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Nymphomane moi ? Tome I

Chapitre 8

Les voisins...

Hétéro
L’été était bien installé. J’étais en vacances, mon mari travaillait encore. Tous mes amis du boulot étaient partis chacun de leur côté. Je passais mes journées seule à la maison. Heureusement, il y avait la piscine, j’en profitais au maximum. J’aimais me prélasser au soleil pour me faire bronzer. Tout mon corps, sans aucune exception, avait une jolie couleur mordorée, aucune marque disgracieuse ne venait couper l’harmonie de mon bronzage.
La piscine était bien exposée plein sud, le soleil la chauffait presque toute la journée. Elle était située derrière la maison à l’abri des regards. Un mur assez haut la protégeait des voisins situés à l’ouest, un couple de jeunes noirs, qui venait d’aménager récemment. Au sud, une haie d’arbustes la séparait de la maison voisine, mon mari voulait remplacer les arbustes et il avait enlevé le grillage rouillé qui se trouvait derrière, mais il n’était pas bricoleur et les travaux traînaient.
Les occupants de la villa voisine étaient un ménage très gentil, déjà assez âgé. Ils devaient avoir environ soixante-dix ans si ce n’est plus, le vieux Monsieur m’épiait souvent pour me surprendre en petite tenue. Il avait été spectateur privilégié de ma partie de jambes en l’air avec Jamaar, je l’avais vu se branler en regardant nos ébats. D’ailleurs, cela m’avait excitée qu’il nous regarde.
Il faisait très beau et très chaud cet après-midi-là. Je me dirigeai à ma place habituelle au bord de l’eau. Je portai un tout petit calicot rose pâle très transparent. Je n’avais pas mis le haut de mon maillot de bain. J’étalai ma serviette à même le gazon et m’assis dessus. Je posai mon bouquin érotique, enlevai le petit calicot, le posai à côté de moi. Je délaçai les lanières qui retenaient la culotte de mon maillot de chaque côté de mes hanches et l’enlevai. J’étais nue, comme tous les après-midi, pour prendre mon bain-de-soleil tranquillement.
Les oiseaux me berçaient de leur chant, le ciel était d’un bleu limpide. Je m’allongeai et m’offris au soleil, je pris mon bouquin et l’ouvris. J’en étais à un passage cru, porno même. Au bout d’un moment, ma lecture commença à m’exciter. Je relevai les genoux et ma main partit en direction de mon sexe, bien rasé qui laissait entièrement voir la fente de ma chatte. Je passai mon index le long de celle-ci, dans mon bouquin, l’héroïne se faisait baiser par deux noirs. J’avais eu des expériences amoureuses avec des noirs aux sexes démesurés. Jaamar un soir ici, et avec Gérald au boulot, mon mari ne me donnait aucune satisfaction sur le plan sexuel et me délaissait, alors... pourquoi ne pas chercher ailleurs le plaisir !
Me laissant porter par la lecture et m’imaginant à la place de l’héroïne, j’entrai deux doigts à l’intérieur de ma chatte et me massai le clitoris avec le pouce. Je commençai à mouiller et j’écartai les jambes. Ce n’était pas la première fois que je me masturbais en lisant ce bouquin, il était vraiment super.
D’ailleurs il y a deux jours, j’étais exactement dans la même position, les jambes ouvertes à demi repliées, en train de me caresser, lorsqu’au bout d’un moment, mon attention fut attirée par un mouvement sur le toit de la maison du voisin. Sans bouger, faisant toujours semblant de lire, j’y portai toute son attention. Je remarquai que mon voisin était sur son toit, sûrement pour y effectuer une réparation, mais qu’il était en train de me regarder. Je ne sus pas trop quoi faire, mais je me dis que le mieux était de me comporter comme si je ne m’en étais pas aperçue et que je n’avais pas remarqué qu’il me fixait intensément. Cela m’émoustilla... Et puis, il m’avait vu me faire baiser par Jamaar... !
Je continuai le va-et-vient de mes doigts. Sachant que mon vieux voisin m’observait, cela m’excitait encore plus. J’adorai ce genre de situation. Mon foutre lubrifia abondamment ma chatte. Prise au jeu, de ma main libre, je me caressai d’abord un sein, tirant sur son mamelon pour le faire durcir, puis passai à l’autre.
Derrière mon bouquin, je surveillai du coin de l’œil mon voisin sur le toit, il ne se cachait pas non plus, il s’était mis à genoux et m’observait, en me lorgnant avec une paire de jumelles.
— Petit coquin, pensais-je !
De plus en plus excitée, j’écartai lentement les jambes, pour bien lui laisser voir la pénétration de mes doigts. Ma chatte était de plus en plus trempée. J’avais inséré quatre doigts à l’intérieur. Je vis qu’il était en train de déboutonner sa braguette et de sortir son sexe, il commença à se masturber. Cela m’excita encore plus, j’entrai presque la totalité de ma main dans ma chatte, mon autre main pétrit mes seins l’un après l’autre, je commençai à gémir de plaisir, le son montait, il devait m’entendre.
Mon bassin se souleva et retomba plusieurs fois, minant une pénétration. Je vis mon voisin sur le toit se raidir, il a dû éjaculer, me dis-je. Je continuai ma masturbation jusqu’à ce que je jouisse à mon tour, il ne me quitta pas des yeux.
Cela s’était passé il y avait deux jours. Mais là, il n’y avait personne sur le toit. Je me doutais bien que depuis longtemps, il m’épiait à travers la haie, lorsque je prenais des bains de soleil, car souvent, j’entendais craquer des brindilles, et les oiseaux s’arrêtaient de chanter.

Je prêtai l’oreille, les oiseaux et les cigales s’étaient tus. Il devait être derrière la haie à m’observer. J’étais couchée à une distance d’environ 12 mètres de la haie, il avait une vue splendide sur mon corps offert. Mais je ne l’aperçus pas. De nouveau prise au jeu, je relevai les jambes, les écartant lentement. Je sentis ma chatte bâiller au fur et à mesure que mes genoux s’ouvrirent. Je me redressai un peu et me mis sur les coudes pour qu’il puisse voir mes seins. D’une main, je pinçai mes tétons, en regardant langoureusement en direction de l’endroit où il m’avait semblé voir bouger le feuillage. Puis ma main descendit vers mon sexe, j’en écartai les lèvres, pour ouvrir mon conduit vaginal, dégageai mon clitoris et le masturbai avec mon index, tout en fixant la haie. Du foutre coula à flots, et trempa la serviette sous moi. D’un air de défi, je tendis mes seins bronzés comme pour lui les offrir. J’avais pris goût à ce petit jeu.
J’entrai l’index et le majeur à l’intérieur de ma chatte, et lorsqu’ils furent bien imprégnés de mon foutre, je les portai à ma bouche, toujours en regardant d’un air provocant la haie, et les léchai longuement.
J’entendis un bruit de petites branches cassées et mon voisin passa à travers la haie. Il était torse nu, une paire de jumelles accrochée autour du coup et un appareil photo dernier cri à la main. Il n’était pas très grand, des cheveux blancs, un ventre bedonnant, une barbe de trois jours. Il s’approcha rapidement.
Je fus prise au dépourvu, par cette intrusion soudaine, je ne m’attendais pas à ce qu’il ose venir. Je pensai qu’il devait me prendre pour une petite salope. Et j’en étais une effectivement... Je l’avais provoqué sciemment !
Je ne sus pas trop quoi faire. Je rabaissai mes jambes, en les resserrant, et mis mon calicot sur mon sexe pour le cacher, je n’eus pas le temps d’enfiler ma culotte. Je restai appuyée sur les coudes. Les seins pointant en avant, les mamelons toujours en érection. Je baissai les yeux sur mon pubis, le chemisier transparent ne cachait en rien le triangle de duvet ras au-dessus de la fente de mon sexe, tant pis ! Qu’allait-il se passer ?
Il était debout devant moi, il me dit bonjour. Je remarquai la bosse que faisait son pénis sous son short, il était en érection totale, son gland pointait au-dessus de la ceinture de son short. Il me matait les seins, son regard descendit vers mon pubis, par provocation, je desserrai un peu les cuisses. Il s’assit à côté de moi, posa son Nikkon dans l’herbe.
— Bonjour Trixie, je suis tranquille jusqu’à ce soir, ma femme est partie en ville faire des courses, je crois que votre mari n’est pas ici, il travaille, non ? Votre bronzage est vraiment splendide, mais ce n’est pas ce qu’il y a de plus beau chez vous... Vos jambes sont magnifiques, vous avez des seins merveilleux... Vos mamelons sont extraordinaires, j’en ai rarement vu d’aussi longs. Ce genre de tétons aussi érectiles m’excite au plus haut point. Dites, je peux caresser vos seins ?— Eh bien Paul... vous êtes un petit coquin... Il n’en est pas question...
Je jouai les offusquées, mais ma chatte était en feu. Je n’espérai en fin de compte que cela sentir sa caresse sur ma poitrine. Salope, salope me susurrait une petite voix dans ma tête. Il insista, me disant que cela lui ferait énormément plaisir.
— Je n’arrête pas de me masturber en pensant à vous ! L’autre jour, j’ai éjaculé en vous regardant... faire l’amour avec le noir... puis sur le toit. Il faut dire que vous y avez mis du vôtre... les deux fois... vous saviez que je vous voyais... je ne suis pas dupe, je vois bien que ça vous plaît que je vous observe ! Je suis seul aujourd’hui alors... je vois que vous avez recommencé à m’exciter... Vous saviez que je vous regardais et vous vous êtes masturbée quand même !
Tout en parlant, sa main avait attrapé un bout du chemisier transparent, il le tirait doucement, pour l’enlever mes cuisses. Il avança son autre main vers mes seins. Je lui tapai sur les doigts en lui disant à nouveau non. Le chemisier glissait lentement sur mes cuisses. Il avait réussi à en découvrir une. Je sentis que le calicot glissait lentement, la lente caresse du tissu sur mes cuisses m’excitait de plus en plus. Je commençai à mouiller, mes tétons durcissaient et leur volume augmentait encore, je laissai donc faire...
— Laisse-moi te caresser les seins, ils sont si merveilleux et j’en ai tellement envie...— Ooohhh nonnnn... vous pouvez les voir... c’est déjà pas mal !!— Bon, si tu ne veux pas, regarde le petit film que je viens de prendre et les photos prises au téléobjectif lorsque tu te faisais enfiler par le noir. Crois-tu que ton mari appréciera que tu te masturbes devant un vieux comme moi ? Et il pourrait être au courant que tu baises avec un noir...
Il me tendit l’appareil photo, effectivement, les photos étaient assez nettes, et le film ne ratait rien de ma masturbation récente. Je le regardai en souriant. Mon chemisier découvrit entièrement mon sexe et mes cuisses. Il le tira d’un geste sec, le calicot s’envola et atterrit assez loin sur le gazon. Il avança de nouveau la main, vers mes seins ; en minaudant, je capitulai. Plus par envie, que pour la menace qu’il avait faite, je savais qu’il ne l’aurait pas mise à exécution...
Sa main m’engloba un sein, il fit rouler le téton entre son pouce et son index, et sa bouche engloutit le mamelon gorgé de sang, qui était devenu dur comme du bois. En même temps, son autre main était passée entre mes cuisses, qui s’étaient ouvertes comme par enchantement pour me caresser le sexe. Un frisson me parcourut. J’ écartai encore plus les jambes pour faciliter sa caresse. Le désir l’avait emporté, je m’étais couchée sur le dos.
Très vite, de peur que je refuse à nouveau, il enleva son pantalon, il était nu dessous. Je m’étais assise, jambes largement ouvertes. Je le regardai, il était debout devant moi, nu, le sexe tendu, les mains sur les hanches. Je souris dans sa précipitation, il avait gardé ses jumelles autour du cou. Par rapport à ceux qui m’avaient pénétré ces derniers temps, son phallus était petit, je me traitai à nouveau de nympho, me demandant pourquoi je laissai faire ce vieux qui n’était pas très beau.
Il me demanda s’il pouvait me lécher la chatte, n’attendant pas la réponse, il se mit à plat ventre et enfouit sa tête entre mes jambes écartées. L’intérieur de mes cuisses était luisant de foutre. Il commença à lécher d’abord une cuisse, puis l’autre, sa langue remonta jusqu’au bas de mon vagin, léchant mon foutre. Puis il se mit à lécher le pourtour de ma chatte humide, sans y faire pénétrer sa langue, il l’écarta doucement avec ses doigts. Je haletais, je n’attendais qu’une chose, c’était que cette langue me fouille le vagin, me caresse le clitoris, mais le vieux ne se pressait pas. Je sentis la langue qui partit du bas de ma fente et qui cette fois entra entre les lèvres, elle remonta jusqu’au clitoris qu’elle titilla et il l’aspira entre ses lèvres. Je poussai de petits gémissements de contentement et des petits cris d’extase étouffés. Je lui tins la tête pour qu’il ne cesse pas cette délicieuse masturbation. J’étais de plus en plus excitée. Envolées mes réticences !
— Tu permets que je te baise ? Je ne me rappelle pas avoir fait l’amour avec une fille aussi jolie que toi. — Je me suis laissée caresser et ce n’est déjà pas mal, on est voisins tout de même !— Oui, mais tu laisses un noir te baiser !! D’accord, il avait une bite énorme... et si tu refuses, je ne plaisante pas, ton mari verra le film !!— Vous n’avez pas honte Paul ! C’est du chantage...
Je voulus lui donner l’impression que si je cédais, c’était à cause de ses menaces. Mais j’en avais maintenant très envie... alors je répondis par l’affirmative.Je pensai que comme sa queue n’était pas tellement grosse, le meilleur moyen d’en profiter pleinement, c’était que je me mette à califourchon sur lui, la pénétration serait ainsi plus profonde. Je lui demandai de se mettre sur le dos.
Toute cette conversation eut lieu à haute voix, croyant que nous étions seuls dans cette partie du lotissement. C’est là que nous nous trompions. Notre jeune voisin noir était en train de jardiner au ras du mur qui séparait les propriétés. Il suivait la conversation depuis un bon moment. Intrigué, il était en train de grimper à une échelle pour voir ce qui se passait, mes petits cris de plaisir et mes gémissements l’avaient passablement excité. Au moment où sa tête émergea du mur, il me vit enjamber le vieux Monsieur, positionner mes genoux de part et d’autre de ses hanches, attraper la bite turgescente d’une main, et m’empaler dessus.
Ma chatte bien lubrifiée l’avala d’un seul coup. J’avais posé les mains sur la poitrine velue du vieux, et commençai des rotations du bassin, et le projetai d’avant en arrière. Le noir devant ce spectacle n’y tenant plus se laissa tomber en douceur sur la pelouse à côté de la piscine. Je lui tournais le dos, tout à notre plaisir, nous n’avions pas remarqué sa présence. Il s’approcha doucement, il n’était vêtu que d’un short léger, sa bite noire dépassait de la ceinture tellement il bandait.
Sans bruit, il s’approcha de nous, le vieux fermait les yeux, savourant la pénétration de la chatte de sa jolie voisine, il ne l’avait pas vue. Le noir passa ses mains sous mes aisselles et me saisit les seins. J’eus un hoquet de surprise et sursautai en voyant ses deux grosses mains noires m’englober les seins. Mais je compris vite à qui elles appartenaient et me détendis. Il me les caressa doucement, me titillant les mamelons, ce qui les fit encore s’allonger et rendit mes seins encore plus fermes. Puis il passa devant moi, les jambes de chaque côté du corps du vieil homme qui me besognait toujours. J’espérai que sa bite serait du même calibre que celles des noirs qui m’avaient baisée jusqu’à présent. Je ne fus pas déçue lorsqu’il abaissa son short, elle était dans la norme.
Il me la présenta, je mis son gland presque rose dans ma bouche et commençai à le sucer. Je le branlai en même temps, la grosse bite noire ne mit pas longtemps à prendre sa taille maximale. Elle était plus longue que mes deux mains. Mes doigts faisaient tout juste le tour de la circonférence.
Une fois qu’elle eut atteint son apogée, le grand noir passa derrière moi, il se mit à genoux, il me fit pencher en avant sur le torse du vieux, celui-ci en profita pour me tenir la tête et m’enfourna sa langue dans la bouche, je lui rendis son baiser.
Ayant dégagé mon anus, le noir y mit deux doigts, il cracha entre mes fesses et fit pénétrer avec ses deux doigts la salive dans mon orifice anal. Il approcha son gland, et pénétra l’anus offert, je criai de plaisir en sentant cette grosse bite noire s’enfoncer en moi. Il se retint, croyant m’avoir fait mal. Je lui criai de me sodomiser avec plus de vigueur, et plus profondément, que j’aimais vraiment ça et que je raffolais des grosses queues noires comme la sienne. C’en était trop pour le vieux, je sentis les contractions de sa verge au fond de mon vagin, et l’écoulement de son sperme chaud. Il me criait à chaque giclée de sa semence :
— Tiens prends ça, salope, encore ça, encore, encore... putain que c’est bon. Il y a longtemps que je voulais éjaculer dans ta chatte... tu me rendais fou de désir... tiens, tiens.
Une fois son éjaculation terminée, il ne put pas sortir de sous mes jambes, le grand noir pesant de tout son poids et me tenant fermement aux hanches, sa bite restait prisonnière de ma chatte, ce qui n’était pas pour me déplaire...
Mon voisin noir, de plus en plus excité par mes demandes et mes cris de plaisir, me labourait l’orifice anal sans ménagement à grands coups de reins, son énorme phallus entra et sortit de mon anus béant à une allure phénoménale. Je n’avais jamais connu une telle vitesse de pénétration, je crus me faire prendre par un marteau pilon. Mon plaisir monta lentement, mais je me retins le plus longtemps possible.
Mais lorsqu’il me renversa la tête vers lui, et enfourna sa grosse langue dans ma bouche, en me prodiguant un baiser fabuleux, quand je sentis les énormes soubresauts de la bite qui vidait sa semence au fond de son ventre, j’ explosai, je criai ma jouissance. Je m’écroulai sur le torse du vieux, qui en profita pour me donner un autre baiser. Le phallus du noir toujours dans mon orifice anal, je me reculai et léchai la queue du vieil homme comme pour la nettoyer du sperme et du foutre qui la poissait. Celui-ci trembla de plaisir. Je me retournai et fis subir le même traitement à la grosse bite noire, qui pendait maintenant entre les cuisses musclées.
Puis, pour se rafraîchir, tout le monde entra dans la piscine, en espérant n’avoir pas ameuté tout le voisinage avec nos ébats...
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