller mon clitoris.
— Tu as aimé qu’il te caresse le clitoris ?— Ouuuuiiii, regarde ce que ça me faisait faire quand il me pénétrait, et je me mis à miner une pénétration. Sa grosse queue m’a fait jouiirrr... J’ai adoré... me faire défoncer... oui j’ai aimé qu’il me baise... oui je suis une salope !! J’aime me faire baiser... par des grosses bites.
A chaque tortillement de bassin, je reçus un léger coup. Il me fit tourner sur le ventre. Me caressera le dos, avec la badine, puis lorsqu’il vit que j’avais des frissons, m’assena un coup. Je pris plaisir à ce traitement. Il attaqua mes fesses, il les tapait doucement, mais elles s’échauffèrent et devinrent rouges...
— Tape légèrement plus fort, lui demandai-je. Je vais aller sucer Ludo... sentir son sperme couler dans mon gosier...
Cela me tira des frissons depuis le bas-ventre, ils remontèrent le long de ma colonne vertébrale. Je frottai ma chatte et mes seins sur la table. Une flaque de foutre poissa mes poils et coula sur le formica du meuble.
— Tu te feras encore baiser par un autre ?— Oh oui, si c’est pour avoir encore ce que tu me fais... tu vas me faire jouir... J’aime que tu me punisses ainsi...
Lorsqu’il me prit, j’étais tellement excitée qu’il ne me fallut pas longtemps pour exploser d’extase...Les semaines, les mois, passèrent... à toute vitesse... ponctués de nouvelles expériences...Mikael m’initia à la sodomie, j’en redemandai... Cela nous donna l’idée d’une expérience que nous nous étions jurés de mener à bien, mais qui n’a malheureusement jamais abouti. Nous avions décidé d’essayer de faire participer Bertrand à nos jeux érotiques, de faire l’amour à trois !! Je sais que pour en avoir discuté avec Mikael, il désirait ardemment le faire et moi, je lui avouai que j’aurai bien voulu me faire baiser par mes deux orifices simultanément ! Nous nous sommes donné du mal, pour le faire tomber dans nos filets. Je vais te donner un exemple. C’était l’été, je ne portais aucun dessous, j’avais une sorte de tee-shirt, largement échancré sous les bras. Je trouvai un prétexte pour que Bertrand vienne se positionner derrière moi, ma main gauche suivit les lignes du listing, tandis qu’innocemment, mon coude droit s’écarta de mon corps et dévoila sous le tee-shirt bâillant, un sein bronzé au mamelon érigé, je sentis son regard me le caresser.
Mikael était passé derrière lui. Il lui toucha le bras désignant du doigt le sein offert à leurs regards.
— Pas mal, murmura-t-il... On en profite !
Mais il resta là. Je n’avais pas dit mon dernier mot, j’avais acheté une robe bustier blanche, laissant mes épaules nues, elle n’avait pas bretelle, elle se fermait de côté et mes seins l’empêchaient de tomber.
Mikael me la positionnait au ras de mes aréoles et en la présence du magasinier, on attendait qu’un téton surgisse par-dessus, beaucoup aidé en cela par un mouvement d’épaule, sans y faire cas, je le lui laissais visionner. Parfois, comme par hasard, les deux surgissaient furtivement. Mais rien n’y fit... Jamais il n’eut un geste déplacé...
Puis, il y eut pas mal de changements, un nouveau chef, qui apparemment aurait bien voulu me baiser. J’avais confié à Mikael que chaque fois que nous étions seuls, il faisait tout pour mater mes seins, ou il essayait de voir mon porte-jarretelles. Aussi, je tâchais de ne pas trop lui offrir d’occasions, mais poussée en cela par mon collègue, je cédais souvent à la tentation de le faire bander. L’ouverture de mon chemisier baillait, laissant apercevoir la pointe d’un sein, mes jambes se croisaient assez haut, dévoilant les attaches du porte-jarretelles, peut-être un peu plus...
Pour m’exciter davantage lorsque nous faisions l’amour, Mikael pour me faire fantasmer, me suggérait que j’aimerai bien me faire baiser par le chef, que c’était lui qui m’enfilait sa queue, et que j’adorai cela. Le plus fort, c’est que cela m’excitait et que dans ma tête, tout en appréciant ce que Mikael me faisait, tant une sodomie qu’un cunnilingus appuyé, je m’imaginais me faire prendre par « l’affreux » comme nous l’appelions, et malgré moi, je dois reconnaître que je jouissais plus fort.
— Et s’il veut me sauter ?— Eh bien, tu fais ce que bon te semble... Ça a l’air de t’exciter de fantasmer sur cette situation !— Oui, c’est vrai, j’adore lorsque tu me sodomises, que tu me dises que c’est lui qui me baise, lorsque tu me pénètres avec le godemiché, c’est pareil... je fantasme... Je ne dois pas être normale... Je deviens une vraie Salope... Surtout, qu’il est vraiment laid. Mais tu as une façon de présenter les choses qui fait que... que je le désire presque.
Un jour d’été, le grand chef me demanda de rester après l’heure le soir, pour l’aider à terminer un dossier urgent. Je savais pertinemment qu’il ne serait pas question d’un quelconque travail. Il me dit que si j’acceptais, il doublerait mes heures supplémentaires... Dans cette perspective, je ne pus pas refuser. Je me retrouvai donc avec lui dans son bureau, habillée avec la robe bustier et comme d’habitude complètement nue dessous, le matin, je n’avais pas prévu cette demande.
Tout le monde était sorti, nous étions seuls. Il me demanda de fermer la porte, et d’attraper un classeur sur la plus haute étagère de l’armoire, je ne pus qu’obéir. Mais même en faisant attention, en levant les bras, un sein surgit presque entièrement hors de la robe...
Effarée et surprise, mon visage s’empourpra. Je faillis lâcher le classeur, et le rattrapai des deux mains. Celles-ci étant occupées, je ne pus remettre de suite en place le fautif qui malgré moi dardait effrontément son téton brun. Le temps que je pose le classeur sur son bureau, mon supérieur eut tout le loisir de l’admirer. Il se leva et s’approcha de moi... juste pour me monter la bosse qui déformait son pantalon...
Pourtant cette fois, je ne l’avais pas fait exprès de lui montrer un sein... Je pense qu’il avait calculé ce qui allait arriver. J’avais enfin réussi à remettre le fugueur en place.
— Très, très joli... Je les avais déjà entraperçus lorsque tu te penchais, j’avais remarqué que tu ne mettais pas de soutien-gorge ! Tu n’en as pas besoin d’ailleurs...
Il s’était mis à me tutoyer... ça allait assurément être chaud !! Il s’approcha les mains tendues vers ma poitrine. Je reculai.
— NON, non, non...— Allez Marion, laisse-moi les toucher. Regarde comme tu me fais bander...— Non... de quel droit !— Tu sais, si tu me montres tes seins et que tu me laisses les toucher... tu vois ma queue, elle a pris du volume... et bien ton salaire pourrait connaître lui aussi une augmentation substantielle...
Avec réticence, je répondis.
— D’accord, mais vous les touchez juste et on s’en tient là !!
Mes yeux se portèrent sur son sexe, il me sembla qu’avec ma réponse, la bosse sous son pantalon avait encore grossi. Il se planta devant moi, il me dépassait d’une bonne tête. Ses mains attrapèrent le bord de la robe et descendirent les bonnets englobant mes seins, vers le bas. La caresse du tissu passant sur mes mamelons me fit frissonner. Mes deux globes se dressèrent fièrement, semblant le défier. Malgré moi, mes tétons avaient gonflé et durci de se retrouver exposés à ses regards, mes aréoles gorgées de sang s’étaient graillées de chair de poule. Il les engloba, les rondeurs de ses grandes mains, les caressa, pinça la pointe de mes mamelons, les fit rouler entre ses doigts. Il m’attrapa par la taille, se pencha, ses lèvres se posèrent sur les miennes et sa langue força ma bouche. Je me remémorai les paroles de Mikael... ce n’était plus un fantasme, j’étais au cœur de l’action...
Une boule de chaleur envahit ma chatte, je commençai à mouiller... Une de ses mains se posa sur ma cuisse au bas de ma robe, se glissa dessous et remonta rapidement jusqu’à mes fesses. Elles se cambrèrent, je cédai à son baiser, nos langues se nouèrent, nos salives se mélangèrent... ça commençait à m’exciter. Son majeur s’insinua entre mes deux globes fessiers et ne trouva même pas la ficelle d’un string pour entraver sa progression.
— Petite Salope, tu es complètement nue dessous !!
Je voulus m’échapper, mais de son bras entourant ma taille, il me retint fortement, me plaquant contre lui. Il avait dû remarquer que ma robe avait sur un côté une fermeture éclair. En un tour de main, il la descendit. La robe tomba.
— Non, non pas ça... vous m’aviez promis...
Je retins la robe pour qu’elle ne glisse pas, je la tins sur mes hanches. Me lâchant, il se recula. Je n’arrivai pas à remonter la fermeture qui avait dû coincer.
— Je savais que tu mettais des portes-jarretelles, et que tu ne mettais pas de soutien-gorge, ça m’excitait à un point que presque toutes les nuits, je me branlais en pensant à toi. Mais là, ça dépasse toutes mes espérances... Pas de culotte... Laisse tomber ta robe... petite salope !— NON, on avait convenu que vous me toucheriez juste les seins !— Tu sais, petite garce, j’ai percé à jour le jeu que tu joues avec ton copain Mikael, je vous ai surpris dans les vestiaires en regardant par le trou de la serrure, très excitant... Alors tu choisis, ou tu laisses tomber ta robe et on continue, ou je prends des sanctions envers toi et ton copain !
Cela m’avait émoustillée, je mouillai de plus en plus malgré moi... Il n’était pas beau du tout ! Mais je n’avais guère le choix, la mine déconfite, je laissai tomber la robe à mes pieds. J’étais complètement nue et piégée maintenant, mais ce petit jeu pervers exacerbait mes sens. Comme par défi, je cambrai mes seins en avant.
— Ce que tu peux être belle... je veux voir ta chatte, tu es rasée, on voit bien ta fente, merveilleux ! Cet hiver, je veux te voir nue, en porte-jarretelles, petite salope ! Oh tu es une vraie blonde...
j’adore ! Il s’approcha de moi, me fit reculer et coucher sur le bureau. Il se mit sur le côté.
— Sors mon sexe, défais mon pantalon.
Pendant qu’il me caressait les seins, souriant d’un air triomphant, je m’exécutai. Il avait un pénis tout à fait dans les normes, il bandait énormément, sa queue était tendue en arc de cercle. Ses mains avides parcouraient mon corps, ne sachant où se fixer. Puis il me mit deux doigts dans le vagin. La pensée de ce que me racontait Mikael pour me faire fantasmer avec ce mec, activa à nouveau la boule feu dans mes entrailles... J’y étais, c’était la réalité ! Il me baisait. Je ne pouvais plus me défiler. Ma chatte devenait de plus en plus moite, je me laissai aller, advienne que pourra...
— Ah, ah, je te fais de l’effet, putain ce que tu peux m’exciter... Je ne sais pas si je vais tenir longtemps... Putain ce que tu mouilles... Tu aimes vraiment ça... petite pute !
Maintenant au paroxysme de l’excitation, je tendis la main pour me saisir de son sexe et le branler. Je me traitai à mon tour de salope, car j’y pris un certain plaisir, je me demandai si je n’allai pas le sucer... Mon geste parut le surprendre, il se figea.
— Oui, c’est bien, c’est très bien ça... Masturbe-moi doucement... ouuuiii comme ça !!
Je le regardai dans les yeux tout en calottant et décalottant sa verge. Pendant mes savants massages, il déboucla la ceinture de son pantalon, s’extirpa de son slip, quitta sa chemise. Il était encore plus laid, nu qu’habillé, son corps était anguleux et il avait un léger embonpoint. Ses poils pubiens comme ses cheveux commençaient à devenir blancs, mais je n’en avais cure maintenant... Je ne savais plus qui je masturbais Mikael... Bertrand ou l’intérim à la grosse bite... Saisissant sa verge d’une main, il la posa sur mes lèvres.
— Lèche-moi le gland, doucement... là, là ooouuuiiii...
Ma langue s’activait autour du bout congestionné, un liquide s’en échappait... je l’aspirai, il gémit.Puis il passa entre mes cuisses, s’allongea sur moi et frotta sa queue le long de ma fente, caressa mon clitoris du bout de son gland, sa bouche suça mes tétons, il les mordilla me tirant des petits cris de plaisir.Il me fit lever, me tourner, me fit appuyer les coudes sur le bureau, il écarta mes jambes sans ménagement et enfila à toute vitesse son phallus dans mon vagin.
— Bien, c’est... Putain ce que tu es trempée... ça glisse tout seul... ! Putain que c’est bon... Putain que c’est bon... Ouiii salope tu sens bien ma bite...
Il me besogna à grands coups de reins, enfilant sa bite jusqu’à la garde... Je commençai à prendre du plaisir... Il se crispa, enfonça son sexe au plus profond de moi ; dans un état second, je m’entendis crier :
— N’éjacule... N’éjacule pas en moi...
Un cri de plaisir sortit de sa gorge, son sperme visqueux coula dans ma chatte avec de grands spasmes...
— Oh putain c’est boooooonnnnn, j’en rêvais depuis des mois, éjaculer dans ta chatte... Tiens salope, tiens...
Je fus éberluée par la rapidité de son éjaculation. J’éclatai de rire en le regardant, il avait l’air pitoyable tenant son sexe qui commençait déjà à débander d’une main. A cette vue, mon rire redoubla et mon excitation retomba.
— Oui, j’en avais tellement envie, que je n’ai pas pu me retenir...— J’avais entendu dire que vous étiez un chaud lapin, et question rapidité... cela le confirme bien...
Je ramassai ma robe et me rhabillai, tout en riant toujours...
— Bon d’accord, si vous me promettez que personne n’aura connaissance cet incident... et il n’y aura pas de sanction pour vous et votre petit copain... à condition bien sûr qu’on remette ça !!
Tiens donc le vouvoiement était revenu...
— Voilà mon histoire Trixie, je pense que par incident, il voulait parler de l’éjaculation précoce. Quant aux sanctions, il y en a eu. Mikael s’est trouvé muté au poste qu’il occupe aujourd’hui. Ce qui ne nous empêche pas de nous voir de temps en temps. Quant à moi, il m’a donné une promotion... et m’a plus ou moins laissée tranquille... Mais au fait, puisque tu connais bien Gérald, on ne pourrait pas faire l’amour à trois ? Je ne me suis jamais fait baiser par un noir, surtout si tu m’assures qu’il a un sexe aussi gros que celui de Mandingo...
Je lui répondis que cela pourrait se faire, j’en parlerai au principal intéressé...
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