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Nymphomane, moi ? Tome II

Chapitre 3

La livraison...

Hétéro
C’était fait, je venais d’avoir des nouvelles de l’avocat de mon mari. J’allais divorcer, cela serait jugé dans peu de temps et en plus avec les torts pris par mon ex-époux, plus besoin de faire attention maintenant, je pouvais laisser libre cours à ma libido, je m’avouais que les blacks m’attiraient fortement et que j’avais vraiment pris goût aux sexes énormes... mes expériences avec des petits vieux m’avaient aussi apporté pas mal de plaisir... Tu es vraiment une Salope... mais au moins tu te fais plaisir ! pensais-je...
En face de la grande glace de la salle de bain, j’étais en train de m’habiller. J’avais mis ma lingerie préférée un demi-soutien-gorge et un porte-jarretelles noir soutenant des bas foncés bordés sur le haut de dentelle. L’image du miroir me reflétait une jeune fille mesurant 1,70 m au corps svelte, des cheveux blonds lui tombant sur les épaules, au nez légèrement retroussé, des yeux bleus-vert. Je caressai ma poitrine aux seins ni trop gros ni trop petits, aux aréoles assez larges et brunes. En pensant à la grosse bite noire de mon copain, Gérald ma main droite se mit à titiller mon clitoris, et mon index se faufila dans ma chatte. Un soupir de frustration s’échappa d’entre mes lèvres... c’était le début du week-end, pas de sexe en vue jusqu’à lundi !
J’allais enfiler un chemisier et une jupe, lorsqu’on sonna à la porte. Je pris ce qui me tombait sous la main pour me couvrir, en l’occurrence une blouse récupérée au boulot, boutonnai rapidement les trois premiers boutons du haut, les seuls rescapés, je chaussai mes talons aiguilles et j’allai ouvrir, car la sonnette venait de retentir à nouveau. En marchant, la blouse s’écartait sur mes cuisses et laissait apparaître les attaches et les lanières de mon porte-jarretelles. Il va falloir que je fasse attention en ouvrant la porte, Maxime mon autre amant m’avait fait bannir le port du string.
C’était Paul, mon voisin, celui qui m’épiait et qui avec le noir, m’avait baisée à côté de la piscine l’été dernier, il m’avait vu aussi me faire baiser par Jaamar. Je le fis entrer.
— Bonjour, Trixie, peux-tu me rendre un petit service ? Je ne sais pas comme faire pour remplir ces papiers et je pense que tu pourrais m’aider. Je sais que tu travailles dans le domaine comptable.— Bien je vais regarder... si je peux vous être utile !— Tu es gentille avec moi. Tu sais je t’ai entendue te disputer avec ton mari l’autre jour.— Oui, il était question de son patron...— Le gros qui t’a baisée le lendemain ! J’ai tout vu par la porte-fenêtre que tu avais laissée ouverte, tu l’avais fait exprès, car j’ai bien vu que tu me faisais un petit signe.— Oui, lui répondis-je en rougissant.— Tu es merveilleuse de me faire participer ainsi tes ébats, ton mari n’est qu’un rustre. Tu sais tu peux me demander n’importe quoi, je me mettrai en quatre pour te satisfaire.— Oui, il profite de moi, mais c’est terminé, on va se séparer. Mais voyons vos papiers.
Je n’étais pas dupe et savais que ce n’était qu’un prétexte pour s’introduire chez moi, me sachant seule, et de profiter encore une fois de la situation pour éventuellement me baiser à nouveau, si je ne le repoussai pas. De plus, il avait entendu la dernière dispute avec mon mari. Vu sa gentillesse et son empathie envers moi. Je décidai de jouer le jeu, et l’installai à la table de la salle à manger. Au niveau de l’attribut sexuel, ce n’était pas Gérald, loin delà... mais... faute de grives, on mange des merles !!
Il sortit ses papiers, je m’approchai et nonchalamment d’un geste naturel, appuyai ma main contre ma hanche, en posant mon pied sur le barreau de la chaise. La blouse s’écarta et dévoila ma cuisse et l’attache de mon porte-jarretelles. Le regard du vieux se porta aussitôt sur le morceau de chair dénudé. C’était comme si je donnai mon accord à ses désirs.
Il approcha sa main tremblante, en m’observant, ne sachant s’il pouvait continuer. Je le regardai gentiment en souriant, il s’enhardit et la passa sous la lanière, caressa la chair offerte, remontant vers le haut de ma cuisse. La blouse s’écarta, dévoilant ma chatte. Il effleurera en tremblant ma fente bien rasée, je lui retirai la main, passai entre lui et la table et m’assis sur le meuble.
Je déboutonnai sa chemise, la lui ôtai. Il se mit debout, attrapa ma tête qu’il plaqua contre les poils blancs de son torse. J’adorai le contact des poils d’un homme, j’ y frottai doucement ma joue, tandis que les mains du vieux déboutonnaient les boutons de ma blouse. Je le laissai me la quitter.
Ses mains tremblantes de bonheur et d’excitation se plaquèrent sur mes seins et il les malaxa lentement. Je le repoussai doucement, lui quittais son pantalon et son slip et le fit asseoir sur la chaise.
Je m’aperçus que la première fois, cet été, j’avais mal jugé la grosseur et la longueur de sa queue, après j’avais été trop accaparée par la grosse verge du noir. Elle était assez conséquente surtout pour un homme de son âge. Pour l’instant, il ne bandait pas. Je me mis à genoux devant lui. Je décalottai deux ou trois fois le gland, il commença à réagir, je me levai, il m’enlaça tendrement, frottant sa bite qui prenait de la consistance contre ma chatte.
— Tu es belle, putain que tu es belle, je suis toujours ébahi par ton corps !
Mes mains se posèrent sur ses épaules, puis descendirent lentement sur le torse flétri, elles s’attardèrent sur la verge, qui commençait maintenant était assez dure, saisirent et caressèrent ses bourses ridées.
Il gémissait doucement. Posant un genou à terre, d’une main, je lui relevai le sexe, tandis que ma langue lui léchait les testicules qui se contractaient de plaisir. Puis je la fis remonter jusqu’au gland et je le mis dans ma bouche. J’avalai par petites saccades, entièrement le pénis du vieux voisin. Je commençai à le sucer, en le faisant ressortir de ma bouche et en l’avalant à nouveau, tout en frottant les pointes durcies de mes seins sur les cuisses ridées du vieil homme. Ma chatte était déjà humide. Il me caressait les cheveux.
Je me relevai, m’assis face à lui sur ses genoux, lui laissai agacer mes seins, tirer et mordiller mes tétons pour bien les ériger, ce qu’il fit avec un plaisir gourmand.Il voulait m’embrasser, sa langue était sortie, je la lui léchai à petits coups, mais sans la faufiler dans sa bouche, il était très excité.Je reculai, posant mes fesses nues sur le bord de la table, puis basculant sur le dos jambes en l’air, j’ouvris en grand les cuisses pour lui laisser apercevoir l’intérieur ma chatte largement béante, je dégageai mon clitoris et lui fis signe de venir sucer mon vagin. Il fixait mon entrejambe d’un regard lubrique, il n’avait pas prononcé un mot... moi non plus.
Il se mit à genoux, ses lèvres se plaquèrent sur le bouton rose et il l’aspira doucement, le mordilla, je tressaillis de plaisir. Puis sa langue se mit à parcourir ma fente ruisselante de foutre. Je me caressai les seins, tirai sur mes tétons en poussant des gémissements de plaisir et en disant au vieil homme que sa langue était merveilleuse.
Je me traitai de salope, me disant que j’aimai me faire baiser par un vieillard assez décrépit... que je devais être une nymphomane, car ce n’était pas la première fois que j’appréciai ce genre de situation avec des vieux.
N’y tenant plus, il se releva, je posai un pied sur son épaule et écartai au maximum mon autre jambe, mon sexe offert n’attendait plus que la pénétration. Il approcha sa bite, et avec le bout du gland, me caressa longuement le clitoris. Puis il enfonça juste la partie décalottée, il recommença la même opération trois ou quatre fois, et d’un seul coup, fit pénétrer son phallus jusqu’au bout dans mon sexe trempé, je poussai un cri de plaisir. Il me pénétra à grands coups de reins, je lui attrapai la tête et l’embrassai fougueusement.
— Tu aimes ma vieille queue ? Je vois qu’elle te fait de l’effet, me dit-il fièrement.— Ouiiii Paul, je la sens bien en moi, c’est bon, continue, continue.
Il me fit descendre de la table, poser mes épaules à plat sur le sol, me demanda de soulever mon bassin, de le soutenir en posant les mains sous mes reins et de basculer la pointe des pieds vers sa tête, cela dégageait ma chatte. Il se positionna, jambes écartées au-dessus de mon sexe largement ouvert et moite, fit pénétrer sa queue et les deux mains posées sur ses genoux, commença de puissants va-et-vient, je le trouvai fringuant pour son âge.
Passant une main sur mes fesses, il chercha mon orifice anal, y fit pénétrer deux doigts, et jugeant l’ouverture suffisante, le força avec sa bite dégoulinant de mon foutre. Je poussai un grognement de satisfaction en l’incitant à me pénétrer plus profondément. Le vieux m’enfila sa queue à tour de rôle une fois dans le vagin, une fois dans le cul. Je commençai à hoqueter de plaisir, mais cette position était fatigante pour moi, je lui demandai d’en changer.
Il se mit sur le dos, je m’empalai sur le sexe tendu, il voulait continuer à me sodomiser, il ne devait pas faire cela souvent, surtout avec une jolie blonde consentante. Je le laissai faire, il se dépêcha de remettre son sexe dans mon orifice anal. J’ouvris largement les jambes, lui pris les mains et lui entrai les doigts dans mon vagin.
Il se mit d’une main à me caresser profondément et de l’autre à me titiller le clitoris. Je poussai des gloussements de plaisir, l’excitant de la voix. Le plaisir monta rapidement dans mes entrailles. Un bon bout de temps après, le vieil homme sentant venir son éjaculation voulut déverser son sperme et éjaculer au fond de la chatte de la jolie jeune femme. Il me fit basculer sur le côté, me leva une jambe et enfila son sexe avec violence dans mon vagin humide. Je sentis les soubresauts de la bite déverser sa semence tiède, je contractai mes parois vaginales, sentant à mon tour monter la jouissance. Ce ne fut pas l’extase complète, je m’étonnai que le vieil homme éjacule aussi longtemps. Il se retira enfin et je me penchai sur lui pour finir d’aspirer et lécher le sperme répandu sur son sexe qui perdait de sa rigidité. Il n’avait toujours rien dit, si ce n’est haleter et grogner de plaisir. J’avais un petit peu honte d’avoir joui, avec le vieux Monsieur.
La première fois, il y avait mon jeune voisin noir... mais là !! Oui, je tombais vraiment dans la luxure et avec des vieillards de surcroît, mais chatte aimait ça... mon corps et mon cerveau aussi !! pourtant me dis-je au boulot, tu as des étalons...
— Alors petite Salope, le vieux Paul t’a fait jouir, tu as aimé ?
C’est alors que la sonnette retentit. J’en fus étonnée, je n’attendais personne, les coups de sonnette continuaient. Je ne bougeai pas, pas question de me faire surprendre avec le vieil homme. Puis on toqua fortement à la porte ! Mon voisin n’avait pas dû refermer le portillon donnant sur la rue.
— Tu attends quelqu’un ? — Non... personne !! Oh mon Dieu, si... J’ai oublié... Le marchand de légumes qui devait me livrer ma commande... Je vais la chercher... ! Ne bougez surtout pas...— Il est comment ce marchand de légumes ?— Vieux et laid... mais il a une bite énorme, bien plus grosse que la vôtre, lui dis-je en riant.
J’attrapai ma blouse pour l’enfiler et aller ouvrir, mais le vieux me la prit des mains et apparemment vexé de ma remarque, m’ordonna d’aller ouvrir comme j’étais. Je refusai, mais les coups à la porte redoublèrent.
— Dis donc Salope, tu vas aller ouvrir comme tu es, cela risque d’être assez érotique de voir comment tu vas te sortir de cette situation et peut-être que ton vieux marchand de légumes sera émoustillé de te voir ainsi ! Et n’oublie pas bien que tu te sépares de ton mari, j’ai toujours les films.
Je refusai, mais les coups s’intensifièrent. Prise de panique, j’obtempérai, en me disant que j’entrebâillerai seulement la porte pour lui dire de déposer la commande devant. Nue, en porte-jarretelles, du sperme coulant de ma chatte, les tétons encore durcis par la jouissance, j’allai entrouvrir légèrement la porte.
Aussitôt, deux mains velues se positionnèrent à mi-hauteur pour l’empêcher de se refermer, et la poussèrent fortement pour l’ouvrir plus largement. Je résistai en vain à la poussée. La tête qui passa par l’entrebâillement était hideuse, le visage porcin au nez aplati était barré par une moustache abondante, une barbe noire couvrait ses joues, son crâne chauve luisait. Les oreilles décollées augmentaient la bestialité.
Il vit que je ne portais en tout et pour tout que des bas et un porte-jarretelles. Il enfonça presque la porte, me faisant reculer. Il devait mesurer 1,80 m et avoisinait les 110 kilos. Il était beaucoup plus jeune que mon voisin Paul. Il me détailla de ses petits yeux chafouins qui brillèrent d’excitation de me voir ainsi dévêtue.
Je reculai, ébahie. Je butai littéralement sur Paul qui referma ses bras autour de moi, et m’entraîna doucement vers le living-room.
L’intrus se retourna, se saisit une caissette pleine de légumes, qu’il déposa à l’intérieur de la pièce, puis referma la porte. Il s’avança vers nous.
— Bonjour, je suis Ludo, le fils du fermier à qui vous avez commandé ces légumes, mon père m’a dit de venir vous les livrer, il n’a pas pu venir !! — Excusez-moi, j’avais complètement oublié...— Je me suis permis d’insister, car j’ai vu votre voiture devant chez vous et le portillon était ouvert... Je suis entré, j’ai regardé par la fenêtre... C’était vraiment torride. Je n’ai pas voulu vous déranger, j’ai attendu la fin du spectacle... Eh bien... mon paternel m’a dit que vous étiez chaude... mais à ce point !! Vous aimez les vieux ? A ce que je vois... c’est certain ! Mon père soixante-quinze ans passés, et il n’arrête pas de tarir d’éloges sur vous !! Il m’a dit que vous baisiez foutrement bien... Et il a rajouté que pour le paiement de la facture... !
Ses yeux brillèrent de plus en plus de convoitise. Je me doutai de ce qu’il désirait, d’autant que son père m’avait dit qu’il voulait me présenter son fils. Je reculai lentement, m’assis sur le canapé. Paul, nu appuyé contre le mur, ne bougeait pas, sa queue comme son moral était en berne.
— Bon, je vous ai déposé votre commande, si vous êtes d’accord, on va passer au paiement !!— Je... je ne sais... pas... si... — Ntttttt, Ntttttt mon père m’a dit que vous payez comptant !
Il me regarda d’un air narquois et commença à se déshabiller, je pus ainsi « admirer » ses pectoraux poilus qui ressemblaient à une petite poitrine féminine, les triples bourrelets de son ventre, la touffe de poils noirs, rêches et fournis, qui partant de son sexe s’étalaient sur les replis graisseux de son abdomen. Ses épaules aussi étaient recouvertes de pilosité. Mais c’est son pénis qui me fascina. Il était en érection, il devait mesurer vingt centimètres, son gland décalotté mauve foncé était assez pointu, puis il s’évasait en une large corolle d’au moins cinq centimètres de long jusqu’à la couronne bien marquée et très saillante, ce qui devait procurer des sensations exquises sur les parois vaginales, au moment de la pénétration ou de la rétractation lors du coït. Son prépuce étiré était d’un brun clair, le corps du membre presque noir était étonnement massif, il était largement aussi gros que le poignet d’un homme normal.
De grosses veines apparentes striaient sa surface, son scrotum ridé pendait assez bas et contenait deux testicules presque aussi gros que des œufs de poule.
Il suivit mon regard. Il saisit sa bite à la base d’une main pour bien la dégager des poils et l’exhiber fièrement. Comme pour m’en faire apprécier la grosseur et la longueur. Il la caressa doucement, me regarda, en sourit de ses chicots jaunâtres.
— Eh oui, elle est étonnante ma bite hein ! Attends qu’elle entre dans ta chatte, tu vas l’apprécier... Toujours d’après mon vieux père !!
Il n’était vraiment pas ragoutant et dégageait une odeur aigre de transpiration. Son allure générale, son faciès, son hirsutisme me firent penser à un primate. Je m’aperçus alors que sa verge était parsemée sous la peau d’une myriade de dômes gros comme des grains de riz, cela augmenta mon aversion. Il s’approcha, me mit la main sur ses énormes couilles velues. Mais, malgré ma répulsion, la bestialité qui émana de lui exacerba mes sens, une sensation glauque me chauffa le bas-ventre. Je cédai à ce désir malsain. Mes mains entourèrent les bourses poilues. Et puis mon voisin Paul était là pour regarder, cela m’excita encore plus.
— Caresse-les, soupèse les bien, elles sont lourdes et dures, hein ! Tu vas voir tout le sperme qu’elles contiennent, je vais tout te mettre dans la chatte et dans le cul !
J’eus un peu de réticence lorsqu’il me fit basculer sur le dos, les jambes ouvertes, pendantes du canapé, les cuisses bien à plat, tétanisée, je ne bougeai plus. Il se mit à quatre pattes entre mes membres inférieurs, posa les mains sur mes cuisses, à l’endroit où la peau commençait à être découverte par les bas noirs. Il les fit remonter sous les lanières tendues, doucement vers mon sexe ouvert où suintait encore du sperme de mon voisin. Il progressa avec une lenteur calculée, les pouces arrivèrent au bas de la fente du sexe encore humide. Ils écartèrent les lèvres en remontant toujours doucement.
— Bien, dis donc ma Salope, le vieux a éjaculé un paquet de sperme dans ta chatte !
Je croyais avoir le contrôle de mon corps, j’étais persuadée que je ne me laisserais pas exciter par ses attouchements, que je resterai sans réaction. Il est répugnant pensais-je, mais que ce n’est qu’une formalité pour payer le montant de plusieurs factures, si je le laissai faire.
Je crus que mon esprit serait assez aguerri par mes nombreuses expériences pour résister. Mais je sentis petit à petit que, sous l’immonde caresse, mon corps réagissait différemment, mon cœur commença à battre plus fort, ma respiration s’accélérera. Cela me sembla impossible et pourtant ma chatte s’humidifia sous la montée de mon désir.
Oui, j’allai céder. Moi que les hommes de la boîte où je travaillai appelaient « Barbie », allait se laisser faire par ce qui était de par sa laideur l’antonyme de « Kent ».Les pouces atteignirent mon clitoris, ils le dégagèrent. Les mains étaient toujours sous les lanières du porte-jarretelles, il commença à masser doucement avec les deux doigts le petit bouton rose.Je regardai les mains prodiguer leurs caresses et je fus dégoûtée par le spectacle, mais quelque chose de bestial se réveilla dans mon esprit, quelque chose que je ne pus plus contrôler, quelque chose qui fit circuler mon sang plus vite, noua mon ventre et rendit ma chatte encore plus humide. Je concentrai toute mon énergie à lutter contre cette sensation, mais je ne pus pas maîtriser cet instinct des plus primaires. Je sentis mon foutre tremper mon vagin. Je me laissai aller à apprécier les caresses prodiguées par cet homme d’une laideur repoussante. Là, je me traitai vraiment de nymphomane et de fille vénale.
Il émit un sifflement, je compris qu’il avait remarqué mon excitation. De deux doigts, il écarta les lèvres vaginales.
— Dis donc Trixie... c’est bien comme ça que tu t’appelles ! Elle coule... ta chatte...
Il enfila son majeur velu dans mon sexe palpitant. Mon foutre lubrifiait l’insertion. Mon excitation me submergeait et j’étais trempée maintenant. Il se releva un peu, sa poitrine poilue remonta doucement sur mon ventre, sa bouche se plaqua sur mon téton droit, il l’aspira puis le mordilla assez fortement, il fit subir le même traitement au téton gauche, je gémis sous la douleur. Cela dut l’exciter, car il recommença avec le droit. Je sentis le sang affluer aux extrémités de mes seins, mes mamelons durcirent et s’érigèrent en deux pointes brunes, et se tendirent malgré moi vers la bouche fétide réclamant d’être châtiés.
— Ohhhh putain, ta bouche sur mes tétons... ouiiiiii c’est bon, c’est bon mords-les !
Pendant ce temps, il essaya d’enfiler son majeur le plus profondément possible, il fit des va-et-vient rapides. Je gémis de plus en plus fortement sous les morsures et haletai sous le doigtier. Mon esprit haïssait ce que mon corps désirait. Mais mon bassin se déplaça pour répondre au doigt qui me fouillait. Je saisis la main pour l’enfoncer plus profondément en moi. Mon autre main griffa le tissu du canapé. Je râlai de plus en plus fort.
— Salope, tu commences à aimer, attends ce n’est qu’un début...
Il abandonna mes seins et sa bouche se plaqua sur la mienne, sa langue força mes dents, je cédai à son baiser, son haleine puait le vin. D’une main, il dirigea son phallus vers l’orifice béant de ma chatte palpitante. L’énorme gland peina légèrement pour pénétrer entre mes lèvres, puis il glissa doucement dans le conduit trempé, lorsque son gland fut entré, il stoppa la pénétration.
— Regarde, ton vieux copain, il bande le salaud et il se branle. Ça a l’air de l’exciter ce que je te fais, toi aussi salope, tu mouilles à mort !!
Et disant cela, il m’ enfonça sa bite d’un seul coup de reins. Je fus surprise par la raideur et la dureté du monstrueux tuyau qui me pénétra. Je fus aussi agréablement étonnée par la sensation que me procurèrent les petites vésicules qui parsemaient la peau du phallus qui m’écartait les parois vaginales. Je poussai maintenant des petits cris, les petites excroissances frottant l’intérieur des parois de mon vagin augmentèrent mon plaisir.
— Elle te plaît ma grosse bite, Salope ! Je crois que je vais souvent venir me faire payer... — Quelle honte, quelle honte pensai-je ! Mais pourtant quel plaisir trouble, d’être humiliée ainsi devant mon vieux voisin ! Il a raison, c’est vrai, je deviens malgré moi, une espèce d’objet de désir charnel... je n’y tiens plus... oh bon dieu... que c’est booooonnnn !
Il me prit la jambe gauche et la posa sur son épaule. Je ne résistai plus, mon orifice vaginal s’ouvrit encore, d’un grand coup de reins, il enfonça sa large queue jusqu’aux couilles. Il me tira un cri de plaisir. Ma vulve se distendit et se resserra, mes lèvres vaginales entraînées par des convulsions.
— Tu aimes ma grosse queue ? Ton copain t’a trop distendu la vulve tout à l’heure, ça glisse tout seul, c’est pas marrant !
Il continua quand même ses pénétrations, je sentis ses testicules se contracter, un puissant jet de sperme inonda mon vagin. A la seconde contraction, il sortit sa bite de ma chatte relevant ma jambe encore plus haut, il positionna rapidement son sexe sur mon orifice anal, une assez grande quantité de sperme chaud inonda mon anus.
— C’est en prévision de ce qui va suivre, dit-il... Il faut que les clientes en aient pour leur fric... Tu as les légumes... et moi je me paye... en te donnant du plaisir... mais je ne t’ai pas entendu jouir...
Bien qu’il eut éjaculé, son phallus ruisselant de sperme et de mon foutre était toujours aussi gros et tendu. Je me sentis frustrée, je n’avais effectivement pas joui, mon corps me trahissait, réclamant une jouissance à tout prix !
Il me retourna, me fit mettre à genoux sur le sol devant le divan, la poitrine appuyée sur les coussins. Il s’assit à côté. Puis me caressant les fesses, il les écarta doucement pour dégager l’anus trempé par son sperme. Il commença avec son majeur à ramener le sperme dans le trou en l’effleurant doucement, je le contractai et le relâchai en attendant une pénétration du doigt qui tardait à venir.
Puis il écarta d’une main mon sphincter, du sperme mêlé à de la salive coula à l’intérieur. Le gros majeur velu et boudiné glissa à l’intérieur, bientôt rejoint par l’index. Il les tournait doucement pour bien ouvrir l’orifice, son sperme facilitait la pénétration. Son annulaire avait été adjoint aux deux autres doigts et il forçait pour les enfoncer plus profondément. Cela m’excitait follement, je mordis le tissu du canapé pour ne pas crier d’extase. Mais j’attendis avec un peu d’appréhension la pénétration de son énorme queue.
Il ressortit ses doigts, il tenait toujours d’une main mon anus ouvert. Le gland violacé vint buter contre mon cul maintenant bien lubrifié et ouvert. Tout en me demandant si les petites boursouflures allaient me procurer autant de plaisir dans mon anus que dans mon vagin. J’essayai de me décontracter au maximum pour faciliter la monstrueuse pénétration. Il poussa doucement, mais avec force, le gland entra, une légère douleur commença à irradier mon anus. J’essayai de le repousser avec ma main. Il me saisit le bras et accentua sa poussée, je criai, mais le gland était entré entièrement. Il le ressortit, cracha sur la tête de sa bite et recommença l’opération, le gros rouleau glissa avec plus de facilité dans l’anus distendu. La douleur n’avait été que passagère. Maintenant, il entrait et sortait son sexe et à chaque fois, il gagnait un ou deux centimètres en profondeur.
J’ adorai maintenant la sensation que me procuraient les petits boutons de chair qui à chaque passage frottaient délicieusement contre ma paroi anale, je n’avais jamais ressenti une telle sensation, même lors des sodomies précédentes.
— Tu vois, c’est nettement mieux ! C’est plus étroit, j’apprécie mieux. Toi aussi hein, Trixie ! Dis-moi-le !!— Oui, continue, plus profond, plus vite... aaahhhhh, aaaaaaaaaaahhhh..... j’aime ta grosse queue...— Attends doucement, maintenant je suis moins pressé, tout à l’heure, il y avait une éternité que je ne n’avais pas éjaculé dans une aussi jolie chatte !! Putain ce que tu peux être bandante avec tes bas et ton porte-jarretelles !
En disant cela, il me saisit à la taille, passa ses mains sous le porte-jarretelles, suivit les lanières.Il me lécha dans le dos, m’attrapant par les cheveux, me tournant la tête, il m’embrassa violemment, m’aspirant la langue. Son abondante toison pectorale me caressa le dos, cela ne me déplut pas. Je regardai Paul qui cette fois assistait de très près à cette baise sauvage. Puis il accéléra la cadence de sa pénétration. Ses couilles me battirent les cuisses, les poils de la toison pubienne me chatouillèrent les fesses. Je ne contrôlai plus mon bassin ni le roulement de mes hanches que l’ivresse m’imposait. L’énorme queue bosselée fit monter mon plaisir à toute allure. Je passai une main entre mes jambes et me caressai le clitoris. Ce fut un plaisir dévorant, prélude à mon orgasme qui arriva et je chavirai, un jet de foutre s’échappa de mon vagin.
— Éjacule !!!! Éjacule... éjacule dans ma chatte... Je veux ton sperme au fond de moi...
J’avais oublié qu’il ressemblait à un orang-outan tellement le plaisir qu’il me donnait était énorme.Je criai, les muscles de mon sphincter se contractèrent et enserrèrent l’énorme queue qui l’emplissait. Il me saisit les hanches dans un dernier spasme, il enfonça sa queue entièrement et se mit à éjaculer par de longs jets, qui le firent tressaillir à chaque fois. Je crus qu’il ne s’arrêterait pas de jouir. Puis haletant, il sortit son sexe et s’assit sur le divan pour reprendre son souffle, je me penchai sur la bite qui débandait et suçai le liquide séminal visqueux qui suintait encore du gland. Il eut encore deux sursauts lorsque je l’aspirai plusieurs fois.On me tourna la tête, Paul était devant moi, la bite tendue, il me la présenta en toute hâte, j’eus juste le temps de la mettre dans ma bouche, et il éjacula aussitôt, je déglutis et avalai le sperme chaud. — Eh bien, dit le livreur de légumes en s’habillant, le paiement était super... Je reviendrai souvent te livrer... allez m’sieur dame au revoir, j’ai du boulot qui m’attend !
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