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Nymphomane, moi ? Tome II

Chapitre 1

La pétanque...

Hétéro
Gérald venait de retirer son immense phallus noir de ma chatte, tandis que son sexe perdait sa rigidité je le léchai tendrement.
— Trixie, dit-il, il y a un gars qui travaille avec moi Guy, c’est vraiment un bon copain ! Il va partir à la retraite. Ce mec, je crois qu’il est fou amoureux de toi. Il s’est retrouvé un jour au distributeur à boisson en ta présence. Rappelle-toi, tu avais mis une robe jaune complètement transparente, tu étais nue dessous... Tu venais me rejoindre pour que nous fassions l’inventaire du magasin au sous-sol, au passage, tu avais bu un thé avec Maxime.— Oui, je m’en souviens ! Ce jour-là, après l’inventaire, j’avais avoué à Maxime que je baisais aussi avec toi !— Depuis, il n’arrête pas de me faire la description de ce qu’il a vu cet après-midi-là ! Le soleil, m’a-t-il dit, perçait le mince tissu de ta robe, dévoilait tes fesses en transparence à son regard ébahi. Tout en discutant avec tes copines qui placées du mauvais côté ne pouvaient rien deviner, ou tout au moins, pas grand-chose, tu écartais doucement les jambes, pour laisser deviner que tu étais nue dessous.— Et je me suis retournée vers eux... Ils ont dû se rincer l’œil ! dis-je en riant.— En effet, me raconta-t-il, tu te retournas en souriant vers Maxime, lui et son copain assis sur le banc, leur présentant ton côté pile. Ses yeux, me dit-il, sont sortis de leurs orbites. La nitescence du soleil laissait transparaître les moindres détails de ton corps, il aperçut même juste au-dessus de la fente de ta chatte, ton petit bout de toison triangulaire épilé au plus ras. Les pointes de tes seins se tendaient sous le mince tissu. Était-ce fait exprès, ou n’étais-tu pas censée t’apercevoir que la lumière du soleil donnait une telle transparence à ta robe... Il avait pensé que c’était sciemment.
Et il me rajouta, en plus, qu’il t’avait surpris, toujours au même endroit, mais cette fois, tu étais seule avec Maxime, les jambes largement écartées, la jupe en haut des cuisses, en train de lui faire admirer ta jolie chatte bien rasée dans laquelle il avait enfoncé un doigt. Il lui sembla qu’à un moment, tu levais les yeux et que même l’ayant aperçu, tu avais laissé Maxime poursuivre son doigté !! Là aussi, m’a-t-il dit, il a largement eu le temps d’étudier ton anatomie intime... Il m’a avoué que depuis, il n’arrêtait pas de se masturber en pensant à toi !
— Là aussi, c’est la vérité, mais fallait-il que je crie ? Maxime ne s’était aperçu de rien... et moi, ça m’excitait qu’un mec puisse nous mater !— Il n’arrête pas de me faire l’éloge de tes cheveux blonds, de ton visage de poupée Barbie, de ton petit nez, de tes yeux bleus, de ta bouche gourmande, de tes seins parfaits, de tes jambes admirables et même de ta chatte sublime... ouf... je n’ai rien oublié ! — Eh bien, je ne croyais pas l’avoir rendu si dingue de moi !— Et si... Je te promets qu’il ne se passe pas un jour sans qu’il me parle de toi ! Il va partir en retraite. Alors j’ai pensé que comme cadeau de départ pour ses 60 ans, si tu étais d’accord, tu pourrais être sa prime de départ. Il n’aura jamais un aussi beau cadeau ! J’ai un copain qui tient une sorte de petite guinguette. Il y a encore du beau temps et lors d’un de ses jours de fermeture, pourquoi ne pas organiser une partie de pétanque avec Maxime ? Nous mangerions au resto après... il nous fera bien une omelette. Au fait, tu confirmes bien les histoires que Guy m’a racontées ?— Oui, c’est vrai, je l’ai fait exprès avec ma robe transparente... et la seconde fois avec Maxime, je l’ai vu... mais cela m’émoustillait énormément, je crois que j’ai joui. Je vois bien de qui il s’agit, ce n’est vraiment pas un Apollon. Mais s’il est vraiment fou de moi comme tu me le dis et si j’ai aussi droit à ta grosse queue noire, pourquoi ne pas être son cadeau de départ !! C’est demandé avec tant de persuasion.
Rendez-vous fut pris pour le vendredi suivant à 17 heures 30 après le boulot, les jours étaient encore grands maintenant !! Tout le monde se retrouverait au petit troquet ! Gérald me dit de l’attendre à la sortie du travail. Il m’emmena avec sa voiture. Il n’était pas 17 heures lorsque nous nous retrouvâmes.
Ce jour-là, il faisait très beau, j’avais mis sous une veste tirant sur le fuchsia, un petit débardeur d’un violet très léger, deux bretelles très fines s’attachaient sur mes épaules, je ne portais pas de soutien-gorge, on devinait mes tétons sous le léger tissu. Par contre, j’avais mis des bas noirs et un porte-jarretelles assorti. C’est ce qui excite les hommes ! Non ?
Ma jupette blanche assez ample s’ouvrait jusqu’à la taille sur le devant, des talons aiguilles complétaient ma tenue, pas bien pratique pour jouer à la pétanque... mais le jeu de boules serait-il vraiment par terre ? Je m’installai dans la voiture, et bien sûr, ma jupe blanche s’ouvrit en grand, dévoila les attaches de mon porte-jarretelles et la peau nue de mes cuisses au-dessus de mes bas.
— Bien ça, Trixie, tu as mis des bas et un porte-jarretelles, tu le gâtes, il rêve de te revoir ainsi !— Et toi, ça te fait bander ?— Tu as mis un string ?
— Oui, pourquoi...— Tu peux le quitter... ! — A condition que tu me montres ta queue, il me semble que tu bandes... fais voir...
Conduisant d’une main, il sortit son énorme sexe noir, qui commença à se tendre, je me contusionnai pour enlever ma petite culotte.
— Laisse bien le pan de ta jupe ouvert, et écarte bien tes cuisses que je puisse admirer ta chatte pendant le trajet. Tu sais Guy, il est vraiment obsédé par ce qu’il a vu... Il t’a même pris en photo à la sauvette et a affiché ton portrait sur la porte de son vestiaire. Il est arrivé à se persuader que le jour, ou il t’a vu monter ta chatte à Maxime, et ou m’a-t-il dit, ou tu te masturbais le clito et qu’ensuite Maxime a enfoncé son majeur, tu t’étais rendu compte qu’il t’observait, mais que tu avais continué quand même... il a pensé que cela t’excitait...— Il avait raison... oui, je l’ai entre aperçu derrière la porte... mais je ne suis pas arrêtée pour autant, et j’ai laissé faire Maxime, tu sais bien que ce genre de petit jeu m’excite à mort !! Il me semble même que j’ai légèrement joui ce jour-là.
Il me raconta ce que son pote voulait me faire subir si jamais, mais cela lui était impensable, disait-il, qu’il ait la chance de me baiser...
— Putain, mais tu m’excites là, touche... je commence à mouiller !
La main de Gérald se posa sur le haut de ma cuisse, et son majeur entra dans mon vagin.
— C’est vrai que ma petite salope mouille... Attends, je vais te mettre en condition avant d’arriver, on n’est plus très loin maintenant et on est en avance.
Il avisa un endroit tranquille, se gara, descendit, ouvrit la portière de mon côté. J’écartai largement les cuisses, il recula mon siège et me fit poser la jambe gauche sur le tableau de bord.
— Ce n’est pas l’envie de te baiser qui me manque, mais on n’a pas le temps... Attends petite Salope, je vais faire un doigté qui va t’émoustiller, je sais que tu adores !! Tu vas prendre ton pied avec ce qui va se passer ensuite, j’en suis sûr... Trois mecs pour toi seule... le nirvana, tu te rappelles la séance au gymnase avec mes copains !!
Tandis qu’il me parlait, il avait entré le majeur et l’index dans ma chatte et me caressait le clitoris avec le pouce. Ce qu’il m’avait raconté m’avait passablement excitée, je haletais.
— J’aime tes doigts, ils sont longs, enfonce-les encore... oui, oui, plus vite, plus vite... mets ton pouce et tes deux autres doigts dans ma chatte... oui, oui, c’est ça... c’est bon... enfonce encore, oui encore...
Je lui attrapai le poignet et poussai sa main dans mon vagin. J’étais tellement lubrifiée qu’elle entra à moitié, je hoquetai de plaisir.
— Petite salope, tu aimes ça...
Et il fit lentement deux ou trois allers et retours, qui me tirèrent de gémissements de plaisir, mais il me dit qu’il fallait s’arrêter, car nous avions un rendez-vous à ne pas rater. Et il ôta sa main.
— Putain Gérald, regarde ! Tu m’as fait jouir, j’ai taché ton siège !!— Pas grave !! Mais au fait, on est bien d’accord à la pétanque, il faut que tu fasses zéro point dans la partie, pour que mon pote puisse, non pas embrasser la Fany... mais la baiser... Tu joueras avec lui et je compte sur toi, pour qu’il ne marque aucun point... tu as les arguments pour ça !! Attends...
Il dégagea mes épaules de ma veste, défit les ganses des fines bretelles, les remplaça par deux simples nœuds assez lâches.
— Voilà, comme ça lorsque tu vas quitter ta veste, ton débardeur tombera, et tu vas lui en mettre plein la vue ! Reboutonne bien ta veste...
Il ne nous fallut pas longtemps pour arriver à destination. Il ferma à clef le portail qui barrait l’accès. C’était effectivement désert, jour de fermeture oblige. Maxime et Guy nous attendaient. Le terrain de boule était caché des regards par des haies assez touffues, nous serions tranquilles !
Je m’approchai, embrassai Maxime sur les lèvres, puis j’allai voir le copain de Gérald. C’est vrai, ce n’était pas un Apollon, il avait l’âge de la retraite, 60 ans, maigre avec des lunettes, des cheveux blancs, je me demandais s’il avait une grosse queue. Je le serrai dans mes bras en lui faisant claquer deux bises sur les joues. Tout intimidé par ma présence, il me bredouilla un bonjour.
Je me reculai légèrement et devant lui, prétextant qu’il faisait chaud déboutonnai ma veste, pour la quitter. En la tirant vers l’arrière, je pinçai le tissu du débardeur, les nœuds cédèrent sans effort et le léger tee-shirt tomba sur mes hanches.
Mes seins encore tout émoustillés par les caresses de Gérald pointèrent fièrement leurs deux mamelons durcis en s’offrant à ses regards. Je restai comme pétrifiée par ce qui m’arrivait.
— Ooooooohhhh, je n’avais pas bien dû serrer les nœuds, dis-je en riant...— Ohhhhhh... Putaaaiiiiiinnnnn !!!!! s’exclama Guy.— Eh bien Guy, dit Gérald... Tes rêves prennent tournure !!
Ce fut le cri du cœur qui sortit de la bouche de Guy, médusé. Avec une lenteur toute calculée pour bien le laisser jouir du spectacle, je déposai ma veste sur la table en bois, puis remontai mon débardeur et renouai les minces lanières sans les serrer pour que lorsque je me pencherai en jouant, le devant puisse bâiller et laisser apercevoir mes seins.
— Bon, dit Maxime, honneur au retraité, Guy, je pense que tu veux faire équipe avec Trixie...— Oui, oui... dit-il les yeux brillants... mais je ne suis pas un super champion...— Tant mieux, dit Gérald en riant... Trixie a beaucoup de cordes à son arc...
La partie démarra, c’est moi qui lançai le but, je l’envoyai à la limite minimum des 6 m. Je jetai ma première boule, ratée... Maxime pointa... sa boule se positionna à 4 centimètres du cochonnet... J’allai au cercle, mes deux boules suivantes ne s’approchèrent pas à plus de 50 centimètres. Comme désappointée, j’allai près du but.
— Guy, je vais te guider... tu vois, il faut jouer...
Je m’accroupis, mis un genou à terre, remontai ma jupe et écartai les jambes, il s’était accroupi dans le cercle. Il leva les yeux et se figea, ce n’était pas le jeu qu’il fixait si intensément, mais mon entrejambe, l’ouverture de ma jupe exposait ma fente rose à ses regards. Il avait la bouche ouverte de stupéfaction, mais aucun son ne voulait en sortir. Il resta ainsi longtemps, comme s’il ne voulait pas rompre le charme. Puis voyant que je ne bougeai pas, il décida de lancer sa boule... trop fort. Son regard était toujours fixe lorsqu’il joua sa seconde... trop courte ! Il savoura le spectacle encore un bon moment et comme à regret, il fit rouler sa dernière boule qui buta sur un caillou et dévia de sa course ! Gérald me murmura en souriant.
— Tu peux rester ainsi quand j’irai jouer !!
Leurs six boules gagnèrent six points... Maxime envoya le cochonnet assez loin, sûrement pour que je rate mes trois boules, ce qui arriva. Mon partenaire prit place à son tour dans le cercle. À côté de lui, je posai mon pied sur le banc en bois, relevai ma jupette comme pour réajuster l’attache de ma jarretelle. Cela lui donna une vision complète de ma chatte bien rasée, qui avec ce petit jeu commença à devenir humide, je le regardai en lui souriant tendrement. Il était à nouveau tendu, comme la bosse qui déformait son pantalon. En caressant la lanière noire de mon porte-jarretelles, je le regardai intensément en passant ma langue sur mes lèvres.
— Allez Guy, joue...
Il lança ses trois boules, en direction du but, mais ses yeux suivaient mes gestes... pour les boules, ce fut un fiasco, nous prîmes encore 6 points dans notre musette ! Douze zéro !! La dernière mène ne fut qu’une formalité pour nos adversaires... Comme prévu, nous n’avions pas marqué de point.
— Bien dit, Gérald, on dirait que c’est Fany !! Et vous savez ce qui se passe lorsqu’il y a Fany... Normalement, on l’embrasse !! Mais aujourd’hui, vu que nous avons une superbe Fany sous la main, pas vrai Trixie ! Nous allons changer les règles et nous allons baiser Fany... Tu es d’accord Trixie ?— Tous... Tous les trois demandai-je, faisant semblant d’être étonnée et légèrement effrayée !— Oui, bien sûr, répondit Maxime... et honneur au perdant... Allez Guy, elle est à toi...— Vous... Vous croyez !!— Oh oui bien sûr, regarde... c’est ton anniversaire, elle t’attend !
J’avais relevé ma jupe sur mes fesses, et leur présentai mes deux globes fermes, attendant que Guy vienne les embrasser. Il se dirigea lentement vers moi, se mit à genoux et enserrant ma taille, il posa ses lèvres sur ma peau nue.
— Allez, on a dit qu’on baisait Fany... pas qu’on l’embrassait... dit Gérald. Allez, déshabille-toi !— Je... je peux Trixie...
Ses habits se retrouvèrent au sol et nu comme un vers, il s’enhardit, ses doigts se glissèrent sous les lanières de mon port-jarretelles, sa langue parcourut mes fesses, qu’il écarta doucement avec ses pouces pour dégager mon anus. Il lécha le pourtour et la pointe de son appendice buccal s’y enfonça à plusieurs reprises, ses caresses m’excitaient, je mouillais de plus en plus, une insertion plus profonde me tira un gémissement de plaisir.Il était toujours à genoux, je me retournai, appuyant mes fesses sur le bord de la table, je relevai lentement le devant de ma jupe. Mon sexe se trouvait à hauteur de son visage, de ma main droite, j’écartai les lèvres de mon vagin.
— Regarde, touche... comme je mouille... tu vas lécher le nectar qui coule de ma chatte... aspirer mon clitoris...— Oh merde, je rêve...
Il passa ses mains sous ma jupe, les plaqua sur mes fesses et sa bouche se colla à ma fente trempée.Tout d’abord, il aspira mon clitoris, le dégagea de son petit capuchon, il le titilla de sa langue, le pressa entre ses lèvres, le mordilla légèrement de ses incisives. Il me fit légèrement basculer sur la table, puis sa langue descendit sur mon raphé, partant de mon anus, il le lécha, remontant jusqu’à la base de ma vulve. Continuant sa progression, il taquina à nouveau mon petit bouton rose. Je frissonnai de plaisir sous la caresse. Puis il cracha dans ma fente et sa langue s’insinua entre mes lèvres, s’enfonçant, explorant mon orifice vaginal. Il la remuait avec beaucoup d’agilité, me tirant de petits cris de plaisir. Son majeur titilla mon petit gland rose, puis il le descendit lentement remplacer sa langue. Il l’entra le plus profondément possible, lui adjoignit l’index et commença de savants va-et-vient tandis que son pouce me massait doucement le clitoris. Je me tortillai dans tous les sens, je haletai.
Il me fit subir cette caresse, alternant doigté et coups de langue pendant un temps qui me parut interminable, mais j’en redemandai, le plaisir m’embrasa le ventre.
Je n’allai pas tarder à jouir. Mes deux amants s’étaient approchés, ils restaient cois devant la volupté que Guy tirait de mon corps.Au sortir d’un profond doigté, ses deux doigts glissèrent vers mon anus, il cracha dessus et les enfila délicatement, son pouce vint les remplacer dans mon vagin et il commença des va-et-vient de plus en plus rapides. A ce rythme, le plaisir crut rapidement, je me dis que je n’allai pas tarder à exploser.Je le repoussai, doucement... c’était trop tôt pour jouir !
Je dégrafai le bouton qui fermait ma jupette, l’écartai et la laissai tomber. Puis le regardant en souriant, avec des yeux de velours, je dénouai les nœuds des bretelles de mon tee-shirt. Lentement, je dénudai un sein, puis l’autre... Seuls la respiration saccadée de Guy et le cri des cigales trouaient le silence. Je quittai mon débardeur mauve, je n’étais plus vêtue que de mon porte-jarretelles noir, de mes bas et mes talons aiguilles, mes mamelons brun foncé tendus au maximum. Mes tétons bien stimulés par le désir sexuel ; la piloérection déclenchée par l’ocytocine les fit pointer et fait grossir les glandes de Montgomery, des petites protubérances rondes d’un rose foncé apparurent sur la peau de l’aréole qui entoure le mamelon. Je mis les mains sous mes deux globes fermes et durs et lui les présenta en offrande.
— Tu veux bien sucer et mordiller mes tétons... regarde, ils le réclament à corps et à cris... Allez ... s’il te plaît...
Les tétons sont chez moi, une zone extrêmement érotique, Maxime parvient à me faire jouir rien qu’en les triturant... Le copain de Gérald ne se le fit pas dire deux fois, il se rua sur les fruits offerts et avec empressement, les lécha et les suça, cela me tira encore énormément de gémissements de plaisir. Tandis qu’il s’occupait de mes pointes tendues, ma main partit à la recherche de son sexe, je le caressai. Il bandait énormément, sa queue loin d’être aussi grosse et longue que celle de Gérald était bien proportionnée, un peu plus grande que la moyenne, lorsque je le branlai doucement, ce fut lui qui frissonna et gémit, son scrotum assez fin au début sur 2 ou 3 centimètres, contenait une paire de testicules assez imposants, qui se balançaient doucement.Je me couchai de côté sur la table, la tête soutenue par mon bras gauche, une jambe tendue, l’autre repliée pour bien leur montrer ma chatte. Ma main droite ouvrit ma fente rose qui luisait de foutre.
— Hé, les deux champions de pétanque, je vois que vous bandez fort... vous aimeriez bien mettre votre bite là, mais il va falloir que vous attendiez...
Disant cela, je me mis sur le dos et attrapant le mollet de ma jambe gauche, la soulevai doucement, les lèvres de ma chatte s’ouvrirent comme le calice d’une fleur... Gérald s’approcha, sa main noire écarta les lèvres poisseuses, il dégagea mon clitoris.
— Regarde, dit-il à Guy, as-tu déjà vu un clitoris aussi joli...
Il me le masturba entre son pouce et son index, mon petit bouton déjà pas mal sollicité se gorgea de sang et durcit. Je haletai et poussai des grognements de plaisir en tortillant mon bassin dans tous les sens sous la caresse. Il passa ensuite deux doigts le long de ma fente en la pénétrant légèrement pour recueillir mon foutre et les présenta à Guy, qui les suça avec gourmandise.
— Mais je te la laisse, c’est ta fête, tu as goûté son foutre, il est délicieux, non ?...— Ooooohhhhh, tu es merveilleuse Trixie... Je dois t’avouer que j’ai déjà vu ta chatte... mais de si près, cela comble tous mes fantasmes... bafouilla Guy.— Alors pourquoi ne pas les satisfaire en plein ? Enfile-moi ta queue...— Je... je... peux vraiment ??? Putain ce n’est pas vrai !! J’en rêvai... Sérieux... sérieusement... je... je peux ? Je pourrai aussi éjaculer dans ta chatte... j’en rêve !— Mais oui, mon petit chéri... tu pourras... j’en ai même très envie...
Le fait que mes deux amants puissent me voir, me faire baiser devant eux décupla mon excitation. Mon sexe ruissela de plus en plus, il palpita, se contracta, attendant une pénétration. Guy posa ses lèvres sur mon ventre, ses mains caressèrent mes fesses, les écartant, ses doigts frôlèrent mon anus, puis il caressa l’intérieur de mes cuisses, entre mes jambes. Il sépara les lèvres de ma chatte.
— Ooooohhhh splendide, ton clitoris ressemble à un petit bouton rose, ta chatte rasée est magnifique, elle palpite toute seule, tu sens mes doigts-là, tu en veux encore un ?— Nooonnnnn, c’est ta queue que je veux... enfile-la-moi... vite... vite...
Il sourit, et tenant son appendice raide et dur d’une main, il frotta le gland le long de ma fente, chaque fois qu’il arrivait à l’entrée de mon vagin, il le faisait pénétrer d’un ou deux centimètres, mais le ressortait aussitôt, cela exacerba mes sens...
— Je veux ta queue... gémissais-je... enfonce là !!— Lààààà..... voilaaaa... putain ça glisse toute seule... putain ce que tu peux mouiller !! C’est moi qui te fais cet effet ?? Je n’en reviens pas... Merci, merci les gars de m’avoir fait partager Trixie, merci... c’est le plus cadeau que l’on ait pu me faire !!— Ouuuiiiiii, enfonce bien ta bite... plus vite, plus vite... met la en plein... ouiii ... bien au fond... aahhh... putain que c’est bon...
En me regardant, il essaya de faire pénétrer mon clitoris dans le méat de son gland, plusieurs fois de suite. Il me pénétra ensuite avec de grands cris sourds, ses couilles venaient à chaque pénétration battre mes fesses, je sentis que plus rien n’existait pour lui, si ce n’était que d’arriver à son plaisir et à déverser sa semence en moi pour me posséder entièrement.
— Allez Guy, vas-y, fais-la jouir... cette petite Salope est au bord de l’orgasme... elle ne va pas tarder à prendre son pied... Cette garce aime se faire baiser... continue...
Les encouragements salaces que prodiguaient Maxime et Gérald eurent raison de moi, je me laissai submerger par le plaisir, mes parois vaginales se contractèrent avec force autour du mandrin rigide enfoui dans mes entrailles. Il agrippa fortement mes hanches et à travers les brumes de l’extase, je sentis son sexe se contracter, un cri guttural sortit de son gosier et du sperme chaud gicla au fond de mon vagin. Il s’écroula sur moi, sa bouche aspira mes tétons l’un après l’autre, puis il la plaqua sur mes lèvres et sa langue envahie ma bouche, il me prodigua un baiser plein de salive et de fougue, je le lui rendis avec passion.
— Putain... de ma vie, je n’aurais jamais cru pouvoir faire l’amour avec une fille aussi jolie et aussi sexy que toi, Trixie... qui m’a fait autant jouir ! C’est vraiment dommage que je parte en retraite... au boulot, j’aurai pu en profiter...— Bien, dit Gérald... je crois que c’est à notre tour de Baiser Fany !
J’étais toujours allongée sur la table, alanguie, les jambes ouvertes, du sperme coulait de ma chatte... Le grand noir défit et quitta son pantalon, son énorme bite se dressa à la verticale, il décalotta son gland, sa queue était impressionnante. Je regardai Guy. Les yeux exorbités, sa bouche s’arrondit en un « Oh » de stupeur. Gérald calotta et décalotta son gland mauve en souriant... me regarda d’un air gourmand.
— Oh putain mon Salaud, on m’avait dit que tu avais une grosse queue, mais à ce point... je n’aurai jamais cru que ce soit possible... elle fait au moins trente centimètres... putain ce qu’elle est grosse aussi... Et, et... tu vas lui enfiler entièrement ce monstre noir...— Ben oui !! Et tu vas voir, elle adore ça, elle raffole de ma grosse bite noire... pas vrai Trixie ?— Oh putain... la petite salope... j’attends de contempler ça avec impatience...
Gérald quitta sa chemise et nu comme un ver, se coucha dos sur la table, à genoux à côté de lui, je saisis son énorme rouleau noir, strié par de grosses veines et le masturbai lentement sur toute la longueur, en regardant Guy, pour que celui-ci puisse bien en apprécier la taille. Tirant le prépuce vers le bas pour bien dégager le gland brun, je le léchai, l’enduisis de salive, puis l’enfournai plusieurs fois dans ma bouche. Puis mes lèvres commencèrent leur descente le long de la hampe noire, Gérald me tint la tête, m’encouragea à avaler son phallus de plus en plus profondément. Je m’y repris à plusieurs fois pour en absorber la presque totalité. Je ne quittai pas Guy des yeux, son visage refléta l’incrédulité, il masturba doucement sa bite qui sembla reprendre vie.
— Bien dit, Gérald, je ne crois pas que tu arrives encore à faire, grandir, grossir et durcir ma queue... Trixie, si l’on passait aux choses sérieuses, je dois avouer que ton petit numéro avec Guy m’a mis en appétit !!
Je l’enjambai et me mit face à Maxime et à Guy, lui laissai enfiler son gland dans entre mes lèvres vaginales, il tint fermement la base de son membre d’une main. Je descendis doucement les hanches, le gros sexe noir bénéficiant de la lubrification produite par le sperme de Guy et mon foutre, glissa sans encombre dans ma vulve. Je regardai Guy avec des yeux enamourés, passai ma langue sur mes lèvres. Gérald commença ses assauts avec de grands coups de reins, qui me tirèrent de hoquets de plaisir. Au fur et à mesure de l’accélération de la cadence de pénétration, mes cris devinrent de plus en plus forts, l’apogée fut atteint lorsque Gérald se mit à me malaxer le clitoris avec deux doigts de sa main droite. Il ralentit son rythme, il sortit presque entièrement son immense membre noir, puis soit me pénétrait doucement, soit il enfonçait la totalité d’un grand coup de reins. Ce délicieux supplice dura près de 10 minutes.
Torse nu, trimballant avec lui, un fauteuil en osier, le patron de la petite taverne s’installa sur le jeu de boule près de la table, pour profiter du spectacle... Il était petit obèse, son ventre débordait de son pantalon.
— Oooooohhhhh, putain, c’est vrai, il lui a enfoncé toute sa grosse bite... et elle a l’air d’aimer ça cette petite Coquine !! s’exclama Guy !— Allez, tourne-toi, m’intima Gérald.
Ce que je fis, et en tournant la tête, je regardai d’un air gourmand les trois spectateurs, et m’empalai à nouveau sur l’impressionnant sexe noir. Celui-ci entra et sortit sans discontinuer de mes entrailles pendant un long moment, mon orifice vaginal était complètement écartelé par le diamètre du phallus de Gérald. C’était un gémissement continu de plaisir qui s’échappait de ma gorge. Je sentis les mains de Gérald quitter mes hanches, et venir se poser sur mes seins.Je devins folle de plaisir, mon ventre se cabrait, mes hanches retombaient lourdement sur le sexe noir, massif dur comme de la pierre. Il attrapa mes seins, les malaxa avec force, il serra mes mamelons tellement fort que j’émis un couinement de douleur, puis il les suça avec tendresse comme pour se faire pardonner.
— Regarde Maxime, Trixie mouille tellement et prend tellement son pied avec la grosse bite de Gérald que son foutre coule le long de sa queue... Ça fait un anneau blanc sur le noir de sa bite... Putain la Salope, regarde... elle me fait bander à nouveau... s’exclama le futur retraité.
Gérald dut l’entendre, car son majeur entra dans ma chatte comme pour vérifier les dires, jugeant qu’il devait être plein de foutre, il le remonta vers mon anus, et après en avoir caressé le pourtour, l’enfila dans mon orifice palpitant, me faisant crier de plaisir.
— Hé, Guy, tu as encore vraiment envie de la baiser ? dit Maxime... Regarde son petit trou du cul... Gérald vient de te le préparer... allez à ton tour, il n’attend que ton mandrin pour le perforer !! Et tu bandes comme un âne !— No... Nonnn... Tu crois que je peux la sodomiser, vraiment !! Pendant que Gérald la baise ? Je... je n’ai jamais fait ça moi !! Et toi, tu ne veux pas la baiser ?— Mais si, crois-moi... elle adore !! Moi ce sera pour une prochaine fois...
Le copain de Gérald monta sur la table et se mit à genoux derrière moi, je me penchai en avant. Il glissa ses mains sous mon porte-jarretelles, son sexe força mon ampoule rectale et pénétra dans mon anus, sa queue s’enfonça profondément. Elle glissa entre mes sphincters humides et me délivra un plaisir si intense que la seule chose qui m’importa était que les bites enfoncées en moi puissent assouvir le besoin de sexe que je ressentis. Le passé, le présent et le futur n’existèrent plus, je flottai dans un univers rythmé par mes gémissements de plaisir et la coordination des pénétrations des deux hommes. Gérald tressaillit sous moi.
— Trixie, je crois bien que je vais éjaculer... Aahhhhhhh, tiens, tiens petite salope... !!
Et il déversa sa semence dans mon ventre, lorsque les spasmes de l’éjaculation cessèrent, je ralentis le mouvement de mes hanches, ne bougeai plus, restant le bassin en l’air pour garder le dur phallus de Guy dans mes entrailles. Je caressai doucement son torse noir musclé.
— Tu aurais pu m’attendre pour jouir... ! lui dis-je en souriant...
Délicatement, il réussit à s’extirper de mes jambes et descendit de la table. Je crus que Guy, m’ayant pour lui tout seul allez profiter pleinement de la situation, mais ce ne fut pas le cas, il arrêta ses pénétrations.
— Dis, Trixie... tu vas peut-être trouver cela farfelu, mais ne pourrais-tu pas me donner tes bas et ton porte-jarretelles... je les garderai en souvenir de cette journée merveilleuse... !!— Mais oui...— Je peux te les quitter... je n’ai jamais fait ça à une fille...
Sur mes reins, il dégrafa avec dévotion mon porte-jarretelles. Assise sur la table, les jambes sur ses cuisses, il défit avec sensualité les quatre agrafes qui soutenaient mes bas, et les fit rouler doucement l’un après l’autre le long de mes jambes galbées, chaque fois que dix centimètres de peau étaient dénudés, il les léchait et les embrasait délicatement.L’opération terminée, il me fit mettre à genoux et enfila deux doigts dans mon anus. Ne le trouvant peut-être pas assez lubrifié, il commença à enfiler son gland et dix centimètres de sa bite dans ma vulve, il les ressortit poisseux, dégoulinant de sperme du grand noir, puis il enfonça à nouveau son phallus dans mon cul.
— Ah ça va mieux...
Un coup de reins fougueux et son piston, traversa mes sphincters serrés, pénétra profondément entre mes fesses. Je grognai de plaisir de sentir cette bite entrer si profondément dans mes entrailles, Guy était maintenant déchaîné, il avait apparemment laissé ses réticences au vestiaire... Il attrapa mes épaules et me tira vers l’arrière.
— Petite salope, après avoir déversé mon sperme dans ta chatte, je vais éjaculer dans ton cul, je suis sûr maintenant que tu aimes ça... et moi, je serai le plus heureux des hommes... !
Je sentis les palpitations de son phallus, il allait jouir. Un puissant orgasme montait en moi, je jouis au moment où avec un grand cri, il déversait son sperme.J’étais épuisée, j’avais au cours de mes trois orgasmes énormément joui. Nue comme un ver, j’avisai le fauteuil que son propriétaire avait laissé libre, il était en grande conversation avec Gérald et me jetait des regards lubriques. Je m’y installai, posai mes jambes sur les accoudoirs, les yeux fermés, la tête renversée, m’offris à la caresse du soleil cuisses grandes ouvertes. Je sentis que du sperme coulait de mes deux orifices.Il y eut un mouvement sur ma droite, le patron était là, obèse, un bourrelet par-dessus la ceinture de son pantalon, sa grosse queue tendue, dépassant de la braguette de son pantalon, il avait posé une main sur mon mollet.
— Dites, Mademoiselle... vous m’avez tellement excité... vous ne pourriez pas me sucer la bite... je crois qu’elle va exploser...— Mais... je...— Trixie... je crois que tu ne peux pas refuser, dit Gérald ! Bernard nous offre l’omelette en casse-croûte... C’est la fête à Guy...— Tu me fais éjaculer, et je vous offre le casse-croûte !— Oui... mais... !!
Je le regardai, il était vieux, gros, laid, sa bite était vraiment grosse... mais... allez !! une petite fellation !! Il devrait éjaculer rapidement... après le spectacle offert... Une formalité... j’entendis mes potes.
— Allez Trixie, tu es une experte...— Oui une petite pipe... et on mange gratis !— C’est mon départ en retraite...— Petite salope, tu taches mes coussins ! Dit le patron.— Oui, si vous nous offrez le repas, je veux bien vous sucer et vous faire éjaculer !
Sa main descendit sur ma chatte, il ramassa avec deux doigts le liquide visqueux qui en coulait, de ses boudins courts et poilus, il força mes lèvres.
— Suce... d’abord, mes doigts... puis ma queue !
Je léchai ses phalanges boudinées, me redressai, ouvris la bouche et commençai à sucer son monstrueux phallus. Mais j’avais beau m’appliquer, l’avaler entièrement, le masturber savamment, au bout de dix minutes, il n’avait toujours pas éjaculé.
— Surprenant, hein !! Dis-toi bien petite Salope, que ta bouche, ce n’est pas suffisant... Tu viens de te faire baiser par le blanc maigrichon, puis par le noir avec sa bite de 30 centimètres, et sodomiser à nouveau par le nabot. Alors tu ne vas pas me dire que tu n’aimes pas ça... Allez grimpe... à genoux sur la table !! Tu as promis de me faire éjaculer, si tu veux que j’offre le casse-croûte à tout le monde !!! Alors, allons-y !
Effarée par cette demande, je regardai mes trois compagnons, ils avaient leurs sexes tendus et se masturbaient doucement, on aurait dit que leurs yeux me suppliaient d’accéder à la sollicitation du propriétaire des lieux. Je compris qu’ils allaient se délecter de me voir baiser par ce gros bonhomme adipeux, ressemblant à un crapaud. Je capitulai... bien que de la répulsion me torde les entrailles.
Je remontai à genoux sur la table. Malgré sa corpulence, il bondit presque derrière moi. Il m’attrapa aux hanches, faisant saillir ma croupe et commença à guider sa grosse bite vers ma chatte, il en battit le pourtour, la fit glisser le long de ma fente, du bout de son gland me frotta le clitoris, il prit son temps... Au bout d’un certain temps de ce petit jeu, l’excitation commença à me gagner... Trois minutes plus tard, la chatte trempée, avec à nouveau une boule de feu dans mes entrailles, j’avais oublié son obésité, sa laideur... Je ne désirai plus qu’une chose... qu’il me pénètre ! De deux doigts, j’écartai mes lèvres pour permettre l’intrusion de son énorme phallus...
— Enfile-moi ta grosse queue...— Ah... tu mouilles, je savais bien que la petite Salope allait me supplier de la baiser !! Dis-moi que tu aimes ma queue...
Il n’attendit pas la réponse, un coup de reins lascif et son membre graisseux distendit mes lèvres et glissa lentement dans ma chatte palpitante.
— Voilà, Trixie, tu es une gentille nana... Ma grosse bite est entrée entièrement... Hé... les Gars ! Vous entendez comme elle roucoule, elle aime ça... cette petite salope...— Ouuuuiiii, ouuuuiiiii, encore... encore... plus vite... plus vite... Hoquetai-je.
Je m’enfonçai encore une fois dans la luxure, mon corps aimait ça. Celui qui me chevauchait était vieux, gris, laid, adipeux, mais il me donnait du plaisir, mon esprit avait capitulé ! Le front posé sur la table, des larmes de bien-être et de désappointement coulèrent sur mes joues... il transperça ma chatte et ses couilles frappèrent mes fesses. Il s’enfonçait si rapidement et si profondément en moi, que mes seins flottaient et rebondissaient dans tous les sens.Puis une fois sa bite entièrement entrée et bien calée au fond de mon vagin, il ne bougea plus, il me fit comprendre à demi-mot très crus, mais assez fort pour les autres entende que j’étais SA petite pute.Il me sembla qu’il me pénétrait depuis une voluptueuse éternité, lorsque je sentis son sexe se raidir à l’intérieur de ma chatte distendue, je contractai mes parois vaginales et enserrai le cylindre trépidant de mon amant obèse, je me traitai de pute lorsque je criai :
— Ouuuiiiiiii, ooouuiiii éjacule en moi !!!
Il poussa un rugissement et se mit avec de grands soubresauts à remplir mon ventre avec sa semence crémeuse et épaisse. Toujours en moi, il me poussa à plat ventre sur la table, il m’enserra dans ses bras en se couchant sur moi, me murmurant des insanités à l’oreille.
Il saisit mes longs cheveux blonds et me releva la tête, puis il regarda mes trois amis avec un air de défi et il m’embrassa avec passion, comme pour leur faire comprendre que pour l’instant, je lui appartenais, ne lui avais-je pas demandé d’éjaculer dans ma chatte !! Je les regardai à mon tour, un peu contrite de mes paroles, Guy éjacula, Gérald et Maxime allaient suivre...
Puisque c’était ainsi, comme pour punir mes amis de s’être délectés de me voir baisée par ce gros porc, j’acceptai son baiser baveux, son vieux membre palpitait toujours dans mon vagin humide, il était encore étonnamment dur, je me laissai aller, la jouissance déferla, je criai... Que dis-je ! Je hurlai... je ne sais pas si la répulsion que je ressentis inconsciemment avait joué, mais cette fois, le plaisir que j’avais eu avait été beaucoup plus intense et voluptueux que mes trois orgasmes précédents... j’étais parcourue de frissons et de tremblements malgré la masse corpulente qui était toujours sur et en moi.
Gérald éjacula sur moi avec un cri.
— La salope... !!! La Salope, je ne croyais pas qu’elle allait autant jouir...— Tu vois, me dit le tenancier, le gros vieux obèse t’a fait jouir... Allez, dis-moi que tu as aimé ma grosse bite... Tu ne peux pas tricher... je t’ai senti exploser de volupté... Tu en Frisonnes encore !
Il me lécha le visage, embrassa et massa ma poitrine en sueur, mordilla puis étira mes mamelons durcis par ma jouissance. Il me tenait toujours dans ses bras, voulant me faire sentir qu’il aurait bien voulu prolonger cette étreinte.Mais Maxime s’approcha, tenant sa queue raide au bord de l’éjaculation, je n’eus que le temps d’ouvrir la bouche pour récupérer les jets de sperme. La journée se termina autour d’une bonne table.
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