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Nymphomane, moi ? Tome II

Chapitre 5

Autour de la piscine

Hétéro
Le mois de septembre était bien entamé, mais le soleil dardait encore de chauds rayons, j’avais invité Maxime chez moi pour passer une journée à la piscine, dans la journée, nous avions fait l’amour plusieurs fois. Le soir après le barbecue, enlacés tendrement près de l’eau, Maxime me demanda :
— Trixie, tu ne me parles pas souvent de ta jeunesse... Je suis curieux... pourrais-tu me raconter une des premières fois où tu as eu une expérience sexuelle ?— Mais bien sûr, mon petit chéri !
Je commençai mon récit. °°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°J’avais dix-neuf ans à ce moment-là. Mes parents étaient partis pour le week-end. Avec mon petit ami de l’époque, nous étions dans le jardin à côté de la piscine. Le soleil coulait une chape de plomb. La décence me faisait porter, un semblant de bikini... mes seins étaient tout juste soutenus par le haut de mon maillot de bain, dont les bandes de tissus laissaient déborder mes aréoles, et qui au moindre mouvement offraient aux regards mes pointes tendues. Un string étroit, attaché de chaque côté en dessous de mes hanches, laissait plus que deviner ma chatte, bien épilée. J’avais rétréci, sur mon mont de Vénus, au maximum en largeur ce bout de tissu pour bien bronzer.
Avec Luc, mon ami, nous venions juste de nous disputer, au sujet d’une fille qu’il avait l’air de fréquenter, lorsque mon voisin et sa femme vinrent nous rejoindre. On se connaissait depuis toujours, nous étions assez intimes. Lui, Robert, était un homme de quarante-cinq ans, bien musclé, les cheveux roux, une moustache. Il était vraiment beau et j’avais toujours été amoureuse de lui... Ils étaient en maillot de bain. Je me levai pour les accueillir, et bien sûr un téton facétieux et tendu, jaillit hors de ce qui me servait de bonnet... Je le remis maladroitement en place, mais ce fut l’autre qui surgit à son tour.
Je vis les yeux de Robert se plisser, un sourire se dessiner sur ses lèvres, et il jeta un regard appuyé à sa femme Anne, qui elle aussi avait un ensemble deux pièces extrêmement mini.
— Il fait vraiment chaud... Tes parents ne sont pas là ? Si cela ne vous dérange pas, pourrions-nous profiter de la piscine ?— Ils ne rentreront que tard lundi soir !
Sans attendre la permission, ils s’assirent sur des fauteuils. Une idée germa dans ma tête, pour punir Luc, j’allais attiser sa jalousie, il semblait hypnotisé par la splendide créature blonde qui venait de s’asseoir à côté de lui. Je verrais bien jusqu’où je pourrais aller... dans le petit jeu érotique que j’allais entreprendre. Je m’approchai de Robert et comme lorsque j’étais enfant, je m’assis sur ses genoux, lui passai un bras autour du cou et l’embrassai sur les deux joues. La pointe de mon sein droit s’échappa à nouveau, je ne la remis pas place... Le regard qu’il y posa me fit frissonner et un afflux de sang dans mes aréoles fit gonfler mes mamelons.
— Bonjour... dis-je en minaudant... oui, il fait vraiment chaud... l’eau est délicieuse.— Bien, vous êtes en vacances ?— Oui, mais nous potassons nos révisions.— Trixie, vas-tu avoir besoin d’aide pour tes études ? Parce que je peux t’ aider pour réviser ta trigonométrie qui est...— Je ne veux pas parler d’école maintenant, Robert rentrons dans la piscine...— Dans un petit moment, ma puce, nous avons juste mangé ! Profitons du soleil...

Son regard croisa celui de sa femme, qui avait l’air absorbé à écouter mon ami, lui raconter je ne sais quoi... Il me sembla qu’ils échangèrent un clin d’œil. Je remarquai que son soutien-gorge n’avait rien à envier au mien, que ses aréoles débordaient largement et que ses mamelons tendus faisaient deux petits pics sous le tissu.
Je m’enhardis, et m’assis à califourchon sur les cuisses de Robert, jambes largement écartées. Je ne quittai pas des yeux Anne, elle s’en était rendu compte, mais n’avait pas eu de réaction. Elle avait dû s’apercevoir aussi que la main droite de son mari avait glissé lentement sur ma cuisse et que son index était passé sous mon string pour l’écarter doucement et dénuder complètement ma chatte. Je sentis sous mes fesses que sa bite commençait à durcir. Son majeur caressa lentement ma fente sur toute sa longueur, titilla mon clitoris, cela me fit trembler et mouiller, du liquide séminal coula sur son boxer. Puis son doigt s’enfonça doucement dans ma chatte plus qu’humide.
— Petite Salope, me murmura-t-il à l’oreille, tu mouilles vachement... mon maillot est trempé !— Ouuuiiiii... ton doigt m’excite... mets en deux...
Il m’en mordilla doucement le lobe. Je n’étais pas tout à fait rassurée, quant à la réaction de sa femme, mais lorsque je vis que les jambes écartées, le string descendu laissant entrevoir sa toison pubienne, elle se pinçait les mamelons, je laissai la main gauche de Robert remonter le long de mon corps pour enserrer mon sein gauche et en tordre doucement le téton. Je dégageai mes deux globes fermes des bandes du soutien-gorge et me mettant à califourchon sur ses cuisses, en lui faisant face, offrit mes petites bosses brunes et fermes à sa bouche gourmande. Il passa ses mains sous mes cuisses et il me frotta sur la chatte, d’avant en arrière sur son phallus qui maintenant était énorme et dur comme du fer, son maillot de bain était de plus en plus poisseux.
Un nouveau coup d’œil au couple qui nous côtoyait, Anne était maintenant elle aussi à califourchon sur mon ami, le buste penché en avant, il lui avait entré trois doigts dans le vagin et elle avait l’air d’apprécier. Et ses gloussements attirèrent l’attention de Robert... Je crus qu’il allait réagir...
— Robert, peux-tu enfoncer ta bite dans ma chatte ?— Maintenant Trixie ? Tu es sûre ?— Oui, Robert, j’en ai besoin maintenant !— Alors, tourne-toi à nouveau...
Tandis que je me relevai, il baissa son short, extirpa un monstrueux rouleau de chair, presque aussi large que mon poignet, il positionna son gland mauve turgescent à l’entrée de ma chatte.
— Elle est grosse et longue hein !! Tu la veux quand même ?— Oh putain oui ! Répondis-je en regardant son phallus démesuré, je n’avais jamais imaginé qu’il puisse posséder un tel appendice sexuel. Celui de Luc n’était pas aussi gros !
Il écarta doucement, mais largement mes cuisses et son gland se faufila entre mes parois vaginales qui ruisselaient de foutre. Il avait entré une dizaine de centimètres.
— Ooooohhhh putain Robert que c’est boooonnnnn...— Tu veux que je te la mette toute ?
Et sans attendre ma réponse d’un coup de reins violent, il fit entrer toute la longueur de sa queue. Cela me tira un cri de plaisir, j’étais jeune et je n’avais jamais été pénétrée par une bite aussi grosse et aussi longue.
— La petite Salope, tu as réussi à lui enfiler ton énorme queue du premier coup...
Lui dit Anne, qui nous surveillait du coin de l’œil. A chaque coup de boutoir, je hurlais mon plaisir. Mon copain estomaqué par la vision de cet énorme phallus, pénétrant sans coup férir dans ma chatte, s’était arrêté dans ses ébats pour profiter du spectacle.
— Hey, petit... tu vas me mettre ta bite, s’énerva Anne...
Je profitai de cet intermède pour à nouveau me mettre en face de Robert et m’empaler aussitôt sur la verge monstrueuse. Je frottai mes mamelons durcis, sur la toison rousse qui couvrait la poitrine de mon amant en poussant de petits cris de plaisir.
— Putain Robert, tu es le premier qui me donne du plaisir comme ça... Je sens bien ta bite remplir ma chatte et c’est vachement bon... Elle doit mesurer plus de vingt-cinq centimètres... — Peut-être un peu plus quand je bande comme maintenant !
Je me démenai encore plus rapidement sur ses cuisses, je sentis mon foutre couler le long de cette hampe merveilleuse qui me donnait un plaisir immense.
— Ouiiiiii, ouuuiiiii fais-moi jouir Robert ! Fais-moi jouir... Éjacule en moi, fais gicler ton sperme dans ma chatte... ouiiii c’est boooonnnnn !!!
Il enserra mes fesses et avec un cri, déversa un torrent de sperme, les contractions de son énorme membre déclenchèrent mon premier véritable orgasme, une décharge électrique fit cambrer mon corps en arc de cercle, puis je fus parcourue par une série de petits tremblements, qui me tirèrent des gémissements d’extase. Heureusement qu’il me tenait dans le dos sinon je crois que je serai tombée à la renverse sur le sol. Puis je me levai le cerveau embué de plaisir et une énorme quantité de sperme mêlée à mon foutre coula sur sa queue encore semi-rigide.
Il y avait déjà un petit moment que mon ami avait éjaculé dans la femme de Robert, ils avaient pu ainsi apprécier notre coït effréné.J’étais toujours assise sur les cuisses de Robert en train d’ajuster les mini pièces de mon bikini, quand Robert appela sa femme et l’attira vers lui. Elle s’était, elle aussi réajustée. Il la fit pencher, lui quémandant un baiser, il fit jaillir ses seins hors de son soutien-gorge et écartant son string, lui enfourna son index et son majeur dans la chatte. Il les ressortit luisant de sperme de foutre, il les suça avec délice. Puis s’adressant à sa femme.
— Je mangerai bien encore un peu de Trixie... Tu permets ? Je n’attendais que ça depuis sa majorité...— Mais bien sûr mon chéri...
Et il caressa son énorme bite poisseuse qui pendait flasque entre ses cuisses. Puis il m’attrapa et me plaqua le dos contre sa poitrine velue, il écarta à nouveau mes cuisses, dénuda mes seins, qu’il malaxa doucement, titilla mes mamelons.
— Tu as aimé ma bite monstrueuse ? Tu m’as dit que c’était la première fois que tu te faisais enfiler par un tel engin, j’ai vu que tu as aimé ça petite Salope, tu as bien joui... Mais il me semble que ta chatte en redemande, je la sens à nouveau couler sur ma queue...
Sa main droite glissa sur ma cuisse et son index se faufila dans mon conduit vaginal, qui mouillait à nouveau... Je me cambrai en arrière pour faciliter l’intrusion d’autres doigts...Mon copain, un smartphone à la main arriva à ce moment-là.
— Oh putain... ils vont remettre ça !!
Robert enfilait et ressortait ses doigts de ma chatte, me léchait le cou, et me malaxait fermement le sein gauche... tirant et griffant mes mamelons, ce qui me tirait des cris d’extase.
— Hé Robert, vous allez de nouveau la baiser ? Putain oui, la Salope elle mouille à nouveau vachement et ses mamelons... putain ce qu’ils sont longs...
J’avais attrapé la bite tendue, et y frottais ma fente, j’avais remarqué que Luc avait allumé son téléphone et qu’il devait être en train de nous filmer. Je m’en moquais, je voulais à tout prix me faire baiser à nouveau. Je mis le gland de Robert à l’entrée de mon orifice vaginal et m’assis lentement le menhir colossal glissa sans à coup. Mon copain filmait d’une main et de l’autre se masturbait.
— Putain que c’est bon, et que sa chatte est étroite... dit Robert... Tu vois Luc...— Oh Merde, oui je vois Robert, c’est super... Enfile-lui toute ta grosse queue à cette petite Salope, elle aime ça...
Mon copain écarta au maximum le tissu du string de ma chatte, pour pouvoir mieux filmer. La bite de Robert entrait et sortait entièrement à toute vitesse de mon vagin. Ses poils pubiens étaient collés par mon foutre. Il me saisit aux hanches pour bien me maintenir enfoncée sur son énorme mandrin et se vida à nouveau en moi, avec des sons gutturaux. Au même instant, Luc avait approché sa queue de mon visage, il allait lui aussi éjaculer, j’ouvris la bouche et il déversa son liquide tiède dans ma cavité buccale, je déglutis et avalais le liquide poisseux.Robert nous dit qu’il allait nager un peu dans la piscine, sa femme était partie depuis longtemps nous laissant à nos ébats. Lorsqu’il revint, mon ami me vantait les mérites du club de garçons dont il faisait partie. Il avait dénoué les ficelles et avait quitté mon string. Il s’était assis à la place de Robert et droite devant lui m’obligeait à le masturber, deux de ses doigts étaient enfoncés dans ma chatte.
— J’ai la vidéo... Il va falloir que tu viennes, nous sommes toujours à la recherche de petites salopes à la chatte serrée...
Il retira ses doigts poisseux du sperme de Robert et de mon liquide séminal, il les suça longuement...
— Qu’est-ce que tu fabriques avec Trixie ? demanda Robert en se séchant.— Tout d’abord, je tiens à te rappeler que j’ai une vidéo où tu baises Trixie... Je peux la faire passer à ses parents... et cela pourrait chauffer pour toi !! Bien je vais maintenant te dire ce qui va se passer ! Tu vas la fermer, et nous allons la baiser tous les deux ensemble. Allez toi la petite Salope, sors-lui sa bite. Je vais te sodomiser !!
Robert, ne voulant pas créer d’ennuis avec mes parents, reprit sa place sur le fauteuil. Je l’enjambai à nouveau, Luc attendit que sa queue soit bien au fond de ma chatte avant de forcer mon ampoule rectale.
— Oh putain Robert, c’est vraiment une sensation délicieuse... dis-je.
Agrippée à ses épaules, la tête enfouie dans son cou, je frottais mes seins sur ses poils rêches, Luc me tenait fermement aux hanches et me pénétrait à grands coups de reins.
— J’adore avoir deux grosses bites en moi... ouuuiiiiii !!!! Je suis si contente que tu sois venu Robert ! J’aime ta grosse bite... — Tu es vraiment heureuse petite Salope ?— Oh putain ouiiiiiii.
Je l’embrassai avec passion, nos langues se nouèrent.
— Bon, alors change de place et laisse-moi te sodomiser avec ma grosse bite...
Je me tournai, lui présentai mes fesses et son pieu monstrueux s’enfonça dans mes entrailles, le passage avait été préparé par la bite de Luc, qui avait investi ma chatte béante et palpitante, et les deux hommes ne me laissèrent pas de répit.
— Notre petite pute, aime bien se faire baiser dit Luc. C’est une vraie Salope ! Une putain de petite pute...
Il me fouilla la bouche avec sa langue, il me mordit les lèvres, nos salives coulèrent.
— Putain, je vais éjaculer... Tiens Salope, tiens mon sperme...— Moi aussi, dit Robert, en m’enserrant avec force les seins...
Et pour la troisième fois, il éjacula en moi, cette fois ce fut mon anus qui récupéra sa semence poisseuse. J’explosai moi aussi dans un nirvana de volupté. Ils se retirèrent, un flot de sperme s’écoula de mes deux orifices.
— Oh merde, les garçons, vous avez fait fort... — Putain oui, c’était super... Cela faisait quelque temps que tu m’aguichais petite salope... Puisqu’avec ton copain, vous êtes seuls, que dirais-tu, si je te proposais que je vienne faire un barbecue ici avec un pote et sa copine, puisque tes parents ne sont pas là ! Je m’occupe de tout. Tu ne devrais pas être déçue... au niveau de la saucisse !!— Bon, OK... dis-je en souriant.
Le lendemain, Robert et sa femme étaient déjà là, pour préparer le repas lorsque le couple de ses amis arriva. Marc était un peu plus vieux que Robert, son crâne était déjà dégarni sur le dessus, il avait lui aussi une grosse moustache. Sa femme brune, très jolie, beaucoup plus jeune, avait un paréo transparent noué sur les hanches. Son soutien-gorge qui n’avait rien à envier au mien ne cachait rien de son opulente poitrine. L’un de ses tétons jaillit lorsqu’elle fit la bise à Robert, elle ne prit pas la peine de le recouvrir. Sous paréo, son mini-cache-sexe laissait apercevoir un bout de sa toison pubienne bien épilée. Je ressentis un pincement de jalousie, Robert la regardait avec envie, me semblait-il.
Pour ma part, j’avais enfilé un tee-shirt assez transparent, qui épousait ma poitrine et sur mon string une minuscule culotte, transparente qui moulait mes fesses.Il était midi passé, le soleil dardait ses rayons. Marc plongea dans la piscine, lorsqu’il en ressortit, je compris pourquoi Robert m’avait que je n’allais pas être déçu au niveau de la saucisse. L’eau plaquait le tissu de son maillot, et laissait deviner une énorme colonne de chair qui descendait plus bas que la moitié de sa cuisse.
— Qu’est-ce que ce doit être quand elle est en érection pensais-je... A cette vision, une bouffée de chaleur me traversa le sexe.
Lorsqu’il vint s’asseoir à côté de moi, j’étais en train de sortir un tube de crème solaire de mon sac de plage.
— Veux-tu que je passe la crème Trixie ?— Oui bien sûr, Marc... Attends, je quitte mon tee-shirt.
Je lui tendis le tube de pommade et attrapais de chaque côté le bas de mon léger débardeur et le fis passer au-dessus de ma tête. Je sentis glisser mon bikini sur mes seins, les caches tétons et la ficelle, se retrouvèrent au-dessus de ma poitrine.Il me sembla que je devenais écarlate, lorsque je sentis les regards de trois hommes lorgnant sans vergogne mes seins. Cela valait la peine d’attendre que je les découvre en quittant mon calicot... Mes seins étaient vraiment magnifiques. Ni trop gros, ni trop petits, ils semblaient défier la gravité, dardant vers le haut mes aréoles, coiffées d’un mamelon en érection qui implorait simplement d’être aspiré.
— Tu vois, dit Robert, je ne t’avais pas menti... — Putain, oui... Ils sont vraiment fabuleux ! Il faut absolument que je les caresse... que je les malaxe... enfin si elle veut bien !!— Ooooohhh fis-je en minaudant...
Je lui tournai le dos pour essayer de remettre en place mon mini-soutien-gorge, mais dans son excitation, la main de Marc broya le tube de crème et la pommade gicla dans mon dos.
— Ouuuuupppps pardon... — On dirait que tu as renversé le tube de crème...— Ben oui, mais reste comme ça, je vais te l’étaler...
Je lui obéis, laissai mon soutien-gorge sur mes seins et lui présentai mon dos. Ses mains commencèrent à étaler la crème sur mes reins, puis saisissant ma petite culotte, il la fit descendre doucement sur mes hanches. Je sentis que mon string lui aussi glissait sur le haut de mes cuisses, ses mains étalèrent l’onguent sur mes fesses. Sans interrompre ses caresses, d’un mouvement gracieux je m’extirpai du léger vêtement. Avec douceur, il fit glisser les ficelles de mon string vers le bas de me hanches, puis sur mes cuisses. Il dut s’apercevoir que ses attouchements ne me laissaient pas indifférente. Je mouillai énormément.
— Putain, petite Salope, tu es chaude...— Huummmm, Haaaaaa !!!!! Toi aussi tu bandes comme un âne !! Ta queue est plus grosse que celle de Robert !!
De ses deux pouces, il écarta mes lèvres, ouvrant mon orifice vaginal. L’index et le majeur de sa main gauche effleurèrent le trou palpitant, puis les premières phalanges s’enfoncèrent dans mon vagin trempé.
— Oooooohhhhh Marc, tu es un petit coquin... Je ne sais pas si mon copain Luc aimerait voir que tu me fasses un doigté !! Hey Lu... !!— Non mais, regarde comme il est occupé... !
Luc en effet devant le barbecue était en train de se faire masturber par la femme de Robert. Marc m’attira vers lui, adjoignit un troisième doigt, fit quelques allers et retours puis suça avec délice ses doigts poisseux de mon foutre. Il me fit asseoir sur ses genoux, me mit une jambe par-dessus l’accoudoir du fauteuil, délaissant ma vulve, ses doigts envahirent mon anus, tandis que sa bouche aspirait avec avidité mes mamelons durcis. Je désirai de plus en plus qu’il me baise, ma chatte déjà comblée hier par l’énorme mandrin de Robert, désirait connaître le calibre supérieur. Je roucoulai doucement...
— Non, non Marc... Que va dire ta femme ? ?
C’était pour l’exciter et me faire désirer, car je savais qu’elle était bien occupée à satisfaire les désirs de Robert. Je me levai d’un bond et allai me cacher, accroupie derrière la haie... Il ne mit pas longtemps à me retrouver !
— Hey Trixie, à quoi joues-tu ?
En le regardant avec des yeux de velours et en passant ma langue sur mes lèvres, je répondis.
— Oui, est que je peux faire quelque chose pour toi ?— C’est sûr, petite Salope, me laisser te baiser !!
Il me releva et enfonça à nouveau ses doigts dans ma chatte...
— Putain... mais tu mouilles encore plus que tout à l’heure.— Marc, je ne sais pas si...— Putain Trixie, laisse-moi enfoncer ma grosse bite dans la chatte... — Je ne sais pas, on pourrait nous voir...— Tu te fous de moi !! Robert m’a dit qu’il t’avait baisée avec ton pote hier tous les deux ensemble !!!— OK, Marc... Tu peux m’enfiler... Mais juste un petit peu, car ta bite est vraiment grosse !!
Sa bouche s’écrasa sur la mienne, sa langue força mes lèvres, nos salives se mélangèrent, sa queue tendue sous son maillot de bain se frottait à ma chatte. N’y tenant plus, je plongeai une main dans le short et sortis l’objet de mon désir.
— Oh, Ooooooh... Marc... je n’ai jamais vu un tel monstre !! — Elle est grosse, hein... Elle va te plaire...
Avec avidité, je lui baissai son maillot sur les cuisses et lui enroulant mes jambes autour de ses hanches, je lui mordis sauvagement les lèvres. Il me coucha sur l’herbe, arracha mon soutien-gorge et mon string. Il frotta son énorme gland le long de ma fente, doucement sans me pénétrer, titilla mon clitoris du bout de sa bite, comme pour me punir de l’avoir fait attendre.
— Je vois que ta chatte est prête à se faire enfiler par ma grosse queue...— Oui Marc vas-y baise moi, mon ventre me fait mal tellement il est impatient de recevoir ton énorme bite...— Ça va chérie ? Tu me sens bien ? Je n’ai rentré que la moitié...— Oh oui Marc... c’est vachement bon... Ta queue est bien plus grosse que celle de Robert !!— Putain, je me régale... tu enserres ma grosse bite à la perfection... Je sens ta chatte palpiter... c’est super... Putain Trixie... c’est bon, c’est bon.— Oui, oui, Marc enfonce, enfonce... plus vite... plus loin... plus profond... putain qu’elle est grosse... ouuuiiiiii.— Tu aimes ma grosse queue ? Dis-le... dis-le...— Ouiiiii, je l’adore.— Tu es une petite salope...— Oui... et j’aime ça !!
Il me bascula sur le côté, puis il me fit mettre à genoux sans cesser pour autant de me pourfendre avec virulence.
— Regarde, petite pute, tu aimes mes doigts dans ton cul...— Oh putain ouiiiii.— Et maintenant aimerais-tu que je te sodomise... Trixie ?— Mmmmmmmm, oui, oui Marc enfile-moi ta grosse queue dans le cul...
Je relevai les fesses pour lui permettre d’accéder plus facilement à mon orifice anal. Son énorme bite poisseuse n’eut aucun mal à retourner mon ampoule rectale et la totalité de la hampe monstrueuse glissa dans mon rectum. Ses pénétrations rapides et saccadées me tirèrent des râles et des cris de plaisir.
— Putain, que c’est bon... je n’avais jamais encore baisé un cul aussi serré... — Oh oui ; Oooohhh ouiii, c’est la première fois que je me fais défoncer l’ampoule rectale par un engin aussi gros...
Il m’attrapa les épaules, me tira avec force vers lui.
— Tiens, tiens prends la toute Salope... puisque tu aimes... redis-le, redis-le...— Ouiiiii, ouiiiii j’aime ta bite, j’aime que tu me défonces...
Ses couilles vinrent battre mes fesses, j’étais au bord du nirvana... j’explosai dans un violent orgasme, mes parois anales se contractèrent violemment et enserrèrent le phallus monstrueux, je criai mon bonheur.
— Salope je jouis, j’éjacule, tiens, tiens mon sperme dans ton cul... Tiens prends le reste dans ta bouche Trixie, suce-moi bien le gland... Ouiiiii c’est ça petite Salope... !!
Tandis que je léchai et aspirai son gland, j’aperçus les deux autres couples qui en souriant, sûrement attirés par mes cris, ne rataient pas une miette de nos ébats... J’étais toujours à genoux, je sentis le sperme de Marc couler de mon anus, jusqu’à ma chatte. Robert, nu comme un ver s’approcha se mit à genoux derrière moi. Curieuse, je tournai la tête vers lui. Il tenait sa grosse et large queue d’une main, elle était semi-rigide.
— Je ne bande pas. Tellement... mais ta chatte est tellement appétissante, et tellement mouillée que je ne peux pas résister au plaisir d’y enfiler ma bite...
Je sentis doucement glisser en moi, le phallus de Robert... Nos ébats se poursuivirent tard le soir.
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— Alors mon petit Maxime mon histoire, ça t’a plu ? — Oui, je vois que déjà, tu aimais bien les mecs plus âgés que toi... Mais regarde comme ton histoire m’a émoustillée, viens sur moi t’enfiler sur ma queue.
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