Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 46 J'aime
  • 0 Commentaire

Nymphomane, moi ? Tome II

Chapitre 6

Le chef de Marion...

Hétéro
Nous étions en novembre, l’automne nous avait obligés, ce qui était loin de me déplaire à remettre bas, porte-jarretelles, pull un peu plus chaud. A la pause avec Marion, nous nous étions retrouvées au local de l’appareil à boisson, nous buvions un thé chaud.
— Tu sais, lui dis-je, il m’est apparu que pour exciter un homme, le mieux était de miser sur des dessous très coquins, très érotiques. Les ensembles composés de porte-jarretelles ou de guêpières par exemple devraient conquérir instantanément ton mec, les soutiens-gorge demi-bonnets font aussi partie de la panoplie. Mais il n’y a pas que cela, on peut choisir encore plus érotiques avec des froufrous, des lacets, mais aussi des ouvertures, laissant sortir les tétons. Les hommes préfèrent des matières soyeuses, plus suggestives. La dentelle par exemple, que j’ai déjà l’habitude de porter au quotidien. — Oui, et le dernier paramètre, c’est la couleur de la lingerie qu’il faut choisir. Les basiques sont bien connus et fonctionnent toujours : la lingerie rouge qui évoque la passion et la sensualité, mais que je n’aime pas trop, je préfère les dessous noirs, qui je pense sont peut-être encore plus appréciés. Ils nous amincissent, mais qui, surtout renvoient l’image de la femme fatale. Et j’adore le contraste du noir sur une peau blanche... Me dit-elle avec un clin d’œil coquin... Et je n’irai plus à un rancard se mettre des dessous sexy.— En parlant de rancards, en ce moment, je trouve qu’ici pour moi, c’est le désert sexuel. Maxime est parti en formation pour un bon mois, Gérald est en arrêt maladie, fracture du tibia en jouant au basket ! Je suis maintenant seule à la maison ! Je vais tomber en manque... dis-je en riant... Comment pourrai-je pallier cette carence ?— Ben moi, heureusement il y a Mikael... car mon chef...— Ah oui, ton chef... Boulier. Celui qui t’a baisée...
Une idée me passa par la tête... Mais non... Il était vieux, moche... Marion m’avait dit qu’il était nul au point de vue baise, mais je me souvenais qu’il m’avait regardée d’un drôle d’air lorsqu’il était entré dans le bureau de Maxime, le jour où j’avais le godemiché enfoncé dans ma vulve. Il avait longuement maté mes seins tendus par l’excitation, mon léger pull révélait les moindres détails de mes tétons et de mes aréoles... A son regard, j’avais bien vu qu’il devait rêver de me baiser. Alors, pourquoi pas ? Comme dit, le proverbe faute de grives, on mange des merles... Et pour me donner bonne conscience, toujours d’après les confidences de Marion à son sujet, il méritait qu’on le réduise à son tour à un simple rôle d’objet de désir et de sexe, et ça j’en étais capable ! Il ne devrait pas y avoir trop de problèmes, car comme disait Marion, c’était un chaud lapin...
— Tu m’as dit qu’il adorait les dessous sexy, tu lui as montré que tu en portais ?— Heu... Oui et non... Il s’en est aperçu tout seul !— Dis, tu as toujours ce pull, avec lequel tu avais montré tes tétons aux magasiniers ? Tu peux me le prêter ?— Oui... Mais tu as décidé de t’attaquer à ce vieux grigou... Me dit-elle en pouffant de rire ! — Oui... Je crois que je deviens une vraie nymphomane... En plus, ça m’excite... Il reste assez tard le soir non ?
Le lendemain matin, elle m’avait apporté le pull bleu ciel avec des mailles assez larges. Je l’essayais.
— Il moule parfaitement tes seins, me dit-elle. Nous faisons la même taille, même si ma poitrine est un peu plus grosse que la tienne, l’élasticité du tissu plaque bien le vêtement sur tes seins, il les moule à la perfection. Regarde, tu fais passer sans difficulté tes mamelons à travers les mailles.
Les bonnets de mon soutien-gorge seins nus rehaussaient parfaitement le galbe de mes seins. Je me regardai dans le miroir du vestiaire, la couleur des tétons tranchait sur le bleu pâle du pull, on ne pouvait pas les rater ! Je les étirai le plus possible, ils dépassèrent d’au moins 2,5 centimètres. Parfait...Après 17 heures, la majorité du personnel était sortie. Il me fallait traverser la cour pour me rendre dans le bureau, j’avais mis au point une histoire de facture impayée... Au cas où...J’enfilai une veste que je ne boutonnai pas, mis mes tétons en place, sortant par les mailles, les triturai pour bien les raffermir... et sortis dans le froid, je frissonnai la veste et le pull n’étaient pas bien épais. Ce qui fit raffermir encore plus le bout de mes seins.Arrivée devant le bureau, avant de frapper, je pendis ma veste à une patère. Je jetai un coup d’œil à mes bouts turgescents parfait... Le froid les avait maintenus en érection. Je toquai et entrai :

— Bonjour, brrrrrr, il fait un froid de canard dehors, dis-je en lui tendant la main... j’en ai la chair de poule !! Mes poils se hérissent...— Oui, je vois... Mais pas que...
Son regard s’était fixé sur ma poitrine, ses yeux brillaient. Je baissai les yeux sur mes seins. Je rougis, en pensant à ce que je faisais... et si cela se terminait mal !
— Oooooohhhhh. Les coquins, ils ont eu tellement froid qu’ils se sont faufilés entre les mailles de mon pull...
Je tendis la main, comme pour saisir mon pull et les remettre dessous en y tirant dessus...
— Nooooonnnnnn, laisse-les ainsi !! C’est très érotique... Tu ne portes pas de soutien-gorge ?
Me dit-il d’un ton autoritaire. J’obéis en le regardant langoureusement.
— Euuuhhhhh, si, mais un seins-nus !— Ils sont tellement jolis... Et tu sais l’autre jour à l’informatique, avec Maxime, je me doutais bien de ce que vous fabriquiez, ton pull plaquait tellement sur tes seins qu’il ne cachait rien et tes tétons étaient aussi longs qu’aujourd’hui. Je m’étais fait la réflexion qu’il fallait qu’un jour ou l’autre, je puisse admirer ta poitrine en toute tranquillité ! Et je pense que ce jour est arrivé non ?
Il se leva, passa derrière moi, ferma la porte à clef. Je m’étais tournée pour voir ce qu’il allait faire, il revint vers moi, je reculai. Son bureau m’empêcha d’aller plus loin, j’y posai les paumes de mes mains, ce qui me fit cambrer le buste. Il tenait un stylo, il s’en servit pour exciter les petits cônes bruns qui dépassaient de mon pull. Il passa d’abord le capuchon sur les bouts ridés, en les effleurant légèrement, puis il caressa le pourtour des petits cylindres mauves... je cambrai les reins pour m’offrir à ses caresses et ses caresses s’éternisèrent...
— Nonnnnn... Et un léger gémissement sortit de mes lèvres...— Mais... on dirait qu’ils aiment ça ces coquins... Tu crois qu’on peut agrandir les trous et faire sortir tes aréoles ?— Nooonnnnnn, chuttttttttt.....— Mais si, mais si regarde...
Avec le stylo, il agrandit les mailles autour de chaque téton et repoussa le tissu autour de mes aréoles.Sous ses doux attouchements, ma poitrine se tendit vers lui. Il s’en aperçut, et s’enhardissant une de ses mains se glissa sous mon pull, et commença à le relever doucement comme pour ne pas m’effaroucher. Je fis semblant de résister en lui retenant mollement le bras... Mais son autre main avait saisi un téton et commençait à le triturer... Mon pull remonta assez vite, il le fit passer par-dessus ma tête. Je ne résistai pas.
— Ouaahhhhh, le soutien-gorge, c’est vachement érotique... J’espère que tu as le porte-jarretelles qui va avec...
Il se pencha vers moi, sa bouche se posa sur la mienne, sa langue força mes lèvres... je lui résistai un peu... Il me pinça un mamelon... la douleur me fit ouvrir la bouche, sa langue s’y engouffra en pays conquis... je lui rendis son baiser. Tandis que son baiser s’éternisait, ses mains malaxèrent mes seins, passant dans mon dos, elles dégrafèrent mon soutien-gorge et il me l’ôta. Le dessus de son bureau était dégagé, il m’y coucha dessus, jambes pendantes. Ses mains me caressèrent les cuisses avec douceur.
— Mais oui, elle a un porte-jarretelles... C’est parfait tout cela... !! Regarde l’effet que tu me fais !
Il déboucla sa ceinture, ouvrit son pantalon qui lui tomba sur les chevilles, baissa son slip. Son sexe pas trop épais, mais très long se dressa fièrement. Sa main au repos sur sa cuisse me sembla suspecte comme une bête de proie prête à se détendre sur sa proie. Mon genou luisait à sa portée, il l’effleura, poussa ma jupe vers le haut. Je savais trop bien où finissent les mains qui se posent sur les genoux. L’autre continuait à me malaxer un sein, pincer et tirer mes tétons. Je dodelinai la tête de gauche à droite, j’avais les yeux mi-clos, langoureusement ma langue passa sur mes lèvres humides, mes jambes se mirent à bouger sous sa main. Le mouvement fit crisser mes bas érotiquement. Sa paume remonta lentement sous ma jupe... Elle me laissa une sensation de brûlure sur la peau. Bientôt ses doigts franchirent la limite des bas et rencontrèrent ma peau nue, un immense frisson me donna la chair de poule.
Ma jupe retroussée lui dévoila mes jarretelles et la peau blanche de mes cuisses au-dessus de la dentelle des bas. Les doigts montèrent et descendirent le long de la jarretière, en un lent manège qui me mit les nerfs à fleur de peau.
Le visage congestionné, son regard lubrique remonta vers les pointes durcies de mes seins, il suça avec avidité mes bourgeons bruns gorgés de sang. Ses lèvres effleurèrent la peau, ma poitrine douce comme du velours, avant que ses dents ne se referment sauvagement sur mes pointes en érection. Une vive douleur partit du bout de mon sein et se propagea jusque dans mon ventre. Je geignis... Comme pour se faire pardonner, il se mit à me téter les seins à tour de rôle... Puis il m’embrassa tendrement dans le cou.
Dézippant ma fermeture éclair, il fit glisser ma jupe jusqu’à mes genoux, la peau de mon bas-ventre apparut blanche et satinée. Son sexe se frotta doucement contre ma hanche. Il le fit passer sous la lanière du porte-jarretelles, le frotta sur ma cuisse. J’eus un mouvement d’abandon et ma jupe glissa sur le plancher, le long de mes jambes.
J’étais maintenant offerte à lui, il pouvait voir sous mon string complètement transparent les lèvres de ma chatte imberbe. Je secouai ma tête de droite à gauche, les yeux mi-clos, les lèvres humides. Mes jambes se mirent à bouger sous la caresse de sa main, faisant crisser mes bas érotiquement.
— Oui, c’est ça... ouvre tes cuisses ma chérie, encore... encore.
Sa bouche se colla sur mon ventre tandis que sa main droite vint caresser mon pubis, sa langue lécha par petits coups la peau frissonnante de mon abdomen.La pression de sa main était lente et chaude, ses doigts frôlèrent mon pubis, malgré moi, mon mont de Vénus se tendit vers lui. Mes hanches furent prises de mouvements convulsifs que je ne pus contrôler.Ses doigts s’insinuèrent lentement entre le voile de mon string et ma chair, je poussai un long gémissement et écartai les jambes pour favoriser la progression de ses doigts. Je cambrai mes reins, jambes grandes ouvertes... lui offrant sans pudeur mon intimité.
— Mais c’est qu’elle est entièrement rasée la petite Salope ! C’est parfait ça !
Ma vulve trempée s’ouvrit et se contracta comme douée d’une vie propre. Tout mon corps appelait le membre qui en pénétrant mon conduit vaginal palpitant me délivrerait de cette intolérable attente. Ses grands doigts se glissèrent sous le fin voile du string, caressèrent ma peau lisse, et pénétrèrent dans mon sexe humide, il trouva la pointe de mon clitoris, qu’il décapuchonna. Il fit ensuite d’une main, descendre lentement jusqu’au sol, le string minuscule trempé par mon foutre.
Sa langue titilla la petite excroissance qui s’érigeait fièrement entre mes cuisses, ce contact chaud et humide sur mon clitoris produisit en moi un émoi délicieux auquel je me laissai entièrement aller, des râles sortirent sans discontinuer de ma gorge. Je lui tins la tête pour ne pas qu’il cesse cette caresse divine.
Son appendice buccal se plaqua contre mon sexe, il lécha plusieurs fois ma fente sur toute sa longueur, et tandis que par petits coups, il enfonçait son appendice buccal dans ma féminité, ses mains passées sous la dentelle du porte-jarretelles caressèrent mes hanches et mes fesses.
Il se redressa.
— Ouvre tes cuisses Chérie, plus encore... encore ... Oui comme ça, putain que tu es belle... Je n’y tiens plus...
C’est moi qui capitulai, l’idée de vouloir m’amuser de lui s’envola devant l’application qu’il mit à me faire l’amour, satisfaire les désirs de mon corps, et je mis en parallèle au premier proverbe, celui qui parlait de grives et de merles, celui-ci : « Tel est pris qui croyait prendre ».
Il enfonça son long sexe dans mon vagin brûlant, je sentis ses poils gris chatouiller mes lèvres, il l’entra entièrement. Un temps d’arrêt pour savourer sa victoire, puis ses hanches se mirent en mouvement, d’abord doucement puis de plus en plus vite. Il ne cessa d’aller et venir en moi, il me dit des mots orduriers, cela m’excita... j’ attrapai mes seins et les tordis dans tous les sens, pinçant et tirant sur mes tétons, en gémissant comme une petite folle.
Son rythme s’accéléra encore, ses doigts griffèrent mes hanches puis mes fesses, il se mit à bredouiller des paroles, où il était question de Marion... Ma jouissance monta, monta... Me tenant fermement sous les fesses, il enfonça entièrement son long phallus. Puis, il poussa un cri et éjacula en moi avec une force étonnante. Sa lave bouillonnante emplit mon vagin, un torrent de sperme s’écoula de sa verge.
Mon orgasme commença et une jouissance incommensurable me submergea. Je hurlai, me tordis, gigotai en tous sens... et lorsqu’enfin je repris mes esprits, un étrange calme s’installa en moi.Il me regarda, avec un sourire triomphant épanoui sur ses lèvres.
Le lendemain, je retrouvai Marion.
— Hé bien... Tu m’avais dit qu’au niveau de la baise, ton chef était nul... !! — Oui... mais c’était il y a un an... depuis je lui ai appris à faire l’amour correctement... je voulais te le dire hier... mais tu ne m’en as pas laissé le temps... et je ne te l’ai pas dit avant, car j’avais peur que tu moques de moi... Me laisser faire l’amour par ce grand dadais... !! Bon puisque tu me le demandes, je vais te raconter...
Je t’ai dit qu’avec Mikael, nous faisions presque tous les jours l’amour dans notre vestiaire pendant la pause de midi. Lorsque, couchée sur la table, j’avais les mains attachées, bras tendus au-dessus de ma tête, mon imagination était décuplée. Mikael avait trouvé mon point faible, il savait que je fantasmais facilement.
Il me disait par exemple d’écarter les jambes, pour bien montrer ma vulve au chef qui regardait par le trou de serrure... Après, tout en s’amusant avec mon corps et en me besognant, il me racontait des histoires salaces. Il arrivait à me persuader que je désirais vraiment me faire prendre par mon chef. Au bord de l’extase, je finissais par croire que c’était vraiment lui qui était en moi et me caressait le corps ! Et je dois t’avouer que je jouissais plus fort... Après l’extase, je houspillais Mikael en lui disant de cesser de me raconter des trucs comme ça... Car c’était lui et personne d’autre qui me faisait l’amour. Et cela le faisait franchement rigoler. La fois suivante, il remettait ça de plus belle, et je plongeais à nouveau...
— Je sais, me disait-il qu’il veut te baiser... Et cela t’excite... Alors, si tu veux, excite-le à ton tour, déjà que sans le vouloir, tu le fais grimper au plafond... alors si tu y mets du tien... !!— Tu... Tu crois que je peux... Tu n’es pas jaloux, tu ne vas pas me traiter de petite Salope ? — Je te l’ai déjà dit, tu ne me dois rien, tu fais ce que bon te semble... Je respecte tes désirs, si de faire l’amour avec lui comble un de tes fantasmes alors fais-le !
Je ne lui avais pas dit qu’il m’avait prise dans son bureau, et que j’avais moyennement apprécié la situation. Je ne savais plus que penser ni que faire. Mais bien malgré moi, la situation se débloqua ! Mon chef m’appela dans son bureau, il donna un tour de clef.
— Marion, je veux te montrer quelque chose...— Aie, aie, aie pensais-je, le tutoiement est revenu ! — Regarde tout d’abord...
Il tenait un petit objet noir dans la paume de sa main.
— Tu vois cette petite webcam, elle sert pour le ski et le VTT, elle ne mesure que 6 centimètres sur 4 centimètres, elle a une autonomie de 2 heures... ce qui est largement suffisant pour filmer entre 13 heures et 13 heures 30... et bien cachée sous une palette personne ne l’a remarquée.— Aie... Aie... Aie... tu es cuite, me disait une petite voix dans mon cerveau.— Oui, on changé les racks au second étage... les anciens gros boulons des fixations traversaient le plancher... et un trou tombait juste sur le plafond du vestiaire du premier... Je t’avais dit que je soupçonnais qu’il se passait des choses à la pause de midi dans ce réduit... J’ai voulu en avoir le cœur net... Et heureusement, pour moi, le diamètre du trou était le même que celui de l’objectif de la caméra. Regarde ce petit chef-d’œuvre...
Il inséra une clef USB dans son PC. Les images étaient effectivement prises du plafond à une distance de 3 m, c’était de la bonne qualité sa webcam, la netteté et le son étaient parfaits. On me voyait seulement vêtue de mes bas et de mon porte-jarretelles, couchée sur la table, les bras liés tendus au-dessus de ma tête, attachés aux tuyaux du gros chauffe-eau. Mikael à côté de moi, me malaxait les seins et suçait mes tétons, j’avais l’air aux anges.
— Dis-moi... Lorsqu’il parle du « Grand », c’est bien de moi qu’il parle ?
Dans la vidéo, Mikaël me disait de bien écarter et de relever mes jambes pour dégager ma vulve afin de permettre « au Grand » qui lorgnait par le trou de la serrure de profiter du spectacle... Il écarta les lèvres de mon vagin en me disant « qu’il » allait se régaler... Son index et son majeur entrèrent dans ma féminité, il les ressortit gluant de mon foutre et s’adressant à la porte, il fit remarquer que de s’exhiber ainsi cela me faisait abondamment mouiller... Puis il demanda si le voyeur n’aimerait pas être à sa place...
Mon chef appuya sur avance rapide... sur la table, j’avais les yeux clos, je gémissais, ma tête dodelinait à droite puis à gauche. Mikael, nu se tenait entre mes jambes, il me labourait à grands coups de reins, me traitant de petite Salope qui adorait la queue « du Grand », me demandant de lui avouer qu’elle allait me faire jouir. Qu’un jour, je lui ferai une fellation sous son bureau... Le plus fort, c’est que je lui répondais par l’affirmative.
Encore une petite avance rapide, Mikael déversait son sperme dans mes entrailles, je criai mon orgasme... Il stoppa la lecture. J’étais rouge comme une pivoine.
— Voilà, me dit-il pas mal hein ! Au moins, je participe, ne serait-ce que ta pensée, à ton orgasme...— Oui, mais...— Mais quoi ? J’en ai d’autres, même plus salaces, ou je suis censé te faire des choses bien plus cochonnes et tu as l’air de vraiment apprécier, et de prendre ton pied ! On dirait que tu as vraiment envie que je te baise !! Tu veux en voir un exemple ? J’ai même une petite séance de flagellation, tu as l’air d’aimer ça...— Non... mais c’est un jeu... lorsqu’il me parle de vous... c’est... c’est... il dit ça pour m’exciter... — Mais ce qu’il te dit à mon sujet te met dans un état second !— Oui, ça m’excite et me fait fantasmer...— Si c’est l’effet que ça te fait, je crois que tu as vraiment envie de faire l’amour avec moi... D’accord, la première expérience n’a pas été très concluante. Mais maintenant avec cette vidéo, je crois que tu ne peux plus te dérober ! Au fait, approche, peux-tu quitter ton string... Je vais vérifier si notre petite entrevue ne t’a fait mouiller. — Je, je ne mets plus de string... — Alors, relève ta jupe, petite Salope... Ah, ben voilà, il y a longtemps que je voulais te toucher et t’admirer en porte-jarretelles...
Sa main se promena le long de la lanière et remonta sur ma cuisse jusqu’à mon sexe, il eut l’air déçu, je ne mouillais pas... Cette entrevue m’avait fait l’effet inverse, vu ma passivité, il se recula.
— Bien, nous sommes d’accord... Tu vas trouver un endroit où l’on pourra se rencontrer pour jouer au même jeu que celui que tu pratiques avec ton copain Mikael... Et tu ne te désistes pas sinon, c’est la porte... Allez, à bientôt.
Me dit-il en brandissant la clef USB. Cette fois, je ne pouvais faire autrement que d’accéder à sa demande, je voulais garder mon job. Après m’être trituré les méninges, je pensais que sous les magasins, il y avait une pièce où l’on entreposait de vieilles archives. Je n’avais jamais vu quelqu’un y mettre les pieds. J’allais inspecter le lieu. Des néons assez puissants diffusaient une lumière crue. C’était assez poussiéreux, le réduit ne comportait que deux petits vasistas au ras du plafond, personne ne pouvait voir à l’intérieur.
Des étagères pleines de documents anciens, une grande et longue table en chêne, trois chaises composaient le mobilier, un coup de balai, un bon dépoussiérage et cela pourrait aller. J’allais voir « le Grand » et lui soumettait l’idée, il me dit qu’il irait voir. Un coup de téléphone me confirma que cela ferait l’affaire... Il avait récupéré la clef, mais il laisserait ouvert le jour J. Qui serait jeudi prochain, je resterai avec lui après 17 heures pour faire des heures supplémentaires !
Puisque je ne pouvais pas faire autrement, autant faire l’amour comme il faut, la fois dernière, cela avait été un fiasco total... Il me fallait mettre au point un bon scénario... Je savais, car il me le serinait sans cesse, qu’il voulait me voir avec des dessous affriolants, pour lui l’érotisme, c’était ça. Il aimait les bas noirs, les strings, les porte-jarretelles, les demi-soutiens-gorges, et me disait-il, il rêvait de me voir seulement vêtue ainsi...
Le jour venu, j’avais passé une jupe de satin noir qui moulait parfaitement mes fesses et s’évasait vers le bas, elle s’arrêtait au-dessus du genou, des bas noirs extra-fins retenus par un porte-jarretelles avec une ceinture très fine. Un chemisier en tulle noir absolument transparent qui ne cachait rien de mes seins, et laissait voir mes aréoles et mes tétons, comme s’ils étaient à l’air libre. Je cachais quand même mes trésors sous une veste noire elle aussi. Des talons aiguillent complétaient ma tenue.
17 heures, je me dirigeai vers le local, avec une petite appréhension dans le ventre. J’arrivai la première, je posais mon sac sur une étagère et ma veste sur le dossier d’une chaise. Mon corsage flottait hors de ma jupe et je pris soin de ne laisser boutonner que deux boutons.
Il entra. Je vis dans le regard qu’il me lança que maintenant, je devenais sa chose.
— Je suis à ta merci, attache-moi les mains., lui dis-je.
Je savais qu’il aimerait. Je sortis une fine et longue cordelette de mon sac. J’avais vu dans ses yeux lorsqu’il m’avait passé la vidéo, qu’il avait eu l’air d’apprécier de me voir attachée et moi l’ imagination augmentait mon plaisir. Il me fit reculer jusqu’à la table, et me fit coucher dessus me laissant les jambes pendantes. Il allongea mes bras derrière ma tête et me lia les poignets aux pieds de la table, ses mains tremblaient d’excitation.
— Très, très joli, ton soutien-gorge.
Il apercevait, mis en valeur par l’éclatante lumière qui illuminait la pièce, mes deux seins qui se balançaient au rythme de ma respiration les pointes commençaient à jaillir sous le mince tissu. Ses doigts effleurèrent le bout de mes seins, qui s’érigèrent malgré moi. Il s’attaqua à mes deux boutons et écarta les pans de mon chemisier. Mes deux globes fermes à peine contenus par les fins bonnets de dentelles jaillirent sous la lumière crue des néons. Mon ventre sortait entre la jupe et le chemisier, ma respiration saccadée faisait creuser mon nombril.
— Nonnnnn, nooonnn laissez-moi !! Ne me touchez pas... Je n’aurais pas dû accepter !!
Je savais que cela allait l’exciter... Il était du genre à qui on ne refuse rien ! Il approcha sa tête de mon visage et me plongea son regard noir dans les yeux. Sa bouche se posa sur la mienne, sa langue s’insinua entre mes lèvres, je gigotais, mais ne résistais pas. Je me tordais dans tous les sens, ce qui eut pour effet de faire remonter jupe au-dessus de mes genoux.
Il m’embrassait toujours, sa main droite vint se poser sur le genou largement découvert, il effleurait ma peau et commença à repousser lentement la jupe vers le haut. Sa bouche descendit le long de mon cou, sa langue lécha le pourtour de mes aréoles, qui s’étaient recouvertes de chair de poule, les pointes mes seins étaient bien érigés maintenant.
Le bord de ma jupe dépassa la limite des bas, ses doigts montaient et descendaient, jouant avec le fermoir du porte-jarretelles, caressant la frontière entre le nylon et ma peau, ce manège autant sur mes mamelons que sur mes jambes commençait à m’aiguiser les nerfs. Sa main remonta à l’intérieur de ma cuisse, lentement ma jupe fut repoussée jusqu’à la naissance de mon pubis. Sa bouche continuait son manège sur mes seins, il ne passait sa langue que sur le bout de mes cônes tendus à l’excès, avec parfois de petits attouchements le long de mes petites hampes brunes, qui ne demandaient qu’à être happées.
Je ne bougeais plus, seule ma tête bougeait de gauche à droite, des gémissements et des petits râles de plaisir s’échappaient d’entre mes lèvres. J’avais les yeux mi- clos et à travers la fente de mes paupières, j’essayais de capter son regard.
Ce n’était pas du tout comme la première fois où il m’avait sautée dessus. Aujourd’hui, j’avais du mal à retenir le désir qui s’insinuait en moi. Il décida enfin de remonter ma jupe encore plus haut, il découvrit ma peau blanche entre mon mini-string et la ceinture du porte-jarretelles...
Ma jupe retroussée lui dévoilait les lanières et les attaches du porte-jarretelles ainsi que la peau blanche de mes cuisses au-dessus de mes bas. Abandonnant mes seins, il se recula, ses yeux se fixèrent sur le renflement de mon sexe, il était fasciné. Il haletait doucement, il baissa légèrement le bord du string pour découvrir mon petit triangle de poils blonds et ras. Sous la pression de ses doigts, ma toison surgit, avec un gémissement prononcé mes hanches se tendirent vers lui pour lui offrir mon mont de Vénus.
À travers le tissu qui commençait à devenir moite, il passa son index le long de ma fente, je me mordis les lèvres pour ne pas crier ! J’ouvris largement mes cuisses. Il prit alors le temps de sortir son sexe, je fus étonnée... La première fois, je n’avais pas fait attention à la longueur, il n’était pas très épais... Quoique, mais il était vraiment très long... Il bandait énormément. Tout cela s’était passé sans une parole de sa part. Il tâtonna pour trouver la fermeture de ma jupe, et la fit glisser sur mes genoux.
— Tu m’excites à mort, ma petite Marion...
Surprise d’entendre le son de sa voix, j’eus mouvement de relâchement, ma jupe tomba sur le sol. Attachée, j’étais à sa complète disposition, ma féminité seulement voilée par le mince string palpitait sous son regard. Sa bouche se posa à hauteur de mon nombril, tandis que sa main se plaquait sur ma vulve, vraiment moite maintenant, sa langue remonta en une longue caresse vers ma poitrine. Ses lèvres s’emparèrent de mes pointes brunes, il les téta à tour de rôle avec amour, puis ses dents mordillèrent les mamelons qui vraiment durcis sous la caresse. Il me tirait des cris de jouissance. L’atmosphère devenait électrique, j’étais terriblement excitée, ma chatte était trempée maintenant.
— Moins fort... Chutttttt... Il n’y a personne, mais on ne sait jamais... m’intima-t-il. — Oui, oui... Mais c’est tellement bon...
Ses doigts se glissèrent entre le tissu moite de mon string et la peau de ma vulve. Une boule chaude naquit dans mes entrailles, j’écartais les jambes au maximum pour favoriser la progression de ses doigts.
— Ouuuuuiiiiii, gouuuuuuiiiiii... Continue, continue, ne t’arrête pas...
Il fit glisser le bout de tissu trempé sur mes jambes jusqu’au sol. Ses grandes mains se posèrent sur mes cuisses. Il les écarta, sa bouche vint se plaquer sur ma vulve béante et moite. Lorsque sa langue entra en contact avec ma chair la plus intime à l’intérieur de mon vagin, je poussais à nouveau un hurlement d’extase. Elle s’enfonçait entre mes lèvres humides, fouillait dans ma fente qui ne cessait de s’élargir.
— Prends-moi, moi... Prends-moi maintenant, le suppliais-je... — Pas encore, mon trésor... Il y a 6 mois, je t’aurais sauté dessus, j’aurais enfoncé ma verge de suite dans ta chatte, je t’aurais prise sur cette table... Mais j’ai vu les vidéos... J’ai compris comment tu aimais être prise... Comment il fallait te faire l’amour... !! Tu me supplies de te prendre... Alors que la dernière fois tu te moquais de moi... Petite Salope...
Il mit son gland au bas de ma fente, le fit remonter doucement entre mes lèvres gonflées, il recommença l’opération plusieurs fois, sans jamais me pénétrer. Avec deux doigts, il décapuchonna mon clitoris déjà bien érigé, très lentement, il y frotta le bout de son sexe le faisant encore durcir et se gonfler. Je me mordis la joue pour encore hurler d’extase. Ligotée, je ne pouvais que subir... mon corps était obligé de s’abandonner à ce doux supplice, qui me rendait folle. Mes gémissements redoublèrent en force et en intensité.
— Oui, c’est bien... J’aime quand tu gémis... Quand tu cries de plaisir... Je vois que tu aimes ma bite !
Mon regard ne quittait plus son sexe, je me demandais à quel moment il allait passer à l’action. Il était de toute évidence plus que prêt, son phallus raide et gonflé jaillissait de la forêt de ses poils grisonnants en dardant fièrement son gland vers le ciel.Mes nerfs étaient à fleur de peau, la frustration me gagnait, ma vulve s’ouvrait et se refermait sur du néant.
— Es-tu vraiment capable, de me donner du plaisir avec ta queue... La dernière fois cela n’a pas duré trois minutes ! — Ah tu vas voir Salope !
Il me repoussa sur la table, se mit à genoux entre mes cuisses. Avec une sorte de fureur, il releva mes jambes, et empala d’un coup sec son membre raidi dans ma féminité brûlante. Je me cambrais et poussais un hurlement.
— OH, Ouuuuiiiiiiii... Oouuuuuiiiiii... Hurlais-je... Ooouuuuiiiii... enfonce-toi bien profond...
Mon bassin se mit à onduler, d’avant en arrière pour faire pénétrer son phallus dans mon vagin.
— Ouiii... pl... plus... plus vite... oui làààà c’est booonnnnn... !! Je n’en pouvais plus d’attendre... Enfonce bien ta queue... Plus profond... Encore... Encore...
Il me besogna, longtemps d’abord assez doucement, comme pour me faire apprécier la longueur de son membre, puis de plus en plus rapidement, son rythme s’accéléra, mes jambes se raidirent, les muscles de mes cuisses mes abdominaux se contractèrent, ma respiration se fit saccader. Mes râles se mêlaient à ses gémissements.
— Je n’en peux plus... ça vient... ouiiiii... défonce-moi... Va plus loin... Va plus loin... Éjacule dans ma chatte... Je veux jouir avec ton sperme...
Mes parois vaginales palpitaient, un courant électrique circulait en moi, un feu intérieur me dévorait les entrailles... l’air me manquait, il s’activait en moi à une vitesse phénoménale. Sa verge longue et dure, pleine de mon foutre, sortait entièrement puis replongeait aussitôt jusqu’au tréfonds de mon sexe, me faisant hoqueter de plaisir. Il me sembla que son rythme s’accélérait encore, ses mains agrippèrent la ceinture de mon porte-jarretelles, ses ongles griffèrent mes hanches avec un han retentissant, il poussa sa verge au fond de mon vagin, s’immobilisa, ses testicules se contractèrent et il éjacula en moi avec force.
— Tiens Salope, tiens la semence du « Grand », c’est meilleur que la dernière fois... tu en redemanderas... cette fois... !!
Son sperme gluant et tiède envahit ma vulve, cela me fit frissonner... je ne me retenais plus... un orgasme d’une force inouïe déferla dans mon ventre, j’étais arc-boutée sur la table, les paupières closes sur un arc-en-ciel qui ne comportait que des nuances de bleu... je hurlais ma jouissance. Et ça, c’était la seconde fois qu’il me prenait...— Hé bien dis donc... ! je comprends mieux à présent ! lui dis-je ! C’est toi qui lui as appris à baiser sans le vouloir !
Diffuse en direct !
Regarder son live